Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 17:12

La montagne (Fabrice)

 

Je fais parti d’un club de découverte, de toutes sortes, cette année, pour les vacances, je me suis inscris au groupe « Montage ». J’arrive donc au point de départ du bus, il y a déjà plusieurs personnes, dont Fabrice, un mec super beau, brun aux yeux vert, 1 m 85, mais il est avec des mecs vraiment chiants. Je rejoins d’autres amis, et nous installons dans le car. Nous arrivons à destination après 4 heures de routes. Les organisateurs nous donnent un sac de couchage avec une  ½ tente, et expliquent que nous devons choisir une autre personne pour compléter la tente. Je vois certains se regrouper, quand on me tape sur l’épaule. Je me retourne, Fabrice, avec un grand sourire à me faire rougir, montre sa ½ tente, et dit « ok ». Je regarde ses copains, qui m’épient, je pense qu’ils ont fait un pari, je le regarde dans les yeux, et lui dis que je ne pourrai pas, il me prend le bras et me réplique, « je ne suis pas assez bien pour toi ? ». Gêné de l’allusion, je dis qu’il ne m’avait jamais parlé auparavant, alors pourquoi maintenant ? Il réfléchit, se rapproche de mon oreille et me dit  «tu ne seras pas déçu de tes nuits », piqué de curiosité, je le fixe et m’entends dire ok. Il recule, me tourne le dos, je le vois partir à l’écart des autres, il me fait un signe de la main, je vais vers lui, il me sort, nous serons bien ici, pour mettre notre tente, nous n’entendrons pas les autres ronfler comme çà. Son argument tenait la route, mais je me méfiais d’un piége. Nous nous organisons, il n’est pas si désagréable quand il est loin d’eux. Une balade est prévue, une fois tout installé. Nous marchons un peu et nous retrouvons devant un cours d’eau, beaucoup décident de se baigner, moi non, Fabrice, vient me voir, alors qu’il n’était pas venu durant toute la marche, et me demande de venir me baigner avec lui. Heu ! Là, je reste bouche bée, il me regarde avec des yeux suppliants, il va m’avoir à chaque fois, s’il fait son regard de chien battu, il est super mignon. « Ok, pas trop loin je ne sais pas nager ». Il me fixe et me dit qu’il me tiendra. Pas possible, il me cherche, ces copains l’appellent pour qu’il vienne avec eux, je le suis, au bord, je le regarde du coin de l’œil se déshabiller, putain, il a un corps d’athlète, une poitrine bien dessinée, une taille en V, des cuisses musclées, les autres le mate aussi. Il m’attend, je me dépêche pour ne pas trop attirer l’attention. Nous entrons dans l’eau, il commence à jouer au fou avec ses amis, et à un moment revient vers moi, passe son bras autour de ma taille, quelle sensation, et me dit de ne pas avoir peur, je le suis, les autres me regardent éberlués. Fabrice me tient bien, il me chuchote de me laisser faire, que je n’aurai que du plaisir. Que veut-il dire par-là, punaise, il me cherche vraiment, comment à t’il  sut que j’étais homo. Je ne suis pas un mec « style mâle », mais je ne fais pas pédé, j’ai quand même réussi, à me faire un beau corps avec toutes ces heures de gym, et ne porte pas de look, plus qu’un autre, jean, tee-shirt, baskets, classique quoi ! Il me tient la taille, nous avançons dans l’eau jusqu’au torse, je me cramponne un peu à lui, il glisse sa main dans mon maillot, caresse ma fesse droite, je sens un doigt venir sur ma rondelle, insiste, le glisse dans mon anus, je me cambre, il passe une jambe entre mes cuisses, je ressens la pression de son sexe ; Il bande et dur, je lui dis d’arrêter, il me demande «  tu n’aimes pas », je réponds, « si, mais nous sommes observés ». Je m’extirpe de ses bras.  Nous nous amusons mais le groupe doit rentrer car d’autres activités, au camp, sont prévues. Je veux ressortir, comme les autres mais les mains de Fabrice me retiennent toujours.  Il commence à marcher derrière moi, ce qui fait que je sens sa jambe droite, entre les miennes à chaque pas, il sait très bien ce qu’il fait, il m’aguiche. Je commence à bander. Près de ses affaires, il me demande si je bande, comme lui, machinalement, je regarde son maillot, zut ! Il a une érection, je baisse la tête. Une fois au camp j’essai d’oublier un peu l’histoire de la rivière, et nous nous amusons tous et buvons bien. Je n’en peux plus je vais me coucher, sans me préoccuper de mon colocataire. Je me déshabille et plonge nu dans mon sac de couchage. Un long moment s’écoule, je l’entends entrée, il trébuche sur moi, mais je ne dis rien. Il me regarde de près pour voir si je dors. Il me sourit et commence son strip-tease, les chaussures, qu’il jette dehors, les chaussettes, le tee-shirt, il est beau, même sous la pleine lune, il s’allonge, déboutonne et fait glisser son jean sur ses belles cuisses que l’exercice fait tendre les muscles, magnifique, il prend son temps, je ne bouge surtout pas, je vois son slip avec une forme prometteuse, il me jette un coup d’œil, tire dessus jusqu’au cheville, et d’un geste le jette sur la toile, son sexe surgi, il bande, elle est énorme, un bon 25 cm, je n’avais jamais vu çà, il est super membré, il se met de côté pour que je puisse voir mieux son érection. Il me touche l’épaule, et me demande si je vais bien. Quel con, j’ouvre les yeux, je ne peux pas faire autrement que regarder sa bite pleine de sang, il me sourit encore, il m’énerve, il bouge, se met accroupi et me met sa tige sous le nez, et me dit « tu vois que tu ne vas pas t’ennuyer, profite en, elle est pour toi cet été ». Je reste les yeux écarquillés, mais mon instinct m’oblige à ouvrir la bouche, il comprend tout de suite le message et glisse son gland, je le fixe tout en le suçant, il me prend la tête, une vrai brute mais quelle queue, grandiose, il tire sur la fermeture éclair de mon duvet, et me caresse. Il est homo ? Non pas possible, au bout d’un moment de lèche, il me force à me tourner, je ne peux pas prendre ce morceau dans le cul, impossible, mais je ne bronche pas, j’exécute, il s’allonge sur moi, frotte son sexe sur mes fesses, il me chuchote qu’il aime mon petit cul, je sens que je vais passer un mauvais quart d’heure. il crache dans sa main droite, et la frotte sur ma raie, je tends un peu mon cul, machinalement, il sent que j’aime, il présente son gland, sur ma rosette, il pousse en me mettant une main sur la bouche, il s’enfonce, me pénètre, je commence à hurler, il ne bouge plus, il me calme à l’oreille, et recommence, il continu toujours à s’enfoncer, pas possible elle est trop longue, il ne pourra pas mettre tout, je sens les poils de son pubis, il s’extase, il enlève sa main, se positionne mieux, et me transperce de tout son long de bite, je me cramponne au duvet, il m’astique bien le salaud, il ne perd rien, il me ramone, comme jamais personne ne l’avait fait, il prend son pied, on dirait, il suit son rythme pendant au moins un quart d’heure, il m’épuise, je lui dis, il me met encore deux coups fatals de butoir, sort et éjacule sur mon dos, s’écroule sur moi, en me disant que c’est bon.. Il s’allonge à côté, respire un peu et me dis d’ouvrir mon duvet complètement, que nous allions les assembler pour dormir ensemble, je m’exécute comme un enfant, tout en le regardant, il n’est même pas gêner de la situation, une fois recoucher, il me prend dans ses bras et me dit de me taire auprès de ses copains, sur ce que nous avons fait. Et nous nous endormons. Je me réveille le matin, par une sensation de poids sur moi, Fabrice, pour bien commencer sa journée à l’intention de faire du sport, il m’écarte les cuisses et met directement son zob dans ma raie, il glisse sans difficulté jusqu’au fond de mon petit trou, il force un peu et me baise comme cette nuit, il est bon comme baiseur, je me laisse envahir, il en profite, me tringle comme une furie, il n’hésite pas, met de grands coups, il me soulève la taille pour avoir plus de profondeur, la vache il va au fond de mon cul, il jouit, ne sors même pas il continu de gicler tout en me sodomisant, il a aimé, il me regarde et me dit, « bonjour toi ! » Il sort de moi, s’essuie, dit «je vais te préparer ton petit-déj. Tu veux quoi ! » Je m’entends dire « un café croissant, SVP ! » Il rigole fort et me susurre à l’oreille « tu sais vu ce que nous avons fait cette nuit et ce matin, tu peux me tutoyer ». Très drôle sa façon de me dire qu’il m’avait bien baisé. Bon, je sors pratiquement tout le monde est là, nous discutons de l’organisation du jour, démontage des tentes, car à partir de ce soir, nous dormirons dans des refuges, donc fini les bivouacs. Je tourne la tête vers Fabrice, il me sert un café. Je pense à cette nuit, et me dis que j’ai bien fait d’accepter hier, c’était trop beau pour que je l’aie tous les jours dans mes bras et dans le cul. Après m’avoir observé toute la matinée, Fabrice vient vers moi vers midi et dit qu’il trouvera un moyen pour ce soir. Très belles balades, une journée de marche et de discutions, 18 h arrive à grand pas, les organisateurs nous arrêtent devant un refuge avec plusieurs cabanons, que nous devons partager, toujours par deux. J’attends mon tour, et vois David, un copain de Fabrice, prêt de moi, plutôt pas mal, aussi grand, mais plus mince et moins costaud que Fabrice, il me demande si je suis Ok pour ce soir, tu dors avec moi. mais qu’est ce qu’ils ont tous cette année, je n’ai pas le temps de lui répondre que Fabrice me prend le bras, m’emmène et dit, « tu n’as pas compris qu’il est avec moi, cet été, je reste pantois, il me pousse avec une main dans mon dos, il a l’air furax après David, je ne comprends pas trop l’histoire, je le stoppe et lui dit qu’il fasse gaffe, qu’il soit plus gentil avec moi, d’arrêter de me bousculer sinon je pars dormir avec David, Fabrice me fixe, éberlué et tendrement me dit qu’il n’a pas arrête de penser à moi toute la journée, que la nuit sans moi serait terrible, je ne peux même pas répondre à de tels arguments. Je jette un dernier regard à David, il me dévore des yeux, et me lance «demain ce sera moi ». Je reste avec Fabrice un moment sans parler, et mon pou s’accélère quand il me serre dans ses bras et me propose de faire une sieste avant le dîner, je vois très bien ce qu’il veut, il se dénude, il n’y a qu’une pièce de toute façon avec un grand lit, la fenêtre n’a pas de rideau. Il me montre qu’il bande, je m’agenouille, le pompe, il me tient les épaules et me dis qu’il adore ce que je lui fais, je lui taille une pipe qu’il ne va pas oublier de si tôt, j’ai une impression bizarre d’être observe par la fenêtre mais je lui tourne le dos, tant pis, Fabrice adore et me congratule de petits noms, il me dit qu’il va jouir, j’attends et sens un premier jet tamponner mes amygdales, deuxième jet, puis trois, quatre, il se fige, dans un râle et se laisse tomber sur le lit. Pas mal comme performance, je me débrouille bien, il est beau, et sa grosse queue me plait. Peu après, nous ressortons, pour dîner, il me demande de rester avec lui à table, mais j’avais promis de manger avec deux copines, il accepte, en disant, « ok se sont des filles ». Il regarde de temps en temps pour être sur que je ne bouge pas. Au dessert, David vient me voir, il se met à genou, met sa main sur ma cuisse et me dit, avoir vu que j’étais très doué avec les queues, et qu’il aimerait bien essayer aussi. Punaise, je tremble, il me dit à demain sous la douche, je veux le fixer mais il est déjà debout et repart à sa table. Un super feu de bois, de la musique, des danses, des chants, et surtout un peu d’alcool, la soirée est agréable. Je m’apperçois que Fabrice, est près de moi, il ne bouge pas, il me jette des regards interrogateurs, je lui souris et prends congés de tous, je rentre dans le cabanon, laisse la porte entre ouvert, et voir, David parlé à Fabrice, « tu ne peux pas le garder que pour toi, il me plait aussi, tu comprends», Fabrice, le bouscule, et lui dit « casse-toi, ne l’approche pas sinon, c’est à toi que je vais casser la rondelle ». Puis Fabrice rentre, referme la porte, et s’assied sur le lit, il m’amène à lui, je reste debout, il me tient la taille, avec ses grandes mains sur mon postérieur, il met sa tête sur mon ventre, je ne peux que lui caresser les cheveux, il me dit « je ne veux pas te perdre, pas maintenant », il se laisse tomber sur le lit et m’emmène avec lui. Il fait nuit, à part la lumière extérieur par la fenêtre, nous nous embrassons, enlevons nos vêtements et rentrons dans le lit. Il me serre un peu fort, et commence à bander, je lui touche le braquemart, il raidit aussitôt, il me soulève et me met sur lui, il n’hésite pas, il me pénètre d’un coup, je me dresse, le drap vol, il me saisit les fesses et me burine, je m’empale à chaque fois que je redescends sur lui, il jubile, il ne me lâche plus, il a une queue énorme, je me sens rempli, il baise super bien, je prends un pied d’enfer avec lui, je tourne la tête, et perçois derrière le carreau, le visage de David, je ne peux pas arrêter maintenant, je vais bientôt jouir, il regarde la scène, je décide de ne rien dire, je me branle pendant que Fabrice continu son ouvrage, son visage reflète vraiment le bonheur, je suis content, j'éjacule sur son ventre, pendant que coule son sperme en moi, il me dit adorer jouir en moi, qu’aucune minette lui a fait un plaisir pareil, il me reprend dans ses bras, je tire sur le drap en regardant la fenêtre, personne. Réveil tôt, Fabrice, se lève, me fait un bisou et me dit à tout à l’heure au pdj, il prend sa serviette et sort. Je regarde la pièce, la fenêtre, au bout d’un moment, je décide de faire pareil, je prends ma serviette et pars, vers les douches, j’en cherche une de disponible, et vois arriver David, il ne dit rien, même pas bonjour, il doit être vexé d’hier soir, une douche se libère, je m’engage, referme le porte, une main la bloque, David, tire et rentre avec moi, je le regarde, il commence à se déshabiller, je fais comme lui, il se retourne bande comme un âne, il est bien monté, moins que Fabrice, il me caresse, me prend la main et la dirige sur son sexe, il se laisse branler, je le regarde pour voir ses réactions, il aime ça lui, aussi, il me souffle qu’il voudrait que je le suce, je me penche et prends sa bite dans la bouche, il se cambre, il gémit, il se cramponne à la porte, je m ‘active pour faire ça bien, il me dit qu’il ne pourra pas résister longtemps, qu’il en voulait plus, il me voulait, me prendre, avoir mon cul, il jouit, pousse un petit cri, et se détend, il me sourit en me tapant sur la fesse, il me jure qu’il trouvera un autre moment pour me baiser, il ressort. Je me douche. De retour, je vois David avec Fabrice, je m’avance, ils me regardent tous les deux, je passe devant eux, et rentre dans la cabane, ils me suivent, David le premier, Fabrice après, et vient près de moi, me dit avoir vu avec David, si je suis d’accord, David veut me baiser, et en échange, il offrira son cul à Fabrice, je les regarde, et me dis qu’après tout, j’enlève mon tee-shirt et ma serviette, Fabrice et David se déshabillent, ils se mettent de chaque côté de moi, je me retrouve avec deux belles bites à sucer. Je les lèche, ils ne se touchent pas mais mettent leurs mains partout sur mon corps, l’envie monte vite, David me met à quatre pattes sur le lit, il reste debout et me tire vers lui, il me lubrifie, et présente enfin son chibre à ma rosette, çà glisse, il jappe, mais pendant ce temps je sais que Fabrice ne reste pas sans rien faire, il se met derrière David et lui écarte les fesses, il ne cherche pas à être câlin avec lui, il lui présente sa bite énorme et pousse son gland, David, cri et s’agrippe à moi, une sensation de pénétration me viens aussi, tends la force que met Fabrice sur David est forte, il le baise à fond et David ne peut plus supporter, il lui supplie d’arrête, et Fabrice dit « alors arrête avec mon mec », David continu, et essaye de supporter la douleur, un bon moment passe, nous sommes en sueurs, David jouit en moi,  j’éjacule peu après et vois Fabrice sortir, prendre la place de David et me pénètre avec fougue, m’embrasse goulûment il est vraiment meilleur, sa bite me défonce, me rempli, me gouverne, je suis sa chose, il le sait, je ne peux résister, je rejouis une deuxième fois, en même temps que lui dans le sperme de David. La journée commence très très fort. Les trois semaines de montagne, n’ont été que de souvenirs de baises, tous les moments étaient bons pour qu’il profite de moi, mais le retour revint vite. Dans le car, je n’ai pas pris place avec eux, je suis retourné avec mes copines jusqu’au point d’arrivée, mon père m’attendait pour me ramener à mon appartement, quand Fabrice s’est approché, m’a tendu un papier, en me disant de ne l’ouvrir que chez moi. Et il est parti en compagnie des ses potes. En refermant la porte, de mon appartement, j’ai posé mon sac et me suis assis dans mon canapé, le papier était plié en quatre, « mon petit cœur, toute cette route, pour me faire comprendre que tu me manques, même si je te vois , tu me manques, je te voudrai tout le temps près de moi, si tu es comme moi, fais-le moi savoir, je serais prêt à changer mon comportement pour toi, je t’attends, ne me laisse pas », je suis happé prendre un verre et me suis remis à la même place, j’ai réfléchi à ces trois semaines de pures baises, je ne l’ai pas rappelé ce soir là, mais au petit matin, j’ai laissé un message, qu’il pouvait venir dîner ce soir. Nos retrouvailles n’ont pas été devant une bonne bouffe mais dans mon pieu, il m’a littéralement violé, tellement il était en manque, j’ai aimé savoir que je lui avais manqué, je l’ai gardé toute la nuit. Au matin, je ne l‘ai pas retrouvé, mais tous les soirs, j’ai revu ce beau mâle, jusqu’à ce qu’il décide de venir mettre quelques affaires ici, depuis ce jour, ou j’ai commencé à lui repasser ses affaires et lui faire des petits plats, il n’a jamais reparti.

Fin

 

 

Par histoires gays cooletclean
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