Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 16:58

Une visite générale surprenante (Ron)

Une journée de visite commençait, avec bizarrement deux seules personnes, Madame Duran et Ron que j’avais déjà vu, l’an dernier, pour une visite générale, quand arriva le tour de Ron, toujours personne derrière lui, je lui demande ce qu’il l’amène, il me fixe et me sort qu’il a un problème au cul, depuis trois semaines, je le rassure qu’il doit s’agir d’hémorroïdes, rien de très grave, mais pour être sur, je lui demande de se dévêtir, ayant un peu de temps, en enlevant ses vêtements, il le fait mais reste quand même en slip, j’ai l’habitude de cette situation, ne dit rien et le fait installer sur le fauteuil d’auscultation, il s’allonge, et sur ma demande installe ses jambes sur les étriers, j’enfile des gants et me place entre ses jambes, il me fixe « ne t’inquètes pas, ça restera entre nous », et je lui ôte son slip, il est plutôt bien foutu pour un main d’œuvre en maçonnerie, je constate surtout qu’il est poilu, même en lui écartant les fesses, et les poils, je découvre un le problème, mais pas nettement, je lui explique qu’il faudra qu’il aille se faire faire un prélèvement de chair et de sang, il relève la tête et me signale qu’il préfèrerait que je le fasse maintenant, je le comprenais, pas facile d’exhiber son anus à tout le monde, je lui explique que je peux le faire, mais qu’il va falloir que je le rase, il me répond « faites, ce qu’il faut », je m’installe alors sur mon petit tabouret, et commence à lui mettre du gel pour le raser, et découvre enfin les petites chairs indélicates, il ne m’a pas tout dit car je constate qu’il a l’anus un peu dilaté, je le regarde, il semble rougir, il sait que j’ai vu qu’il avait eu une sodomie, il prononce un « deux semaines », juste audible, je le préviens que je dois vérifier, s’il n’a pas une infection interne et procède à la vérification, tout en constatant que de ce côté là tout était normal, je m’aperçois que sa bite a pris du volume, riant intérieurement de la situation, je profite de l’occasion pour lui introduire un puis deux doigts, il repose sa tête en arrière, avec un soupir, de ma deuxième main, je tâte ses bourses et monte sur sa bite, il bande complètement, je continue d’enfoncer deux doigts dans son anus, pendant que je décide de le branler, il ne s’y oppose pas, je sens même une drôle d’excitation le submerger, il n’a aucun mal à prendre trois doigts, alors qu’il se met à jouir. J’arrête le doigté et saisis l’occasion d’euphorie pour lui prélever l’échantillon d’analyse, je me relève le fixant dans son jus de sperme, lui donne, de quoi s’essuyer, il se rhabille en silence, pendant que je remplie sa feuille de soin, « ça n’aura aucun préjudice pour ta sexualité », il me serre la main, en me remerciant, je lui dis pour finir que j’aurais les résultats en fin de semaine, deux jours après, nous avions une soirée, loto du village, il fallait y être sinon tous, vous le reprochaient, et voulaient savoir ce qui avait pu empêcher le médecin du village de venir avec eux, je m’installe avec Mme Marty, la boulangère et M. Boulard, le boucher, quand Ron me demande s’il peut s’assoire avec nous, contrairement à ce que pense beaucoup, je m’amuse bien avec eux, mais je sens la jambe de Ron se coller à la mienne, il me fixe de temps en temps, cherchant à me rendre ivre avec le cidre, la soirée se termine, nous quittons le bâtiment communal, longeant la route allant vers chez moi, quand il me demande de venir avec lui, je le suis dans la petite rue donnant sur les hauteurs du village, à mi-chemin, il se retourne, s’accroupit et fait tomber mon jeans, je sens sa langue faire grossir mon gland, à peine une minute et je bandais bien, il m’a alors goulûment fait une pipe, à vous faire partir rapidement, je n’ai donc pas pu résister, il m’a fait cracher, sur le côté, il était bon dans ce domaine, l’enfoiré, je saisis mon fut pour me réajuster pendant ce temps, j’observe son visage, il me sourit, et j’entends, « les bons comptes font les bons amis », il me rendait en me pompant, ce que je lui avais fait dans mon cabinet, je repars chez moi, avec cette image de ce mec qui me pompe, en tout cas ce qui est sur, c’est qu’il savait s’y prendre, et que je me doute qu'il n’allait sûrement pas s’arrêter là, j’ai dormi comme un bébé, deux jours et il était dans la salle d’attente, à son tour, je lui ai donné les analyses et lui ai dit de faire comme la dernière fois pour savoir s’il était toujours en irritation, il n’a pas bronché, et s’est installé docilement, j’ai remis des gants, il était rasé, et montrait sans équivoque son anus, des plus sexy, enfin qui ne demandait qu’à être rempli, on dirait, je l’ai touché sur ses parties touchées, les petites chairs pourraient partir facilement, quand j’ai posé mes doigts sur son anus, mon gant avait du gel, ce qui permit aussitôt l’entrée dans ce petit trou, il poussa un petit râle, mais n‘approcha pas ses mains pour que j’arrête, très vite, j’ai bandé en voyant mes doigts, glisser en lui, je n’ai eu que deux choses à faire, me  mettre une capote et lui enduire encore un peu le cul, en me redressant, il a râlé en me fixant mais c’était trop tard, je m’enfonçais et ne comptais pas arrête maintenant, j’ai poussé jusqu’au bout et l’ai baisé, il gémissait mais acceptait cette baise, j’ai profité de lui  et me suis mis à jouir sur son ventre, après il s’est branler et a joui rapidement, nous nous sommes essuyer, et j’ai repris ma place derrière mon bureau, lui était calme sur son fauteuil, il me souriait en partant, je suis content d’avoir eu cette expérience avec lui, nous nous revoyons au resto alors que je mange avec M. le maire et sa femme, il s’incruste juste pour me dire qu’après, je peux aller au bistrot le rejoindre, ce que je fais, nous nous amusons dans ce bar comme jamais, je l’ai fait dans la dernière grande ville que j’ai fait, en repartant, il me demande si je lui offre un dernier verre, je voyais à peu près ses sous-entendus, mais après tout me le faire ne me posais aucun problème, un super petit cul et bien foutu en plus, nous avons vite viré nos fringues pour nous retrouver sur le lit à poil, il bandait et moi aussi, après un 69, je l’ai pénétré et ce fut super, il aimait ça et j’en ai abusé sans complexe, ce type avait un petit derrière à vous damner, j’ai profité de lui pendant plus d’une demi-heure, avant de larguer tout, lui s’est retourné et m’a montré ce qu’un homme excité faisait pour se soulager, un petit spectacle qui demandait à être renouvelé, une fois essuyé, nous nous sommes pour la première fois embrassé, je ne pensais pas le faire, mais quand il a relevé la couette, en signalant qu’il dormait là, nous nous sommes vite retrouvé dans les bras l’un de l’autre, c’était assez rare qu’un type s’endort avec moi, mais au matin, il avait disparu, son boulot le faisait lever tôt, la journée passée, j’ai entendu vers 23h, qu’il frappait, il est entré sans rien demander, et est allé directement dans la chambre, nous n’avons pas attendu de nous coucher pour baiser, je l’ai pris à terre, sur la couette, c’était excitant, et il en redemandait, en revenant, et il est resté à dormir encore cette nuit, toute la semaine s’est déroulée dans les mêmes conditions. Le matin, je suis allé prendre une douche, il ne travaillait pas, il m’a rejoint et sans hésiter m’a mis du gel sur l'anus avant de me pénétrer, je n’étais pas un fana mais ce type, me plaisait alors j’ai accepté, il me bourra tel un grand chef, je n’ai pas pu m’asseoir naturellement pendant deux jours, mais entre temps, je m’étais vengé en le baisant le soir même avec virilité, et brutalité même, pendant deux mois, nous avons eu cette relation, il dormait tous les soirs chez moi, jusqu’à ce que Mme Pinton vienne me voir un midi de ma pause, m’apportant un cadeau, me signalant que c’était pour Ron, car demain c‘était son anniversaire, et qu’il n’était pas libre cette année pour venir manger chez elle, comme toujours avant, j’ai eu un coup dans le cœur, d’abord, de ne pas connaître son anniversaire et de voir cette petite femme peinée, je lui ai rendu son cadeau , elle ne comprenait insistait, « écoutez, Mme Pinton, vous lui donnerait demain quand vous viendrez manger à la maison », elle souriait de toutes ses dents fausses, elle repartit avec le cadeau en me remerciant comme si c’était moi qui venait de lui faire un cadeau, l’après-midi, entre deux patients, fut agitée, appeler M. Boulard, lui expliquant que j’invitais pour l’anniversaire de Ron, Madame Pinchon et qu’il me fallait une bonne viande, il m’assura que j’allais être servit comme un prince, et qu’il pouvait même demander à sa femme de préparer le plat, je n’ai pas eu le temps de dire non, qu’il avait raccroché, je téléphone à Madame Marty, lui expliquant la situation et qu’un gâteau d’anniversaire serait le bien venu, elle m’approuva et me dit même que le petit me l’apportera avec le pain demain vers 11h, il ne me restait plus que le cadeau, ici pas facile, à part la boutique souvenir et le magasin de bricolage, je mis rends donc, la première me signalant qu’il avait remarqué un miroir, pas très convaincu mais bon allons-y pour le miroir, mais en sortant, j’ai quand même fait un saut à la quincaillerie, expliquant la situation que c’était l’anniversaire de Ron demain, M. Reinhardt n’était pas un souriant, mais son visage à tout de suite changé, en prononçant le prénom de Ron « tu m’en diras des nouvelles », il m’a alors présenté une tronçonneuse, m’expliquant que Ron coupait le bois pour plusieurs familles ici, en échange d’un peu d’argent, et que se serait sûrement un très beau cadeau pour lui », je ne pouvais pas trop dire le contraire, il semblait être absolument convaincu, vivant toutes les nuits avec lui depuis plusieurs mois, je ne serais pas exactement ce qu’il aimait, j’ai installé les cadeaux dans la cave, et le lendemain, en ne lui disant rien, je lui demande d’aller me chercher, une bouteille de vin à l’épicerie, sachant très bien, que Madame Pinchon n’allait pas tarder, en revenant, elle avait déjà mis la table, pendant que je finissais le repas, la poule cuisait, elle semblait heureuse, quand il revint, et la trouva avec moi dans la cuisine, il fut ému, me fixant en la serrant dans ses bras, elle pleurait, nous avons ainsi fête son anniversaire avec du champagne et lui ai offert ses cadeaux, le miroir lui plus mais de découvrir la tronçonneuse, le fit bondir et m’embrasser devant elle, elle ne dit rien, faisant comme ci elle n’avait pas vu, après un bon repas nous sommes allés nous promener pour digérer, les chemins de balades, la nuit commençait  fatiguer Mme Pinchon, nous l’avons déposé près de chez elle. Elle m’a embrassé avec une seule phrase « merci de rendre heureux Ron », il m’a fixé encore, je mourais d’envie de lui, nous avons passé le reste de la soirée dans les bras, à nous câliner et à nous faire l’amour, les jours suivant, j’ai reçu des témoignages de gratitude, pour Ron et moi, je fus même un peu gêné que le village sache pour nous, ma clientèle était très régionale, mais rien ne changea, après plusieurs autres mois, nous avons donc décidé de nous installer ensemble, quoi de mieux.

fini

 

 

 

 

 

 

 

 

Par histoires gays cooletclean
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