Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 16:05

Le foot et les gays (Francis)

Je n’ai pas beaucoup de temps, mais j’aime faire du foot, avec mes potes le vendredi, nous avons été sélectionnés en finale, le photographe est là, nous nous mettons tous côte à côte, Francis s’assoie à côté de moi, nous attendons quand je sens sa main se poser sur ma cuisse, il me sort qu’il risque de tomber, je ne dis rien mais le fixe d’un air interrogatif, mais sa main est toujours là, la photo prise, nous nous relevons et nous dirigeons vers les douches, après, je m’installe sur le banc quand Francis vient s’installer, je n’avais pas remarqué que le pan de ma serviette n’était plus sur ma cuisse, mais quand j’ai senti sa main se mettre dessus, je l’ai regardé, il n’a pas hésité à la faire glisser plus haut, je n’en croyais pas mes yeux, personne n’était avec nous dans le vestiaire, il a apposé sa main entre mon sexe et ma cuisse, j’ai alors saisi son poignet, le bloquant, ne voulant pas le vexer, je ne l’ai pas enlevé, je voulais qu’il le fasse de lui-même, mais j’ai senti mon sexe grossir, ce qui ne l’engagea pas à arrêter, il a bougé ses doigts et m’a caressé le gland, j’ai décidé d’arrêter, je me suis levé, ma serviette glisse, il me mate, pendant que je mets mon slip, la bosse maintenant laisse aucune ambiguïté sur l’excitation que j’avais eu à me faire toucher, il a fait comme moi, s’est levé, a laissé sa serviette sur le banc et m’a exhibé une bite en érection, et quelle érection, il était déjà bien foutu sans alors avec, la taille m’attira quand même le temps qu’il saisisse son slip, il m’a souri sans rien dire, je ne voulais pas faire de vague sur sa sexualité, nous avons quitté l’endroit, marchant en silence jusqu’au parking, et là, il me dit en s’approchant « tant pis », et il m’embrasse sur la bouche, avant de s’engouffrer dans sa voiture, je suis parti chez moi avec ce goût, je n’ai pas été dégoûté, aucune différence avec une fille, seulement ce corps, c’est en rentrant que je me suis mis à penser à son sexe, ce gland qui était dans tout ses états, gros et sa tige longue et droite, j’ai posé d’instinct ma main sur mon sexe à travers le tissu, je me suis touché, ma bite gonfla, je bandais maintenant, je suis allé m’allonger dans ma chambre et me suis mis à l’aise, ma bite était dans une forme, je me suis branlé d’excitation. Le lendemain, il fallait que je me lève tôt, une livraison au magasin, avant l’ouverture, j’ai fait du mieux, quand Wilfrid est arrivé pour m’aider à dix heures, nous avions tout juste fini à 11h, quand Francis est arrivé avec 4 mecs, plutôt beaux gosses, en tout cas Wilfrid m’a fixé approuvant la nouvelle clientèle, Francis s’est approché passant son bras sur ma taille, et me collant un baiser sur la bouche, les autres m’ont regardé comme si j’étais son mec, j’ai voulu le repousser, mais il m’a tenu ferme pendant qu’il m’expliquait, qu’ils allaient choisir ce qu’ils voulaient et si j’étais ok, ma marque allait faire la une du prochain shooting des mecs, ils se servaient quand il me lâcha, « ne t’inquiètes pas pour tes fringues, je les achète avec une petite promo, ok », je voyais les mecs remplir leurs bras de fringues, ils téléphonaient à d’autres mecs leurs signalant qu’ils  avaient trouvé une boutique sympa dans le quartier, je l’ai fixé « ok », c’est tout ce que je pouvais dire, comme si ses lèvres étaient encore sur les miennes, ils ont envahi le comptoir de fringues, Wilfrid était aux anges, ils ont disparu comme ils sont venus, une vraie tornade, Francis m’a regardé en réglant la note « je crois que tu vas devoir m’inviter ce soir, avec le chiffre d’affaires que je t’ai fait, il avait raison, c’était top, d’avoir eu ces 4 types vider les étagères, je ne pouvais toujours pas parler « ok, ce soir », il m’a souri, « je viens te chercher car c’est moi qui choisi le resto » et il nous quitte, Wilfrid est excité comme une puce « vous notez tout ça sur mon code hein ! », je le regarde « tu ne penses qu’à ta commission toi », il souriait heureux que j’accepte, il le méritait de toute façon, une heure après ce miracle, nous avions remis du stock, nous avons vu arriver une dizaine de mecs, demandant si nous étions la boutique ou les mecs venaient pour leur shooting, en moins de temps qu’il nous fallait pour mettre les articles sur les rayons, nous avons vendu, Wilfrid était euphorique, je ne le tenais plus, il faisait tout, arrivait avec le client, voilà pour Monsieur, et il repartait sur un autre type, nous avons fermé avec le meilleur chiffre, jamais fait, Wilfrid me sort « punaise, je suis crevé, mais qu’ils étaient mignons », je l’ai fixé, de mon air renfrogné « quoi, je vous demande pas ce que vous ferez ce soir au resto avec Francis » et il tourne les talons, pour aller dans la réserve, chercher les articles manquant dans les rayons, j’ai passé une nouvelle commande, pour être sur d’avoir un approvisionnement assez important, au cas ou ! Ouf je ferme la boutique, Wilfrid est déjà parti, Francis est devant la porte, dans sa voiture, je l’ai regardé un instant réfléchissant à cette soirée, j’ai ouvert la porte et me suis glissé dedans, il m’a emmené chez moi, pour me changer, il buvait un verre, pendant que je me préparais, une douche vite fait et me voilà près, il me sourit « ok pour ce dîner », il me tape dans le dos, nous sortons, la soirée se passe bien contrairement à ce que j’aurais pu le croire, mais le resto est un peu trop chic pour moi, plusieurs beaux mecs viennent le voir, et discutent quand il me dit en fin de soirée, qu’il fallait rentrer car il avait du boulot demain, il me dépose mais retient ma manche « merci de m’avoir invité, je sais que j’en voudrais plus mais c’est déjà ça » et sans me demander, il me roule un patin, je compte me débattre, mais sa langue me donnent des frissons, il embrasse bien, je le laisse faire la vache deux minutes plus tard, nous étions toujours à nous bécoter, j’ai stoppé et suis descendu de la voiture, je ne me suis pas retourné, mais j’ai entendu, « ça faisait une semaine que j’attendais ça », et il a démarré, j’ai fermé la porte à double tours, mes jambes tremblaient, je me suis assis dans le salon, les yeux fixaient bêtement la télé éteinte, je venais d’accepter de me faire embrasser par ce mec, sans le repousser, une seule fois et j’en avais tiré du plaisir, merde, je déconnais, complètement, j’ai fermé les lumières avant de plonger dans mon lit, épuisé, j’ai passé un dimanche à flâner, déjeunant chez mes parents, la semaine fut tordue, car d’autres de l’agence de mannequins ont débarqué à Paris et sont venus au magasin, nous avons eu du monde tous les jours, le vendredi, au foot, Francis m’a demandé si j’allais bien, je l’ai remercié de m’avoir envoyé tous ces mecs, il me sourit « contre mon grès car j’aurai préféré être à leur place, tu te serais peut-être occupé de moi », et il se casse sur le terrain, le match fini, nous allons tous prendre un verre, je me retrouve vite à côté de lui, dans un des canapés du fond, nous discutons de son boulot et du mien, quand à un moment, il me sort qu’il voudrait aller chez lui avec moi, je le fixe, il hésite un instant et se lève, me fixant, je l’ai suivi de toute façon, j’en avais marre du bruit, et j’étais assez grand pour le remettre sur le droit chemin dans l’appartement, nous n’avons pas été loin, il a ouvert une porte dans le vestibule et m’a poussé, il n’a pas allumé mais est venu me rouler une pelle, punaise, je sentais ses mains glisser dans mon jeans et caresser mes fesses, très vite, j’ai vu disparaître mon tee-shirt, toujours en l’embrassant et ses doigts experts, n’ont eu aucun mal à défaire les boutons de ma braguette, je bandais, punaise, j’étais chaud, je me suis mis à réfléchir mais trop tard, il avait déjà mon sexe en bouche, mes gémissements ont fait le reste, j’ai alors posé mes mains sur sa tête et l’ai accompagné, à ce délicieux plaisir, il m’a goulûment avalé la bite, j’étais au bord de la jouissance, il me tripotait les seins, puis les fesses, je sentais qu’il se déshabillait, il stoppa son pompage, pour me pousser sur le lit, nous nous sommes alors enlacé, tout en nous roulant une pelle, il bandait grave, son sexe était contre mon ventre, je sentais cette longue queue bouger, laissant du liquide dans mon nombril, je ne sais pas pourquoi, mais mes mains étaient parties sur ses fesses, que je pelotais, il m’a fait roulé, j’étais à présent sur lui, mes jambes étaient de chaque côté de sa taille, son sexe s’était placé tout seul sur ma raie, il me branlait si bien que je me suis laissé faire, lui coulissait son gland entre ma raie, pendant que je sentais monter la jouissance, il chercha à me pénétrer juste au moment ou j’ai joui, je largue une tonne de foutre, quand la douleur est survenue, il forçait, j’ai poussé un cri, et me suis levé, l’enfoiré avait entré son gland en moi par surprise, j’étais assis sur le lit dans l’obscurité, finissant de faire partir mon sperme qui n’arrêtait pas de couler, il m’a alors saisi la queue et l’a englouti complètement, je sentais sa langue, titiller mon gland, l’urête, était en ébullition, je râlais, de plaisir, putain, quel pied, il stoppa quand j’ai débandé, je ne le voyais pas mais je savais qu'il se branlait, un râle m’a alerté qu’il jouissait, j’ai essayé de retrouver mes fringues, quand il a allumé une lampe de chevet, il était nu sur son lit, la bite énorme encore, il souriait, s’amusant à me voir remettre mes fringues à la hâte, il m’a alors accompagné nu, devant la porte de son appartement, je l’ouvris mais ne pouvais pas partir sans le voir une dernière fois, il me roula alors un dernier baiser, sa bite était toujours aussi grosse, je suis parti avec ce souvenir, une bite d’au moins 20 ou 23, je ne suis pas expert, arrivé chez moi, je suis allé me doucher, j’ai alors touché mon anus, il n’avait rien, et pourtant je savais qu’il m’avait foutu son gland dedans, je me suis mis encore à bander en me tripotant ainsi le cul, il avait été trop loin, je ne pourrais plus lui faire confiance, alors que je me préparais pour aller ouvrir le magasin, il sonna, il était devant ma porte, avec un bouquet de rose, il entra, sans rien dire, je l’ai remercié de son bouquet, mais, je n’en voulais pas, il m’a posé sur ma console, et m’a dit qu’il voulait faire l’amour avec moi, je lui ai dit non, que ce n’était pas possible, mais sa main avait agrippé la mienne, et nous nous dirigions vers mon lit, il ôta un à un ses fringues, il était en slip et le tissu laissait largement voir l’érection dedans, il s’est mit alors à genoux et m'a défait le jeans, le pull sur les épaules, mon polo, c’était tout ce qu’il me restait, je sentais sa bouche me travailler au corps, je bandais tellement que j’en avais mal aux bourses, il m’a bouffé sans que je puisse dire un truc, c’était vraiment chaud, je ne me sentais plus lâcher cette prise, il s’est tourné, et dans dire un mot, m’a positionné derrière lui, il m’avait glissé une capote sur le sexe, et me demanda de le prendre, je n’ai rien fait, alors, il est venu se mettre dessus, je sentis mon gland forcer, puis disparaître, je n’ai pas pu me retenir, j’ai enfoncé le reste puisqu’il voulait ma queue, il allait l’avoir, un râle lui ai sorti de la gorge, de douleur, mais je n’ai pas hésité un instant,  je l’ai baisé, il la voulait, alors là voilà, je sentais ses fesses se serrer, comme son petit cul, il aimait ça car très vite, j’ai entendu des gloussements, des vas-y à fond, je m’excitais tout seul, rien que de l’entendre gémir, je prenais mon pied dans ce petit cul, il a râler qu’il jouissait, je l’ai pénétrer à fond, pour décharge au fond de la capote, j’avais honte de ce que je venais de faire, nous nous sommes allongé l’un à coté de l’autre, nous embrassant, j’ai senti son gros sexe sur ma cuisse, tenir un homme dans ses bras était étrange, je suis allé à la salle de bain, il m’a retrouvé et avait encore la bite en érection, je l’ai touché pour la caresser, mais lui avait une autre idée en tête, car très vite, il m’a glissé du gel et m’a doigté, je sentais cet intrus en moi, pendant qu’il me roulait une gigantesque pelle, j’avais mal mais supportable, je réagissais bêtement en disant ça, il s’est alors mis derrière moi, m’a fait poser une jambe sur le lavabo, pendant qu’il s’accroupissait et me léchait l’anus, c’était toujours aussi étrange que le reste, je ne connaissais absolument pas ce style de sensation, je me regardais dans la glace pas très fière de moi, mais les titillements m’apportaient un plaisir inconnu, mais vite, j’ai senti autre chose, son gland glissait le long de ma raie, j’ai voulu le fixé pour dire non, mais son regard était ailleurs, sur ma rondelle, qui se faisait dépucelée, j’ai ouvert la bouche sans pouvoir crier, il me fixa à ce moment là souriant, je sentais la pénétration prendre du chemin en moi, il s’est arrêté le temps que je récupère, mais j’ai bien compris qu’il allait en profiter, maintenant. J’ai subi ses outrages pendant dix bonnes minutes, avant de le voir jouir par la glace sur mon postérieur, j’avais la queue raide comme un bâton, je l’ai laissé, me sucer, et j’ai largué tout ce que je pouvais au fond de sa gorge, il n’a pas bronché, mais en se relevant, il m’a roulé une pelle, j’ai alors pour la première fois goûter mon sperme, sous la douche, nous nous sommes réciproquement lavé, avant de retourner faire un câlin dans le lit, 0h sonna, il fallait que je parte, je lui ai laissé l’appartement libre, quand il est venu me ramener les clés, Wilfrid n’en a pas perdu une miette, une fois parti, il m’a dit « eh ! bien, je vois qu’il a réussi à vous avoir, je lui ai jeté un regard qu’il l’a fait partir dans la réserve, nous avons depuis une relation, je crois d’amants, même s’il me plait, je me dis à chaque fois qu’il me pénètre avec son monstre de bite, que je ne le referais plus, mais j’aime ça, alors, je recommence, nous nous voyons maintenant très souvent, il a même réussi à faire passer ma ligne de fringues dans les magazines, et n’oublie jamais de se faire payer sa commission en nature, il espère depuis deux mois, et me talonne pour vivre avec lui, j’y réfléchi, mais déjà bien installé chez lui, car nous mélangeons fringues, et appartements, je crois que j’en suis au tournant de ma vie, vivre avec lui ce que je vais accepter.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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