Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 09:14

Le Tatouage (Franck)

 

Mercredi, après plusieurs hésitations, je rentre dans la boutique de tatouage, je regarde les modèles, tombe sur un qui me plait et demande si c’est possible de prendre rdv. La jeune fille me dit de patienter, que Franck va venir voir avec moi. Dix minutes passent, j’ai le temps de changer trois fois de sujets, un mec grand brun arrive, très beau, un visage d’ange, mais très mec quand même, son débardeur laisse voir toute sa musculation. Il me demande de venir, je le suis dans une petite pièce, il s’assoie et me propose de faire comme lui «alors quel modèle t’intéresse», « je pensais à celui-là, le petit centaure », « oui pas mal, et ou veux-tu l’avoir », « Heu ! » Je rougis un peu, le fixe, il attend ma réponse, « dans le bas du dos » « ok, où exactement, lève toi et montre-moi », je m’exécute et lui montre à travers le jean le haut de ma fesse, il fait «ok, bon sur la fesse, il faut que tu me montre, car si ta peau n’est pas ferme, je ne pourrais pas, baisse ton jean » je le fixe d’étonnement, et déboutonne mon fut, qui glisse sur mes chevilles, j’ai l’air ridicule. Il s’approche de moi, s’agenouille, met ses mains autour de ma taille, me fait pivoter, je lui tourne le dos maintenant, il fait descendre mon slip et commence à tâter mes fesses, il les pétrit, les malaxe, les écarte. Il me demande de me pencher, je tourne la tête et le regarde bizarrement, « oui, c’est pour connaître l’élasticité de ta peau », je me penche en avant, il recommence à m’écarter les fesses, il peut maintenant voir ma rosette. Je n’ose pas bouger, il me dit de me relever, mais ne lâche pas mon cul pour autant, « bon, tu le veux là », « heu ! Oui », « tu es sûr », il se met de côté, met sa main gauche sur mon pubis et l’autre au bas de ma fesse, et presse, « ok tu as une belle peau, ce sera sympa de la travailler », il a glissé sa main du pubis à mon entrecuisse, ses doigts touchent mon sexe qui commence à bouger tout seul. Il me lâche, se relève, je remonte vite mon slip et mon jean, « ok, tu es libre demain » « ben, quand vous voulez, je peux facilement me libérer », « alors, tu n’auras qu’à venir demain vers 18 h 45, nous commencerons l’ébauche ». Je lui serre la main et ressors content d’avoir fait le pas, mais inquiet d’être tripoter comme ça par un mec. Le jeudi, il me dit de m’asseoir, qu’il finit une cliente, 19 h arrive vite, la personne part, l’employée aussi, il ferme la porte, « bon à nous », je n’ose pas lui répondre, il m’intimide, il est musclé dans son tee-shirt et ses pectoraux se tendent sans grand effort, j’aime les regarder mais je ne suis pas homo pour autant, Je le suis dans une autre pièce. Il me dit « ok met toi à poil, et monte sur la table », j’hésite, défait mes chaussures, enlève mon jean, le slip glisse aussi et m’allonge, il me regarde tout le temps. J’ai un drôle d’impression d’être offert à ce type. Il s’approche, soulève mon tee-shirt vers mes épaules, il m’explique ce qu’il va faire avec le feutre, d’abord un dessin, tout en commencent par me tripoter le cul. Je le laisse faire, je trouve même agréable d’être malaxer comme ça, il glisse de temps en temps, sa main dans ma raie, m’écartant les fesses, un doigt vient se poser sur ma rosette, je me cambre un peu. Mais il ne l’enlève pas pour autant. 20 h arrive, il me dit qu’il va arrêter, mais il laisse sa main sur mon cul, il me caresse l’autre fesse, je le regarde. Il se lève et me dit « ok, tu ne te laves pas la fesse, jusqu’à demain. Si tu peux éviter de te faire toucher la fesse ce soir, ça m’arrangera pour la suite ». Je lui réponds sèchement «ce n’est pas dans mes habitudes de me faire tripoter », tout en me rhabillant, « excuse-moi, je ne voulais pas dire ça, comme je dois travailler sur ta jolie petite fesse, j’aime bien l’avoir pour moi seul, le temps du tatouage, évidemment », ses allusions me troublent. Je le quitte avec suspicion. Vendredi, même scénario, 18 h 45, je me déshabille complètement vu qu’il me connaît à poil, m’allonge, j’attends, il prend son temps, j’ai le cul à l’air, et lui il me parle, il vient près de moi, met sa main sur ma fesse, l’observe, l’écarte vraiment, il peut voir mon trou du cul tellement il tire. Il me dit « tu peux te mettre à cheval dans le vide, comme ça j’aurai plus facile pour te tenir pendant que je m’occuperai de ta fesse. Je m’exécute, laisse tomber ma jambe vers le bas, j’écarte l’autre sur la table, ma bite pend le long de ma cuisse, il peut maintenant voir toutes mes parties les plus intimes. Il me tripote sans hésiter, il pose sa main sur mes bourses, et va vers ma raie, je me sens à ça merci, il me met un gel qui coule de ma fesse jusqu’à mon trou, je sens ses doigts me malaxer, dérapent sur mon anus, il va directement mettre un doigt sur ma rondelle, et force, je rouspète mais trop tard, il s’introduit, je serre les fesses, mais il ne me lâche pas, il force toujours, commence un va et vient, je cherche avec ma main à l’enlever, je me cambre, je lui cris d’arrêter. Il me soulève, continu sa pénétration tout en se désapent, je vois sa bite surgir près de mon visage, je n’avais jamais vu une aussi longue, elle fait 27 cm, il bande comme un taureau, elle est énorme. Je ne peux m’empêcher de la mater, mais il ne cherche qu’à me labourer le cul avec ses doigts, je transpire comme un malade, il me transperce, sa bite se rapproche de ma bouche, il me presse la tête avec une main, je me retrouve avec sa bite contre les lèvres, il m’oblige à ouvrir ma gueule, je me sens tout drôle avec cette teub dans la gorge. Il s’astique dans ma gueule, mon cul est en feu, je prends même du plaisir à sentir ses doigts bouger dans mon trou, je gémis, il n’hésite pas à me labourer et entre plusieurs doigts, j’ai l’impression de m’ouvrir complètement. Je le lèche, sa bite est trop grosse pour ma bouche, il lâche mon cul en feu, et vient se mettre entre mes jambes, mon sexe regorge de sang, j’ai mal tellement je bande, il amène son gland à l’entrée de ma rondelle, il pousse, entre d’un coup, je hurle qu’il arrête, bien sûr il s’enfonce encore, je me crispe à la table, il me baise au fond de mes entrailles, j’adore ça, il me laboure avec sa teub gigantesque, je me vois jouir sans me toucher. Il me tringle comme un chef l’enfoiré, ne me lâche plus, il fait des vas et vient sans se soucier de moi, il s’active encore une éternité et éjacule sur mes fesses, je m’effondre. Il se penche pour être près de moi, je lui avoue que c’est la première fois que je me fais prendre, il sourit « je sais, j’ai vu que tu avais un petit cul de puceau. C’était trop tentant et très bon, tu me plais beaucoup, tu es libre ce soir », « oui, que proposes-tu ? », « Eh ! bien, nous pourrions aller au resto et aller chez moi après », l’idée était très alléchante. Il me dit « bon je ne peux rien faire ce soir, tu me trouble trop, on va manger ». Une fois au resto, nous commandons, ce mec est envoûtant, il est très beau, très mâle, avec une gueule d’ange, il est sexy, plusieurs mecs le matent, je lui dis « pourquoi moi ? »  Il me sourit, « parce que tu me plais », « non, tu peux avoir beaucoup mieux, regarde les, ils bavent devant toi », « oui, et alors, toi non, pourquoi ? », «et bien, je ne suis pas homo », « que tu crois, tu as pourtant aimé ce que je t’ai fais ! », « oui, mais ça ne change rien, regarde bien celui-là. Il est craquant, et il te mate », « justement lui, il est craquant, toi tu me plais », nous passons une excellente soirée, et sortons du resto un peu saoul. Il m’emmène chez lui, un magnifique loft, et là. Il commence à me déshabiller, il fait pareil, je me retrouve vite dans son lit. Il passe un doigt dans mon trou, je sens la douleur de tout à l’heure, il me retourne. Il est très fort, il me bloque les jambes, les écartes, il me brusque, j’aime bien ça, il se saisi du gel, me badigeonne avec, en met sur son sexe, et propulse son gland dans mon trou, « aie ». Il s’enfonce, je gueule. Il me remplit le cul, putain, j’ai encore plus mal que tout à l’heure. Il s’excite, me viole presque, je me sens d’un coup, tout chaud, avec cette grosse bite dans le cul. Il fait ses vas et vient, je ressens de l’excitation, je remue mon postérieur. Il me dit à l’oreille qu’il est avec moi parce que je suis un super coup au pieu. Que sa bite est en feu avec moi, qu’il adore me prendre, que mon trou le happe bien, que sa grosse queue en redemande autant qu’en veut mon cul, punaise. Il m’excite avec ses phrases à la con, il s’acharne sur moi, comme une bête, je m’en prends plein le fion, il n’arrête jamais, me retourne. Il me lève les jambes et me rempli le cul, qu’il est beau, je vois ses magnifiques yeux émeraude, son visage angélique et son corps en pleine action, il me sourit, et s’active de plus en plus en moi, j’aime sa queue. Il me ramone, me rempli avec ses 27 cm, je la sens buter au fond de moi, la vache je n’avais jamais pris un pied comme ça, je jouis. Il sort et m’éjacule au visage et sur le torse, il n’arrête pas, encore du sperme, il s’écroule sur moi, me tient le visage, m’embrasse, me lèche le sperme qui reste, je lui rends son baiser. Il me dit « au dodo, car je bosse demain, tu peux venir me voir si tu veux, mais au fait, il est hors de question que tu te fasses un tatouage. J’adore trop ton petit cul pour le voir abîmé, il est trop beau comme ça, d’accord ? ». Je m’étire dans ses bras m’essuie, il me caresse, nous montons le drap et nous endormons comme des enfants, l’un contre l’autre. Samedi, il me réveille, il est 9h, il me cajole, me donne des baisers tendres sur tout le visage, me presse tout contre lui pour garder le souvenir de mon corps toute la journée, nous nous levons, il commence à 10h. Il me dit que nous n’avons qu’à nous retrouver, ce midi pour manger, « ok, je mange avec un ami, ce sera parfait pour les présentations », « comme tu veux », « bien sur que je veux », nous nous séparons devant le porche, je flotte sur mon nuage, midi arrive vite, juste le temps, de me changer, et cours les retrouver. Je tombe nez à nez avec Franck et son ami, ils m’attendaient, son copain me dévisage, et s’adresse à Franck « putain, fait chier, mais comment tu fais pour trouver des mecs comme ça, j’en ai marre moi ». Je regarde Franck pour comprendre, «t’inquiète, il est déjà jaloux, rien que savoir que c’est moi qui fait l’amour avec toi », je rougis, n’ose pas regarder le type. Il me prend le bras, alors que Franck me tenait la taille, « tu n’aurais pas un frère, stp dis oui », « désolé, non je suis fils unique ». « Merde, fais chier Franck, tu n’as pas le droit d’avoir un mec aussi beau, c’est dégueulasse de vous voir tous les deux ensemble, tu pourrais choisir un mec normal, moyen ». Je lui dis être normal. Il me regarde l’air méchant, « toi, avec ta frimousse de Brad Pitt et de Tom Cruise réuni, tu ne vas pas me faire croire que tu ne le sais pas », je ris de l’opposé de ses comparaisons, Franck me dit « il t’adore déjà. Il me fait une scène, mais il est trop comptant que je sois pris pour récupérer les autres mecs », « salope, tu me prends vraiment pour une traînée », « eh ! oui, mais tu es mon pote », c’est vrai que les mecs et des filles nous regardent, je n’avais jamais fait attention aux regards des autres avant, nous allons dans un petit resto, le serveur nous sort « alors les beaux gosses, je vous sers quoi ? », je regarde Franck, il me tient la taille et ne me lâche plus de l’heure du repas, après l’avoir raccompagné, son pote me dit vouloir faire les boutiques et me demande de l’accompagner, j’hésite. Franck me dit « je préfère que tu ailles avec lui comme ça il te surveillera, et toi si tu touches un de ses cheveux. Je t’étrangle, mais surveille le car je pense qu’il va faire tourner la tête à plus d’un mec».  « Ok patron, allez viens, laisse travailler ton mec pendant que nous allons claquer du fric ». L’après midi passe vite, je le quitte après avoir été traîné dans différents endroits gay, je pense qu’il l’a fait pour que je sois vu avec lui, c’est vrai que pas mal de mecs me mataient, je ne savais pas que je plaisais autant, il me dit « dommage, j’aurai bien voulu venir à votre soirée, mais je suis déjà pris », nous nous quittons. Il me crie à demain, je vais chez moi, me change, j’ai acheté sur les conseilles d ‘Emmanuel, un tee-shirt et un toile. je me douche, me change, et sors pour retrouver Franck. il m’appelle pour que nous nous retrouvions chez lui, car il doit se doucher. Il m’ouvre, il est en serviette de bain, il s’est douché, il est super canon, je le prends par la taille lui caresse les fesses sous la serviette. Il m’embrasse, « tu m’as manqué, ça a été avec Emmanuel, il ne t’a pas trop embêté », « Il m’a promené comme un trophée, c’était rigolo », « oui je vois, Monsieur en a profité pour faire croire qu’il était avec toi ». « Je ne pense pas, je crois qu’il voulait simplement me faire découvrir le milieu gay », « tu parles, je le connais ». Il s’accroche à mon pantalon, me dit « tu es très mignon dans ton petit fût moulant et ton tee-shirt sexy », « c’est Emmanuel qui a choisi », « je ne vais pas te lâcher d’une semelle, ça c’est sur ». Il m’annonce que nous allons à une crémaillère, « j’ai rien », « t’inquiète prend une bouteille de champagne dans le frigo et j’ai achète un cadeau », « bon nous y allons, mon chéri ». Il est lui aussi en tee-shirt qui laisse voir comment il est super bien fait, il a glissé dans un cuir qui fait sortir son petit cul, a damné, je m’approche, lui dit que je m’occuperais bien de son petit cul, en lui massant les fesses. Il tourne la tête, m’embrasse, « j’y compte bien, mais je suis plutôt actif, nous verrons si tu es sage ». Il m’emmène par la taille nous penons le métro, plusieurs personnes, nous regardent, je ne comprends pas pourquoi, Franck me dit  « tu ne t’es jamais vu dans une glace toi », « si pourquoi », « je n’arrive pas à croire que tu ne t’aperçoives pas qu’ils ont envie de te manger tout cru, ce n’est pas moi qu’ils regardent », « tu rigoles, je ne fais rien », « justement tu es toi, et ça c’est le must de la provoc ». Je n’ose pas les regarder, Franck me parle normalement, il me fait un clin d’œil, j’ai envie de l’embrasser, mais il me devance, s’approche de moi, pose tendrement sa bouche sur la mienne, je trouve ses lèvres douces, agréables, les gens nous fixent, nous sortons du métro, « pourquoi tu as fait ça », « je ne veux pas qu’ils croient, qu’ils pourront t’avoir même dans leurs rêves ». Je lui donne une tape sur la fesse, il rit de ses splendides dents blanches, « oui, oui, continu », « tu vas voir ce soir si tu diras la même chose », nous arrivons. Franck me fait entrer et me tient la main, plusieurs mecs accourent, je sens leurs regards se fixer sur nous, je jette un œil à Franck. Il me glisse à l’oreille, « t'inquiète, ils n’ont envie de toi que pour leur dessert », je souris, je sers sa main comme un enfant, un des mecs veut me faire la bise mais je lui tends la main, en reculant. Franck me récupère et leurs signale que je suis avec lui et que je n’aime pas embrasser sur la joue, je le fixe furieux, il me regarde « quoi, c’est vrai ». Le mec me tend la main, « très heureux de t’avoir parmi nous », il s’adresse à Franck, « tu devrais faire attention à lui car sinon, tu ne l’auras plus avant la fin de la soirée », Franck me souffle, « eh ! voilà, la chasse est ouverte, je me doutais qu’avec toi, j’aurai ce style de remarque, tu vas vite comprendre pourquoi je te tiens la main », je prends un verre les mecs dans l’ensemble sont sympas, je commence à me détendre, Franck part au  toilette, je décide d’aller sur la terrasse prendre un peu l’air, un mec pas mal arrive, « alors cette soirée, tu t’amuses », « oui et toi », « moi, oui puisque j’ai enfin réussi à te parler », « ah ! Bon, pourquoi », « tu es simplement inaccessible avec Franck, tu es très beau, je le comprends qu’il te garde pour lui tout seul, je ferais pareil, je souris. Deux minutes avaient passé, quand Franck revint. Il passe derrière moi, et m’enlace pour faire voir à l’autre que je suis pris, l’autre sourit « je crois que je vais m’éclipser », et il nous salut « je savais qu’il fallait que tu viennes avec moi aux toilettes, petit aguicheur », je tourne la tête pour protester mais c’est ses lèvres que je rencontre « hum, un délice, je sens son corps contre le mien, je ne résiste pas à sa force. Je passe mes mains sur son corps et découvre qu’il bande un peu, « c’est quoi ça ? », « tu vas voir ce que c’est, crois-moi », et il nous fait entrer dans la pièce direction, il s’excuse auprès des convives et nous voilà dehors. Nous marchons dix minutes pour retrouver son appartement, juste le temps de fermer à double tour et il me saute dessus, me colle à terre dans le couloir, me fait sauter les boutons de mon jeans, déchire mon tee-shirt tout neuf, et voilà que sa bouche englouti moins sexe qui commence à prendre forme, il me pompe bien, pendant qu’il ôte ses fringues, après avoir été nu tous les deux, il s’allonge sur moi, en me caressant et son sexe, est dans sa main, qu’il dirige vers mon anus, me badigeonne. Je sais qu’il va m’enculer, je le laisse faire, il se met entre mes jambes, les relève pour accéder à mon anus avec sa langue. Il me prodigue des plaisirs inégalés, je tremble, ris parfois de nervosité, puis, je vois qu’il s’installe pour la pénétration, qui se fait dans douleur, le gland passe facilement. Il attend un peu en me bécotant les seins et le cou, puis s’enfonce un peu, je sursaute, … rapide, sa queue me faisait monter au 7ème ciel, pourquoi. Je ne sais pas, mais c’était le cas, ma bite gorgeait de sang et de sperme près à sortir, quand j’eu le feu vert en l’entendant me signaler qu’il jouissait en moi. J’ai lâché le surplus, l’extase, nous sommes restés dans cette position à nous regarder, puis il m’a aidé à me relever. Il m’a porté dans ses bras jusqu’ au lit, j’étais gêné, un mec comme moi, qui à peine deux jours avant était encore hétéro, et que là, j’étais nu dans les bras d’un autre type, que la vie peu être imprévisible. Nous n’avons même pas cherché à nous essuyer, et nous sommes glissés sous les draps à nous cajoler avant de sombrer dans le sommeil, les jours suivant, ont été aussi beau que les premiers. Je suis avec lui dans son appartement depuis six mois, dans une condition de vie des plus épanoui, en tout cas, peut-être suis-je encore un peu trop raide dans les préjugés. Mais je lui plais ainsi, et côté sexe, c’est toujours les plus grands pieds que je n’ai jamais pris.

Fin

Par histoires gays cooletclean
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