Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 17:16

Le viol dans la cave (Habib)

Je finis mon boulot et longe les grands immeubles d’une cité quand l’envie de faire pipi me vient, j’hésite mais ne trouve pas de coin caché, alors je descends par une porte dans une cave, la pénombre se fait soudainement, je ne sais pas où est le bouton, quand elle se rallume, un mec est face à moi et me bloque contre le mur, je n’ai eu que le temps de pisser, sa force me bloque complètement, mon fut tombe à mes pieds, il souffle dans mon cou, je sens sa main glisser mon slip, me voilà le cul à l’air, avec ce type dans le dos, je ne réalise pas que sa bite est déjà entre mes jambes, il me bloque les pieds et crache dans sa main, je veux me débattre mais il me menace de me trancher la gorge, ses doigts se faufilent entre mes fesses passent, sur ma raie, et partent directement presser mon anus, je cris mon désespoir mais la lame vient vite caresser ma peau, quand ses deux doigts entre en moi, je gueule encore plus fort, il rit et les enfonce à fond, je halète des poussées de respiration rapide, il ôte ses doigts et presse son gland, mon anus n’a pas le temps de se refermer qu’il s’introduit, mon désespoir passe par un autre cri bloqué par la lame encore, la puissance de sa pénétration me plaque complètement sur le mur, je suis collé au mur, je sens mes parois se fendre par la pression, il ne me laisse pas de répits, il passe à l’action dans ses vas et vient me terrassant littéralement, sa bite est énorme, mes cris ne le gênent pas, il me fait plier en deux et saisit mes fesses, sa bite entre et sort de moi, je crois mourir, son pieu est long, ma prostate ne comprend pas, j’ai des douleurs dans l’anus, son sexe fait pousser mes parois anales à chaque passage, mon cul est défoncé, mes pleurs le laisse de glace, son corps me transperce, il gémit et me jouit dedans, il ressort et me lâche, je saisis vite mon pantalon, il me dit « demain même heure, tu as intérêt d’être là », je le fixe et pars sans demander mon reste, je cours dans la rue jusqu’à mon appartement, je referme la porte et reste derrière plaqué à penser à ce que je venais de vivre « un viol », ce type était membré comme un taureau en plus, je souffre de la rondelle, je pars vers la sdb, me déshabille, entre dans la douche, je laisse couler l’eau pendant une bonne demi-heure, je passe de temps en temps mes doigts sur ma rondelle pour constater du viol, en me touchant ma bite entre en érection, la seule pensée que j’ai, c’est cette bite énorme qui m’a enculée, toute la nuit je suis resté éveillé, en pensant que faire, il m’attendait ce soir encore, au matin, je fais machinalement mon travail avec quand même à l’esprit qu’il m’attendrait, l’après midi est complètement fichue car je me pose la question « tu y vas ou non », ma tête dit non mais mon corps le réclame encore, ce type m’a violé, mais j’ai encore envie d’y aller, je reprends le même chemin que d’habitude, passant devant les immeubles et stoppe devant l’entrée de la cave, cinq minutes passent, quand sans le savoir, j’ai franchi la porte et descendu l’escalier, il est là, la bite dehors, il bande déjà, sa queue est très grosse, il me fait signe de venir, je franchis les trois pas qui nous sépare, il saisit mon épaule et presse sa main me faisant agenouiller, j’ai une vue incroyable, sa queue s’agite devant mon nez, il pose sa main derrière mon cou et pose son gland su mes lèvres, je fais tout pour la repousser, mais elle est déjà en moi, je vois coulisser cet engin de torture, je crois vomir, il me fixe en souriant, et me bouche de ce corps, j’ai mal à force de laisser ouverte au maximum ma bouche, il se fait plaisir en me baisant la tronche, je peux voir ses poils pubiens me chatouiller les narines, quand d’un coup, il me saisit par les dessous des bras et me jette contre le mur, je me récupère du mieux possible alors qu’il m’ôte le fut, me voilà comme hier, cul nu, il ne me pose pas la question si je veux ou pas, il enfonce directement son gland dans ma rondelle, je pousse un cri d’horreur, mais sa puissance de pénétration ne me laisse aucune chance, les aller retour vont vite et me chauffe le conduit, je tends le cul vers lui pour lui donner plus d’accès et l’enfoiré en profite pour me remettre encore sa tige de 25 cm mes gémissements lui donnent encore plus de plaisir à me pénétrer, il pousse un cri de joie tout en me labourant, ma vie ne tient plus que dans ce jet, je crois ne plus pouvoir marcher mes jambes ne tiennent plus, mais il continu de m’enculer, je ne sens pas ma bite cracher, il y est arrivé, rien que de m’enculer, il m’a fait jouir, je remonte mon pantalon et repars, il me dit de revenir demain, j’ai fini par revenir, je ne savais rien de lui sauf qu’il possédait une énorme bite qui me chauffait le cul à chaque fois, je n’ai rien vu de la semaine, le vendredi il m’a demandé de revenir lundi, je n’ai rien dit, je suis parti doucement cette fois ci, je savais qu’il ne me tuerait pas, je n’avais plus peur de lui, je sentais en lui uniquement l’envie de me prendre, le samedi, après midi, il fallait que j’aille avec une copine et ses enfants à une fête foraine, nous parlions de nous quand il se trouva face à nous, lui aussi fut surpris de me voir ici, on s’est dit bonjour rapidement, mais ma copine l’a arrêté net, signalant que je me devais de présenté un si beau jeune homme, quand j’en connaissais un, il m’a sourit, je ne connaissais même pas son prénom, depuis une semaine qu’il me baisait, je n’avais même pas demandé, il se présenta, en lui serrant la main, elle se sentait partir dans une certaine jouissance quand il lui a rendu son sourire, tout en me regardant, mais elle ne comptait pas en rester là, j’ai vite senti le traquenard, et voilà, elle venait d’inventé une soirée et elle l’invitait à venir ce soir, je ne voulais pas prononcer un mot, il me fixa en acceptant, sûrement espérant me voir, il m’a dit ne pas avoir de téléphone, c’est la que je lui ai dit qu’il n’aura qu’à venir chez moi, et que je l’emmènerais, il me laissa écrire sur son papier, et nous salua, elle sautillait, comme une dinde, elle le trouvait craquant, un peu timide, mais c’était très sexy, sur un si bel homme, elle ne savait pas ou elle mettait les pieds, le soir alors que je l’attendais, il ne venait toujours pas, quand j’ai décidé d’y aller quand même, il sorti d’un buisson, il me demanda de remonter, il me tenait le bras, et sans attendre que j’ai fermé la porte, il m’a mit à genou et m’a exhibé sa grosse queue, il bandait déjà un maximum, je n’allais pas à tarder à me faire défoncer par lui dans un tel état, ce fut fait, il me traîna vers mon lit, juste le temps de lui donner le gel et je senti son gland me forcer, punaise, qu’il en avait une grosse, je n’ai pas pu me contrôler non plus, je me suis senti partir dans un bonheur inégalé, je savais que je ne devais pas faire ça, mais il me défonçait tellement bien, que je gueulais des encore, encore, nous avons fini nu sur le lit à nous regarder, je venais de faire l’amour avec lui dans mon lit, c’était carrément différent du lieu sordide de l’immeuble, nous sommes quand même aller à la soirée, après une bonne douche, il n’a pas pu se défaire de ma copine même s'il me cherchait pour être secouru, je l’ai fait expert pour le punir de la première fois, quand j’ai voulu partir, il n’était plus là, en descendant, il m’a chopé et m’a dit qu’il m’attendait depuis une demi-heure, nous sommes repartis chez moi, et étrangement, j’ai eu envie de lui, de son sexe de ce superbe corps, je n’ai pas cherché à me retenir, en montant sur lui et en faisant coulisser ce monstre dans mes entrailles, je lui ai proposé de dormi avec moi, mais il a refusé, il s’est rhabille et m’a dit bonsoir, je pensais qu’il était parti, quand il a rouvert la porte, m’a fixe et a commencé, à se re-déshabiller, il était vraiment beau, il a glissé nu dans le drap et m’a serré dans ses bras, je me sentais plutôt bien avec lui, au matin nous nous sommes réveillés pratiquement en même temps, il m’a regardé un peu gêné mais est venu quand même se blottir contre moi, je n’ai rien fait pour le repousser, ce fut très agréable de flâner avec lui dans le lit, surtout qu’à force de se caresser, il a fini par bander grave, j’ai eu droit à une érection de sa plus belle dimension, il n’a pas fait semblant en m’enculant d’un trait, je sentais ses bras tenir mes jambes, pendant qu’il me défonçait, je respirais du mieux possible car il ne fallait pas que je craque dans un moment pareil, il m’a donné du plaisir, j’ai joui deux fois avant de le voir sortir sa queue pour m’arroser de son foutre, il me souriait, je n’ai eu qu’à lui saisir la nuque et de l’embrasser, il m’a roulé un patin d’enfer, j’ai adoré ça, j’ai réalisé qu’il devait lui aussi aimer car il ne cachait pas son envie de me rouler un patin, la semaine s’est passée dans le lit tous les soirs et au matin, car il avait un appétit très féroce coté sexe, j’ai fini par lui dire qu’il devait me laisser souffler coté cul, mais rien n'y a fait, j’ai subi pendant les six mois qui ont suivi, sa libido, et n’ai pas eu envie d’arrêter, jusqu’à ce qu’il me dise qu’il fallait choisir, arrêter ou continuer, je ne comprenais pas, il m’a dit qu’il fallait qu’il choisisse entre un boulot moins bien payer mais il restait dans la vile, ou sinon il partait à 100 km, je n’ai pas hésité, lui proposant de venir vivre ici, ce qui n’a pas discuté, j’ai enfin un mec, un vrai qui sait faire l’amour et qui n’ai pas une fillette, je sais que je devrais le freiner un peu, mais pour qu’il aille voir ailleurs, jamais, je préfère, être son jouet, et il le sait et en profite carrément.

Fini

  

 

Par histoires gays cooletclean
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