Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 16:53

Mon amour d’enfance (Ray)

J’ai décroché mon diplôme d’architecture et cherche un local pour commencer, je me suis retrouvé nez à nez avec Ray dans la rue, j’ai toujours eu le béguin pour ce mec depuis notre enfance, il est devenu un très beau mec, je ne m’étais pas trompé. Nous allons prendre un café, histoire de nous raconter nos vies mutuelles depuis cinq ans. Il a toujours des yeux à vous renverser parterre, tellement ils sont clairs. Je bois ses paroles sans oublier de le détailler. Il m’annonce qu’il doit partir car il a un rdv à l’Anpe. Je lui file mon numéro et lui indique l’adresse de mon local. Les travaux de rénovation se terminent, je n’ai plus qu’à redonner une petite jeunesse et voilà. Un matin, vers 10h, Ray frappe à la porte, entre et me tend la main, sa poignée m’électrise. Rien que de toucher sa peau, me donnent des frissons dans le dos. Il me dit qu’il peut m’aider car il n’a toujours pas de job. Je le remercie et l’emmène dans la pièce, du fond qui me servira de bureau, tout le matériel est entreposé là. Il chope une combinaison et commence à tirer vers le haut de sa tête son tee-shirt, je découvre sans pouvoir réagir, ce petit strip-tease masculin, il est superbe, il ne me regarde pas, ce qui me donne l’occasion de continuer de le mater, il ôte ses chaussures et fait glisser vers le bas son jeans. Alors là, j’avoue être en semi-érection, ce mec est maintenant nu sauf ce caleçon qui glisse car sûrement trop grand, Son pubis est bien découvert quand il enfile la combinaison, je n’ai pas pu voir son sexe. Il relève les yeux et me sourit. Il remonte de moitié la fermeture éclair, tout en s’approchant de moi « ça t’as toujours plu de me mater, hein », je reste scotché, je ne sais pas quoi répondre. Il bouge et commence à préparer le produit pour décoller ce monstrueux papier peint. J’ai la gaule, je me casse un peu, et prétexte d’un rdv, qu’il garde la clé ce midi, car je ne pourrais être là que cet après-midi. J’ai eu le temps de me calmer et reviens vers 14h. Il est toujours là, la pièce d’entrée a déjà une autre tête sans cet horrible papier peint. Il n’a pas gardé la combi, il s’est changé pour un short. Ce qui laisse voir ces belles cuisses musclées. Nous  discutons un peu de la façon dont j’aimerai voir la pièce, mais il n’hésite pas à me dire qu’il va faire plutôt ça. Je suis surpris de ne rien dire. Il est à côté de moi, il m’impressionne toujours autant. Mais quand je le vois monter sur l’escabeau et que son short se retrouve au niveau de mon visage, je ne peux que regarder. Il semble pris dans son travail, me donnant une vue splendide, un slip apparaît quand il monte une marche décalant ses jambes. Le blanc de ce tissu m’attire, quand la partie la plus volumineuse sort de l’entrejambe du short. Il est toujours captivé dans ses explications. Je me recule. Nous travaillons chacun de notre côté, je décide de lui laisser le bricolage, pendant que j’installe les meubles dans le bureau. Il semble aimer m’aider. La chaleur est là,  il retire son tee-shirt. Punaise, il cherche à ce que je le mate. Il reste ainsi, pendant dix bonnes minutes à discuter. Evidemment, il remarque que je ne le fixe pas toujours dans les yeux si troublants. Rien que de voir le short avec une bosse devant m’excite. Je fins de m’occuper quand même quand il s’approche « tu sais, fais attention où tu mets tes yeux, tu risques de trouver quelque chose de trop gros pour toi », et sans même attendre que je lui pose la question, il me saisit la main et la pose sur le devant de son short. Je peux alors découvrir l’objet de mes désirs, il ne me laisse pas le choix, je le prends entre les doigts et constate réellement qu’il est bien même très bien monté. Il relâche ma main, ce qui ne me fait pas réagir, à ôter la mienne qui apprécie de saisir ce gros paquet. Mais il me sort « fait gaffe, tu risques de regretter le moment venu ». C’est alors, que je le lâche. Il part vers la porte, enfile un polo et me lance qu’il sera là demain vers 10h, « salut », je suis resté pensif d’avoir eu cette histoire avec lui.  J’ai du le provoquer pour qu’il en arrive là. Je ne regrette pas, puisque j’avais pu toucher son sexe, je commence même à me poser la question s’il n’est pas homo, le lendemain bien sur que j’étais là, en retard pour le déshabillage car des bouchons impossible, il avait adopté un tout autre look, un débardeur laissait découvrir à merveille son torse et pectoraux qui s’agitaient autant que ses bras musclés, mais le plus excitant  était encore ce drôle de survêt. Coupé à mi-jambe, mais montrant bien les formes de son petit cul moulé. Qui laissait découvrir facilement les formes avantageuses de ses bijoux de famille. Je lui tends la main toujours aussi désireux de l’avoir dans mes bras, nous refaisons le topo d’hier, j’ai vite compris qu’il aurait fini cette pièce ce matin et qu’il attaquerait derrière après. Le midi, un petit resto, nous a remis les idées en placent. Nous sommes revenus au labeur avec courage. Il est entré dans le bureau et à tout de suite retiré son tee-shirt. Je l’ai regardé quand j’ai découvert une bosse anormale dans le survêt. il s’est mis contre le mur face à moi, et a attendu trois bonnes minutes. Puis il a fait glisser sa main le long de cette forme, laissant glisser de temps en temps le survêt, Je ne réagissais toujours pas, mais j’avais les yeux qui devaient en dire long car il s’est mis à faire glisser le tissu me montrant tout d’abord son pubis et la base de son sexe qui semblait déjà gros. Mais rapidement, il s’est retrouve nu devant moi, s’approchant doucement, me montrant une bite énorme qu’il caressait doucement. Je n’ai  pas pu faire autrement que de le saisir, il bandait de plus en plus quand je le branlais. Son sexe atteignait les 24 centimètres au moins, mais le plus impressionnant, était qu’il était aussi gros de la base au gland, un bâton tout simplement. Je me suis accroupi, je l’ai vu sourire, mais je m’en foutais, j’ai alors commencé ce que je désirais, le lécher, le pomper, le sucer, j’ai fait de mon mieux. Ce qui semblait lui plaire, car apparemment, je n’étais pas le seul à vouloir quelque chose. Très vite, il m’a retiré le fut et m’a malaxé le cul et l’anus. Je ne pensais à rien mais j’ai vite compris qu’il aimait la baise ses doigts experts, m’ont mis vite le feu au derrière, je couinais de désir. Il m’avait tellement craché de salive sur l’anus qu’il avait réussit à faire entrer trois doigts. Je n’arrivais pas à me contrôler. Je le pompais comme un malade mais il reprit vite la situation en main, j’ai pivoté d’un demi-cercle et me suis retrouvé les mains au mur pendant que son sexe se frayait un passage. Le fait de sentir cette chair entre mes jambes m’a anéanti dans la résistance. Il s’est alors enfoncé tranquillement en moi, je l’avais en moi maintenant, il ne se pressait pas, me labourait tranquillement, puisque j’avais accepté cette énorme matraque en moi, il gémissait de plaisir, qu’il arrivait au fond de moi, il m’a relevé une jambe afin d’aller encore plus profondément, mes râles de joies lui disait d’y aller encore, ce qu’il faisait sans gêne, j’ai jamais eu autant de plaisir qu’avec lui. Tous mes sens étaient au travail, je ne pouvais plus nier que son sexe me faisais prendre mon pied, mes cris de jouissance lui ont fait comprendre que j’éjaculais et c’est là qu’il m’a littéralement violé, je n’en pouvais plus de ce gros machin en moi « tu vois, je t’avais dis que tu n’y arriverais pas », et j’ai encore subit pendant dix minutes une baise d’enfer. Je me suis écroulé à terre quand il m’a lâché, j’étais lessivé, je ne pouvais plus sentir mes jambes, lui était devant moi, me montrant ce monstrueux morceau de chair gluant, il souriait « tu as assuré, rien à dire, je crois que nous allons bien nous entendre », il a remis son survêt. Et m’a dit qu’il reviendrait demain vers 10h. J’ai pas réussi à me lever tout de suite, je n’y croyais pas, je venais de baiser comme jamais à ne pas pouvoir me relever, j’ai bien mis vingt minutes à reprendre mes esprits. Je suis rentré chez moi sans plus attendre. Mais vers 22h, mon portable a sonné, « salut, c’est Ray, on peut se voir », je ne savais pas uoi répondre, « oui, si tu veux », je venais de signer mon arrêt de mort, « ok donne moi ton adresse », j’ai débité bêtement mon adresse sans réfléchir. A peine dix minutes on suffit pour que j’entende l’interphone. Il était là devant moi, souriant. Je n’ai même pas eu le temps de lui proposer une boisson, qu’il m’a demandé ou était la chambre. Un signe pour lui donner la direction et le voilà parti, je le suis, il ôte son tee-shirt se retourne et me fixe droit dans les yeux, je sens que je vais craquer pourtant mon anus lui, n’en est pas encore remis, je n’ai pas tardé à comprendre que nous allions remettre ça, nous avons  fait l’amour comme jamais, des vrais démons, une baise torride et puissante, rien a voir avec les autres, il était un dieu du sexe, j’ai pris dans le cul ce que je méritai et n’ai jamais regretté, mes désirs pour lui sont toujours aussi forts, il le sait en venant me baiser comme un malade deux à trois fois par semaine, je crois ue notre relation prend une drôle de tournure, je m’attache de plus en plus et lui profite de moi pour me baiser, je sais qu’il partira, car sa puissance sexuelle est trop forte pour moi, mais je décèle chez lui quand même une envie de rester avec moi, depuis six mois que nous baisons ensemble, il a trouvé un job et vient plusieurs fois par semaine me chercher pour dormir chez moi mais surtout pour me faire l’amour, que tout cela continu….

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

histoires gays

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus