Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 11:30

Un délit mineur (Peter)

Je purge depuis trois mois une peine de trois ans, je ne m’arrange pas trop mal avec les deux autres mecs, même s’ils essayent de temps en temps de me rouler dans la farine, ça marche quelque fois car je ne connais pas toutes les ficelles, ils arrivent à me faire prendre plus que je n’ai, les enfoirés, mais là, ça commence à faire trop, je négocie car je ne voudrais pas être dépendant d’eux, la seule solution est de régler le plus tôt possible mes dettes, ils l’ont bien compris et vers 23h, alors que la pénombre entre dans la cellule, Louis me fait une drôle de proposition dans le coin, il me chuchote que si je le branle et suce, je serais quitte de mes cent euros, je le trouve gonflé, je refuse au début, mais il me serre le bras, « tu crois que tu as le choix, c’est ça ou tu me rembourses demain minuit au plus tard », je savais qu’il n’était pas tendre quand il menaçait quelqu’un, j’ai réfléchi plaquant ma tête contre le mur, et sans me dire un mot, il a défait son fut, m’a pris la main et l’a posé sur son sexe, le salaud bandait déjà, je l’ai fixé avec de quoi le tuer dix fois, mais il avait gagné, je le branlais, il se colla un peu à moi, « punaise, c’est trop bon, suce-moi, maintenant », je ne voulais pas, mais il m’a craché au visage, « tu sais que je te ferais souffrir si tu ne le fais pas », je me suis glissé le long du mur, il a dit « bien, vas-y », je me suis senti con, lorsque sa bite est venue se mettre devant ma bouche, il bandait à mort, il m’a dit d’ouvrir la bouche et a glissé son gland pour commencer, voilà, je ne pourrais maintenant plus me défendre seul, il avait trouvé une faille, je l’ai pompé du mieux possible, ce qui devait lui plaire car il gémissait, je n’ai pas entendu l’autre se lever, et d’un coup, je me suis retrouvé avec deux bites, à sucer, j’ai protesté, mais très vite, ils se sont passé ma bouche comme vide couille, les larmes me coulaient, pendant qu’ils jouissaient, pendant toute la semaine, ils m’ont laissé tranquille, j’avais payé ma dette, et ne comptais pas en refaire d’autres avec eux, mais pendant les deux mois qui ont suivi, je n’ai eu aucune ressource, n’ayant pas de famille, j’ai du par force, leur emprunter du fric pour payer ma note de fournitures, ils en ont rapidement pris aisance, et le soir même, je devais les pomper à fond, ils m’ont littéralement défoncé la mâchoire, cette fois-ci, je les trouvais vraiment dégueulasse de me faire ça mais, la loi de la jungle existait ici, la chance que j’ai eu, s’est d’avoir été changé de cellule, ils rouspétaient, mais moi, je me réjouissais de me tirer de ce traquenard ui aurait sûrement duré longtemps, mais j’avais payé mes dettes encore une fois, le mec avec qui je partageais une cellule pour deux, ne semblait pas plus sympa que les deux autres, je me suis mis à l’écart pendant deux semaines, histoire de mieux le connaître, lui aussi me testait, nous avons alors commencé à parler, il était bourré de fric, un de ses vieux lui filait tout ce qu’il voulait, il m’a offert du chocolat, puis de la bouffe, et le droit de lire ses livres et journaux, je me suis juste poser la question, s’il allait me faire chanter comme les autres, mais vu qu’il était plein de tune, il m’a laissé pendant un bon mois en profiter, jusqu‘au jour, enfin plutôt la nuit, il s’est allongé nu sur moi « tu dois me payer maintenant », et sans même me demander, il tire sur mon slip et me colle un doigts dans le cul, je gueule mais très vite, il pose sa main sur ma bouche, il crache sur mon cul et me masse un bon moment avant de chercher à me  prendre, je veux bouger mais rien à faire, il me bloque bien, je sens qu’il force, je ne vais pas pouvoir me débiner, punaise, il entre, je râle dans la taie d’oreiller, alors qu’il s’enfonce, oh ! merde, ça fait trop mal, il m’encule et me baise doucement, je crois mourir, mais il m’encule pendant vingt bonnes minutes avant de tout cracher sur mon dos, il sort de moi, et reste allongé à côté de moi, je pleure, mes nefs lâchent, j’ai mal à l’anus et dedans, il a une bite trop grosse pour mon petit trou de puceau, il reste à me toucher encore dix bonnes minutes et repart sur son lit, sans un mot, je m’essuie et me blottis dans le coin de mon lit, le sommeil vient quand même, pendant deux nuits, j’ai épié ses gestes, près à me défendre, mais c’est juste avant de se coucher, qu’il m’a mis à terre, et m’a déchiré le slip, je bougeais, me débattais, mais rien n’y faisait, je voyais que son sexe grossissait, et qu’il ne comptait pas uniquement que je le suce, très vite, le gel est venu se glisser entre ma raie, il s’est alors calmé, « de toute façon, tu l’auras, alors calme-toi », et je ne sais pas pourquoi, je l’ai écouté, me suis laissé faire, il m’a relevé une jambe, il a posé son gland, je serrais les dents, puis il entra, je ne voulais pas lui faire le plaisir de crier, il s’est alors enfoncé, doucement comme la première fois, mais punaise, qu’elle était grosse, je me suis senti comme partir dans les vaps, il me baisait, c’était terrible, il m’enculait avec hargne, je me sentais bafoué, mais lui, souriait « putain, t’est trop bon » je voyais sa grosse bite me défoncer, je grimaçais et plus je me taisais, plus il accélérait, j’ai voulu pousser un cri, voyant qu’il était occupé avec ses mains à me bloquer, il s’est allongé et m’a embrassé de toute sa bouche et langue, j’ai alors senti sa main me branler, je me suis mis à bander et à cracher, c’était trop, je n’ai pas compris ce qui m’arrivait, il est sorti de moi et m’a joui sur la cuisse, nous sommes restés face à face, nous fixant, nous avons repris nos lits avant de nous endormir, j’avais le cul en compote, mais la seule chose à quoi je pensais, c’était d’avoir joui, rien qu’à son touché, il m’excitait plus que je ne le croyais, le lendemain soir, c’est lui qui est venu me demander de le sucer, je n’ai rien dit, je me suis assis sur le lit, face à son gros sexe raide, quand il m’a demandé de lui donner mon cul, je savais que de toute façon, aujourd’hui ou demain, je devrais le faire, je me suis retourné et aussitôt, ses doigts m’ont doigté et il m’a saisi la taille avant de s’enfoncer. Je voulais pleurer, mais rien, il avait réussi à me faire dilater pour ne pas me faire mal, je sentais cette masse en moi, ma respiration commença à accélérer, je n’étais pas comme d’habitude, je sentais ce morceau mais n’en souffrais pas, je bandais comme un âne, il m’a touché un peu, mais a vite pris le rythme qui m’a fait jouir, il avait trouvé la façon de me faire prendre mon pied avec sa grosse queue en moi, il me souffla « tu vois que t’aimes », et m’a baisé plus fort, il couinait, pendant qu’il me larguait sa purée, je me suis écroulé sur mon lit, il m’a rejoint, m’a embrassé goulûment, je sentais sa force, m’entourer, il devait aimer le cul pour me le faire aussi souvent, je n’ai, à partir de ce jour, plus eu une nuit sans me faire prendre par lui, nous avons baisé comme des fous et j’ai aimé autant que lui après, il sortait à deux mois d’écart de moi, et je ne sais pas pourquoi, j’ai eu le pressentiment de le voir à ma sortie, il avait une belle cabriolet, j’ai mis mon sac à l’arrière, avant de m’asseoir à côté de lui, il démarra, « on se casse d’ici », nous avons roulé pendant une bonne heure, avant de rentrer dans une cour, la maison était petite mais sympa, très vite, il m’a fait monter dans une chambre, nous nous sommes roulés des pelles avant que je le pompe, il avait une belle trique, moi aussi, j’en avais envie depuis ces deux mois, nous avons pris un de ces pied d’enfer, nous gueulions comme des fous, personne ne dirait rien, j’ai jouis à grosses giclées, lui n’a pas hésité, de virer sa papote et de me pénétrer ainsi, avant de me jouir dedans, c’est à partir de ce jour, que nous avons décidé de vivre ensemble officiellement.

Fini

 

 

 

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

histoires gays

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus