Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 10:57

Mon chef de cuisine (Grégory)

Je suis serveur dans un bon restaurant, mon supérieur est Grégory, un chef très passionné et dur dans le boulot, je n’ai que 17 ans ½, il ne me laisse jamais tranquille, toujours à me reprendre sur tout, je sais que je ne pourrais pas supporter ça longtemps, ce soir après que tout le monde soit parti, il m’a demandé de fermer le restaurant en dernier, je l’ai retrouvé dans les vestiaires, il se changeait, j’ai remarqué qu’il était vachement musclé, pour un cuistot, il s’est déshabillé pour prendre une douche, il portait uniquement son slip, il me proposa de finir la soirée dans un bar, je n’ai pas osé lui dire non, lui signalant quand même que je n’avais pas de fric, il se dirigea vers la douche ôta son slip m’exhibant ainsi son petit cul alors qu’il me confirmait qu’il m’invitait, j’ai alors décidé de faire comme lui, j’ai viré mes fringues pour ne pas trop sentir l’odeur de cuisine, nu dans la cabine de douche d’à côté, il n’y avait pas de rideau, je me lavais quand je l’ai vu nu devant moi en train de s’essuyer, j’ai su à ce moment là qu’il était bien plus membré que moi, la vache, son gland devait faire le double du mien et la longueur de sa bite était encore plus impressionnante, j’ai fini de me doucher un peu gêné, il n’a pas bougé, me regardant, j’ai terminé de me rincer, nous sommes repartis nous habiller, en partant du restaurant , j’ai remarqué qu’il n’avait pas du tout le même look, en nous asseyant, il a ôté son blouson, son tee-shirt blanc laissait bien voir ses pectoraux musclés, plus d’une des filles a jeté son regard sur lui, nous avons bu plusieurs verres, je m’en fichais, je ne travaillais pas le week-end, nous avons fini par atterrir chez lui, il m’a d’abord proposé de dormir sur le canapé, mais n’ayant pas de couverture en revenant de sa chambre, il m’a dit de venir avec lui, j’étais si bourré que j’ai fais avec, je me sentais mal, avec tout cet alcool ingurgité, quand d’un coup, j’ai senti son corps contre le mien, ses mains venaient de faire partir mon slip et son sexe était en train de glisser entre mes cuisses, j’ai réagi en le repoussant de la main et de la jambe, mais il m’a aussitôt plaqué sur le ventre, n’hésitant pas à prendre du gel et m’en mettre sur l’anus, je gueulais mais l’envie de vomir montait, il força, quand d’un coup, j’ai pleuré de me faire dépuceler sans pouvoir réagir mieux, il me baisait , ses coups de pine me faisaient mal, il ne me lâchait toujours pas après 10 minutes sans arrêter, j’ai bien cru mourir, mais, je ne sais pas pourquoi je me suis senti bizarre, mon cul me faisait mal, et du bien, aussi, je ne pouvais pas m’empêcher de gémir, il me baisait et moi, j’en jouissais, il l’a compris et en a remis une autre dose, tellement je couinais, il me niquait si bien, j’ai vu ma bite cracher des gros jets de spermes, « oh, mon dieu », l’a fait sortir, il m’a maté en train de gicler comme un malade, il se branlait devant moi, sa queue était énorme, il a largué trois gros paquets de jus, je n'en croyais pas mes yeux, ce mec était super monté, c’est ce qui m’a fait prendre mon pied, enfin je crois, il s’allonge et me dit qu’il doit dormir maintenant, sans s’excuser, je n’ai pas pu dormir tout de suite le sachant nu tout proche, mais le sommeil m’a rattrapé, jusqu‘à ce qu’il me remettre du gel dans l’anus pendant la nuit, son gland est entré aussitôt, directement vers le fond, un cri de douleur, m’a été déchiré de la gorge, ma jambe relevée , je voyais cette grosse chair, s’enfoncer et ressortir, ma bite était en train de faire couler du liquide d’excitation, je me suis vu partir dans un délire sexuel, je regardais simplement comme un spectateur ce mec me baiser, et prendre lui aussi son pied, j’ai envoyé la purée en même temps que lui, nous nous sommes vus cracher, l’un à côté de l’autre, nos spermes se mélangeaient, il m’a roulé une pelle, jamais non plus un mec ne m’avait embrassé sur les lèvres, je découvrais tout ça en une soirée, ma main était resté sur son torse pour le repousser, mais maintenant mes doigts glissaient dans son petit duvet très viril, il m’a soufflé qu’il devait vraiment dormir sinon, j’allais encore l’exciter, vers 8 heures du matin, il a pris sa douche, il est venu après, toujours nu, se blottir sur moi, en me demandant de rester ici et de profiter de l’appartement, au lieu de rester enfermé dans ma chambre de bonne, au-dessus du restaurant, je n’ai pas dit non, dormir dans un grand lit, me plaisait par-dessus tout,  ce n’est que vers 11h, le soleil dans le visage que j’ai découvert, l’appartement, mais il fallait que je me douche, je collais et puais le sperme, le mâle, j’ai joué à sa console, quand la porte s’est ouverte, il sourit de me voir ici, il était 15h, sa pause, il s’est approché et m’a glissé sa main droite dans le caleçon, caressant en me roulant une pelle, mes fesses, je n’ai rien fait pour le repousser, il me demanda si j’avais faim, et sans attendre, il enleva ses fringues, me montrant à quel point il bandait, je n’ai eu qu’à me pencher, son gland était vraiment gros, sa longue bite me rassurait sur le fait de me sentir constipé, en moins de temps qu’il le fallut, il revient de la chambre, avec du gel, me bouscula, m’obligeant à mettre les mains sur la table à manger, j’ai eu une pénétration très forte, ce mec était dingue, de me faire si mal, mais, en moins d’une minutes de baise, je me suis vu encore partir dans ce même délire, il pouvait faire de moi, tout ce qu’il voulait, je gueulais des oui, oui, tout le temps, son sourire aux lèvres, me faisait rager de lui céder, mais punaise que j’aimais ça, il m’a niqué les dix minutes sans s’arrêter avant de me faire cracher, je suis sur que si je ne larguais pas, il continuerai, je me suis vu faire un demi-tour sur place, le dos tomber sur la table, les jambes en l’air, et son gros gland, entrer de nouveau en moi , encore deux ou trois allers- venues avant de me jouir dessus, il m’a encore roulé une pelle comme cette nuit, je ne me rendais pas compte au début, mais en fait, je lui rendais largement son baiser, nous nous roulions un sacré patin, mais il me lâcha, je l’entendis signaler qu’il fallait qu’il se douche avant de repartir, je suis resté assis contre la table attendant, encore sous le choc de cette énorme pied, il est revenu nu, je savais qu’il était bien foutu, mais maintenant, je constatais même qu’il était très mignon, et me plaisait vraiment, c’était mon style, brun, italien, macho, sexy, grand, viril et surtout très bien monté, il m’a laissé le mater une dernière fois avant de fermer la porte et me dire de ne pas bouger, qu’il serait là au plus tard vers minuit, une heure, j’ai pris ma douche et me suis pris au jeu, cool en petite tenue, à profiter de cet appartement, j’ai fait une sieste et j’ai repris les jeux vidéos, une bonne petite bouffe, en matant la télé, et au pieu, quand il est rentré, il est allé directement se doucher, en glissant dans le lit, j’ai senti son pieu très en forme, je me suis douté que j’allais encore y passer, je l’ai attaqué, m’agrippant à son sexe, et l’ai pompé, il s’est allongé et a profité de l’occasion, je le caressais, doucement, il gémissait de plaisir, je ne me rendais pas trop compte, si je faisais bien, mais apparemment oui, mais il en voulait plus, j’ai eu droit à être retourné comme la première fois et sentir ses doigts gluants me sodomiser avant le passage de son gros chibre, j’ai eu un coup de poignard dans le dos, tellement il s’était enfoncé loin, sa tête était tout proche de la mienne, me demandant si j’aimais ça, ses coups de queue étaient très puissantes, cette fois-ci, mais le plaisir est venu, j’ai eu un spasme, des tremblements, dans tout le corps, m’ont transporté vers une jouissance extrême, il n’en revenait pas de mes réactions, plus il m’enculait plus, je crachais du sperme, il m’a vidé, j’ai cru ne pas pouvoir jouir pendant des semaines, trop c’était trop, cette fois-ci, il m’avait cassé le cul, en sortant, il m’a dit qu’il n’avait pas pu se retenir, j’ai compris en voyant son gros gland laisser encore sortir des gouttes, il avait joui en moi, il m’a serré, je venais de faire une chose étrange, j’acceptais tranquillement, de faire l’amour avec un homme, ce n’était pourtant pas dans mes habitudes, ce type avait le sexe dans le corps et me droguait à ses fins, je ne m’en plaignais pas en tout cas, la nuit fut douce et calme, il m’a réveillé vers 13h, nous étions dans ce lit côte à côte, « j’ai envie de prendre l’air avec toi », nous nous sommes douché, habillé et dans la voiture en moins de vingt minutes, roulant vers la mer, sur le sable, nos gestes étaient plus discret, j’aimais cette façon, mais à peine dans la voiture, il m’a demandé de le sucer, je l’ai fait, cette tige en avait trop, il m’a cracher dans la bouche cet enfoiré, me mettant la main sur la nuque pour me bloquer, il a soupiré de joie, je venais de faire encore un truc anormal, je l’avais complètement nettoyé et tout avalé, il me signala que j’étais le premier à faire tout ce qu’il aimait, j’ai regardé dans l’autre direction, pour qu’il ne voit pas que j’avais le visage satisfait de ça, je voulais qu’il me le redise encore une fois, je me suis alors rendu compte que je tombais sous son charme, nous roulions le vent dans les cheveux, cette nuit là j’ai eu encore une puissante éjaculation de le voir sur moi, me baisant à fond, je n’ai jamais eu ça avant, cet orgasme aussi destructeur, je ne pouvais pas croire que seul lui me le donnerai, mais j’étais sur en tout cas que pour l’instant c’était sans du vrai. Le lundi, je suis arrivé comme normalement au resto disant bonjour à tous les autres, la journée était chargée, pas le temps de faire une pause avec lui, mais le soir tard, il me demanda de venir dormir chez lui, j’ai su qu’à partir de ce soir là, je ne dormirais plus dans ma petite chambre de bonne, nous avons baisé des semaines et des semaines à ce rythme, rien ne pouvait nous arrêter, les soirées, entre amis, ne changeaient rien à la finalité, je me prenais des coups encore plus puissant, car il se sentait, en manque à chaque fois, ce mec m’a rendu accroc, je ne voulais plus que lui, pendant un an, je n’ai pas dormi chez mes parents, je rentrais le soir, pour le retrouver, les vacances nous avons calculé pour les passer ensemble, un an après, m’a demandé de venir à un rendez-vous avec lui, je ne savais pas pourquoi, j’avais maintenant 18 ans ½, un homme d’une trentaine d’années, nous attendait devant une entrée d’immeuble, plutôt sympa, en entrant dans l’appartement vide, j’ai compris, nous visitions notre prochain appartement, il m’observait pour savoir si j’aimais, quand l’agent immobilier, nous dit de bien réfléchir car il doit le faire visiter encore trois fois ce soir, il nous a laissé seul, je sentais dans les yeux de Grégory, une excitation, il était vraiment bien, pas loin du centre, au calme, quoi de mieux, nous l’avons rappelé et c’était fait, Grégory, signa les papiers, dans une semaine, nous changions d’appartement et nous étions dans un bon quartier, en rentrant dans l’autre, il m’a sauté dessus, de joie, il semblait très heureux, nous avons fait l‘amour dans une tendresse que je ne le connaissais pas, ce fut l’apothéose, le pied total, de se faire prendre par un tel maître en la matière, je n’ai rien pu faire pour me retenir, les jets partaient tout seul, il s’est lâché jouissant en moi, ce fut parfait, une très bonne journée, en changeant d’appartement, il m’a fait comprendre l’importance de vivre à deux, je ne compte plus changer maintenant, ce mec est l’homme que je ne retrouverais pas ailleurs, j’ai une emprise sur lui comme lui sur moi.

Fini

Par histoires gays cooletclean
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