Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 10:29

En tant qu'infirmier (Marcus)

Je n’entendais que les filles rouspéter sur un nouveau malade, il était arrogant, imbu de sa personne, et surtout il refusait que tout le monde de touche, pourtant il aillait bien falloir le laver, cela faisait déjà trois jours qu’il n’avait pas passé à la douche et s’était obligatoire. Sinon, elles risquaient de prendre un blâme, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai promis d’aller le voir pour lui expliquer, j’ouvre la porte et me trouve devant un jeune homme de 28 ans, je m’approche et découvre qu’il n’a pas mis sa blouse, qu’il semble être très bien foutu en tout cas, il a un très joli torse, il me fixe, et d’un coup, me sourit, « à enfin, ils se sont décidés à m’amener un mec », je connaissais ce style de mec, soit par son exubérance homosexuelle, mais les filles me l’auraient dit, où par sa prise de position religieuse, je lui explique qu’il va devoir faire un brin de toilette et qu’il en sera encore plus mignon.  Il me sourit, je pensais tomber sur un con, mais je vois qu’il a de l’humour, « alors comme ça vous aimé les garçons », je lui précis qu’il peut penser ce qu’il veut de moi, mais qu’il devra quand même aller se doucher, « je ne serais pas contre, mais j’ai un petit souci à vous montrer avant », je m’approche quand il saisit à main et la glisse sous son drap, mon dieu il vient de la poser sur son sexe qui semble sacrément gros, il me sourit et me demande de l’aider, sinon il va avoir la trique toute la journée et sa famille va venir le voir, je le fixe et il me le redemande en commencent à se branler avec ma main, oh mon dieu, mon dernier mec remonte à si loin au service, je sens que sa main me laisse faire, il pose ses mains derrière sa nuque et me demande d’y aller doucement, qu’il veut en profiter, la vache le drap vient de glisser libérant ma main et son sexe, il est super bien foutu, un torse musclé et des abdos de rêve, mais de voir sa bite est stupéfiant, je n’avais jamais vu ça, une bite d’au mois 24 ou 26 centimètres et d’une sacrée largeur, il me dit qu’il ne va pas tenir longtemps que ça fait trop longtemps qu’il n’avait pas joui, que d’habituellement, c’est tous les jours au minimum, je le fixe, il me sourit tout en crachant, « oh merde, c’est trop bon avec toi », je ne sais pas pourquoi, j’ai continué de le branler, il crachait encore, et encore, ça ne pouvait pas être vrai, il devait avoir craché au moins dix grosses rasades, il m’a dit qu’il va être content de me revoir ce soir, juste le temps de s’essuyer, sa mère est entrée, je les ai laissé, mais je lui ai signalé qu’il devra se laver avant ce soir, sinon, de gros bras viendrons le faire et ça ne lui plaira pas, enfin je crois, il me sourit, je pars, les filles semblent soulagées, elles m’ont entendu, lui faire la menace des costauds, nous finissons la journée quand une des filles me signale que le malade de la 312 ne veut personne d’autre que moi, je souffle et vais dans la direction de la 312, un petit temps d’hésitation avant d’ouvrir, je ne sais pas pourquoi, mais ce mec me troublait, il avait réussi à me faire perdre mon self contrôle et je l’avais branlé, il était dans son lit dès que je suis entré, il m’a dit « n’oubliez pas de fermer à clé, je n’ai pas envie que quelqu’un voit la taille de ma bite, d’ailleurs c’était étrange que personne ne vous en ai pas parlé, en principe les filles sont friandes de ces détails, il me dit « ok, je suis prêt pour la douche », je n’ai rien dit, mais de le voir enlever son drap pour me montrer sa nudité, ça m’a fait stopper net,  il est parfait, un corps d’apollon il me sourit, « quand tu veux, tu m’aides », je m’approche et passe son bras sur mon épaule, nous faisons quatre mètres pour nous rendre dans la salle de bain, il me dit aimer mon parfum, je le laisse entrer dans la douche, il refuse en me montrant une bite énorme, une érection géante, il me sourit s’approche doucement et me demande à l’oreille de m’accroupir et de faire ce qu’il faut pour qu’il n’ai plus d’érection, je le fixe dans les yeux, punaise, je sens sa main sur mon sexe , j’ai la trique, il pose son autre main sur mon épaule, je finis par céder, je suis à genoux face à cette énorme bite, j’ouvre machinalement la bouche et voilà, il vient de l’enfoncer, je sens cette chair glisser dans ma bouche, je relève les yeux pour voir son visage, il sourit en me jurant qu’il attendait ça depuis le début, je le pompe, je n’arrive plus a lâcher cette bite, il le comprend et en profite pour saisir le gel douche et me relève, je sens ses mains ôter ma blouse et mon tee-shirt avant de s’attaquer à mon jeans, je me retrouve le cul et la bite à l’air devant lui , il me sourit toujours, j’ai la bite raide, mais ses doigts vont bien plus loin que je ne le pensais, ils entrent dans mon anus, j’ai un petit cri, je lui dis d’arrêter, que j’ai pas fait un truc comme ça depuis le lycée, il me répond que ça ne faisait pas si longtemps, et il pose son gland dessus, je n’arrive pas a croire que je le laisse faire, mais sentir ce monstre m’envahir m’a fait perdre toute notion de réalité, il me déchirait , je n’allais jamais pouvoir avoir une bite aussi grosse en moi, je ne pratique pas ces choses là assez souvent, mais il me souffla qu’il le savait, que j’étais serré mais que ça passerait, j’ai compris en sentant son sexe bouger en moi, je râlais dans la serviette sur le présentoir, je n’arrivais pas à me libérer de ce mec, il me baisait et j’en étais heureux, rien à comprendre, je me suis retrouve avec sa main sur la bite et là tout a explosé, j’ai craché libérant des petits cris dans la serviette, alors qu’il gémissait de bonheur en se vidant en moi, mon dieu , nous n’avions pas mis de capote, il s’est enfin retirer, j’ai vu mon agresseur entrer en me faisant singe de venir pour me laver, je n’ai pas pu refuser, il fallait que je me lave, nu avec lui dans cette douche, m’a fait un choc, il m’a dit que je venait de lui rendre la vie, je suis sorti rapidement et suis allé me rhabiller, avant de lui signaler qu’il était pratiquement guérit à en croire cette performance, il m’a souri en me disant à demain matin pour ma douche, je n’ai rien dit et suis sorti. En rentrant chez moi, j’ai voulu m’asseoir, punaise, j’avais le cul en feu, il m’avait bien eu le salaud, je n’ai pensé qu’a lui ce soir là. Le lendemain, une appréhension de le voir dans son lit, il était tout heureux de me voir, et sans attendre a demandé à l’infirmière qui m’accompagnait, de nous laisser car il avait un truc important à me montrer, elle n’a même pas relevé, a fini ses tests et est sortie, à peine la porte refermée, qu’il a bondi bloquant la serrure, et m’entraîna dans la salle de bain, je n’ai rien fait pour le repousser, je sentais en moi, un désir inavouable de me faire prendre part ce mec hyper membré, j’ai connu une certaine extase de me faire prendre pour la deuxième fois par lui, nous avons fini par le refaire le soir même avant que je parte, le matin après un contrôle, il a eu le droit de sortir, je ne l’ai pas revu, un peu triste que cette aventure se termine, mais c’était le mieux pour nous, en rentrant tard ce soir là, je me suis pratiquement écroulé sur le canapé, quand la sonnerie de la porte a retenti, j’ai ouvert, alors que je n’étais qu’en caleçon et tee-shirt, pensant à mon voisin qui me demandait de temps en temps un ingrédient, ne réfléchissant pas à l’heure qu’il était, quand je l’ai vu devant moi, son tee-shirt montrait clairement le superbe corps qui se cachait dessous, il m’a poussé en refermant la porte à clé, je n’ai rien fait , sentant ses lèvres se coller aux miennes, ses mains viraient à une vitesse grand V mes fringues, tout en se déshabillant aussi, il m’a demandé la chambre,  et je me suis retrouvé nu avec lui sur le lit les jambes écartées avec du gel sur l’anus avant de sentir cette masse me perforer, je savais que la douleur s’évanouirait, mais elle était encore bien là, après trois minutes, normale avec ce qu’il se trimbalait dans le slip, j’ai fini par sentir monter la chaleur du désir, « oh, non, je vais jouir », c’est la seule chose que j’ai pu dire, ne pouvant plus me contrôler, il continua de me baiser avec furie alors que je m’apaisais de cette scène de baise, il s’est cambré et a tout concentré sur son sexe, me bloquant les hanches et jouissant ainsi, en moi, il ralait que c’était trop bon, qu’il n’avait pas l’intention de me lâcher comme ca, et il s’est écroulé à côté de moi, nous sommes restés ainsi, une bonne heure à nous caresser avant qu’il parte, mais au matin, il sonna , j’allais bosser, lui aussi, il avait une côte de travail, comme mécanicien dans un garage, je n’ai pas eu le temps de dire non que déjà ses fringues tombaient, je n’ai rien fait pour le repousser et il m’a enculé dans la cuisine sur la petite table, je n’en revenais de cette envie de baise, je n’avais pas imaginé me faire culbuter sur cette table, il m’a souri après cinq minutes intenses de baise. Il m’a souhaité une bonne journée, je venais de m’en prendre une énorme dans le cul, et lui me souhaitait une simple bonne journée, la journée s’est passée avec de courts passages aux toilettes, mais très bonne comme il me l’avait prédit, j’ai senti qu’il reviendrait, et ce fut très chaud de le voir débarquer en côte de travail un peu sale, sentir son odeur de male en rut m’a libéré de mes complexes, il m’a fait l’amour pendant une bonne heure avant de nous faire un chant de jouissance, il venait de prendre un drôle, le pied on dirait, j’avais jouis deux fois, et n’arrivais plus à bouger tellement mon cul en avait eu pour son grade, il m’a pris dans ces bras et nous avons fini par nous endormir, dans la nuit, j’ai senti son corps contre le mien, je n’ai pas chercher à le repousser mais au petit matin, nous avons refait l’amour, je devenais aussi obsédé que lui, en tout cas, il avait un sacré tempérament, et une condition physique très bonne, nous sommes partis ensemble de chez moi ce jour là, ça a été ma première fois, sentir le bonheur de lui dire à ce soir, il m’a souri, ce fut le cas, un petit dîner au resto et une baiser torride pour nous endormir, je ne pensais pas vivre un truc pareil, mais deux mois ont passé avec toujours cette envie de baise torride, le sexe, le sexe, nous étions sur la même longueur d’onde sur ce sujet, et rien ne nous empêchait de continuer semble-t-il, en fin du second mois déjà, je voyais ses fringues venir les un après les autres, je lui lavais et les rangeais dans l’armoire, il ne sembla pas dépourvu de les prendre le matin, un signe étrange qu’il m’aimait bien, en tout cas qu'il aimait baiser avec moi, puis naturellement nous sommes devenu plus qu’amant, car il est reste et n’ai pas reparti, après six mois de vie commune, il m’a demandé de venir voir ses potes de son quartier, rien que la présentation à ce groupe en tant qu’infirmier, ils ont eu plein de questions impossibles à dire à d’autres, j’ai fini par connaître quelques secrets intimes de chacun, et en rentrant, Marcus était tout souriant, « ils t’adorent, tu es un MAN pour eux », j’ai souri, je ne pensais pas les épater même je pensais que je devrais rester tranquille, puis ce fut mon tour de le présenter à mes amis, et étrangement, alors qu’il avait eu plusieurs consignes de moi, il passa très bien, proposant des réparations ou contrôle de voiture, de tests ou de conduite sur piste, que François a adoré vouloir faire avec lui, il semblait à l’aise, ce soir là j’ai eu envie de lui comme jamais, me donner vraiment à lui fut un bonheur, il l’a remarque, car il m’a enculé trois fois cette nuit là, heureusement que nous ne travaillions pas le lendemain, j’ai eu un petit peu de mal a marcher ce matin là, il me souriait, signalant qu’il fallait voir le bon côté, que j’avais eu le plus beau mec de toute ma vie dans les bras et toute la nuit, j’ai quand même grimacé en m’asseyant, nous avons décidé de faire la semaine d’après une soirée, afin de mélanger les amis, histoires de voir, notre surprise vient de Nathan et de François qui semblaient très bien s’entendre, Marcus me fit remarquer que Nathan semblait très proche de François, des signes étranges nous firent croire qu’ils se draguaient, la main sur l’épaule de François, lui mettre les doigts dans les cheveux, lui donner son pull, pour aller fumer sur la terrasse ensemble, ça semblait peu probable que deux hétéros couchent ensemble, mais bon, nous ne les avons pas vu partir, mais le lendemain, François m’a appelé paniquer qu’il fallait que je le rejoigne chez lui tout de suite, j’ai explique à Marcus ou j’allais et que je serais de retour pour le midi, en arrivant, François était encore en caleçon et tee-shirt, il avait pleuré,  il m’a regardé et est venu dans mes bras, « je crois que j’ai fait une connerie », je l’ai invité à s’asseoir dans le canapé, il m’a annoncé avoir baisé avec Nathan, qu’il s’était fait dépuceler et qu'il avait aimé ça, je n’en revenait pas de sa franchise avec moi, jamais nous avions parlé ainsi des minettes que nous baisions, mais là, c’était autre chose, il venait de se faire enculer, c’est vrai, il m’a fixé, « merde comment je dois réagir », je lui ai expliqué que les pulsions pouvaient être temporaire et que se sera une belle expérience sinon qu’il allait devenir un petit PD, il m’a regardé, mais je t’ai pas tout dit, « il en a une grosse », j’ai souri, repensant à mon bel étalon, « je crois que nous avons de la chance tous les deux », et je lui explique mon cas avec Marcus, qu’il m’est carrément impossible de refuser ses avances même avec son gros truc , qu’une fois en moi, je deviens l’homme le plus heureux de la terre, il me regardait, stupéfait, j’avoue n’avoir jamais parler d’un truc pareil, mais là, je me sentais, le devoir d’en parler, de toute façon c’était vrai alors pourquoi pas, il m’a demandé comment faire s’il voyait Nathan un jour, je n’ai pas répondu, mais trois jours après, j’ai su par Marcus que François avait une liaison avec Nathan, qu’ils semblaient avoir choisi le plaisir au refus. Deux ans à vivre avec Marcus et ce fut le jour de rencontrer mes parents, un père toujours fourré dans sa bibliothèque et une mère distante mais aimante, dés le premier regard porté sur lui, j’ai eu peur, quand d’un coup sans rien faire, il fit tomber un verre sur la robe de ma mère, elle s’est mise à sourire en regardant mon père, « je crois que c’est bon signe, », et elle nous raconte que mon père la première fois qu’elle l’a rencontre avait fait la même chose, sauf que là, elle pouvait aller se changer et revenir toute contente, je n’ai pas remarqué le moindre changement dans leur attitude envers nous, un bon point, car je ne comptais pas changer ma vie, nous avons commence à faire notre vie et il semble que ce soit pour plusieurs années….

Fini

 

 

Par histoires gays cooletclean
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