Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 17:12

La montagne (Fabrice)

 

Je fais parti d’un club de découverte, de toutes sortes, cette année, pour les vacances, je me suis inscris au groupe « Montage ». J’arrive donc au point de départ du bus, il y a déjà plusieurs personnes, dont Fabrice, un mec super beau, brun aux yeux vert, 1 m 85, mais il est avec des mecs vraiment chiants. Je rejoins d’autres amis, et nous installons dans le car. Nous arrivons à destination après 4 heures de routes. Les organisateurs nous donnent un sac de couchage avec une  ½ tente, et expliquent que nous devons choisir une autre personne pour compléter la tente. Je vois certains se regrouper, quand on me tape sur l’épaule. Je me retourne, Fabrice, avec un grand sourire à me faire rougir, montre sa ½ tente, et dit « ok ». Je regarde ses copains, qui m’épient, je pense qu’ils ont fait un pari, je le regarde dans les yeux, et lui dis que je ne pourrai pas, il me prend le bras et me réplique, « je ne suis pas assez bien pour toi ? ». Gêné de l’allusion, je dis qu’il ne m’avait jamais parlé auparavant, alors pourquoi maintenant ? Il réfléchit, se rapproche de mon oreille et me dit  «tu ne seras pas déçu de tes nuits », piqué de curiosité, je le fixe et m’entends dire ok. Il recule, me tourne le dos, je le vois partir à l’écart des autres, il me fait un signe de la main, je vais vers lui, il me sort, nous serons bien ici, pour mettre notre tente, nous n’entendrons pas les autres ronfler comme çà. Son argument tenait la route, mais je me méfiais d’un piége. Nous nous organisons, il n’est pas si désagréable quand il est loin d’eux. Une balade est prévue, une fois tout installé. Nous marchons un peu et nous retrouvons devant un cours d’eau, beaucoup décident de se baigner, moi non, Fabrice, vient me voir, alors qu’il n’était pas venu durant toute la marche, et me demande de venir me baigner avec lui. Heu ! Là, je reste bouche bée, il me regarde avec des yeux suppliants, il va m’avoir à chaque fois, s’il fait son regard de chien battu, il est super mignon. « Ok, pas trop loin je ne sais pas nager ». Il me fixe et me dit qu’il me tiendra. Pas possible, il me cherche, ces copains l’appellent pour qu’il vienne avec eux, je le suis, au bord, je le regarde du coin de l’œil se déshabiller, putain, il a un corps d’athlète, une poitrine bien dessinée, une taille en V, des cuisses musclées, les autres le mate aussi. Il m’attend, je me dépêche pour ne pas trop attirer l’attention. Nous entrons dans l’eau, il commence à jouer au fou avec ses amis, et à un moment revient vers moi, passe son bras autour de ma taille, quelle sensation, et me dit de ne pas avoir peur, je le suis, les autres me regardent éberlués. Fabrice me tient bien, il me chuchote de me laisser faire, que je n’aurai que du plaisir. Que veut-il dire par-là, punaise, il me cherche vraiment, comment à t’il  sut que j’étais homo. Je ne suis pas un mec « style mâle », mais je ne fais pas pédé, j’ai quand même réussi, à me faire un beau corps avec toutes ces heures de gym, et ne porte pas de look, plus qu’un autre, jean, tee-shirt, baskets, classique quoi ! Il me tient la taille, nous avançons dans l’eau jusqu’au torse, je me cramponne un peu à lui, il glisse sa main dans mon maillot, caresse ma fesse droite, je sens un doigt venir sur ma rondelle, insiste, le glisse dans mon anus, je me cambre, il passe une jambe entre mes cuisses, je ressens la pression de son sexe ; Il bande et dur, je lui dis d’arrêter, il me demande «  tu n’aimes pas », je réponds, « si, mais nous sommes observés ». Je m’extirpe de ses bras.  Nous nous amusons mais le groupe doit rentrer car d’autres activités, au camp, sont prévues. Je veux ressortir, comme les autres mais les mains de Fabrice me retiennent toujours.  Il commence à marcher derrière moi, ce qui fait que je sens sa jambe droite, entre les miennes à chaque pas, il sait très bien ce qu’il fait, il m’aguiche. Je commence à bander. Près de ses affaires, il me demande si je bande, comme lui, machinalement, je regarde son maillot, zut ! Il a une érection, je baisse la tête. Une fois au camp j’essai d’oublier un peu l’histoire de la rivière, et nous nous amusons tous et buvons bien. Je n’en peux plus je vais me coucher, sans me préoccuper de mon colocataire. Je me déshabille et plonge nu dans mon sac de couchage. Un long moment s’écoule, je l’entends entrée, il trébuche sur moi, mais je ne dis rien. Il me regarde de près pour voir si je dors. Il me sourit et commence son strip-tease, les chaussures, qu’il jette dehors, les chaussettes, le tee-shirt, il est beau, même sous la pleine lune, il s’allonge, déboutonne et fait glisser son jean sur ses belles cuisses que l’exercice fait tendre les muscles, magnifique, il prend son temps, je ne bouge surtout pas, je vois son slip avec une forme prometteuse, il me jette un coup d’œil, tire dessus jusqu’au cheville, et d’un geste le jette sur la toile, son sexe surgi, il bande, elle est énorme, un bon 25 cm, je n’avais jamais vu çà, il est super membré, il se met de côté pour que je puisse voir mieux son érection. Il me touche l’épaule, et me demande si je vais bien. Quel con, j’ouvre les yeux, je ne peux pas faire autrement que regarder sa bite pleine de sang, il me sourit encore, il m’énerve, il bouge, se met accroupi et me met sa tige sous le nez, et me dit « tu vois que tu ne vas pas t’ennuyer, profite en, elle est pour toi cet été ». Je reste les yeux écarquillés, mais mon instinct m’oblige à ouvrir la bouche, il comprend tout de suite le message et glisse son gland, je le fixe tout en le suçant, il me prend la tête, une vrai brute mais quelle queue, grandiose, il tire sur la fermeture éclair de mon duvet, et me caresse. Il est homo ? Non pas possible, au bout d’un moment de lèche, il me force à me tourner, je ne peux pas prendre ce morceau dans le cul, impossible, mais je ne bronche pas, j’exécute, il s’allonge sur moi, frotte son sexe sur mes fesses, il me chuchote qu’il aime mon petit cul, je sens que je vais passer un mauvais quart d’heure. il crache dans sa main droite, et la frotte sur ma raie, je tends un peu mon cul, machinalement, il sent que j’aime, il présente son gland, sur ma rosette, il pousse en me mettant une main sur la bouche, il s’enfonce, me pénètre, je commence à hurler, il ne bouge plus, il me calme à l’oreille, et recommence, il continu toujours à s’enfoncer, pas possible elle est trop longue, il ne pourra pas mettre tout, je sens les poils de son pubis, il s’extase, il enlève sa main, se positionne mieux, et me transperce de tout son long de bite, je me cramponne au duvet, il m’astique bien le salaud, il ne perd rien, il me ramone, comme jamais personne ne l’avait fait, il prend son pied, on dirait, il suit son rythme pendant au moins un quart d’heure, il m’épuise, je lui dis, il me met encore deux coups fatals de butoir, sort et éjacule sur mon dos, s’écroule sur moi, en me disant que c’est bon.. Il s’allonge à côté, respire un peu et me dis d’ouvrir mon duvet complètement, que nous allions les assembler pour dormir ensemble, je m’exécute comme un enfant, tout en le regardant, il n’est même pas gêner de la situation, une fois recoucher, il me prend dans ses bras et me dit de me taire auprès de ses copains, sur ce que nous avons fait. Et nous nous endormons. Je me réveille le matin, par une sensation de poids sur moi, Fabrice, pour bien commencer sa journée à l’intention de faire du sport, il m’écarte les cuisses et met directement son zob dans ma raie, il glisse sans difficulté jusqu’au fond de mon petit trou, il force un peu et me baise comme cette nuit, il est bon comme baiseur, je me laisse envahir, il en profite, me tringle comme une furie, il n’hésite pas, met de grands coups, il me soulève la taille pour avoir plus de profondeur, la vache il va au fond de mon cul, il jouit, ne sors même pas il continu de gicler tout en me sodomisant, il a aimé, il me regarde et me dit, « bonjour toi ! » Il sort de moi, s’essuie, dit «je vais te préparer ton petit-déj. Tu veux quoi ! » Je m’entends dire « un café croissant, SVP ! » Il rigole fort et me susurre à l’oreille « tu sais vu ce que nous avons fait cette nuit et ce matin, tu peux me tutoyer ». Très drôle sa façon de me dire qu’il m’avait bien baisé. Bon, je sors pratiquement tout le monde est là, nous discutons de l’organisation du jour, démontage des tentes, car à partir de ce soir, nous dormirons dans des refuges, donc fini les bivouacs. Je tourne la tête vers Fabrice, il me sert un café. Je pense à cette nuit, et me dis que j’ai bien fait d’accepter hier, c’était trop beau pour que je l’aie tous les jours dans mes bras et dans le cul. Après m’avoir observé toute la matinée, Fabrice vient vers moi vers midi et dit qu’il trouvera un moyen pour ce soir. Très belles balades, une journée de marche et de discutions, 18 h arrive à grand pas, les organisateurs nous arrêtent devant un refuge avec plusieurs cabanons, que nous devons partager, toujours par deux. J’attends mon tour, et vois David, un copain de Fabrice, prêt de moi, plutôt pas mal, aussi grand, mais plus mince et moins costaud que Fabrice, il me demande si je suis Ok pour ce soir, tu dors avec moi. mais qu’est ce qu’ils ont tous cette année, je n’ai pas le temps de lui répondre que Fabrice me prend le bras, m’emmène et dit, « tu n’as pas compris qu’il est avec moi, cet été, je reste pantois, il me pousse avec une main dans mon dos, il a l’air furax après David, je ne comprends pas trop l’histoire, je le stoppe et lui dit qu’il fasse gaffe, qu’il soit plus gentil avec moi, d’arrêter de me bousculer sinon je pars dormir avec David, Fabrice me fixe, éberlué et tendrement me dit qu’il n’a pas arrête de penser à moi toute la journée, que la nuit sans moi serait terrible, je ne peux même pas répondre à de tels arguments. Je jette un dernier regard à David, il me dévore des yeux, et me lance «demain ce sera moi ». Je reste avec Fabrice un moment sans parler, et mon pou s’accélère quand il me serre dans ses bras et me propose de faire une sieste avant le dîner, je vois très bien ce qu’il veut, il se dénude, il n’y a qu’une pièce de toute façon avec un grand lit, la fenêtre n’a pas de rideau. Il me montre qu’il bande, je m’agenouille, le pompe, il me tient les épaules et me dis qu’il adore ce que je lui fais, je lui taille une pipe qu’il ne va pas oublier de si tôt, j’ai une impression bizarre d’être observe par la fenêtre mais je lui tourne le dos, tant pis, Fabrice adore et me congratule de petits noms, il me dit qu’il va jouir, j’attends et sens un premier jet tamponner mes amygdales, deuxième jet, puis trois, quatre, il se fige, dans un râle et se laisse tomber sur le lit. Pas mal comme performance, je me débrouille bien, il est beau, et sa grosse queue me plait. Peu après, nous ressortons, pour dîner, il me demande de rester avec lui à table, mais j’avais promis de manger avec deux copines, il accepte, en disant, « ok se sont des filles ». Il regarde de temps en temps pour être sur que je ne bouge pas. Au dessert, David vient me voir, il se met à genou, met sa main sur ma cuisse et me dit, avoir vu que j’étais très doué avec les queues, et qu’il aimerait bien essayer aussi. Punaise, je tremble, il me dit à demain sous la douche, je veux le fixer mais il est déjà debout et repart à sa table. Un super feu de bois, de la musique, des danses, des chants, et surtout un peu d’alcool, la soirée est agréable. Je m’apperçois que Fabrice, est près de moi, il ne bouge pas, il me jette des regards interrogateurs, je lui souris et prends congés de tous, je rentre dans le cabanon, laisse la porte entre ouvert, et voir, David parlé à Fabrice, « tu ne peux pas le garder que pour toi, il me plait aussi, tu comprends», Fabrice, le bouscule, et lui dit « casse-toi, ne l’approche pas sinon, c’est à toi que je vais casser la rondelle ». Puis Fabrice rentre, referme la porte, et s’assied sur le lit, il m’amène à lui, je reste debout, il me tient la taille, avec ses grandes mains sur mon postérieur, il met sa tête sur mon ventre, je ne peux que lui caresser les cheveux, il me dit « je ne veux pas te perdre, pas maintenant », il se laisse tomber sur le lit et m’emmène avec lui. Il fait nuit, à part la lumière extérieur par la fenêtre, nous nous embrassons, enlevons nos vêtements et rentrons dans le lit. Il me serre un peu fort, et commence à bander, je lui touche le braquemart, il raidit aussitôt, il me soulève et me met sur lui, il n’hésite pas, il me pénètre d’un coup, je me dresse, le drap vol, il me saisit les fesses et me burine, je m’empale à chaque fois que je redescends sur lui, il jubile, il ne me lâche plus, il a une queue énorme, je me sens rempli, il baise super bien, je prends un pied d’enfer avec lui, je tourne la tête, et perçois derrière le carreau, le visage de David, je ne peux pas arrêter maintenant, je vais bientôt jouir, il regarde la scène, je décide de ne rien dire, je me branle pendant que Fabrice continu son ouvrage, son visage reflète vraiment le bonheur, je suis content, j'éjacule sur son ventre, pendant que coule son sperme en moi, il me dit adorer jouir en moi, qu’aucune minette lui a fait un plaisir pareil, il me reprend dans ses bras, je tire sur le drap en regardant la fenêtre, personne. Réveil tôt, Fabrice, se lève, me fait un bisou et me dit à tout à l’heure au pdj, il prend sa serviette et sort. Je regarde la pièce, la fenêtre, au bout d’un moment, je décide de faire pareil, je prends ma serviette et pars, vers les douches, j’en cherche une de disponible, et vois arriver David, il ne dit rien, même pas bonjour, il doit être vexé d’hier soir, une douche se libère, je m’engage, referme le porte, une main la bloque, David, tire et rentre avec moi, je le regarde, il commence à se déshabiller, je fais comme lui, il se retourne bande comme un âne, il est bien monté, moins que Fabrice, il me caresse, me prend la main et la dirige sur son sexe, il se laisse branler, je le regarde pour voir ses réactions, il aime ça lui, aussi, il me souffle qu’il voudrait que je le suce, je me penche et prends sa bite dans la bouche, il se cambre, il gémit, il se cramponne à la porte, je m ‘active pour faire ça bien, il me dit qu’il ne pourra pas résister longtemps, qu’il en voulait plus, il me voulait, me prendre, avoir mon cul, il jouit, pousse un petit cri, et se détend, il me sourit en me tapant sur la fesse, il me jure qu’il trouvera un autre moment pour me baiser, il ressort. Je me douche. De retour, je vois David avec Fabrice, je m’avance, ils me regardent tous les deux, je passe devant eux, et rentre dans la cabane, ils me suivent, David le premier, Fabrice après, et vient près de moi, me dit avoir vu avec David, si je suis d’accord, David veut me baiser, et en échange, il offrira son cul à Fabrice, je les regarde, et me dis qu’après tout, j’enlève mon tee-shirt et ma serviette, Fabrice et David se déshabillent, ils se mettent de chaque côté de moi, je me retrouve avec deux belles bites à sucer. Je les lèche, ils ne se touchent pas mais mettent leurs mains partout sur mon corps, l’envie monte vite, David me met à quatre pattes sur le lit, il reste debout et me tire vers lui, il me lubrifie, et présente enfin son chibre à ma rosette, çà glisse, il jappe, mais pendant ce temps je sais que Fabrice ne reste pas sans rien faire, il se met derrière David et lui écarte les fesses, il ne cherche pas à être câlin avec lui, il lui présente sa bite énorme et pousse son gland, David, cri et s’agrippe à moi, une sensation de pénétration me viens aussi, tends la force que met Fabrice sur David est forte, il le baise à fond et David ne peut plus supporter, il lui supplie d’arrête, et Fabrice dit « alors arrête avec mon mec », David continu, et essaye de supporter la douleur, un bon moment passe, nous sommes en sueurs, David jouit en moi,  j’éjacule peu après et vois Fabrice sortir, prendre la place de David et me pénètre avec fougue, m’embrasse goulûment il est vraiment meilleur, sa bite me défonce, me rempli, me gouverne, je suis sa chose, il le sait, je ne peux résister, je rejouis une deuxième fois, en même temps que lui dans le sperme de David. La journée commence très très fort. Les trois semaines de montagne, n’ont été que de souvenirs de baises, tous les moments étaient bons pour qu’il profite de moi, mais le retour revint vite. Dans le car, je n’ai pas pris place avec eux, je suis retourné avec mes copines jusqu’au point d’arrivée, mon père m’attendait pour me ramener à mon appartement, quand Fabrice s’est approché, m’a tendu un papier, en me disant de ne l’ouvrir que chez moi. Et il est parti en compagnie des ses potes. En refermant la porte, de mon appartement, j’ai posé mon sac et me suis assis dans mon canapé, le papier était plié en quatre, « mon petit cœur, toute cette route, pour me faire comprendre que tu me manques, même si je te vois , tu me manques, je te voudrai tout le temps près de moi, si tu es comme moi, fais-le moi savoir, je serais prêt à changer mon comportement pour toi, je t’attends, ne me laisse pas », je suis happé prendre un verre et me suis remis à la même place, j’ai réfléchi à ces trois semaines de pures baises, je ne l’ai pas rappelé ce soir là, mais au petit matin, j’ai laissé un message, qu’il pouvait venir dîner ce soir. Nos retrouvailles n’ont pas été devant une bonne bouffe mais dans mon pieu, il m’a littéralement violé, tellement il était en manque, j’ai aimé savoir que je lui avais manqué, je l’ai gardé toute la nuit. Au matin, je ne l‘ai pas retrouvé, mais tous les soirs, j’ai revu ce beau mâle, jusqu’à ce qu’il décide de venir mettre quelques affaires ici, depuis ce jour, ou j’ai commencé à lui repasser ses affaires et lui faire des petits plats, il n’a jamais reparti.

Fin

 

 

Par histoires gays cooletclean
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Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 09:14

Le Tatouage (Franck)

 

Mercredi, après plusieurs hésitations, je rentre dans la boutique de tatouage, je regarde les modèles, tombe sur un qui me plait et demande si c’est possible de prendre rdv. La jeune fille me dit de patienter, que Franck va venir voir avec moi. Dix minutes passent, j’ai le temps de changer trois fois de sujets, un mec grand brun arrive, très beau, un visage d’ange, mais très mec quand même, son débardeur laisse voir toute sa musculation. Il me demande de venir, je le suis dans une petite pièce, il s’assoie et me propose de faire comme lui «alors quel modèle t’intéresse», « je pensais à celui-là, le petit centaure », « oui pas mal, et ou veux-tu l’avoir », « Heu ! » Je rougis un peu, le fixe, il attend ma réponse, « dans le bas du dos » « ok, où exactement, lève toi et montre-moi », je m’exécute et lui montre à travers le jean le haut de ma fesse, il fait «ok, bon sur la fesse, il faut que tu me montre, car si ta peau n’est pas ferme, je ne pourrais pas, baisse ton jean » je le fixe d’étonnement, et déboutonne mon fut, qui glisse sur mes chevilles, j’ai l’air ridicule. Il s’approche de moi, s’agenouille, met ses mains autour de ma taille, me fait pivoter, je lui tourne le dos maintenant, il fait descendre mon slip et commence à tâter mes fesses, il les pétrit, les malaxe, les écarte. Il me demande de me pencher, je tourne la tête et le regarde bizarrement, « oui, c’est pour connaître l’élasticité de ta peau », je me penche en avant, il recommence à m’écarter les fesses, il peut maintenant voir ma rosette. Je n’ose pas bouger, il me dit de me relever, mais ne lâche pas mon cul pour autant, « bon, tu le veux là », « heu ! Oui », « tu es sûr », il se met de côté, met sa main gauche sur mon pubis et l’autre au bas de ma fesse, et presse, « ok tu as une belle peau, ce sera sympa de la travailler », il a glissé sa main du pubis à mon entrecuisse, ses doigts touchent mon sexe qui commence à bouger tout seul. Il me lâche, se relève, je remonte vite mon slip et mon jean, « ok, tu es libre demain » « ben, quand vous voulez, je peux facilement me libérer », « alors, tu n’auras qu’à venir demain vers 18 h 45, nous commencerons l’ébauche ». Je lui serre la main et ressors content d’avoir fait le pas, mais inquiet d’être tripoter comme ça par un mec. Le jeudi, il me dit de m’asseoir, qu’il finit une cliente, 19 h arrive vite, la personne part, l’employée aussi, il ferme la porte, « bon à nous », je n’ose pas lui répondre, il m’intimide, il est musclé dans son tee-shirt et ses pectoraux se tendent sans grand effort, j’aime les regarder mais je ne suis pas homo pour autant, Je le suis dans une autre pièce. Il me dit « ok met toi à poil, et monte sur la table », j’hésite, défait mes chaussures, enlève mon jean, le slip glisse aussi et m’allonge, il me regarde tout le temps. J’ai un drôle d’impression d’être offert à ce type. Il s’approche, soulève mon tee-shirt vers mes épaules, il m’explique ce qu’il va faire avec le feutre, d’abord un dessin, tout en commencent par me tripoter le cul. Je le laisse faire, je trouve même agréable d’être malaxer comme ça, il glisse de temps en temps, sa main dans ma raie, m’écartant les fesses, un doigt vient se poser sur ma rosette, je me cambre un peu. Mais il ne l’enlève pas pour autant. 20 h arrive, il me dit qu’il va arrêter, mais il laisse sa main sur mon cul, il me caresse l’autre fesse, je le regarde. Il se lève et me dit « ok, tu ne te laves pas la fesse, jusqu’à demain. Si tu peux éviter de te faire toucher la fesse ce soir, ça m’arrangera pour la suite ». Je lui réponds sèchement «ce n’est pas dans mes habitudes de me faire tripoter », tout en me rhabillant, « excuse-moi, je ne voulais pas dire ça, comme je dois travailler sur ta jolie petite fesse, j’aime bien l’avoir pour moi seul, le temps du tatouage, évidemment », ses allusions me troublent. Je le quitte avec suspicion. Vendredi, même scénario, 18 h 45, je me déshabille complètement vu qu’il me connaît à poil, m’allonge, j’attends, il prend son temps, j’ai le cul à l’air, et lui il me parle, il vient près de moi, met sa main sur ma fesse, l’observe, l’écarte vraiment, il peut voir mon trou du cul tellement il tire. Il me dit « tu peux te mettre à cheval dans le vide, comme ça j’aurai plus facile pour te tenir pendant que je m’occuperai de ta fesse. Je m’exécute, laisse tomber ma jambe vers le bas, j’écarte l’autre sur la table, ma bite pend le long de ma cuisse, il peut maintenant voir toutes mes parties les plus intimes. Il me tripote sans hésiter, il pose sa main sur mes bourses, et va vers ma raie, je me sens à ça merci, il me met un gel qui coule de ma fesse jusqu’à mon trou, je sens ses doigts me malaxer, dérapent sur mon anus, il va directement mettre un doigt sur ma rondelle, et force, je rouspète mais trop tard, il s’introduit, je serre les fesses, mais il ne me lâche pas, il force toujours, commence un va et vient, je cherche avec ma main à l’enlever, je me cambre, je lui cris d’arrêter. Il me soulève, continu sa pénétration tout en se désapent, je vois sa bite surgir près de mon visage, je n’avais jamais vu une aussi longue, elle fait 27 cm, il bande comme un taureau, elle est énorme. Je ne peux m’empêcher de la mater, mais il ne cherche qu’à me labourer le cul avec ses doigts, je transpire comme un malade, il me transperce, sa bite se rapproche de ma bouche, il me presse la tête avec une main, je me retrouve avec sa bite contre les lèvres, il m’oblige à ouvrir ma gueule, je me sens tout drôle avec cette teub dans la gorge. Il s’astique dans ma gueule, mon cul est en feu, je prends même du plaisir à sentir ses doigts bouger dans mon trou, je gémis, il n’hésite pas à me labourer et entre plusieurs doigts, j’ai l’impression de m’ouvrir complètement. Je le lèche, sa bite est trop grosse pour ma bouche, il lâche mon cul en feu, et vient se mettre entre mes jambes, mon sexe regorge de sang, j’ai mal tellement je bande, il amène son gland à l’entrée de ma rondelle, il pousse, entre d’un coup, je hurle qu’il arrête, bien sûr il s’enfonce encore, je me crispe à la table, il me baise au fond de mes entrailles, j’adore ça, il me laboure avec sa teub gigantesque, je me vois jouir sans me toucher. Il me tringle comme un chef l’enfoiré, ne me lâche plus, il fait des vas et vient sans se soucier de moi, il s’active encore une éternité et éjacule sur mes fesses, je m’effondre. Il se penche pour être près de moi, je lui avoue que c’est la première fois que je me fais prendre, il sourit « je sais, j’ai vu que tu avais un petit cul de puceau. C’était trop tentant et très bon, tu me plais beaucoup, tu es libre ce soir », « oui, que proposes-tu ? », « Eh ! bien, nous pourrions aller au resto et aller chez moi après », l’idée était très alléchante. Il me dit « bon je ne peux rien faire ce soir, tu me trouble trop, on va manger ». Une fois au resto, nous commandons, ce mec est envoûtant, il est très beau, très mâle, avec une gueule d’ange, il est sexy, plusieurs mecs le matent, je lui dis « pourquoi moi ? »  Il me sourit, « parce que tu me plais », « non, tu peux avoir beaucoup mieux, regarde les, ils bavent devant toi », « oui, et alors, toi non, pourquoi ? », «et bien, je ne suis pas homo », « que tu crois, tu as pourtant aimé ce que je t’ai fais ! », « oui, mais ça ne change rien, regarde bien celui-là. Il est craquant, et il te mate », « justement lui, il est craquant, toi tu me plais », nous passons une excellente soirée, et sortons du resto un peu saoul. Il m’emmène chez lui, un magnifique loft, et là. Il commence à me déshabiller, il fait pareil, je me retrouve vite dans son lit. Il passe un doigt dans mon trou, je sens la douleur de tout à l’heure, il me retourne. Il est très fort, il me bloque les jambes, les écartes, il me brusque, j’aime bien ça, il se saisi du gel, me badigeonne avec, en met sur son sexe, et propulse son gland dans mon trou, « aie ». Il s’enfonce, je gueule. Il me remplit le cul, putain, j’ai encore plus mal que tout à l’heure. Il s’excite, me viole presque, je me sens d’un coup, tout chaud, avec cette grosse bite dans le cul. Il fait ses vas et vient, je ressens de l’excitation, je remue mon postérieur. Il me dit à l’oreille qu’il est avec moi parce que je suis un super coup au pieu. Que sa bite est en feu avec moi, qu’il adore me prendre, que mon trou le happe bien, que sa grosse queue en redemande autant qu’en veut mon cul, punaise. Il m’excite avec ses phrases à la con, il s’acharne sur moi, comme une bête, je m’en prends plein le fion, il n’arrête jamais, me retourne. Il me lève les jambes et me rempli le cul, qu’il est beau, je vois ses magnifiques yeux émeraude, son visage angélique et son corps en pleine action, il me sourit, et s’active de plus en plus en moi, j’aime sa queue. Il me ramone, me rempli avec ses 27 cm, je la sens buter au fond de moi, la vache je n’avais jamais pris un pied comme ça, je jouis. Il sort et m’éjacule au visage et sur le torse, il n’arrête pas, encore du sperme, il s’écroule sur moi, me tient le visage, m’embrasse, me lèche le sperme qui reste, je lui rends son baiser. Il me dit « au dodo, car je bosse demain, tu peux venir me voir si tu veux, mais au fait, il est hors de question que tu te fasses un tatouage. J’adore trop ton petit cul pour le voir abîmé, il est trop beau comme ça, d’accord ? ». Je m’étire dans ses bras m’essuie, il me caresse, nous montons le drap et nous endormons comme des enfants, l’un contre l’autre. Samedi, il me réveille, il est 9h, il me cajole, me donne des baisers tendres sur tout le visage, me presse tout contre lui pour garder le souvenir de mon corps toute la journée, nous nous levons, il commence à 10h. Il me dit que nous n’avons qu’à nous retrouver, ce midi pour manger, « ok, je mange avec un ami, ce sera parfait pour les présentations », « comme tu veux », « bien sur que je veux », nous nous séparons devant le porche, je flotte sur mon nuage, midi arrive vite, juste le temps, de me changer, et cours les retrouver. Je tombe nez à nez avec Franck et son ami, ils m’attendaient, son copain me dévisage, et s’adresse à Franck « putain, fait chier, mais comment tu fais pour trouver des mecs comme ça, j’en ai marre moi ». Je regarde Franck pour comprendre, «t’inquiète, il est déjà jaloux, rien que savoir que c’est moi qui fait l’amour avec toi », je rougis, n’ose pas regarder le type. Il me prend le bras, alors que Franck me tenait la taille, « tu n’aurais pas un frère, stp dis oui », « désolé, non je suis fils unique ». « Merde, fais chier Franck, tu n’as pas le droit d’avoir un mec aussi beau, c’est dégueulasse de vous voir tous les deux ensemble, tu pourrais choisir un mec normal, moyen ». Je lui dis être normal. Il me regarde l’air méchant, « toi, avec ta frimousse de Brad Pitt et de Tom Cruise réuni, tu ne vas pas me faire croire que tu ne le sais pas », je ris de l’opposé de ses comparaisons, Franck me dit « il t’adore déjà. Il me fait une scène, mais il est trop comptant que je sois pris pour récupérer les autres mecs », « salope, tu me prends vraiment pour une traînée », « eh ! oui, mais tu es mon pote », c’est vrai que les mecs et des filles nous regardent, je n’avais jamais fait attention aux regards des autres avant, nous allons dans un petit resto, le serveur nous sort « alors les beaux gosses, je vous sers quoi ? », je regarde Franck, il me tient la taille et ne me lâche plus de l’heure du repas, après l’avoir raccompagné, son pote me dit vouloir faire les boutiques et me demande de l’accompagner, j’hésite. Franck me dit « je préfère que tu ailles avec lui comme ça il te surveillera, et toi si tu touches un de ses cheveux. Je t’étrangle, mais surveille le car je pense qu’il va faire tourner la tête à plus d’un mec».  « Ok patron, allez viens, laisse travailler ton mec pendant que nous allons claquer du fric ». L’après midi passe vite, je le quitte après avoir été traîné dans différents endroits gay, je pense qu’il l’a fait pour que je sois vu avec lui, c’est vrai que pas mal de mecs me mataient, je ne savais pas que je plaisais autant, il me dit « dommage, j’aurai bien voulu venir à votre soirée, mais je suis déjà pris », nous nous quittons. Il me crie à demain, je vais chez moi, me change, j’ai acheté sur les conseilles d ‘Emmanuel, un tee-shirt et un toile. je me douche, me change, et sors pour retrouver Franck. il m’appelle pour que nous nous retrouvions chez lui, car il doit se doucher. Il m’ouvre, il est en serviette de bain, il s’est douché, il est super canon, je le prends par la taille lui caresse les fesses sous la serviette. Il m’embrasse, « tu m’as manqué, ça a été avec Emmanuel, il ne t’a pas trop embêté », « Il m’a promené comme un trophée, c’était rigolo », « oui je vois, Monsieur en a profité pour faire croire qu’il était avec toi ». « Je ne pense pas, je crois qu’il voulait simplement me faire découvrir le milieu gay », « tu parles, je le connais ». Il s’accroche à mon pantalon, me dit « tu es très mignon dans ton petit fût moulant et ton tee-shirt sexy », « c’est Emmanuel qui a choisi », « je ne vais pas te lâcher d’une semelle, ça c’est sur ». Il m’annonce que nous allons à une crémaillère, « j’ai rien », « t’inquiète prend une bouteille de champagne dans le frigo et j’ai achète un cadeau », « bon nous y allons, mon chéri ». Il est lui aussi en tee-shirt qui laisse voir comment il est super bien fait, il a glissé dans un cuir qui fait sortir son petit cul, a damné, je m’approche, lui dit que je m’occuperais bien de son petit cul, en lui massant les fesses. Il tourne la tête, m’embrasse, « j’y compte bien, mais je suis plutôt actif, nous verrons si tu es sage ». Il m’emmène par la taille nous penons le métro, plusieurs personnes, nous regardent, je ne comprends pas pourquoi, Franck me dit  « tu ne t’es jamais vu dans une glace toi », « si pourquoi », « je n’arrive pas à croire que tu ne t’aperçoives pas qu’ils ont envie de te manger tout cru, ce n’est pas moi qu’ils regardent », « tu rigoles, je ne fais rien », « justement tu es toi, et ça c’est le must de la provoc ». Je n’ose pas les regarder, Franck me parle normalement, il me fait un clin d’œil, j’ai envie de l’embrasser, mais il me devance, s’approche de moi, pose tendrement sa bouche sur la mienne, je trouve ses lèvres douces, agréables, les gens nous fixent, nous sortons du métro, « pourquoi tu as fait ça », « je ne veux pas qu’ils croient, qu’ils pourront t’avoir même dans leurs rêves ». Je lui donne une tape sur la fesse, il rit de ses splendides dents blanches, « oui, oui, continu », « tu vas voir ce soir si tu diras la même chose », nous arrivons. Franck me fait entrer et me tient la main, plusieurs mecs accourent, je sens leurs regards se fixer sur nous, je jette un œil à Franck. Il me glisse à l’oreille, « t'inquiète, ils n’ont envie de toi que pour leur dessert », je souris, je sers sa main comme un enfant, un des mecs veut me faire la bise mais je lui tends la main, en reculant. Franck me récupère et leurs signale que je suis avec lui et que je n’aime pas embrasser sur la joue, je le fixe furieux, il me regarde « quoi, c’est vrai ». Le mec me tend la main, « très heureux de t’avoir parmi nous », il s’adresse à Franck, « tu devrais faire attention à lui car sinon, tu ne l’auras plus avant la fin de la soirée », Franck me souffle, « eh ! voilà, la chasse est ouverte, je me doutais qu’avec toi, j’aurai ce style de remarque, tu vas vite comprendre pourquoi je te tiens la main », je prends un verre les mecs dans l’ensemble sont sympas, je commence à me détendre, Franck part au  toilette, je décide d’aller sur la terrasse prendre un peu l’air, un mec pas mal arrive, « alors cette soirée, tu t’amuses », « oui et toi », « moi, oui puisque j’ai enfin réussi à te parler », « ah ! Bon, pourquoi », « tu es simplement inaccessible avec Franck, tu es très beau, je le comprends qu’il te garde pour lui tout seul, je ferais pareil, je souris. Deux minutes avaient passé, quand Franck revint. Il passe derrière moi, et m’enlace pour faire voir à l’autre que je suis pris, l’autre sourit « je crois que je vais m’éclipser », et il nous salut « je savais qu’il fallait que tu viennes avec moi aux toilettes, petit aguicheur », je tourne la tête pour protester mais c’est ses lèvres que je rencontre « hum, un délice, je sens son corps contre le mien, je ne résiste pas à sa force. Je passe mes mains sur son corps et découvre qu’il bande un peu, « c’est quoi ça ? », « tu vas voir ce que c’est, crois-moi », et il nous fait entrer dans la pièce direction, il s’excuse auprès des convives et nous voilà dehors. Nous marchons dix minutes pour retrouver son appartement, juste le temps de fermer à double tour et il me saute dessus, me colle à terre dans le couloir, me fait sauter les boutons de mon jeans, déchire mon tee-shirt tout neuf, et voilà que sa bouche englouti moins sexe qui commence à prendre forme, il me pompe bien, pendant qu’il ôte ses fringues, après avoir été nu tous les deux, il s’allonge sur moi, en me caressant et son sexe, est dans sa main, qu’il dirige vers mon anus, me badigeonne. Je sais qu’il va m’enculer, je le laisse faire, il se met entre mes jambes, les relève pour accéder à mon anus avec sa langue. Il me prodigue des plaisirs inégalés, je tremble, ris parfois de nervosité, puis, je vois qu’il s’installe pour la pénétration, qui se fait dans douleur, le gland passe facilement. Il attend un peu en me bécotant les seins et le cou, puis s’enfonce un peu, je sursaute, … rapide, sa queue me faisait monter au 7ème ciel, pourquoi. Je ne sais pas, mais c’était le cas, ma bite gorgeait de sang et de sperme près à sortir, quand j’eu le feu vert en l’entendant me signaler qu’il jouissait en moi. J’ai lâché le surplus, l’extase, nous sommes restés dans cette position à nous regarder, puis il m’a aidé à me relever. Il m’a porté dans ses bras jusqu’ au lit, j’étais gêné, un mec comme moi, qui à peine deux jours avant était encore hétéro, et que là, j’étais nu dans les bras d’un autre type, que la vie peu être imprévisible. Nous n’avons même pas cherché à nous essuyer, et nous sommes glissés sous les draps à nous cajoler avant de sombrer dans le sommeil, les jours suivant, ont été aussi beau que les premiers. Je suis avec lui dans son appartement depuis six mois, dans une condition de vie des plus épanoui, en tout cas, peut-être suis-je encore un peu trop raide dans les préjugés. Mais je lui plais ainsi, et côté sexe, c’est toujours les plus grands pieds que je n’ai jamais pris.

Fin

Par histoires gays cooletclean
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Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 09:02

L’Ami d’enfance (Jules)

Comme tous les vendredis en fin d’après midi, mon ami d’enfance Mac et moi, nous nous retrouvons pour une partie de squash. Après maints essais de le battre, et croyez-moi, je ne suis pourtant pas un minet, avec mes 1 m 85, je me retrouve à chaque fois face à ce beau mec aussi grand que moi, d’un corps d’apollon, au torse de nageur, avec une frimousse d’ange, un sourire carnassier a vous damné et bien entendu, c’est là que tous mes moyens en prennent un sacré coup, ce qui fait que je rate mes balles la plus part du temps. Mais je ne peux pas lui dire que son petit cul super moulant dans son short, et les formes de son sexe volumineux me rendent dingue, et croyez-moi pour l’avoir vu nu sous les douches, je sais de quoi je parle, il doit avoir un bon 20 cm massif au repos de la base au gland. Mais je me console à chaque fois, en disant qu’il est hétéro, et mon ami, c’est déjà bien pour un gay de se retrouver à côté d’un aussi beau male, alors que tous le voudraient pour le croquer.  Il sait que je suis homo, nous en parlons de temps en temps, mais le plus souvent il fait abstraction de cette partie de ma vie. Après une heure de partie acharnée où, rien ne m’est épargné, tombé, assommé, pris la balle en plein dos, tordu la cheville, j’abdique pour son plus grand plaisir de m’avoir vaincu et rit de me voir souffrir, quel sadique. Il me demande ce que j’ai de prévu pour ce soir, lui aimerait une soirée calme. Alors, malice oblige quand même, je lui propose de venir chez moi, il me répond à ma grande surprise : « ok, je te ferais un massage pour me faire pardonner de t’avoir battu en échange d’une pizza et d’un film ». Pouffe, là je reste bouche bée, il y a de quoi non ! Vous pouvez penser ce que vous voulez mais un pédé ne refuse jamais un massage (surtout dans l’état où je suis) et encore moins par un hétéro, mignon à souhait, super bandant, même si c’est votre meilleur pote, mais le connaissant, je savais de toute façon qu’il ne pensait pas ce qu’il disait. Le club fermant bientôt, nous avons décidé de prendre la douche plus tard chez moi. Après avoir récupéré une vidéo, nous trinquons au rosé, vautré sur le canapé pour nous mettre dans l’ambiance. Nous discutons, voilà une soirée sympa entre amis qui s’annonce bien. Il décide de prendre une douche le temps que les pizzas arrivent. Peu après, avoir fermé la porte derrière le livreur de pizza, Mac sort de la salle de bain, mince, il manquait plus que çà, vêtu seulement d’une serviette de bain nouée au tour de sa taille, il m’offre et à moi seul, son magnifique corps d’athlète, son torse est parsemé de quelques poils, la finesse de sa taille fait ressortir sa tablette abdominale, un léger soupçon de poil pubien et surtout cette bosse qui  commence à me mettre dans tous mes états. Ho là, là, le monstre, tout va mal pour moi, (n’invitez jamais un hétéro chez vous, il ne sait pas ce qu’il fait), il ne fait rien pour me provoquer, mais moi je commence sérieusement à fabuler sur mon ami, il faut que je me calme, (facile à dire), je décide donc de prendre une douche. Je me retrouve à libérer ma libido, simplement armé de ma queue de 22 cm et des couilles pleines à devoir vider sous la douche. Une fois mes ardeurs estompées, à grand coup de jets de sperme, je décide de faire comme lui, (il se met à l’aise, alors pourquoi pas moi), une serviette sur la taille, je le rejoins dans le salon, il me mate, je commence à rougir mais je crois qu’il n’a rien remarqué et m’invite avec un grand sourire, à venir à côté de lui sur le canapé pour commencer à mater le film, il a tout prévu, le film va commencer. Le vin est servi, les pizzas sont chaudes, et il a même trouvé les sets et serviettes de table assortis (détaille qui tue pour un homo). Bon, enfin installé, le canapé trois places permettent assez d’espace, sans m’empêcher d’entendre sa respiration, et sa présence prés de moi me donne des sueurs. Tout en buvant et grignotant les pizzas, je regarde le film et jette à chaque coup de fourchette un regard à mon ami, car assieds, les pans de sa serviette se sont ouverts, et je peux admirer une belle partie de sa cuisse gauche et même le bout de son gland, un vrai régal, son gros gland, épais, donnant envie d’être sucer, laper. Eh ! Voilà, je recommence à bander, zut !  Il faut que je me calme vraiment. Je pars ouvrir une autre bouteille, l’esprit un peu chaud, même carrément.

A mon retour, il vient de changé de position, ce n'est pas vrai, il me cherche, il s’est allongé de tout son long sur le canapé, qu’est-ce qu’il est bien foutu. La vue de ce mec bandant me donne envie de lui pomper le nœud. Une brève hésitation de ne pas le toucher, je me lance, lui soulève ses jambes que j’adore, je redécouvre émerveillé ses supers belles fesses. Je m’assois en remettant ses mollets sur mes cuisses, ma serviette s’ouvre et je ne peux plus la refermer, ma bite est en contact direct avec lui, il ne dit et fait rien, il continu à regarder le film et de temps en temps boit un verre, mes mains se posent sur ses pieds et mollets par instinct, il ne bronche pas, je lui masse les pieds. Dur, dur, je ne vais pas résister longtemps, sa serviette laisse dans l’échancrure une vue très très agréable de la profondeur de son intimité, c’est alors qu’il tourne la tête, regarde la position de sa serviette, me sourit, et de me dit, t’inquiètes, tu l’auras ton massage. Alors là que dire, que faire, je ne comprends plus trop, mon copain de toujours, me fait une proposition sexuelle, je rêve, je me plante quelque part, ce n’est pas possible. Bien entendu, la fin de la cassette arrive, il se remet dans une position plus correcte, je me rhabille comme une pucelle et nous discutons tout en finissant la deuxième bouteille. Et boum, Comment, je ne sais plus, mais à un moment, je l’entends dire que maintenant il était temps de passer dans ma chambre pour le massage. Attendez ! Zapping ! , Ni une ni deux dans ma tête, trop de choses s’étaient passées dans la soirée pour ne pas essayer, pourquoi pas puisqu’il propose, et d’un air plutôt neutre, je lui dis « Ok» je me lève, je m’aperçois que Mac me suis. Houa, houa, où se trouve la crème à massage, je déconne, je lui dis que je vais la chercher, alors que je viens d’enlever ma serviette pour la disposer sur le lit, bon ça commence mal avec un début bien prononcé d’érection.  Mac patient, m’attends, je m’allonge, et lui offre mon dos et mes petites fesses, pour, j’espère un massage digne de mes fantasmes, il ne dit rien, mais je sens à son regard, qu’il n’est pas comme d’habitude, j’entends une musique d’ambiance, comment à t’il fait pour avoir le temps de mettre de la musique, j’enfonce ma tête dans la taie d’oreiller et j’attends. Extase, il me masse le haut des épaules, je sens le produit glisser entre ses doigts, il fait ça bien, ma teub durcie encore plus, il faut que je me calme et m’abandonne à ses doigts experts, plutôt pas mal pour un hétéro. Il ne lui a pas fallut longtemps pour arriver au bas de mon dos, et là, il me dit, « tu veux que je continu ? » Quel idiot, évidemment que j’en veux plus, et d’un air innocent, je lui dis qu’il peut faire ce qu’il a envie, je serais d’accord, là au moins les choses étaient claires. Toujours la tête enfouie, je le sens remuer, et à ma grande surprise, ce n’est pas un massage inférieur des membres qu’il me fait. Il caresse mes fesses, je ne peux résister à la tentation de me laisser aller, je le sens très entreprenant, les écarte un peu, commence à mettre un doigt sur mon anus, je me sens planer, il masse ma pastille, que c’est bon, puis il entreprend un léchage du mon petit trou, dur dur, mon meilleur ami me lèche la rondelle et j’y prends goût. De plus en plus excité, je tends mon petit cul, pour en profiter un maximum, mais c’est là que je commence à comprendre que la pression qui se trouve sur ma rosette n’est autre que le sexe de mon bel étalon, et sans rien dire, il commence à me pénétrer, que c’est bon, il ne se doute pas que j’attendais çà depuis très longtemps, une petite culpabilité d’attitude à prendre demain après cette nuit de sexe et tout s’efface pour un moment de plaisir intense. Je sens que son gland commence sa pénétration, il force un peu, n’hésite pas à mettre de la crème, que c’est bon, il me fait mal, sa bite est trop grosse, mais que vouloir de mieux qu’un sexe aussi raide et d’une pareille dimension. Voilà il me baise, il aime çà, il gémit et me dit des mots tendres, je n’y crois pas, je commence à supporter son braquemart, il défonce mon petit cul bien serré, profite de l’occasion pour me pénétrer jusqu’au fond de mes entrailles, il prend vraiment son pied, merde, je ne savais pas que je lui plaisais autant, de longues minutes passent dans une superbe partie de jambe en l’air. Il veut changer de position, il me met sur le dos, je le vois, toujours souriant, qu’il est beau, il me plait vraiment, et voilà je tombe amoureux de mon meilleur pote,  il n’hésite pas et me baise vraiment fort, l’enfoiré, mais que c’est bon, il m’embrasse, je vais jouir, trop c’est trop, je cris, je ne peux pas me retenir, et je le vois, vite se retirer et jouir à grand jets sur mon ventre, il est magnifique, tout ce sperme, et toujours ce sourire, il est vraiment parfait. Il s’écroule à côté de moi tout en me gardant dans ses bras, et en plus il est romantique, tout pour plaire, tant pis j'en profite, demain tout aura changé, et nous nous endormons enlacé après une superbe embrassade que je n’aurais jamais osée avoir avec lui. Cinq heures du matin, une  sensation de plaisir mélangé à de l’inconscience, m’envahi, mon bel {hétéro}, me représente une seconde fois son gros calibre qui en voudrait vraiment plus, ressentant encore les coups de butoirs de cette queue, ce n’est pas possible elle faisait au moins 22 cm en érection, je ne peux pas refuser une telle demande, je me sens de mille feux, j’ai beau essayer de me calmer, je passe mes mains pour écarter mes fesses, il me fait un doigté, que c’est bon. Il connaît tous mes désirs, il me remet en excitation totale pour accepter tout ce qu’il veut, je sens son gland frotter ma rosette, le fait glisser, quel pied. Il me sert par la taille et commence à coulisser en moi pendant que je perds toute notion que c’est mon pote qui me baise, ce mec aime le cul, ça c’est sur. Il va de plus en plus vite, me lèche le cou, n’hésite pas à me buriner plus fort pour que je comprenne qu’il me prend, il jouit, et bien entendu moi j’avais déjà largué ma purée depuis longtemps, il fait ça bien, rien à dire. Vers la fin de matinée après des retrouvailles de caresses, je décide de nous préparer un copieux petit déjeuner car mon ami devait avoir très faim, vu les efforts de la nuit. Très surpris de son attitude de la veille, je ne dis rien,  je discute de la soirée que je devais faire le soir même avec plusieurs ami(e)s gays et hétéros, dans une grande boite de la ville, et il m’attire vers lui, en me faisant asseoir sur ses cuisses, m’exécutant plus par fantasme que par ses dires, il  me dit vouloir profiter de moi un peu plus qu’avant, tout en commencent à me caresser les seins et me faire des bisous dans le cou, et m’annonce vouloir venir avec moi ce soir. Tellement excité par la position et par la proposition qu’il me fait, je me lève et m’agenouille pour profiter vraiment de cette splendide nature qu’il me donne, car déjà même avant de faire quoi que se soit, il bande et me montre son membre nerveux prêt pour que je le suce, son gland est si gros que j’ai du mal au début. Sa bite est surdimensionnée, je le suce j’essaie d’aller plus loin que son gland, un vrai plaisir intense, et rien que de voir son visage, je comprends qu’il apprécie, il n’a pas fallut longtemps pour que je sente son sperme venir, il veut que je me retire de sa bouche mais mon envie est plus forte, je veux le goûter, il s’abandonne à moi, une merveille, onctueux, épais. Je le sens couler dans ma gorge, que c’est bon, Mac reprends ses esprits, me relève et m’embrasse dans une fougue inattendue. Après une bonne douche, nous nous séparons, avec un rendez-vous vers 20 h devant un bar -tapas, je veux voir comment il va réagir avec mes autres ami(e)s.  Il est en retard, il m’appelle, « je serais là dans 5 minutes, ne m’oubli pas », comment oublier un mec comme lui, rien qu’à la pensée de son zob dans ma raie, je frémis d’envie.  Peu après, en effet, il entre, tout le monde le regarde, il est splendide, un jean qui ne cache rien de ses atouts masculins, et un débardeur blanc qui fait ressortir son teint d’ébène. Olivier, un ex, cherche déjà son attention, mais chou blanc, Mac se place à côté de moi et m’embrasse devant eux sur la bouche, là, je viens de gagner la partie, mes cocos, et un sacré petit ami, on dirait. Très calme, il répond à l’interrogatoire de mes ami(e)s, étant loin d’être stupide, il commence à leur plaire. Mais je sens sa main sur ma cuisse, il n’arrête pas de me caresser, je garde mes distances dans le bar, mais je ne me prive pas de lui rendre ces caresses, il me sourit, et me fait un clin d’œil, la soirée passe et vers 1 h nous partons pour la boîte « mixe ».  Nous commandons une bouteille, je m ‘assoie près de Mac et nous discutons, quand la série de slow commence, un beau mec vient me demander si je veux danser avec lui, Mac se rapproche de moi et mets son bras sur mes épaules et lance un « il est avec moi, tu ne vois pas », et me murmure qu’il aime bien être avec moi et qu’il a envie de moi, de mon corps, nous décidons de partir, nous rentrons chez moi. Il ferme la porte derrière lui, enlève ses chaussures et commence à se déshabiller dans le salon, son petit cul commence vraiment à m’exciter, deux beaux petits globes qui n’attendent qu’à être découvert. Il part dans la salle de bain, j’entends l’eau de la douche, je le rejoins. Il m’embrasse, me caresse, ma main descend, le long de ses pectoraux, il a la peau douce, je saisis sa verge qui prends une allure de guerrière, je m’accroupis et lui suce le gland, c’est une bite magnifique il est décalotté, et c’est impressionnent de voir que la largeur de sa tige soit aussi épaisse de la base à l’extrémité. Je le lèche, et m’enhardi à aller plus loin dans ma fellation, l’effet d’avoir un gourdin dans la bouche, ne me plait pas trop, il met sa main à l’arrière de ma tête, il pousse un peu, je cède, une sensation de  trop gros entre mes lèvres, pendant ce temps je commence mes caresses sur ce joli petit fessier, je promène mes doigts sur sa raie et savonne doucement son anus, il ne me repousse pas, je le suce plus intensément pendant que mon index pénètre son intimité. Il râle, puis gémit, écarte ses fesses et laisse entrer complètement mon doigt, je ne pensais pas qu’il aimerait, je le retourne et commence une lèche effrénée de son petit trou vierge, il adore, se penche pour que j’aie plus d’accès. Il grogne, après cinq bonnes minutes de lèche je décide d’entreprendre une autre tentative, je me relève et caresse mon sexe boursouflé par l’envie, le long de sa raie, Il courbe un peu son dos, et je dirige mon zob, droit, vers sa pastille, un premier essai, le deuxième entre la moitié du gland. Il gueule ne pas pouvoir continuer, mais trop tard, le gland glisse dans le chemin de son orifice. Je le cajole, le serre fort contre moi et machinalement il commence à bouger son postérieur, il se tortille de douleur et de jouissance, il remue tellement maintenant qu’il me dit de prendre mon pied, qu’il est à moi, que je peux faire ce qu’il m’avait fait, c’est alors que je n’ai pu résister, mon premier jet de sperme fini sa course en lui, je sors vite et me branle devant lui avec encore 3 autres spasmes, il me retourne à son tour et ne cherche même pas. Il me pénètre d’une traite ses 22 cm déchirent tout sur leurs passages, que c’est bon, je le sens excité, et prendre son pied en moi, il cri et éjacule sans prendre la peine de ressortir. Il lâche prise, nous nous lavons heureux et près à dormir dans les bras de l’autre. Cela fait maintenant dix ans, nous vivons ensemble au grand désespoir de tous de ne pas avoir pu « essayer » mon bel amour. Mais je crois qu’il n’a pas envie de perdre sa place non plus.

Fini

 

Par gayshistoirescooletclean
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Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 17:12

 

Le Job d’été (Julien)

Cela fait la deuxième année que je prends un job d’été pas très long de chez moi, pas dans ma branche d’étude mais bien payée, mon père a un ami qui est peintre, je l’aide toutes les vacances, cet été je vais devoir me déplacer à 50 bornes, mais le patron à décider de nous offrir le logement pendant les deux mois de travaux, je commence le premier jour et ne vois que Julien, arriver, je lui dis bonjour, content de connaître une personne de l’équipe, il me sourit lui aussi rassuré de travailler avec moi, il me tape dans le dos pour dire a sa façon qu’il m’aime bien, il a deux ans de plus que moi mais, il bosse déjà depuis quatre ans ici, Je lui souris pour le chahuter, il me prend par le cou quand le boss vient nous dire que nus devrons commencer tous les deux car l’autre mec s'est absent désisté ce matin, nous partons dans la camionnette et arrivons une heure après sur les lieux, le patron nous donne une clé pour un appartement juste a deux pas, Julien la met dans son jean, nous déballons le matériel et visitons la maison a rénové, nous prenons des notes, pour ne pas oublier les consignes du chef, Julien reste sérieux tout le temps que le boss parle, une heure après il part en nous souhaitant bon courage, nous regardons le matos et faisons le dispache selon les pièces et les étages pour les peintures, je m’entend bien avec Julien, l’an Dernier déjà je le trouvais sympa, mais j’étais encore trop jeune pour comprendre que c’était un job pas très intéressant pour lui et qu’il aimait bien rigoler pour se détendre, je l’aide toute la journée à repérer les défauts et à faire le mélange pour la première pièce, nous attaquons par le plafond de la grande salle, tout est en place en foin de journée pour demain matin de bonne heure, nous fermons la baraque et allons voir l’appartement, Julien ouvre et nous voilà dans un petit studio, une kitchenette, une salle de bain avec toilette et un canapé lit, il ouvre le frigo et prend une bière que le chef a misent au frais, je fait comme lui et viens le rejoindre sur le canapé, je manque même de m’endormir tellement je suis nase, je ferme les yeux un peu, il se lève et part aux toilettes, il fait chaud, j’ôte mon tee-shirt et me cale bien sur le canapé, il revient, bouge un peu dans le studio, j’ai toujours les yeux fermés, et je le sens se rassoire et sans me demander, il s’allonge le long du canapé et met ses mollets sur mes cuisses, j’ouvre les yeux et le vois, en slip, torse nu bombé par les efforts du jour, sa masse musculaire est développé, il est poilu mais as trop je descend pour m’apercevoir que son slip est chargé, il est aussi bien foutu du haut que du milieu ses abdos son bien visible et la forme de son sexe aussi A travers le tissu tendu par le volume, ses cuisses aussi sont belles, musclées et bronzées, je repose ma tente sur le haut du canapé et instinctivement je pose ma main sur la cuisse de Julien, nous nous endormons une bonne heure dans cette position, quand je me réveille Julien me sourit, ses bras derrière la tête me montre encore mieux son beau corps, mais je m’aperçois que ma main pendant la nuit avait bougé, et était parti se promener dans le creux de ses cuisses trop proche de ses bourses, je l’ôte, il me fixe, je lui demande de m’excuser, il me répond qu’il a apprécié, alors pas de problème », je me lever et prépare le repas, il est déjà 20h, il branche la télé et met une des chaînes, je m’active, la chaleur du studio me rend mou, je comprends pourquoi il s’est mit en slip, je décide de faire comme lui après tout, je vais dans la salle de bain, ôte mon pantalon et me débarbouille un peu, je reviens, il me regard des pieds a la tête et repart vers la télé comme ci c’était normal que je sois aussi en slip, il me dit « super, il y a une chaîne sportive », je fais halte tout de suite, que je ne suis pas d’accord pour regarder que des matchs, alors il me regards, me fixe et ajoute « ok, on fait un compromis, une fois tu choisiras la chaîne et après c’est moi, Ok ? », J’accepte car je trouve, le chacun une fois équitable, nous dînons, et je mets tout dans le petit lave vaisselle, il me propose de regarder le match dans le lit, et il défait le canapé lit et installe le drap et je finis de l’aider pour les oreillers, il va prendre deux bières et m’en tend une et plonge sur le lit, je m’assois aussi et m’installe correctement, lui a déjà allongé, me laissant voir son corps splendide, le slip est tellement rempli et trop petit pour lui qu’il laisse voir une moitié du pubis, mais Julien n’a pas l’air gêné, il s’excite en voyant le match et cri comme un vrai supporter, je ris de le voir comme ça, il trinque avec moi de temps en temps et repart dans son monde du sport, moi je me repose un peu, une fois terminé, il se lève, débarrasse en faisant des commentaires sur le résultat et part pisser et se laver les dents, une fois revenu, je le remplace dans la salle de bain et reviens me coucher, il est installé me dit «  je préfère ce côté et j’ai enlevé la couverture, car il fait chaud, je ne bronche pas et glisse sous le drap, j’essaye de trouver ma place que je le frôle d’une main au fesses et m’aperçois qu’il est nu, à me tourner le dos, comme moi aussi je dors nu je décide de faire encore pareil, j’ôte mon slip et m’endors, Dans la nuit, je veux reprendre du drap et le cherche, je tâtonne et tombe sur son bas ventre, mes doigts n’osent plus toucher, je peux ressentir les poils du pubis et sa grosse tige qui me frôle la paume, je lève la tête et n’aperçois pas assez le volume de sa bite, je lève la main et tire un peu sur le drap, je repars dans mes rêves en peu de temps, au matin, Julien est déjà en train de faire le café, il me sourit quand je m’aperçois que je drap est par terre et que je suis nu devant lui sur le dos à lui montrer toute mon anatomie, il approche et me donne un café, je suis gêné, car il insiste en regardant mon sexe en érection du matin, je m’assois sur le rebord du lit pour la cacher, il part se doucher, je me lève et cherche mon slip impossible de l’avoir, alors je me rassois, en attendant d’allez à la salle de bain a mon tour, j’attends et décide de faire le lit, je m’active nu pendant qu’il se douche, je n’ai pas entendu qu’il avait fini et le voit entre la porte à me regarder faire, il me sourit et repart se raser, je finis sans chercher à comprendre, une fois finit, il sort et me donne une tape sur la fesse, allez dépêche toi nous avons du boulot, je fais vite et une fois près nous inspectons le studio pour entre sur de ne rien avoir oublié, dans la maison, Julien décide de mettre la combinaison de protection de peinture, il l’enfile, je fais comme lui, une bonne demi-heure après, alors que je remuais la colle, je le vois ôte le haut de la combi et enlève le tee-shirt, renfile la combi, vers midi, nous stoppons et déjeuner sur place, il défait complètement la combi et reste tors nu, ses pectoraux sont tendus et musclés, il en joue pour m’impressionner, il me tape de temps en temps pour jouer et m’oblige à me battre contre lui, dans nos accolades, je peux ressentir la force de ce corps en me soulevant ou en me plaquant à terre, il vient de le faire et reste sur moi, une jambe entre les miennes et ces bras tiennent les miens au-dessus de ma tête, et me dit « fait attention a toi, tu sais que tu es à ma merci ici », et il se relève, se rhabille et range la nourriture avant de redémarrer, l’après midi passe vite car nous travaillons sans pause pour partir plutôt, vers 17h il m’annonce que nous arrêtons la, il descend de l’escabeau et range quels matériels pour demain, il se lave la figure et m’attend, je me presse de faire comme lui, il ferme la maison et nous voilà repartit vers le studio, il me propose de nous laver et d’aller chercher une pizza pour ce soir, « ok » dis-je, nous entrons et il ôte direct son tee-shirt, ouvre son bouton de jean et le glisse, par terre, sans se soucier si je suis d’accord, il se prend une bière en petite tenue, m’en propose une, et il s’affale sur le canapé, ce mec n’a pas de pudeur, je décide de prendre la douche en premier, je rentre dans la salle de bain, et me déshabille, me douche, quand je l’entends frapper, « tu es sous la douche la », «oui, pourquoi », « j’ai une urgence pour pisser, je peux entrer », je ne réponds même pas car il est déjà la, laissant même la porte ouverte, il me voit nu a travers les panneaux de glace transparente, je me tourne pour continuer à me laver en lui laissant voir que mon dos et mon cul, il n’hésite pas et tire son slip devant et laisse paraître sa grosse bite, qui fait partir un jet dans les toilettes, je me tourne pour voir sa tige, elle est grosse car je peux voir qu’il la tient au bout et que sa main n’est pas près de son corps, je regarde ma bite et m’aperçois que je bande un peu, je me mets de l’eau froide et gueule, il se tourne vers moi la bite a l’air pour savoir ce qui se passe, il glisse son slip a terre et attend que je sorte, j’hésite et ouvre les portes, sort en le frottant sans le regarder, il me donne une autre claque comme ce matin en disant « bien tu es tout propre pour dormir avec moi », je ne relève pas cette réflexion douteuse, il se lave pendant que je m’habille, une fois près je le vois venir en serviette autour de la taille, il a un corps très sportif ce qui donne en lui une assurance dans sa démarche, il approche pour prendre un slip dans le placard et fait glisser la serviette, je vois bien maintenant sa bite, un gros morceau de viande, d’au moins 20 à 22 cm, il ne me regarde pas pensant qu’il s’habille ce qui me laisse tout loisir d’en profiter, le slip qu’il vient de mettre est encore trop petit pour lui, je lui dis » et lui en propose un des miens, il les regarde et tombe sur un boxer, noir, mais un peu transparent sur les côtés, il me fixe et tire sur son slip, fait remonter le boxer sur ses cuisses et passe sa matraque a l’intérieur, je peux adirer son petit cul visible a travers le tissu, il entre dans son jean et passe un débardeur, ouvre la porte et me fait signe de venir, car je suis dans mon nuage en le regardant se fringuer, ce mec est vraiment beau, nous allons au supermarché du coin et achetons de quoi manger la semaine, il me demande si je cuisine, je lui dis qu’oui, ok nous partageons les tâches, toi tu cuisines, moi le ménage et la lessive, j’accepte avec enthousiasme car le ménage n’est vraiment pas mon fort, je lui demande ce qu’il aime et une heure plus tard nous rentrons à l’appart charge comme des mulets, il s’affale sur le canapé, ôte ses chaussures et tire sur son débardeur, je range dans le frigo quand il s’approche de moi, alors que je suis accroupi en train de mettre les salades et fruits dans les bacs, il vient juste sous mon nez mettre son gros paquets, le boxer étant pratiquement transparent sauf sur la partie centrale de devant, je vois, son gros sexe partir sur le coté et aller vers a hanche tellement il est long, il approche encore plus en posant son paquet sur mon épaule le temps d’atteindre une bière, il me sourit et me sort « il est vachement agréable à porter ton truc », et Il repart en laissant ses petites fesses se promener dans le boxer, je m’arrête net pour voir sans perdre une miette du spectacle, il s’assoit et me fait un clin d’œil avant d’allumer la télé, je m’attaque au repas, pendant qu’il se douche et revient en serviette, autour de la taille et l’a mise de façon très courte comme les serviettes dans les salles de sport trop petit en bas de la taille et tout juste plus bas que le pénis, mais ça lui va très bien, a mon tour de me laver pendant qu’il met la table, je reviens comme lui en serviette mais bien plus longue; nous dînons rapidement, il parle toujours même pendant une bonne émission, je l’écoute à moitié, uniquement pour pouvoir observer son corps, une fois fini de ranger, nous nous installons sur le canapé, il me dit « met toi a l’aise, fout toi a poil, tu me donne chaud avec ta grande serviette » et il repart dans sa télé, il ne me mate pas tout de suite, il attend que je m’installe et il se remets comme hier en allongent ses jambes sur mes cuisses, il me lance un petit sourire et regarde les pub, moi je ne regarde que la serviette trop courte et  laisse voir son gland qui fait la taille d’une clémentine, il est très membré on dirait, je le vois se tripoter de temps en temps, mais fais semblant d regarder la télé c’est à moi de choisir le programme ce soir, j’ai déjà ce que je veux voir sous les yeux, alors je lui laisse le choix encore cette fois ci, « non, non tu as le droit de voir tout ce que tu veux c’est ta soirée », je n’ose pas lui réponse qu’il aille se foutre à poil et tout ira bien, je reste calme et prend la télécommande et zappe, il pose des bras derrière la tête comme hier, mais la, je voir la serviette remonter un peu, et sa grosse tige apparaît bien maintenant, elle pend entre ses cuisse et se pose sur le canapé, comme il écarte bien les jambes je peux vraiment voir le beau membre, je ne trouve rien d’intéressant et lui rend la télécommande en lui disant que ce qu’il voudra me montrer me suffira, bien entendu c’était une porte que j’ouvrais pour qu’il comprenne ce que je voulais vraiment voir, il la reprend et se tourne de cote, se positionne pour bien entre installé, laissant sa serviette dans la position qu’elle était, c’est à dire quelle avait aussi tournée et que son petit cul était à l’air libre, la soirée c’est passé avec cette magnifique vu de ce type qui s’exhibe, le cul a l’air et très souvent en train de se tripoter, soit les couilles en levant une jambe, où se caressant la bite ou le gland, vers 22h30 je m’éteins pendant l’émission. Il se lève laissant choir sa serviette et me permettant de scruter son petit cul très joli, il part vers la salle de bain, pisse et revient passe sa serviette autour de sa taille et me réveille, « ok dodo, mon mignon », je m’étire et me lever pour aller moi aussi pisser, je me lave les dents quand il revient ses les brosser avec moi, il me fixe, « qu'est ce qu’il y a ? », « Rien, je te regarde, je n’ai pas le droit », « si évidemment », « alors laisse moi te mater comme je veux », et il se recule pour me reluquer des pieds à la tête, je souris, lui aussi, et je pars me glisser dans le lit en ôtant mon slip, il me rejoint une minute après et tire sur sa serviette avant de rentrer dans le lit, nous essayons de trouver une place chacun, moins d’une minute après, je le sens venir vers moi, son buste se pose sur le mien, et il prend la bouteille d’eau, l’ouvre alors qu’il est sur moi, la douceur de son corps, m’excite tout de suite, il boit doucement et referme la bouteille, il pose une main sur mon bas ventre et se retourne de l’autre cote, comment essayer de dormir avec un mec nu, super canon a cote et en lus avec une trique énorme, je m’endors malgré tout par la fatigue de la journée, au matin, il est toujours le premier, le drap en bas du lit lui laissant le droit de connaître mon anatomie sous toutes les coutures, il me dit bonjour, et part dans la salle de bain, presque un rituel du matin, je me réveille, avale mon café, et pars nu vers la salle de bain, il se douche, je me lave les dents en attendant, il m’aperçoit, et commence déjà à discuter de toutes sortes de choses, je le Laisse dire, il ouvre la porte et me demande une serviette alors que je me rase, sa nudité ne m’étonne plus, sa grosse matraque m’intrigue pourtant, il se laisse regarder et sort de la douche je finis mon rasage, et entre dans la douche, il a déjà enfilé un jean et un débardeur tout ranger le temps que je me prépare, j’enfile vite un caleçon, et m’habille avant qu’il me bouscule pour me presser, nous arrivons à la maison, il referme la porte derrière nous et ôte ses fringues, je le regarde faire, il m’a encore pris un slip, je ne dis rien, il enfile sa combinaison de peintre en ne gardant que son slip, je trouve çà rigolo car la combi est très légère Fine de tissu et un peu juste, ce qui laisse voir ses formes et il me dit « fais chier le boss c’est encore trompé de taille regarde moi j’ai l’air d’un saucisson, il décide d’enlever les bras et fait un nœud avec les bras autour de sa taille, je lui dis qu’il va avoir plaint de peinture, il me répond, « ce n’est pas grave, tu me frotteras ce soir », je ne réponds rien car je bande déjà à penser à la scène, nous bossons toute la journée comme des dingues, mais la maison est grande et je ne sais même pas, si nous aurons fini à temps fin août, 17h arrive, nous finissons notre dernier panneau et partons, dans le studio il me demande si je veux sortir ou rester ici avec lui, je lui dis que pour moi, n’ayant pas trop de fric, je suis bien ici, ok alors je me douche le premier, il se déshabille dans le couloir jette ses fringues et part nu dans la salle de bain, je n’ai rien fait pour cacher que je le regardais, et lui non plus n’a pas caché son début d’érection, la vache elle est très belle, grosse et encore je n’ai vu que le début, 2 minutes passent, et Julien m’appelle, « alors tu viens »,  je me pointe devant la douche, il se lave, et ouvre la porte, « tu viens me frotter le dos, tu l’as promis »,  je contredis Que je n’ai rien répondu, « oui, peux être mais tu m’as laissé faire, alors c’est pareil, déshabille toi et viens », je ne sais pas pourquoi je n’ai pas dis non mais j’ai ôté tous mes vêtements et j’entre avec lui dans cette petite douche, il se tourne et m’offre son dos, la peinture est assez facile à enlever, je fais les geste machinalement en admirant ce corps si près et que je peux toucher, ma bite réagit et se dresse un peu, il se laisse faire, lever les bras pour que je le lave, je descend vers le bassin, sa croupe est splendide, il me dit de continuer, je passe le gant sue ses hanches et va vers la raie, je glisse le gant sur les fesses les frottent et passe la main entre, il pousse en petit gémissement presque inaudible, je remets du savon et m’accroupi pour lui laver les jambes arrive au pied il se retourne, sa bite vient me cogner le visage tellement elle est grande et longue, il pose sa main dessus, tire sur le prépuce et me dit » vas-y, lave-moi en entier maintenant que tu as commencé, mes mains partent sur ses jambes et remontent vite sous ses bourses, pendant qu’il me met des coup de queue sur la joue, elle est dure et raide, ma main droite l’empoigne et le savonne, il pousse un gémissement de soulagement, il me sort « vas-y bébé, elle est à toi, tu vas l’avoir en entier dans ton petit cul d’ange », l’eau la rend propre et lisse, brillante, je pose mes lèvres dessus et avale, la clémentine qui lui serre de gland, mon dieu qu’elle est grosse, je ne vois que ce long tuyau et la base plein de poil, et j’avale encore, la longueur me faire un peu peur, il s’enfonce et laisse quand même un bon 10 cm dehors, il gueule que c’est bon, qu’il attend ça depuis deux jours, que j’aurai pu m’exciter auparavant, vu comment je me débrouille bien, je vais au plus loin de ma gorge et entame des va et vient qui le rend fou, il stop l’eau, me fait sortir, me donne une serviette et m’emmène Sur le canapé, il s’allonge et je m’accroupis parterre et continu ma sussion, il jubile et me mate en souriant, « j’adore, tu va l’avoir tous les jours, mon bébé », je n’en crois pas mes oreilles, j’aurais le droit de l’avoir que pour moi, génial, je m’applique pour qu’il ne change pas d’avis, il me prend la tête et me dit « , attention, si tu continu comme ça je vais jouir », et il me lâche, je n’arrête pas de faire de mon mieux, quand un cri lui viens de loin et que ma gorge prend dans le fond un premier jet de sperme, il se cambre et m’éclabousse les parois de la bouche de deux autres jets, j’avale de mon mieux, et il se crispe en déchargeant encore deux jets puissants et énormes, ma bouche et pleine, je ne peux pas tout avaler, ça coule sur le côté, il me bloque la tête sur a tige sans ce soucier de moi j’avale toujours, il se décontracte et me lâche, je déglutis sa bite et vois sortir encore du sperme, sa matraque avait de quoi me rassasier, je le regarde et caresse encore sa bite, il me laisse faire, je me lever pour prendre deux bières dans le frigo, le temps que je me retourne, il s’est assis normalement, et a toujours une trique énorme, je m’approche et il dit « punaise d’avoir vu ton petit cul d’ange j’ai la trique encore », je lui tends une canette et il se rafraîchit, pose sa bouteille et me tourne pour mater mes fesses, il pose ses pieds et ses genoux entre mes jambes m’écartent les pattes et les fesses avec ses mains, il plonge sa langue dans mon trou, sa langue part à la rencontre de mon anus et le lèche avidement, je sens des frissons me parcourir, il enfonce un doigt après avoir réussi a me dilaté de sa salive, je pousse en petit cri quand il entre en entier le doigt, les va et vient m’électrise, il prend du gel dans le tiroir et m’englue la rais et sa bite qui est dresser comme un obélisque, je me retrouve avec deux doigts sans broncher, il m’astique et j’aime ça, il se lève et passe sa gosse bite sur ma raie, ôte ses doigts et pose la grosse clémentine qui lui serre de gland sur mon anus et pousse, je mets ma main pour le dissuader, mais sa force est gagnante car je m’ouvre et mon cul accepte la possession, il reste figé le temps que je m’adapte à son gland en moi, et pousse encore je me mets à crier, il s’enfonce et je me sens transpercer, il me bloque le taille et pousse encore, je crois que tout y est, je passe la main sous mes bourses pour toucher sa queue et mes doigts me prouve le contraire, qu’il reste encore 10 cm, je passe ma main sur mes couilles quand il s’enfonce à fond et me poussent les parois anales, je cris de douleur mais lui rit d’être entièrement en moi, sa bite grossit encore, le sang agglutiné l’élargie, et fait pousser ma prostate de quelques centimètre encore, sans sortir, il me tourne et me fait poser les jambes sur le canapé, accroupi, je peux poser-me tête sur le dossier, mais je relève vite le cou quand il recule comme ci il sortait mais se renfonce d’un coup en moi, ses mains puissantes me bloquent, il profite de l’occasion pour  m’enculer à fond, mes chairs crient mais un bien être arrive pour me faire comprendre que je vais bientôt en redemander, et c’est ce qui arrive car il fait des va et vient doux, mais profond, la queue se forge un conduit mais le gland racle les parois, il s’acharne sur moi, je glousse des « vas-y », il stoppe, sort de moi, sa queue gluante est monstrueuse, en plein effort, je la mate pendant qu’il me tourne encore, lever mes jambes les pose sur ses épaules, dirige son sexe à l’entrée, il passe le plus difficile, le gland et pousse un râle de bonheur, il me saisit les jambes et va au fond de mon rectum, il me secoue sans relâche et me baise comme un dieu, il sait que j’aime et il en profite, « j’adore ton cul, il est étroit, mais assez profond pour moi », et il tire sur mes mollets pour me faire lever le cul encore un peu, pour s’encastrer en moi encore mieux, il me crie qu’il ne va pas tarder, que c’est trop bon, je me branle et il m’éjecte sa purée dans le cul, de grands coups supplémentaires me finissent et je jouis aussi, il sort et m’éclabousse de trois autres puissantes rafales de son cru perso, je le mate jouir, il est superbe, son corps entier est tendu, il s’affale sur le canapé a cote de moi et vient poser les lèvres sur les miennes, c’est la première fois qu’il m’embrasse, il me roule un patin d’enfer, j’aime être embrassé, il a l’air d’apprécier aussi, il me lâche et nous buvons le reste de bière en nous matant, je ne pensais vraiment pas que son gros truc puisse entrer en moi ou même chez quiconque, je me lève pour aller me doucher, je passe qu toilette avant car j’ai sûrement des dégâts de ce côté là, sous la douche je me tâte l’anus et trouve qu’il n’est pas ouvert plus que d’habitude, je ressors rassuré, et reviens dans la pièce principale il a déjà préparé le lit, il se promène à poil, sa bite se balance de droite a gauche, je suis toujours très impressionné en la voyant, il s’approche passe, son bras derrière ma taille et se colle à moi, en m’embrassant dans le cou, il disparaît dans la salle de bain, je m’allonge sous le drap et visionne la télé, il me rejoint 5 minutes plus tard, et me prend dans ses bras, je pose ma main sur son ventre et lui me caresse les cheveux, nous passons la soirée comme ça, vers 23h30 nous éteignions pour être frais demain, au matin il est début frais et déjà lavé, je me dépêche et nous repartons vers la maison, tout juste après avoir fermé a clé la porte d’entrée, il se met à poil et enfile la combinaison légère, je vois la forme de son gros engin, faire une bosse devant, il est très sexy dans cette tenue presque transparente, il me sourit et nous commençons, la matinée passe en bonne humeur, je le mate souvent et apprécie sa nouvelle tenue, il est sur l’échelle, je dois lui passer un pinceau, et je vois d’en bas, ce joli petit cul, bien ferme se dandiner, il faudra que j’essaye de me le faire quand même, ma bite réagit tout de suite, il me regards, et descend, descend la fermeture éclair et laisse apparaître son gourdin, qui se remplit de sang et passe de la verticale a l’horizontale, qu’il est beau comme ça, je m’accroupis et avale ce gland tout rosé, j’écarte au maximum et essaye de prendre le plus possible de longueur aussi, il me tiens la tête, et commence des aller retour, je suffoque un peu il lâche prise et je recommence, il m’encule la bouche et prend un pied a ne pas en douté, il se laisse faire et m’annonce qu’il va jouir, il gicle son premier jet au fond de ma gorge, il recommence à me tenir la tête et continu de jouir, je me force à avaler et il jette encore une razzia, je n’en veux plus, il se finit en refaisant deux autres mouvements bien profond et sort, sa tige est au plus grosse que je l’ai vu pour le moment il est fier de la mettre sous mon nez, je me relevé et lui donne une claque sur la fesse droite, fait gaffe car sinon ce soir c’est moi qui t’encule, et je vais me rincer les dents, il rit et s’essuie avant de remonter sur son échelle, la journée passe dans des attouchements plus ue douteux, pour finir dans une baise acharné dans le studio, je me suis laissé faire pendant toute la période des travaux, et je commence à prendre peur de ne plus le revoir une fois de retour dans notre ville, une fois dans le bureau du chef pour recevoir notre paie, nous avons pris un dernier pot en nous promettant de nous revoir rapidement, mais la semaine s’est terminée sans nouvelle, j’avais le moral dans les baskets quand j’eu un appel, me signalant qu’il fallait que l’on se voit, il s’est jeté sur moi en m’embrassant avec fougue, c’est à ce moment là que j’ai compris qu’il était dans le même état d’amour que moi, nous nous sommes déshabillés et sommes allés faire l’amour dans son lit, ça à été un de mais meilleur moment de ma vie, j’ai passé la nuit avec lui et suis repartit au matin lui promettant de revenir le soir même, ce que je fis pendant toute la semaine quand il me dit « tu ne crois pas que tu devrais venir vivre ici, avec moi », je n’ai pas cru qu’il comprenais ce qu’il disait au début, mais il insista tellement que j’ai fini par le faire, mes parents se sont résignés à mon mode de vie, tant que je ne quitte pas mes études, Julien ne fait plus de déplacements de gros chantiers extérieur, ce qui nous fait vivre un amour intense tous les soirs. Voilà, je vis depuis un an avec lui, nous sommes au regard des autres un couple, mes parents sont satisfait de mes études, et nous ont même aidé à trouver un bel appartement mais le mieux a été hier quand il m’a annoncé vouloir nous pacser, je lui  ai expliqué que nous ne pourrons pas avant deux ans encore de vie commune, mais que nous le ferons aussitôt, je peux simplement vous dire que j’ai réussi à avoir un bonheur parfait, dans l’amour de mon homme, de ma famille et dans le sexe car depuis hier, il a voulu me prouver qu’il m’aimait en m’offrant son petit cul, je vous laisse croire au délice que j’ai eu en le pénétrant.

Fin

 

 

Par gayshistoirescooletclean
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Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 16:55

Le Beau-père (Tim)

Voilà bientôt un an que ma mère se trouve dans un hôpital spécialisé depuis son accident, je vis donc avec mon beau-père « Tim », un homme de trente ans, ils ont un écart de dix ans. Il me soutient dans cette épreuve, garde espoir de revoir ma mère, nous avons appris à vivre sans elle pendant cette année, il a changé et discute beaucoup avec moi, il s’occupe de savoir si je vais bien, si mes études vont, me sort les week-ends dans des concerts ou restaurants, j’avoue ue j’apprécie à dix-huit ans d’être dorloté comme ça. Il ne rate jamais un soir de la semaine pour me récupérer du bahut, depuis que ma mère est absente. Il la remplace même dans ces gestes de tendresse, comme celui de se dire bonjour sur la bouche comme quand je le faisais avec ma mère, je sais que pour beaucoup, ça peut choquer mais pour moi, c’est un bisou d’amour fraternel. Cet équilibre entre nous, a fait naître en moi, un amour pour lui, surtout qu’il n’est pas mal du tout depuis l’hospitalisation de ma mère, il a décidé de faire une heure de sport tous les jours, il a installé sa salle de sport et dès que nous rentrons, il s’affaire à son hobby favori pendant que j’étudie, notre rythme de vie est bien réglé, une fois douché, il prépare le dîner, puis j’arrive pour mettre la table. Depuis deux mois, j’ai la chance de le voir avec le beau temps de plus en plus à l’aise et dénudé. Ce qui me ravie un maximum, car son corps se développe à une vitesse et laisse apparaître un corps athlétique et d’une grande beauté, il lui arrive de ne mettre qu’un caleçon ou un slip, ce soir il n’a qu’un slip mais c’est mon préféré, car il est un peu distendu et laisse voir un peu de son pubis, son sexe est gros, je l’ai déjà vu une fois en sortant de la douche, alors que j’étais en retard pour aller au bahut, il prépare le repas, s’active alors que je ne me gêne pas pour le détailler, son petit cul aussi est beau, bien bombé, proportionné par rapport à sa taille, une fois prêt, il repart dans sa chambre et enfile un short, j’ai décidé que moi aussi j’allais me mettre torse nu, nous dînons quand j’enlève mon tee-shirt, il ne dit rien. Je remarque quand même ses petits regards sur moi, j’aime bien, nous débarrassons quand involontairement en rangeant, je tombe sur lui, nos corps s’unissent, se collent, son visage est très près du mien, je sens ses mains me retenir par la taille, un vrai délice, cette vision d’être dans ses bras, sentir sa force masculine, il me relâche trop vite à mon goût, mais le courant est passé entre nous, son sourit n’a pas caché son désir, il faut absolument que je trouve un moyen de réitéré cette situation, la soirée se termine par un petit baiser tremblant. Deux jours plus tard, nous décidons d’aller à la mer, la voiture file sur l’autoroute pendant que j’étudie les sites à visiter, mais surtout il nous faut un hôtel, tout est pris d’assaut, nous en trouvons un, le réceptionniste nous signale qu’il n’a qu’une chambre à grand lit, Tim a répondu « ne vous inquietez pas, mon fils dormira avec moi, « c’était la première fois qu’il parlait de moi comme son fils, une fois dans la chambre nous déposons rapidement nos sacs et repartons nous promener, de retour après un bon dîner et avoir jouer aux machines à sous, nous montons dans la piaule, je me déchausse et pars me laver les dents pendant que Tim va aux toilettes, il ressort et se déshabille, je peux le voir dans le grand miroir de la salle de bain, ce mec à vraiment un très beau corps, il entre et se met à côté de moi, il se brosse les dents, je le sens si proche ue je commence à transpirer de désir, je suis aller aux toilettes, il était encore dans la salle de bain, quand je me suis décidé à me déshabiller, je me sentais tout drôle de me dévêtir devant lui, il entra quand je suis en slip, mon sexe commença à gonfler, je lui demande de quel côté il veut dormir, il décide de prendre à droite, par habitude, je m’installe donc dans ce grand lit uand d’un coup, il ôte son slip et glisse dans le lit, j’ai pu voir son joli petit fessier, je suis comme un enfant, tétanisé de dormir avec un apollon, il se tourne vers moi, ses lèvres viennent rejoindre les miennes, je savoure ce délicieux moment, surtout qu’il pose sa main sur mon ventre, il le comprend, fait une pose et m’en redonne un plus tendre, mais franchement chaud, sa langue vient toucher la mienne, je bande comme un fou, il me dit de dormir maintenant, je ne peux plus, je suis trop excité, j’attends qu’il soit endormi et me lève pour m’enfermer dans les toilettes, ma trique me fait mal, je me branle avec tellement de frénésie que je jouis rapidement, mon retour en silence passe inaperçu. Le matin, je sens Tim se lever, j’ouvre les yeux et l’admire nu se dirigeant sans complexe vers la salle de bain, non d’un chien mon sexe reprend aussitôt sa raideur, comment faire, je dois me concentrer sur autre chose, la douche coule, j’en profite pour me lever tout en tenant mon sexe en cas ou il sortirait, je referme la porte des toilettes, de retour dans la chambre, il est déjà là, en caleçon, je suis nu, je cherche à me cacher en avançant, il me fixe, ne se retourne pas, ni ne change de direction son regard est sur moi, je décide de me montrer complètement, le pdj est sur la table, je ne me rhabille pas, il ne dit rien de mon comportement, m’observe simplement, je découvre qu’il a sa main sous la petite table, il me fixe tout en avalant son café, une fois fait, je me relève pour aller me doucher, m’arrêtant devant la table pour qu’il me regarde bien en détail, il finit sa tasse et me rejoint pour se raser, je sais u’à travers le verre de la douche, il m’observe, j’en profite pour me caresser un peu, quand je sors, il me tend une serviette, je sors dehors et commence à m’essuyer le dos, je ne peux qu’approuver quand derrière moi il peut admirer mon petit cul, sa peau glisse sur la mienne, je me sens divaguer, dois-je me retourner ou attendre que sa main qui hésite aille plus bas, mais elle glisse sur le côté de mes fesses pour me retenir, la serviette vient m’entourer la taille, et il repart dans ses soins personnel, je finis de m ‘essuyer sans rien paraître, tout en le laissant, me voir dans la glace, ce qu’il ne manque pas de faire, il me sourit mais ne prononce rien, toute la journée se passe dans cette complicité intime. En rentrant à l’appartement, je suis en ébullition totale, je crois que je vais lui sauter dessus, tellement il m’excite, je m’enferme dans ma chambre pour me calmer, il s’agite en cuisine et me demande de venir mettre la table, j’arrive et m’exécute, je n’arrive pas à me défaire de cette obsession, il est comme d’habitude, calme et agréable, c’est moi qui fabule, notre dîner terminer, nous passons au salon, rien ne me plait à la télé, j’abandonne Tim et me retranche dans ma chambre, je me couche et attend qu’il vienne me dire bonsoir, la porte s’ouvre laissant apparaître une luminosité autour de lui, sa carrure prend encore plus de volume dans l’encadrement, il s’approche dans le noir, sa silhouette est de plus en plus proche de moi, il s’assoit sur le lit posa sa main sur mon torse, dénudé et vient poser ses lèvres douces et chaudes sur mon téton droit, et remonte dans le cou pour effleurer mes lèvres, ma main qui était sur le matelas vient se mettre sur sa cuisse, je ne peux m’empêcher de lui caresser, alors qu’il me redonne un autre baiser, je sens cette langue, cette fois entrouvrir ma bouche alors que je remonte sa cuisse pour tomber sur ce caleçon qui laisse libre accès à son intimité, il relève la tête mais ne bouge pas, ma main continu son ascension, et bute sur cette chair qui ne devrait pas se trouver là, elle est douce, il pose sa main sur la mienne et la serre entre ma main et son sexe, j’étais aux anges, je touchais le sexe de Tim, ce que je désirais le plus au monde, mais le rêve se cassa car il se releva et sortit de ma chambre, avec un « bonne nuit, fait de beaux rêves, l’enfoiré m’avait complètement allumé et maintenant il me disait d’aller me faire voir, la porte n’était pas encore fermée que je pris ma bite et me branla pour me jouir dessus en à peine deux minutes. Au petit matin, il vint me réveiller mais ne rentras pas dans la chambre, j’enfila un caleçon et me dirigea vers la cuisine, rien ne sortit de sa bouche sur ce qui s’était passé la veille, arrivé au bahut, il me dépose et au moment de me dire « bonne journée », il approcha doucement ses lèvres des miennes, me fixe en m’embrassant tendrement, je vécu une journée de trouble, jusqu‘à son arrivée vers 17h, en entrant dans la voiture, je me retiens sinon je lui saute dessus, nous nous disons bonsoir en même temps que nos lèvres se rejoignent, il fit rouler la voiture en discutant de sa journée et des choses à faire dans la semaine, la maison à nettoyer, le ciné du jeudi, le repas de bienvenue de sa mère, samedi etc.… Une fois dans la maison, il me regarde en autant son tee-shirt, et me dit qu’il va faire du sport, pour se détendre, je pars dans ma chambre faire mes devoirs, quand j’entends « merde, la vache », je me précipite pour savoir ce qu’il a, il était à allonger sur le banc de soulèvement de poids, les jambes écartées montrant son splendide entre jambe dans ce short ample, et me sort « je viens de me péter le dos », il se relève difficilement, je lui demande si ça va « oui, t’inuiètes pas, je vais prendre une douche et ça ira mieux », je le vois faire quand même une grimace et je finis de ranger mes cours, pour aller l’aider à préparer la bouffe, il a ressortit son peignoir, chose assez rare depuis quelques mois, je l’ai aidé du mieux possible jusqu’au moment après le dîner, il me demande « tu pourrais me masser le dos stp, j’ai un peu mal », il avait l’air sincère, je lui dis « aucun problème, où est la crème, va t’allonger », je prends une serviette, une fois devant le lit, j’étends la serviette, et le vois ôter son peignoir, il s’allonge nu, je ne m’attendais pas à ça, même si dans mes rêves, les plus fous, son corps est parfait ses muscles du dos montrent les efforts fournis depuis un an, il lève les bras vers sa tête et attend, je ne savais plus quoi faire, je pris le tube et en mis dans mes mains et sur ses épaules, le massage commença, j’étais sur le côté, toujours en caleçon, torse nu, je me mis à poser mes deux mains sur lui, plutôt agréable pour les deux, enfin moi je fantasmais complètement, je jubilais de le toucher, ma queue se raidissait toute seule, je fus vite arrivé à ses hanches, son petit cul était une merveille, il le soulevait ce qui lui donnait un côté galbé, mais musclé, il me demanda par la même occasion de lui faire aussi les jambes qu’il écarta du coup, je me positionna et pu voir son sexe logé au milieu, plus je montais plus j’approchais de sa bite, en massant ses cuisses, je le touche plusieurs fois, je vois qu’il grossit, je passe à son petit cul, rien de plus beau chez un mec que son cul, quand j’ai l’impression d’avoir fini, il se retourne et m’exhibe sa totale nudité de face, avec une bite en érection, belle et grosse, il me fixe en me disant « continu de ce côté, tu me feras du bien, j’en suis sûr ». instinctivement mes mains se posèrent sur le magnifique torse, et le massage repris, pour cinq minutes avant d’atterrir dans le bas de ses hanches sa tige avait encore grossit, c’était raide, il ne la cachait pas, mais j’étais très surpris de constater, ‘un si gros morceau existait, il me sourie « c’est normal,  comme réaction », et là, je mis ma main droite entre ses cuisses pour accéder à ses bourses, il écarta les jambes pour me laisser libre accès, je mouillais grave, son sexe était droit devant moi, il voulait que je lui prodigue des caresses, sûrement, je ne tarda pas à me lancer, ma bouche du accomplir ce rite tout seul, je n’avais pas d’expérience mais j’eu aucun mal à savoir ce qu’il fallait faire pour lui donner du plaisir, ma bouche s’approche de son pubis, je me mets à le lécher et hume sa toison pubienne, il me sortit « je réagis aussitôt » et passe ma langue sur sa hampe, remonte jusqu’au gland que je lape d’extase, il me regarde avec un sourire radieux, alors que j’engloutis sa tige en m’écœurant, il bouge un bras et le pose sur mon dos, me caresse alors que je le pompe du mieux possible, je sens sa main glisser sur mon corps pour se diriger sur mes fesses, ma bite est à son maximum, il me touche, je jouis mais sa main est pour l’instant en train de tripoter mon fessier, ma bouche avale et recrache dans un va et viens régulier, il commence à se tordre de plaisir, me dit qu’il n’a pas jouit depuis une semaine, et il m’écarte pour que je vois une grosse giclée de sperme jaillir de son gland, quel splendide spectacle, ce jet fut suivi par d’autres moins puissants mais tout aussi important en quantités ses petits râles communiquent parfaitement avec ses soubresauts de plaisir, il m’attrape la fesse et glisse un doigt sur mon anus, mais l’accès n’ai pas facile, il glisse son autre main sur le côté et saisit mon sexe, ce ui arriva, je me mis à jouir dans sa main, il me fixa, sa bite ne débandait pratiquement pas, j’étais jaloux de ce corps tout entier, tellement il était beau, une fois terminé son massage, il se redressa et posa ses lèvres aux miennes, un baiser formidable, il me dit que je devrais aller me laver les dents maintenant et aller me coucher, je m’exécute sans dire un mot tellement, j’ai dans la mémoire encore tout ce que je viens de vivre, il reste allongé, une bonne nuit se fit de la porte de nos chambres ouvertes. Ce n’est que le matin très tôt que je décide d’aller le rejoindre, alors que j’avais pratiquement pas dormi de la nuit, il était dans son lit comme un bébé, je soulève les draps et m’engouffre dedans, il réagit en me serrant près de lui, en se blottissant très près de moi, je jubile de le voir encore endormi, passant sa main sur mon ventre, sa respiration est légère, mais le réveil sonna, nous nous sommes levé, tous les deux nus, nos regards détaillant mutuellement nos corps réciproques, il enfile un caleçon, mais j’aperçois qu’une bosse déforme le tissu, dans la cuisine nous nous organisons pour le retour de ce soir, la douche et nous voilà partit pour le bahut, arrivée sur le parking, je veux lui dire bonne journée quand il me sort « ce soir, tu voudras bien me faire un autre massage », je souris avec un « oui, avec plaisir », et je le vois partir, ma journée ne fut que bonheur, faite de rêve et d’attente du soir. Une fois 18h, je sors de mes cours et le vois dans la voiture, je me précipite et glisse à l’intérieur, je m’approche de son visage, et lui donne un petit baiser furtif sur les lèvres en posant bien ma main sur sa cuisse pour qu’il comprenne ce que j’attendais de lui, juste le temps de refermer la porte  de l’appartement qu’il me pousse dans sa chambre, ôte ma chemise, pendant qu’il vire ses pompes, je suis excité un maximum, je ne vais pas réussir à résister, je pose mes mains sur son tee-shirt et le soulève pour le déshabiller aussi , nous savons maintenant tous les deux qu’il n’y aura pas de massage comme hier soir, mais de la baise, ça c’est sur, mon fut tombe, lui montrant ma bite tendue dans le slip, il s’agenouille et le glisse à mes pieds, je suis complètement nu à sa merci, il approche ses lèvres et engouffre la totalité de mon sexe, je pousse un râle de plaisirs sa bouche s’active comme s’il avait toujours sucé des bites, je le repousse pour ne pas jouir tout de suite, il se relève et se déshabille, je mate ce corps si musclé quand j’aperçois son braquemart sortir du slip, je fais un « oh », d’étonnement, il bandait si dur, je n’en revenais pas, son gland était tout humide d’excitation, je pris la même position que lui tout à l’heure, à genou et saisis son sexe de ma main droite, il avait une trique d’enfer, ma langue fit une remontée remarquable sur sa tige, je ne suis pas séparer d’elle pendant 10 minutes, il gémissait des « encore bébé », j’étais aux anges avec ça dans la bouche, il le savait en me regardant , je sentis qu’il me relevait et m’allongea sur le lit, les jambes écartées, j’enfouis ma tête dans l’oreiller alors qu’il plaqua sa langue entre mes cuisses, il écarta mes fesses et y engloutit sa langue qui cherchait un passage dans mon anus, après cinq minutes de lécher approfondit, je compris ce qu’il voulait, ses doigts entraient comme dans du beurre, sa langue me fouillait aussi, je bouillais de partout à chaque endroit qu’il touchait, ce qui me cambrait encore plus, il put donc sans aucun mal, mettre sa grosse tête de gland du premier coup, je releva la tête, surpris du manque de douleur, alors qu’il commençait à me défoncer, je le voyais jouir des yeux, ils brillaient, une fois entré, il stoppa et me demanda si j’allais bien, en réponse, je me suis  mis à bouger du cul, pour lui faire comprendre mon désir d’être encore baiser, il posa ses deux mains sur mes hanches et fit subir en entrant à grands coups de butoir son sexe, je n’en pouvais plus, au bout de 10 minutes de bourrage, ce type était infatigable, il me changea de position , releva mes jambes et s’encastra encore en moi, j’étais stupéfait de pouvoir prendre un pied aussi bon avec mon beau-père, il n’avait aucune gêne de me prendre en tout cas, ses coups devenaient de plus en plus pressés, quand je vis son visage s’éclaircir, la bouche ouverte, il se mit à jouir en moi, ma purée partit aussi, nous finissions de faire couler nos spermes dans une communion totale, il rentre en moi, en me faisant toujours, « tu n’as pas eu trop mal », il sourit de moi regarde mon petit trou meurtri « tu voudrais … plus vieux que toi », « tu rigoles, 10 ans et tu n’as pas remarqué que nous avions pris un super pied tous les deux » , «  si j’ai rarement eu un orgasme aussi fort », et il se couche à côté » de moi, son sexe endolori se pose entre nous quand il se frotte à moi, je sais que nous aurions d’autres moments aussi fort quand il me serra contre lui, ma main se promena sur tout son corps , s’arrêta très souvent sur son sexe, il ne broncha pas, me laissant découvrir son corps dans les moindres détails, à force de le tripoter, je vis revivre son sexe, qui grossit de plus en plus, ne me laissant plus le choix que de le branler au lieu  de le caresser, sa bite était superbe ma bouche, lui prodigua ce qu’elle voulait, il me laissa faire, je disposais de tout son corps à ma guise, j’ose passer ma main entre ses cuisses, mes doigts partent entre sa raie et trouve difficilement son anus dans cette forêt de poils, ma bouche remplie de cette chair ne s’arrête plus de travailler. Il se cambre tellement, je lui donne du plaisir, il prend ma taille, me saisit les hanches et m’oblige à m’asseoir sur lui, il la dirige sur ma raie, et me pénétrer en douceur sa bite s’encastre en moi j’étais au 7eme ciel,  il me fit comprendre que je devais monter et descendre, ce que je fis, le résultat fut extraordinaire, j’avais l’impression de le manipuler, que c’était moi le maître mais très vite sa domination masculine a repris le dessus, en me bourrant à vive allure, je subissais ce sexe de 25 cm sans bronche, mais surtout avec désir, il ne me laissa plus le choix, je vis mon sperme sortit et s’éclater sur son torse pour finir sur son front, la vision de ma jouissance le fit jouir encore en moi, je sentais bien son sexe au fond de mes entrailles grossir pour laisser sortir ce surplus de sperme, je ne voulais plus qu’il sorte, je me suis allongé sur lui laissant son sexe emprisonné dans mon anus, nous nous sommes endormi ainsi une bonne heure, notre réveil fut des plus tendre après une douche bien mérité. A partir de ce jour nous avons fait chambre commune.

Fin

 

Par gayshistoirescooletclean
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