Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 17:21

Une sous-location (Mathew)

J’ai téléphoné à l’annonce de sous-location, d’un appartement dans Paris, le type semblait précis dans sa recherche de colocataire, je m’étonnais qu’il exige un homo, mais bon, j’arrive devant le grand porche, et trouve la cour intérieure plus que mignonne, il règne ici un calme très agréable, je sonne car l’appartement donnait sur le rez-de-chaussée mais côté parc, enfin paraît-il, la porte s’ouvre, un mec d’au moins 1m90 me serre la main, je le  trouve géant par rapport à moi qui ne fait que 1m72 tout mouillé, il est plutôt bien foutu dans ce débardeur et sa peau bronzée, il me demande de m’asseoir, pour discuter un peu avant de me faire visiter l’appartement, l’interrogatoire commence, « j’ai bien signalé que je voulais un homo », et il me fixe, je lui réponds que oui, il me pose d’autres questions sur le fric, le boulot, les habitudes alimentaires, mes parents, qu’il faut que j’ai entre 25 et 30 ans, et pour clôturer, il me demande si je suis passif, je ne sais plus quoi répondre, il rentre dans ma vie intime là, et sans hésiter, il me sort que c’est très important pour lui car il est hétéro, je balbutie que je préfère être passif, mais me rattrape aussitôt, lui signalant quand même que je pratiquais les relations actives avec mes partenaires, il ne répondit pas, me proposa de me faire visiter, la cuisine était grande et belle, toute aménagée, le salon faisait aussi salle, spacieuse, la terrasse de taille correcte donnait uniquement sur un parc sans visibilité, le top pour bronzer et prendre ses repas, nous  prenons le couloir, il me montre la salle de bain, très jolie, claire et propre, toute moderne, un sacré plus, nous nous dirigeons vers la chambre, un lit est déjà installé, assez grande pour moi, en tout cas plus que celle que j’ai actuellement, je m’approche de la fenêtre trouvant la vue extra sur ce parc, quand je sens son corps tout proche, il a posé sa main sur mes fesses, je cherche à avoir une explication, mais déjà, il est torse nu, non d’un chien, cet homme est super bien foutu, je lui explique qu’il n’est pas mon type de mec, qu’il est trop grand, mais ça ne l’arrête pas, je vois partir mon tee-shirt, et sens très bien sa main droite glisser dans mon fut, et me caresser les fesses, je cherche à le repousser, ma main passe sur ses abdos, je sens la dureté de ses tablettes, je suis en slip en trois mouvements, il a lui aussi viré ses fringues, je constate qu’il n’est pas si hétéro que ça, sa bite rend le tissu difforme, qu’il n’hésite pas à faire tomber, là, je reste sans voir, ce truc est énorme, je lui confirme que je ne fais pas dans cette catégorie, il me sourit et sans attendre, déchire mon caleçon, me soulève et me retourne, je ne retrouve la tête en bas, les jambes écartées, avec sa langue qui me trifouille l’anus, je n’ai que sa taille pour me retenir, et son gros sexe qui se balade sur mes joues et vient frotter ma bouche, il est dans un sacré état, je me résigne trouvant sa langue plus que experte, je finis par lui prodiguer des petites léchouilles, qui finissent par devenir un pompage, il semble ravi car il me repose et me laisse sagement continuer mon pompage, il me glisse sur le lit et récupère une capote et du gel dans le tiroir de la table de nuit, je proteste mais le gel coule déjà entre mes fesses, ses doigts aussi ont trouvé l’endroit accueillant, deux pour commencer puis un troisième, je râle le plus possible, mais rien n'y fait, je me vois voltiger sur le ventre et me retrouve les jambes écartées, je cris au viol, il me dit « oui pour le moment, mais qu’après on en reparlera », il me force, impossible de me dégager, il entre en moi, me déchire sûrement, mais il entre, je ne savais plus ce que je faisais ici, je sentais monter en moi sa puissante force, à travers son zob, il m’enculait avec tellement de force, que je croyais à chaque fois me faire écraser, par son pied, il ne m’a lâché pour me jouir dessus, mon ventre en était rempli, son sexe était énorme, je ne croyais pas être capable d’avoir un tel truc en moi, nous avons reprit nos esprits, je me suis rhabillé, lui n’a remis que son slip, et m’a raccompagné, « tu réfléchis, si ça t’intéresse, moi, je suis preneur », et il se met à sourire en disant ça, j’ai passé deux jours à m’en remettre, tellement j’étais troublé, l’appartement me plaisait, vraiment, mais aillais-je pouvoir résister à ses assauts, où les accepter, pourrais-je me trouver un mec, puisqu’il me dit être hétéro, pourtant il n’avait pas été gêné un instant de me défoncer, je l’ai rappelé, lui donnant mon accord, le soir même, je suis venu lui donner l’argent, du mois, mais très vite, j’ai remarqué qu’il avait une grosse bosse dans le jeans, je l’ai alors entendu me sortir « si tu veux, tu peux me payer d’une autre façon », et il se leva, déboutonna son fut et m’exhiba son attirail, je n’ai rien dit, je l’ai léché, pompé, et très vite, je me suis retrouvé nu sur le canapé, les jambes en l’air, il me bouffait le fion, je gémissais si fort, qu’il m’a mis la main sur la bouche quand il m’a enculé, j’ai cru mourir, mais je savais ce que j’acceptais, il m’a buriné, si longtemps que j’ai manqué de souffle, son visage s’est alors approché du mien et il m’a roulé une pelle extraordinaire, tout en me baisant sauvagement, je n’ai pas eu d’autre choix que de jouir de plaisir, ce fut le début…rendu compte de la fin d’année, que notre accord tenait sur un an, ce ne fut plus que en tant que colocataire que j’ai vécu avec lui, son lit est devenu le mien, et nous avons décidé tous les deux de ne plus chercher à nous cacher, j’ai pu profiter de mon mec en toute quiétude et sans gêne, nous baisons toujours autant avec encore plus d’ardeur,.

Fini

Par histoires gays cooletclean
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Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 16:58

Une visite générale surprenante (Ron)

Une journée de visite commençait, avec bizarrement deux seules personnes, Madame Duran et Ron que j’avais déjà vu, l’an dernier, pour une visite générale, quand arriva le tour de Ron, toujours personne derrière lui, je lui demande ce qu’il l’amène, il me fixe et me sort qu’il a un problème au cul, depuis trois semaines, je le rassure qu’il doit s’agir d’hémorroïdes, rien de très grave, mais pour être sur, je lui demande de se dévêtir, ayant un peu de temps, en enlevant ses vêtements, il le fait mais reste quand même en slip, j’ai l’habitude de cette situation, ne dit rien et le fait installer sur le fauteuil d’auscultation, il s’allonge, et sur ma demande installe ses jambes sur les étriers, j’enfile des gants et me place entre ses jambes, il me fixe « ne t’inquètes pas, ça restera entre nous », et je lui ôte son slip, il est plutôt bien foutu pour un main d’œuvre en maçonnerie, je constate surtout qu’il est poilu, même en lui écartant les fesses, et les poils, je découvre un le problème, mais pas nettement, je lui explique qu’il faudra qu’il aille se faire faire un prélèvement de chair et de sang, il relève la tête et me signale qu’il préfèrerait que je le fasse maintenant, je le comprenais, pas facile d’exhiber son anus à tout le monde, je lui explique que je peux le faire, mais qu’il va falloir que je le rase, il me répond « faites, ce qu’il faut », je m’installe alors sur mon petit tabouret, et commence à lui mettre du gel pour le raser, et découvre enfin les petites chairs indélicates, il ne m’a pas tout dit car je constate qu’il a l’anus un peu dilaté, je le regarde, il semble rougir, il sait que j’ai vu qu’il avait eu une sodomie, il prononce un « deux semaines », juste audible, je le préviens que je dois vérifier, s’il n’a pas une infection interne et procède à la vérification, tout en constatant que de ce côté là tout était normal, je m’aperçois que sa bite a pris du volume, riant intérieurement de la situation, je profite de l’occasion pour lui introduire un puis deux doigts, il repose sa tête en arrière, avec un soupir, de ma deuxième main, je tâte ses bourses et monte sur sa bite, il bande complètement, je continue d’enfoncer deux doigts dans son anus, pendant que je décide de le branler, il ne s’y oppose pas, je sens même une drôle d’excitation le submerger, il n’a aucun mal à prendre trois doigts, alors qu’il se met à jouir. J’arrête le doigté et saisis l’occasion d’euphorie pour lui prélever l’échantillon d’analyse, je me relève le fixant dans son jus de sperme, lui donne, de quoi s’essuyer, il se rhabille en silence, pendant que je remplie sa feuille de soin, « ça n’aura aucun préjudice pour ta sexualité », il me serre la main, en me remerciant, je lui dis pour finir que j’aurais les résultats en fin de semaine, deux jours après, nous avions une soirée, loto du village, il fallait y être sinon tous, vous le reprochaient, et voulaient savoir ce qui avait pu empêcher le médecin du village de venir avec eux, je m’installe avec Mme Marty, la boulangère et M. Boulard, le boucher, quand Ron me demande s’il peut s’assoire avec nous, contrairement à ce que pense beaucoup, je m’amuse bien avec eux, mais je sens la jambe de Ron se coller à la mienne, il me fixe de temps en temps, cherchant à me rendre ivre avec le cidre, la soirée se termine, nous quittons le bâtiment communal, longeant la route allant vers chez moi, quand il me demande de venir avec lui, je le suis dans la petite rue donnant sur les hauteurs du village, à mi-chemin, il se retourne, s’accroupit et fait tomber mon jeans, je sens sa langue faire grossir mon gland, à peine une minute et je bandais bien, il m’a alors goulûment fait une pipe, à vous faire partir rapidement, je n’ai donc pas pu résister, il m’a fait cracher, sur le côté, il était bon dans ce domaine, l’enfoiré, je saisis mon fut pour me réajuster pendant ce temps, j’observe son visage, il me sourit, et j’entends, « les bons comptes font les bons amis », il me rendait en me pompant, ce que je lui avais fait dans mon cabinet, je repars chez moi, avec cette image de ce mec qui me pompe, en tout cas ce qui est sur, c’est qu’il savait s’y prendre, et que je me doute qu'il n’allait sûrement pas s’arrêter là, j’ai dormi comme un bébé, deux jours et il était dans la salle d’attente, à son tour, je lui ai donné les analyses et lui ai dit de faire comme la dernière fois pour savoir s’il était toujours en irritation, il n’a pas bronché, et s’est installé docilement, j’ai remis des gants, il était rasé, et montrait sans équivoque son anus, des plus sexy, enfin qui ne demandait qu’à être rempli, on dirait, je l’ai touché sur ses parties touchées, les petites chairs pourraient partir facilement, quand j’ai posé mes doigts sur son anus, mon gant avait du gel, ce qui permit aussitôt l’entrée dans ce petit trou, il poussa un petit râle, mais n‘approcha pas ses mains pour que j’arrête, très vite, j’ai bandé en voyant mes doigts, glisser en lui, je n’ai eu que deux choses à faire, me  mettre une capote et lui enduire encore un peu le cul, en me redressant, il a râlé en me fixant mais c’était trop tard, je m’enfonçais et ne comptais pas arrête maintenant, j’ai poussé jusqu’au bout et l’ai baisé, il gémissait mais acceptait cette baise, j’ai profité de lui  et me suis mis à jouir sur son ventre, après il s’est branler et a joui rapidement, nous nous sommes essuyer, et j’ai repris ma place derrière mon bureau, lui était calme sur son fauteuil, il me souriait en partant, je suis content d’avoir eu cette expérience avec lui, nous nous revoyons au resto alors que je mange avec M. le maire et sa femme, il s’incruste juste pour me dire qu’après, je peux aller au bistrot le rejoindre, ce que je fais, nous nous amusons dans ce bar comme jamais, je l’ai fait dans la dernière grande ville que j’ai fait, en repartant, il me demande si je lui offre un dernier verre, je voyais à peu près ses sous-entendus, mais après tout me le faire ne me posais aucun problème, un super petit cul et bien foutu en plus, nous avons vite viré nos fringues pour nous retrouver sur le lit à poil, il bandait et moi aussi, après un 69, je l’ai pénétré et ce fut super, il aimait ça et j’en ai abusé sans complexe, ce type avait un petit derrière à vous damner, j’ai profité de lui pendant plus d’une demi-heure, avant de larguer tout, lui s’est retourné et m’a montré ce qu’un homme excité faisait pour se soulager, un petit spectacle qui demandait à être renouvelé, une fois essuyé, nous nous sommes pour la première fois embrassé, je ne pensais pas le faire, mais quand il a relevé la couette, en signalant qu’il dormait là, nous nous sommes vite retrouvé dans les bras l’un de l’autre, c’était assez rare qu’un type s’endort avec moi, mais au matin, il avait disparu, son boulot le faisait lever tôt, la journée passée, j’ai entendu vers 23h, qu’il frappait, il est entré sans rien demander, et est allé directement dans la chambre, nous n’avons pas attendu de nous coucher pour baiser, je l’ai pris à terre, sur la couette, c’était excitant, et il en redemandait, en revenant, et il est resté à dormir encore cette nuit, toute la semaine s’est déroulée dans les mêmes conditions. Le matin, je suis allé prendre une douche, il ne travaillait pas, il m’a rejoint et sans hésiter m’a mis du gel sur l'anus avant de me pénétrer, je n’étais pas un fana mais ce type, me plaisait alors j’ai accepté, il me bourra tel un grand chef, je n’ai pas pu m’asseoir naturellement pendant deux jours, mais entre temps, je m’étais vengé en le baisant le soir même avec virilité, et brutalité même, pendant deux mois, nous avons eu cette relation, il dormait tous les soirs chez moi, jusqu’à ce que Mme Pinton vienne me voir un midi de ma pause, m’apportant un cadeau, me signalant que c’était pour Ron, car demain c‘était son anniversaire, et qu’il n’était pas libre cette année pour venir manger chez elle, comme toujours avant, j’ai eu un coup dans le cœur, d’abord, de ne pas connaître son anniversaire et de voir cette petite femme peinée, je lui ai rendu son cadeau , elle ne comprenait insistait, « écoutez, Mme Pinton, vous lui donnerait demain quand vous viendrez manger à la maison », elle souriait de toutes ses dents fausses, elle repartit avec le cadeau en me remerciant comme si c’était moi qui venait de lui faire un cadeau, l’après-midi, entre deux patients, fut agitée, appeler M. Boulard, lui expliquant que j’invitais pour l’anniversaire de Ron, Madame Pinchon et qu’il me fallait une bonne viande, il m’assura que j’allais être servit comme un prince, et qu’il pouvait même demander à sa femme de préparer le plat, je n’ai pas eu le temps de dire non, qu’il avait raccroché, je téléphone à Madame Marty, lui expliquant la situation et qu’un gâteau d’anniversaire serait le bien venu, elle m’approuva et me dit même que le petit me l’apportera avec le pain demain vers 11h, il ne me restait plus que le cadeau, ici pas facile, à part la boutique souvenir et le magasin de bricolage, je mis rends donc, la première me signalant qu’il avait remarqué un miroir, pas très convaincu mais bon allons-y pour le miroir, mais en sortant, j’ai quand même fait un saut à la quincaillerie, expliquant la situation que c’était l’anniversaire de Ron demain, M. Reinhardt n’était pas un souriant, mais son visage à tout de suite changé, en prononçant le prénom de Ron « tu m’en diras des nouvelles », il m’a alors présenté une tronçonneuse, m’expliquant que Ron coupait le bois pour plusieurs familles ici, en échange d’un peu d’argent, et que se serait sûrement un très beau cadeau pour lui », je ne pouvais pas trop dire le contraire, il semblait être absolument convaincu, vivant toutes les nuits avec lui depuis plusieurs mois, je ne serais pas exactement ce qu’il aimait, j’ai installé les cadeaux dans la cave, et le lendemain, en ne lui disant rien, je lui demande d’aller me chercher, une bouteille de vin à l’épicerie, sachant très bien, que Madame Pinchon n’allait pas tarder, en revenant, elle avait déjà mis la table, pendant que je finissais le repas, la poule cuisait, elle semblait heureuse, quand il revint, et la trouva avec moi dans la cuisine, il fut ému, me fixant en la serrant dans ses bras, elle pleurait, nous avons ainsi fête son anniversaire avec du champagne et lui ai offert ses cadeaux, le miroir lui plus mais de découvrir la tronçonneuse, le fit bondir et m’embrasser devant elle, elle ne dit rien, faisant comme ci elle n’avait pas vu, après un bon repas nous sommes allés nous promener pour digérer, les chemins de balades, la nuit commençait  fatiguer Mme Pinchon, nous l’avons déposé près de chez elle. Elle m’a embrassé avec une seule phrase « merci de rendre heureux Ron », il m’a fixé encore, je mourais d’envie de lui, nous avons passé le reste de la soirée dans les bras, à nous câliner et à nous faire l’amour, les jours suivant, j’ai reçu des témoignages de gratitude, pour Ron et moi, je fus même un peu gêné que le village sache pour nous, ma clientèle était très régionale, mais rien ne changea, après plusieurs autres mois, nous avons donc décidé de nous installer ensemble, quoi de mieux.

fini

 

 

 

 

 

 

 

 

Par histoires gays cooletclean
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Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 16:05

Le foot et les gays (Francis)

Je n’ai pas beaucoup de temps, mais j’aime faire du foot, avec mes potes le vendredi, nous avons été sélectionnés en finale, le photographe est là, nous nous mettons tous côte à côte, Francis s’assoie à côté de moi, nous attendons quand je sens sa main se poser sur ma cuisse, il me sort qu’il risque de tomber, je ne dis rien mais le fixe d’un air interrogatif, mais sa main est toujours là, la photo prise, nous nous relevons et nous dirigeons vers les douches, après, je m’installe sur le banc quand Francis vient s’installer, je n’avais pas remarqué que le pan de ma serviette n’était plus sur ma cuisse, mais quand j’ai senti sa main se mettre dessus, je l’ai regardé, il n’a pas hésité à la faire glisser plus haut, je n’en croyais pas mes yeux, personne n’était avec nous dans le vestiaire, il a apposé sa main entre mon sexe et ma cuisse, j’ai alors saisi son poignet, le bloquant, ne voulant pas le vexer, je ne l’ai pas enlevé, je voulais qu’il le fasse de lui-même, mais j’ai senti mon sexe grossir, ce qui ne l’engagea pas à arrêter, il a bougé ses doigts et m’a caressé le gland, j’ai décidé d’arrêter, je me suis levé, ma serviette glisse, il me mate, pendant que je mets mon slip, la bosse maintenant laisse aucune ambiguïté sur l’excitation que j’avais eu à me faire toucher, il a fait comme moi, s’est levé, a laissé sa serviette sur le banc et m’a exhibé une bite en érection, et quelle érection, il était déjà bien foutu sans alors avec, la taille m’attira quand même le temps qu’il saisisse son slip, il m’a souri sans rien dire, je ne voulais pas faire de vague sur sa sexualité, nous avons quitté l’endroit, marchant en silence jusqu’au parking, et là, il me dit en s’approchant « tant pis », et il m’embrasse sur la bouche, avant de s’engouffrer dans sa voiture, je suis parti chez moi avec ce goût, je n’ai pas été dégoûté, aucune différence avec une fille, seulement ce corps, c’est en rentrant que je me suis mis à penser à son sexe, ce gland qui était dans tout ses états, gros et sa tige longue et droite, j’ai posé d’instinct ma main sur mon sexe à travers le tissu, je me suis touché, ma bite gonfla, je bandais maintenant, je suis allé m’allonger dans ma chambre et me suis mis à l’aise, ma bite était dans une forme, je me suis branlé d’excitation. Le lendemain, il fallait que je me lève tôt, une livraison au magasin, avant l’ouverture, j’ai fait du mieux, quand Wilfrid est arrivé pour m’aider à dix heures, nous avions tout juste fini à 11h, quand Francis est arrivé avec 4 mecs, plutôt beaux gosses, en tout cas Wilfrid m’a fixé approuvant la nouvelle clientèle, Francis s’est approché passant son bras sur ma taille, et me collant un baiser sur la bouche, les autres m’ont regardé comme si j’étais son mec, j’ai voulu le repousser, mais il m’a tenu ferme pendant qu’il m’expliquait, qu’ils allaient choisir ce qu’ils voulaient et si j’étais ok, ma marque allait faire la une du prochain shooting des mecs, ils se servaient quand il me lâcha, « ne t’inquiètes pas pour tes fringues, je les achète avec une petite promo, ok », je voyais les mecs remplir leurs bras de fringues, ils téléphonaient à d’autres mecs leurs signalant qu’ils  avaient trouvé une boutique sympa dans le quartier, je l’ai fixé « ok », c’est tout ce que je pouvais dire, comme si ses lèvres étaient encore sur les miennes, ils ont envahi le comptoir de fringues, Wilfrid était aux anges, ils ont disparu comme ils sont venus, une vraie tornade, Francis m’a regardé en réglant la note « je crois que tu vas devoir m’inviter ce soir, avec le chiffre d’affaires que je t’ai fait, il avait raison, c’était top, d’avoir eu ces 4 types vider les étagères, je ne pouvais toujours pas parler « ok, ce soir », il m’a souri, « je viens te chercher car c’est moi qui choisi le resto » et il nous quitte, Wilfrid est excité comme une puce « vous notez tout ça sur mon code hein ! », je le regarde « tu ne penses qu’à ta commission toi », il souriait heureux que j’accepte, il le méritait de toute façon, une heure après ce miracle, nous avions remis du stock, nous avons vu arriver une dizaine de mecs, demandant si nous étions la boutique ou les mecs venaient pour leur shooting, en moins de temps qu’il nous fallait pour mettre les articles sur les rayons, nous avons vendu, Wilfrid était euphorique, je ne le tenais plus, il faisait tout, arrivait avec le client, voilà pour Monsieur, et il repartait sur un autre type, nous avons fermé avec le meilleur chiffre, jamais fait, Wilfrid me sort « punaise, je suis crevé, mais qu’ils étaient mignons », je l’ai fixé, de mon air renfrogné « quoi, je vous demande pas ce que vous ferez ce soir au resto avec Francis » et il tourne les talons, pour aller dans la réserve, chercher les articles manquant dans les rayons, j’ai passé une nouvelle commande, pour être sur d’avoir un approvisionnement assez important, au cas ou ! Ouf je ferme la boutique, Wilfrid est déjà parti, Francis est devant la porte, dans sa voiture, je l’ai regardé un instant réfléchissant à cette soirée, j’ai ouvert la porte et me suis glissé dedans, il m’a emmené chez moi, pour me changer, il buvait un verre, pendant que je me préparais, une douche vite fait et me voilà près, il me sourit « ok pour ce dîner », il me tape dans le dos, nous sortons, la soirée se passe bien contrairement à ce que j’aurais pu le croire, mais le resto est un peu trop chic pour moi, plusieurs beaux mecs viennent le voir, et discutent quand il me dit en fin de soirée, qu’il fallait rentrer car il avait du boulot demain, il me dépose mais retient ma manche « merci de m’avoir invité, je sais que j’en voudrais plus mais c’est déjà ça » et sans me demander, il me roule un patin, je compte me débattre, mais sa langue me donnent des frissons, il embrasse bien, je le laisse faire la vache deux minutes plus tard, nous étions toujours à nous bécoter, j’ai stoppé et suis descendu de la voiture, je ne me suis pas retourné, mais j’ai entendu, « ça faisait une semaine que j’attendais ça », et il a démarré, j’ai fermé la porte à double tours, mes jambes tremblaient, je me suis assis dans le salon, les yeux fixaient bêtement la télé éteinte, je venais d’accepter de me faire embrasser par ce mec, sans le repousser, une seule fois et j’en avais tiré du plaisir, merde, je déconnais, complètement, j’ai fermé les lumières avant de plonger dans mon lit, épuisé, j’ai passé un dimanche à flâner, déjeunant chez mes parents, la semaine fut tordue, car d’autres de l’agence de mannequins ont débarqué à Paris et sont venus au magasin, nous avons eu du monde tous les jours, le vendredi, au foot, Francis m’a demandé si j’allais bien, je l’ai remercié de m’avoir envoyé tous ces mecs, il me sourit « contre mon grès car j’aurai préféré être à leur place, tu te serais peut-être occupé de moi », et il se casse sur le terrain, le match fini, nous allons tous prendre un verre, je me retrouve vite à côté de lui, dans un des canapés du fond, nous discutons de son boulot et du mien, quand à un moment, il me sort qu’il voudrait aller chez lui avec moi, je le fixe, il hésite un instant et se lève, me fixant, je l’ai suivi de toute façon, j’en avais marre du bruit, et j’étais assez grand pour le remettre sur le droit chemin dans l’appartement, nous n’avons pas été loin, il a ouvert une porte dans le vestibule et m’a poussé, il n’a pas allumé mais est venu me rouler une pelle, punaise, je sentais ses mains glisser dans mon jeans et caresser mes fesses, très vite, j’ai vu disparaître mon tee-shirt, toujours en l’embrassant et ses doigts experts, n’ont eu aucun mal à défaire les boutons de ma braguette, je bandais, punaise, j’étais chaud, je me suis mis à réfléchir mais trop tard, il avait déjà mon sexe en bouche, mes gémissements ont fait le reste, j’ai alors posé mes mains sur sa tête et l’ai accompagné, à ce délicieux plaisir, il m’a goulûment avalé la bite, j’étais au bord de la jouissance, il me tripotait les seins, puis les fesses, je sentais qu’il se déshabillait, il stoppa son pompage, pour me pousser sur le lit, nous nous sommes alors enlacé, tout en nous roulant une pelle, il bandait grave, son sexe était contre mon ventre, je sentais cette longue queue bouger, laissant du liquide dans mon nombril, je ne sais pas pourquoi, mais mes mains étaient parties sur ses fesses, que je pelotais, il m’a fait roulé, j’étais à présent sur lui, mes jambes étaient de chaque côté de sa taille, son sexe s’était placé tout seul sur ma raie, il me branlait si bien que je me suis laissé faire, lui coulissait son gland entre ma raie, pendant que je sentais monter la jouissance, il chercha à me pénétrer juste au moment ou j’ai joui, je largue une tonne de foutre, quand la douleur est survenue, il forçait, j’ai poussé un cri, et me suis levé, l’enfoiré avait entré son gland en moi par surprise, j’étais assis sur le lit dans l’obscurité, finissant de faire partir mon sperme qui n’arrêtait pas de couler, il m’a alors saisi la queue et l’a englouti complètement, je sentais sa langue, titiller mon gland, l’urête, était en ébullition, je râlais, de plaisir, putain, quel pied, il stoppa quand j’ai débandé, je ne le voyais pas mais je savais qu'il se branlait, un râle m’a alerté qu’il jouissait, j’ai essayé de retrouver mes fringues, quand il a allumé une lampe de chevet, il était nu sur son lit, la bite énorme encore, il souriait, s’amusant à me voir remettre mes fringues à la hâte, il m’a alors accompagné nu, devant la porte de son appartement, je l’ouvris mais ne pouvais pas partir sans le voir une dernière fois, il me roula alors un dernier baiser, sa bite était toujours aussi grosse, je suis parti avec ce souvenir, une bite d’au moins 20 ou 23, je ne suis pas expert, arrivé chez moi, je suis allé me doucher, j’ai alors touché mon anus, il n’avait rien, et pourtant je savais qu’il m’avait foutu son gland dedans, je me suis mis encore à bander en me tripotant ainsi le cul, il avait été trop loin, je ne pourrais plus lui faire confiance, alors que je me préparais pour aller ouvrir le magasin, il sonna, il était devant ma porte, avec un bouquet de rose, il entra, sans rien dire, je l’ai remercié de son bouquet, mais, je n’en voulais pas, il m’a posé sur ma console, et m’a dit qu’il voulait faire l’amour avec moi, je lui ai dit non, que ce n’était pas possible, mais sa main avait agrippé la mienne, et nous nous dirigions vers mon lit, il ôta un à un ses fringues, il était en slip et le tissu laissait largement voir l’érection dedans, il s’est mit alors à genoux et m'a défait le jeans, le pull sur les épaules, mon polo, c’était tout ce qu’il me restait, je sentais sa bouche me travailler au corps, je bandais tellement que j’en avais mal aux bourses, il m’a bouffé sans que je puisse dire un truc, c’était vraiment chaud, je ne me sentais plus lâcher cette prise, il s’est tourné, et dans dire un mot, m’a positionné derrière lui, il m’avait glissé une capote sur le sexe, et me demanda de le prendre, je n’ai rien fait, alors, il est venu se mettre dessus, je sentis mon gland forcer, puis disparaître, je n’ai pas pu me retenir, j’ai enfoncé le reste puisqu’il voulait ma queue, il allait l’avoir, un râle lui ai sorti de la gorge, de douleur, mais je n’ai pas hésité un instant,  je l’ai baisé, il la voulait, alors là voilà, je sentais ses fesses se serrer, comme son petit cul, il aimait ça car très vite, j’ai entendu des gloussements, des vas-y à fond, je m’excitais tout seul, rien que de l’entendre gémir, je prenais mon pied dans ce petit cul, il a râler qu’il jouissait, je l’ai pénétrer à fond, pour décharge au fond de la capote, j’avais honte de ce que je venais de faire, nous nous sommes allongé l’un à coté de l’autre, nous embrassant, j’ai senti son gros sexe sur ma cuisse, tenir un homme dans ses bras était étrange, je suis allé à la salle de bain, il m’a retrouvé et avait encore la bite en érection, je l’ai touché pour la caresser, mais lui avait une autre idée en tête, car très vite, il m’a glissé du gel et m’a doigté, je sentais cet intrus en moi, pendant qu’il me roulait une gigantesque pelle, j’avais mal mais supportable, je réagissais bêtement en disant ça, il s’est alors mis derrière moi, m’a fait poser une jambe sur le lavabo, pendant qu’il s’accroupissait et me léchait l’anus, c’était toujours aussi étrange que le reste, je ne connaissais absolument pas ce style de sensation, je me regardais dans la glace pas très fière de moi, mais les titillements m’apportaient un plaisir inconnu, mais vite, j’ai senti autre chose, son gland glissait le long de ma raie, j’ai voulu le fixé pour dire non, mais son regard était ailleurs, sur ma rondelle, qui se faisait dépucelée, j’ai ouvert la bouche sans pouvoir crier, il me fixa à ce moment là souriant, je sentais la pénétration prendre du chemin en moi, il s’est arrêté le temps que je récupère, mais j’ai bien compris qu’il allait en profiter, maintenant. J’ai subi ses outrages pendant dix bonnes minutes, avant de le voir jouir par la glace sur mon postérieur, j’avais la queue raide comme un bâton, je l’ai laissé, me sucer, et j’ai largué tout ce que je pouvais au fond de sa gorge, il n’a pas bronché, mais en se relevant, il m’a roulé une pelle, j’ai alors pour la première fois goûter mon sperme, sous la douche, nous nous sommes réciproquement lavé, avant de retourner faire un câlin dans le lit, 0h sonna, il fallait que je parte, je lui ai laissé l’appartement libre, quand il est venu me ramener les clés, Wilfrid n’en a pas perdu une miette, une fois parti, il m’a dit « eh ! bien, je vois qu’il a réussi à vous avoir, je lui ai jeté un regard qu’il l’a fait partir dans la réserve, nous avons depuis une relation, je crois d’amants, même s’il me plait, je me dis à chaque fois qu’il me pénètre avec son monstre de bite, que je ne le referais plus, mais j’aime ça, alors, je recommence, nous nous voyons maintenant très souvent, il a même réussi à faire passer ma ligne de fringues dans les magazines, et n’oublie jamais de se faire payer sa commission en nature, il espère depuis deux mois, et me talonne pour vivre avec lui, j’y réfléchi, mais déjà bien installé chez lui, car nous mélangeons fringues, et appartements, je crois que j’en suis au tournant de ma vie, vivre avec lui ce que je vais accepter.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 11:30

Un délit mineur (Peter)

Je purge depuis trois mois une peine de trois ans, je ne m’arrange pas trop mal avec les deux autres mecs, même s’ils essayent de temps en temps de me rouler dans la farine, ça marche quelque fois car je ne connais pas toutes les ficelles, ils arrivent à me faire prendre plus que je n’ai, les enfoirés, mais là, ça commence à faire trop, je négocie car je ne voudrais pas être dépendant d’eux, la seule solution est de régler le plus tôt possible mes dettes, ils l’ont bien compris et vers 23h, alors que la pénombre entre dans la cellule, Louis me fait une drôle de proposition dans le coin, il me chuchote que si je le branle et suce, je serais quitte de mes cent euros, je le trouve gonflé, je refuse au début, mais il me serre le bras, « tu crois que tu as le choix, c’est ça ou tu me rembourses demain minuit au plus tard », je savais qu’il n’était pas tendre quand il menaçait quelqu’un, j’ai réfléchi plaquant ma tête contre le mur, et sans me dire un mot, il a défait son fut, m’a pris la main et l’a posé sur son sexe, le salaud bandait déjà, je l’ai fixé avec de quoi le tuer dix fois, mais il avait gagné, je le branlais, il se colla un peu à moi, « punaise, c’est trop bon, suce-moi, maintenant », je ne voulais pas, mais il m’a craché au visage, « tu sais que je te ferais souffrir si tu ne le fais pas », je me suis glissé le long du mur, il a dit « bien, vas-y », je me suis senti con, lorsque sa bite est venue se mettre devant ma bouche, il bandait à mort, il m’a dit d’ouvrir la bouche et a glissé son gland pour commencer, voilà, je ne pourrais maintenant plus me défendre seul, il avait trouvé une faille, je l’ai pompé du mieux possible, ce qui devait lui plaire car il gémissait, je n’ai pas entendu l’autre se lever, et d’un coup, je me suis retrouvé avec deux bites, à sucer, j’ai protesté, mais très vite, ils se sont passé ma bouche comme vide couille, les larmes me coulaient, pendant qu’ils jouissaient, pendant toute la semaine, ils m’ont laissé tranquille, j’avais payé ma dette, et ne comptais pas en refaire d’autres avec eux, mais pendant les deux mois qui ont suivi, je n’ai eu aucune ressource, n’ayant pas de famille, j’ai du par force, leur emprunter du fric pour payer ma note de fournitures, ils en ont rapidement pris aisance, et le soir même, je devais les pomper à fond, ils m’ont littéralement défoncé la mâchoire, cette fois-ci, je les trouvais vraiment dégueulasse de me faire ça mais, la loi de la jungle existait ici, la chance que j’ai eu, s’est d’avoir été changé de cellule, ils rouspétaient, mais moi, je me réjouissais de me tirer de ce traquenard ui aurait sûrement duré longtemps, mais j’avais payé mes dettes encore une fois, le mec avec qui je partageais une cellule pour deux, ne semblait pas plus sympa que les deux autres, je me suis mis à l’écart pendant deux semaines, histoire de mieux le connaître, lui aussi me testait, nous avons alors commencé à parler, il était bourré de fric, un de ses vieux lui filait tout ce qu’il voulait, il m’a offert du chocolat, puis de la bouffe, et le droit de lire ses livres et journaux, je me suis juste poser la question, s’il allait me faire chanter comme les autres, mais vu qu’il était plein de tune, il m’a laissé pendant un bon mois en profiter, jusqu‘au jour, enfin plutôt la nuit, il s’est allongé nu sur moi « tu dois me payer maintenant », et sans même me demander, il tire sur mon slip et me colle un doigts dans le cul, je gueule mais très vite, il pose sa main sur ma bouche, il crache sur mon cul et me masse un bon moment avant de chercher à me  prendre, je veux bouger mais rien à faire, il me bloque bien, je sens qu’il force, je ne vais pas pouvoir me débiner, punaise, il entre, je râle dans la taie d’oreiller, alors qu’il s’enfonce, oh ! merde, ça fait trop mal, il m’encule et me baise doucement, je crois mourir, mais il m’encule pendant vingt bonnes minutes avant de tout cracher sur mon dos, il sort de moi, et reste allongé à côté de moi, je pleure, mes nefs lâchent, j’ai mal à l’anus et dedans, il a une bite trop grosse pour mon petit trou de puceau, il reste à me toucher encore dix bonnes minutes et repart sur son lit, sans un mot, je m’essuie et me blottis dans le coin de mon lit, le sommeil vient quand même, pendant deux nuits, j’ai épié ses gestes, près à me défendre, mais c’est juste avant de se coucher, qu’il m’a mis à terre, et m’a déchiré le slip, je bougeais, me débattais, mais rien n’y faisait, je voyais que son sexe grossissait, et qu’il ne comptait pas uniquement que je le suce, très vite, le gel est venu se glisser entre ma raie, il s’est alors calmé, « de toute façon, tu l’auras, alors calme-toi », et je ne sais pas pourquoi, je l’ai écouté, me suis laissé faire, il m’a relevé une jambe, il a posé son gland, je serrais les dents, puis il entra, je ne voulais pas lui faire le plaisir de crier, il s’est alors enfoncé, doucement comme la première fois, mais punaise, qu’elle était grosse, je me suis senti comme partir dans les vaps, il me baisait, c’était terrible, il m’enculait avec hargne, je me sentais bafoué, mais lui, souriait « putain, t’est trop bon » je voyais sa grosse bite me défoncer, je grimaçais et plus je me taisais, plus il accélérait, j’ai voulu pousser un cri, voyant qu’il était occupé avec ses mains à me bloquer, il s’est allongé et m’a embrassé de toute sa bouche et langue, j’ai alors senti sa main me branler, je me suis mis à bander et à cracher, c’était trop, je n’ai pas compris ce qui m’arrivait, il est sorti de moi et m’a joui sur la cuisse, nous sommes restés face à face, nous fixant, nous avons repris nos lits avant de nous endormir, j’avais le cul en compote, mais la seule chose à quoi je pensais, c’était d’avoir joui, rien qu’à son touché, il m’excitait plus que je ne le croyais, le lendemain soir, c’est lui qui est venu me demander de le sucer, je n’ai rien dit, je me suis assis sur le lit, face à son gros sexe raide, quand il m’a demandé de lui donner mon cul, je savais que de toute façon, aujourd’hui ou demain, je devrais le faire, je me suis retourné et aussitôt, ses doigts m’ont doigté et il m’a saisi la taille avant de s’enfoncer. Je voulais pleurer, mais rien, il avait réussi à me faire dilater pour ne pas me faire mal, je sentais cette masse en moi, ma respiration commença à accélérer, je n’étais pas comme d’habitude, je sentais ce morceau mais n’en souffrais pas, je bandais comme un âne, il m’a touché un peu, mais a vite pris le rythme qui m’a fait jouir, il avait trouvé la façon de me faire prendre mon pied avec sa grosse queue en moi, il me souffla « tu vois que t’aimes », et m’a baisé plus fort, il couinait, pendant qu’il me larguait sa purée, je me suis écroulé sur mon lit, il m’a rejoint, m’a embrassé goulûment, je sentais sa force, m’entourer, il devait aimer le cul pour me le faire aussi souvent, je n’ai, à partir de ce jour, plus eu une nuit sans me faire prendre par lui, nous avons baisé comme des fous et j’ai aimé autant que lui après, il sortait à deux mois d’écart de moi, et je ne sais pas pourquoi, j’ai eu le pressentiment de le voir à ma sortie, il avait une belle cabriolet, j’ai mis mon sac à l’arrière, avant de m’asseoir à côté de lui, il démarra, « on se casse d’ici », nous avons roulé pendant une bonne heure, avant de rentrer dans une cour, la maison était petite mais sympa, très vite, il m’a fait monter dans une chambre, nous nous sommes roulés des pelles avant que je le pompe, il avait une belle trique, moi aussi, j’en avais envie depuis ces deux mois, nous avons pris un de ces pied d’enfer, nous gueulions comme des fous, personne ne dirait rien, j’ai jouis à grosses giclées, lui n’a pas hésité, de virer sa papote et de me pénétrer ainsi, avant de me jouir dedans, c’est à partir de ce jour, que nous avons décidé de vivre ensemble officiellement.

Fini

 

 

 

Par histoires gays cooletclean
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Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 10:57

Mon chef de cuisine (Grégory)

Je suis serveur dans un bon restaurant, mon supérieur est Grégory, un chef très passionné et dur dans le boulot, je n’ai que 17 ans ½, il ne me laisse jamais tranquille, toujours à me reprendre sur tout, je sais que je ne pourrais pas supporter ça longtemps, ce soir après que tout le monde soit parti, il m’a demandé de fermer le restaurant en dernier, je l’ai retrouvé dans les vestiaires, il se changeait, j’ai remarqué qu’il était vachement musclé, pour un cuistot, il s’est déshabillé pour prendre une douche, il portait uniquement son slip, il me proposa de finir la soirée dans un bar, je n’ai pas osé lui dire non, lui signalant quand même que je n’avais pas de fric, il se dirigea vers la douche ôta son slip m’exhibant ainsi son petit cul alors qu’il me confirmait qu’il m’invitait, j’ai alors décidé de faire comme lui, j’ai viré mes fringues pour ne pas trop sentir l’odeur de cuisine, nu dans la cabine de douche d’à côté, il n’y avait pas de rideau, je me lavais quand je l’ai vu nu devant moi en train de s’essuyer, j’ai su à ce moment là qu’il était bien plus membré que moi, la vache, son gland devait faire le double du mien et la longueur de sa bite était encore plus impressionnante, j’ai fini de me doucher un peu gêné, il n’a pas bougé, me regardant, j’ai terminé de me rincer, nous sommes repartis nous habiller, en partant du restaurant , j’ai remarqué qu’il n’avait pas du tout le même look, en nous asseyant, il a ôté son blouson, son tee-shirt blanc laissait bien voir ses pectoraux musclés, plus d’une des filles a jeté son regard sur lui, nous avons bu plusieurs verres, je m’en fichais, je ne travaillais pas le week-end, nous avons fini par atterrir chez lui, il m’a d’abord proposé de dormir sur le canapé, mais n’ayant pas de couverture en revenant de sa chambre, il m’a dit de venir avec lui, j’étais si bourré que j’ai fais avec, je me sentais mal, avec tout cet alcool ingurgité, quand d’un coup, j’ai senti son corps contre le mien, ses mains venaient de faire partir mon slip et son sexe était en train de glisser entre mes cuisses, j’ai réagi en le repoussant de la main et de la jambe, mais il m’a aussitôt plaqué sur le ventre, n’hésitant pas à prendre du gel et m’en mettre sur l’anus, je gueulais mais l’envie de vomir montait, il força, quand d’un coup, j’ai pleuré de me faire dépuceler sans pouvoir réagir mieux, il me baisait , ses coups de pine me faisaient mal, il ne me lâchait toujours pas après 10 minutes sans arrêter, j’ai bien cru mourir, mais, je ne sais pas pourquoi je me suis senti bizarre, mon cul me faisait mal, et du bien, aussi, je ne pouvais pas m’empêcher de gémir, il me baisait et moi, j’en jouissais, il l’a compris et en a remis une autre dose, tellement je couinais, il me niquait si bien, j’ai vu ma bite cracher des gros jets de spermes, « oh, mon dieu », l’a fait sortir, il m’a maté en train de gicler comme un malade, il se branlait devant moi, sa queue était énorme, il a largué trois gros paquets de jus, je n'en croyais pas mes yeux, ce mec était super monté, c’est ce qui m’a fait prendre mon pied, enfin je crois, il s’allonge et me dit qu’il doit dormir maintenant, sans s’excuser, je n’ai pas pu dormir tout de suite le sachant nu tout proche, mais le sommeil m’a rattrapé, jusqu‘à ce qu’il me remettre du gel dans l’anus pendant la nuit, son gland est entré aussitôt, directement vers le fond, un cri de douleur, m’a été déchiré de la gorge, ma jambe relevée , je voyais cette grosse chair, s’enfoncer et ressortir, ma bite était en train de faire couler du liquide d’excitation, je me suis vu partir dans un délire sexuel, je regardais simplement comme un spectateur ce mec me baiser, et prendre lui aussi son pied, j’ai envoyé la purée en même temps que lui, nous nous sommes vus cracher, l’un à côté de l’autre, nos spermes se mélangeaient, il m’a roulé une pelle, jamais non plus un mec ne m’avait embrassé sur les lèvres, je découvrais tout ça en une soirée, ma main était resté sur son torse pour le repousser, mais maintenant mes doigts glissaient dans son petit duvet très viril, il m’a soufflé qu’il devait vraiment dormir sinon, j’allais encore l’exciter, vers 8 heures du matin, il a pris sa douche, il est venu après, toujours nu, se blottir sur moi, en me demandant de rester ici et de profiter de l’appartement, au lieu de rester enfermé dans ma chambre de bonne, au-dessus du restaurant, je n’ai pas dit non, dormir dans un grand lit, me plaisait par-dessus tout,  ce n’est que vers 11h, le soleil dans le visage que j’ai découvert, l’appartement, mais il fallait que je me douche, je collais et puais le sperme, le mâle, j’ai joué à sa console, quand la porte s’est ouverte, il sourit de me voir ici, il était 15h, sa pause, il s’est approché et m’a glissé sa main droite dans le caleçon, caressant en me roulant une pelle, mes fesses, je n’ai rien fait pour le repousser, il me demanda si j’avais faim, et sans attendre, il enleva ses fringues, me montrant à quel point il bandait, je n’ai eu qu’à me pencher, son gland était vraiment gros, sa longue bite me rassurait sur le fait de me sentir constipé, en moins de temps qu’il le fallut, il revient de la chambre, avec du gel, me bouscula, m’obligeant à mettre les mains sur la table à manger, j’ai eu une pénétration très forte, ce mec était dingue, de me faire si mal, mais, en moins d’une minutes de baise, je me suis vu encore partir dans ce même délire, il pouvait faire de moi, tout ce qu’il voulait, je gueulais des oui, oui, tout le temps, son sourire aux lèvres, me faisait rager de lui céder, mais punaise que j’aimais ça, il m’a niqué les dix minutes sans s’arrêter avant de me faire cracher, je suis sur que si je ne larguais pas, il continuerai, je me suis vu faire un demi-tour sur place, le dos tomber sur la table, les jambes en l’air, et son gros gland, entrer de nouveau en moi , encore deux ou trois allers- venues avant de me jouir dessus, il m’a encore roulé une pelle comme cette nuit, je ne me rendais pas compte au début, mais en fait, je lui rendais largement son baiser, nous nous roulions un sacré patin, mais il me lâcha, je l’entendis signaler qu’il fallait qu’il se douche avant de repartir, je suis resté assis contre la table attendant, encore sous le choc de cette énorme pied, il est revenu nu, je savais qu’il était bien foutu, mais maintenant, je constatais même qu’il était très mignon, et me plaisait vraiment, c’était mon style, brun, italien, macho, sexy, grand, viril et surtout très bien monté, il m’a laissé le mater une dernière fois avant de fermer la porte et me dire de ne pas bouger, qu’il serait là au plus tard vers minuit, une heure, j’ai pris ma douche et me suis pris au jeu, cool en petite tenue, à profiter de cet appartement, j’ai fait une sieste et j’ai repris les jeux vidéos, une bonne petite bouffe, en matant la télé, et au pieu, quand il est rentré, il est allé directement se doucher, en glissant dans le lit, j’ai senti son pieu très en forme, je me suis douté que j’allais encore y passer, je l’ai attaqué, m’agrippant à son sexe, et l’ai pompé, il s’est allongé et a profité de l’occasion, je le caressais, doucement, il gémissait de plaisir, je ne me rendais pas trop compte, si je faisais bien, mais apparemment oui, mais il en voulait plus, j’ai eu droit à être retourné comme la première fois et sentir ses doigts gluants me sodomiser avant le passage de son gros chibre, j’ai eu un coup de poignard dans le dos, tellement il s’était enfoncé loin, sa tête était tout proche de la mienne, me demandant si j’aimais ça, ses coups de queue étaient très puissantes, cette fois-ci, mais le plaisir est venu, j’ai eu un spasme, des tremblements, dans tout le corps, m’ont transporté vers une jouissance extrême, il n’en revenait pas de mes réactions, plus il m’enculait plus, je crachais du sperme, il m’a vidé, j’ai cru ne pas pouvoir jouir pendant des semaines, trop c’était trop, cette fois-ci, il m’avait cassé le cul, en sortant, il m’a dit qu’il n’avait pas pu se retenir, j’ai compris en voyant son gros gland laisser encore sortir des gouttes, il avait joui en moi, il m’a serré, je venais de faire une chose étrange, j’acceptais tranquillement, de faire l’amour avec un homme, ce n’était pourtant pas dans mes habitudes, ce type avait le sexe dans le corps et me droguait à ses fins, je ne m’en plaignais pas en tout cas, la nuit fut douce et calme, il m’a réveillé vers 13h, nous étions dans ce lit côte à côte, « j’ai envie de prendre l’air avec toi », nous nous sommes douché, habillé et dans la voiture en moins de vingt minutes, roulant vers la mer, sur le sable, nos gestes étaient plus discret, j’aimais cette façon, mais à peine dans la voiture, il m’a demandé de le sucer, je l’ai fait, cette tige en avait trop, il m’a cracher dans la bouche cet enfoiré, me mettant la main sur la nuque pour me bloquer, il a soupiré de joie, je venais de faire encore un truc anormal, je l’avais complètement nettoyé et tout avalé, il me signala que j’étais le premier à faire tout ce qu’il aimait, j’ai regardé dans l’autre direction, pour qu’il ne voit pas que j’avais le visage satisfait de ça, je voulais qu’il me le redise encore une fois, je me suis alors rendu compte que je tombais sous son charme, nous roulions le vent dans les cheveux, cette nuit là j’ai eu encore une puissante éjaculation de le voir sur moi, me baisant à fond, je n’ai jamais eu ça avant, cet orgasme aussi destructeur, je ne pouvais pas croire que seul lui me le donnerai, mais j’étais sur en tout cas que pour l’instant c’était sans du vrai. Le lundi, je suis arrivé comme normalement au resto disant bonjour à tous les autres, la journée était chargée, pas le temps de faire une pause avec lui, mais le soir tard, il me demanda de venir dormir chez lui, j’ai su qu’à partir de ce soir là, je ne dormirais plus dans ma petite chambre de bonne, nous avons baisé des semaines et des semaines à ce rythme, rien ne pouvait nous arrêter, les soirées, entre amis, ne changeaient rien à la finalité, je me prenais des coups encore plus puissant, car il se sentait, en manque à chaque fois, ce mec m’a rendu accroc, je ne voulais plus que lui, pendant un an, je n’ai pas dormi chez mes parents, je rentrais le soir, pour le retrouver, les vacances nous avons calculé pour les passer ensemble, un an après, m’a demandé de venir à un rendez-vous avec lui, je ne savais pas pourquoi, j’avais maintenant 18 ans ½, un homme d’une trentaine d’années, nous attendait devant une entrée d’immeuble, plutôt sympa, en entrant dans l’appartement vide, j’ai compris, nous visitions notre prochain appartement, il m’observait pour savoir si j’aimais, quand l’agent immobilier, nous dit de bien réfléchir car il doit le faire visiter encore trois fois ce soir, il nous a laissé seul, je sentais dans les yeux de Grégory, une excitation, il était vraiment bien, pas loin du centre, au calme, quoi de mieux, nous l’avons rappelé et c’était fait, Grégory, signa les papiers, dans une semaine, nous changions d’appartement et nous étions dans un bon quartier, en rentrant dans l’autre, il m’a sauté dessus, de joie, il semblait très heureux, nous avons fait l‘amour dans une tendresse que je ne le connaissais pas, ce fut l’apothéose, le pied total, de se faire prendre par un tel maître en la matière, je n’ai rien pu faire pour me retenir, les jets partaient tout seul, il s’est lâché jouissant en moi, ce fut parfait, une très bonne journée, en changeant d’appartement, il m’a fait comprendre l’importance de vivre à deux, je ne compte plus changer maintenant, ce mec est l’homme que je ne retrouverais pas ailleurs, j’ai une emprise sur lui comme lui sur moi.

Fini

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