Mercredi 24 juin 3 24 /06 /Juin 10:29

En tant qu'infirmier (Marcus)

Je n’entendais que les filles rouspéter sur un nouveau malade, il était arrogant, imbu de sa personne, et surtout il refusait que tout le monde de touche, pourtant il aillait bien falloir le laver, cela faisait déjà trois jours qu’il n’avait pas passé à la douche et s’était obligatoire. Sinon, elles risquaient de prendre un blâme, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai promis d’aller le voir pour lui expliquer, j’ouvre la porte et me trouve devant un jeune homme de 28 ans, je m’approche et découvre qu’il n’a pas mis sa blouse, qu’il semble être très bien foutu en tout cas, il a un très joli torse, il me fixe, et d’un coup, me sourit, « à enfin, ils se sont décidés à m’amener un mec », je connaissais ce style de mec, soit par son exubérance homosexuelle, mais les filles me l’auraient dit, où par sa prise de position religieuse, je lui explique qu’il va devoir faire un brin de toilette et qu’il en sera encore plus mignon.  Il me sourit, je pensais tomber sur un con, mais je vois qu’il a de l’humour, « alors comme ça vous aimé les garçons », je lui précis qu’il peut penser ce qu’il veut de moi, mais qu’il devra quand même aller se doucher, « je ne serais pas contre, mais j’ai un petit souci à vous montrer avant », je m’approche quand il saisit à main et la glisse sous son drap, mon dieu il vient de la poser sur son sexe qui semble sacrément gros, il me sourit et me demande de l’aider, sinon il va avoir la trique toute la journée et sa famille va venir le voir, je le fixe et il me le redemande en commencent à se branler avec ma main, oh mon dieu, mon dernier mec remonte à si loin au service, je sens que sa main me laisse faire, il pose ses mains derrière sa nuque et me demande d’y aller doucement, qu’il veut en profiter, la vache le drap vient de glisser libérant ma main et son sexe, il est super bien foutu, un torse musclé et des abdos de rêve, mais de voir sa bite est stupéfiant, je n’avais jamais vu ça, une bite d’au mois 24 ou 26 centimètres et d’une sacrée largeur, il me dit qu’il ne va pas tenir longtemps que ça fait trop longtemps qu’il n’avait pas joui, que d’habituellement, c’est tous les jours au minimum, je le fixe, il me sourit tout en crachant, « oh merde, c’est trop bon avec toi », je ne sais pas pourquoi, j’ai continué de le branler, il crachait encore, et encore, ça ne pouvait pas être vrai, il devait avoir craché au moins dix grosses rasades, il m’a dit qu’il va être content de me revoir ce soir, juste le temps de s’essuyer, sa mère est entrée, je les ai laissé, mais je lui ai signalé qu’il devra se laver avant ce soir, sinon, de gros bras viendrons le faire et ça ne lui plaira pas, enfin je crois, il me sourit, je pars, les filles semblent soulagées, elles m’ont entendu, lui faire la menace des costauds, nous finissons la journée quand une des filles me signale que le malade de la 312 ne veut personne d’autre que moi, je souffle et vais dans la direction de la 312, un petit temps d’hésitation avant d’ouvrir, je ne sais pas pourquoi, mais ce mec me troublait, il avait réussi à me faire perdre mon self contrôle et je l’avais branlé, il était dans son lit dès que je suis entré, il m’a dit « n’oubliez pas de fermer à clé, je n’ai pas envie que quelqu’un voit la taille de ma bite, d’ailleurs c’était étrange que personne ne vous en ai pas parlé, en principe les filles sont friandes de ces détails, il me dit « ok, je suis prêt pour la douche », je n’ai rien dit, mais de le voir enlever son drap pour me montrer sa nudité, ça m’a fait stopper net,  il est parfait, un corps d’apollon il me sourit, « quand tu veux, tu m’aides », je m’approche et passe son bras sur mon épaule, nous faisons quatre mètres pour nous rendre dans la salle de bain, il me dit aimer mon parfum, je le laisse entrer dans la douche, il refuse en me montrant une bite énorme, une érection géante, il me sourit s’approche doucement et me demande à l’oreille de m’accroupir et de faire ce qu’il faut pour qu’il n’ai plus d’érection, je le fixe dans les yeux, punaise, je sens sa main sur mon sexe , j’ai la trique, il pose son autre main sur mon épaule, je finis par céder, je suis à genoux face à cette énorme bite, j’ouvre machinalement la bouche et voilà, il vient de l’enfoncer, je sens cette chair glisser dans ma bouche, je relève les yeux pour voir son visage, il sourit en me jurant qu’il attendait ça depuis le début, je le pompe, je n’arrive plus a lâcher cette bite, il le comprend et en profite pour saisir le gel douche et me relève, je sens ses mains ôter ma blouse et mon tee-shirt avant de s’attaquer à mon jeans, je me retrouve le cul et la bite à l’air devant lui , il me sourit toujours, j’ai la bite raide, mais ses doigts vont bien plus loin que je ne le pensais, ils entrent dans mon anus, j’ai un petit cri, je lui dis d’arrêter, que j’ai pas fait un truc comme ça depuis le lycée, il me répond que ça ne faisait pas si longtemps, et il pose son gland dessus, je n’arrive pas a croire que je le laisse faire, mais sentir ce monstre m’envahir m’a fait perdre toute notion de réalité, il me déchirait , je n’allais jamais pouvoir avoir une bite aussi grosse en moi, je ne pratique pas ces choses là assez souvent, mais il me souffla qu’il le savait, que j’étais serré mais que ça passerait, j’ai compris en sentant son sexe bouger en moi, je râlais dans la serviette sur le présentoir, je n’arrivais pas à me libérer de ce mec, il me baisait et j’en étais heureux, rien à comprendre, je me suis retrouve avec sa main sur la bite et là tout a explosé, j’ai craché libérant des petits cris dans la serviette, alors qu’il gémissait de bonheur en se vidant en moi, mon dieu , nous n’avions pas mis de capote, il s’est enfin retirer, j’ai vu mon agresseur entrer en me faisant singe de venir pour me laver, je n’ai pas pu refuser, il fallait que je me lave, nu avec lui dans cette douche, m’a fait un choc, il m’a dit que je venait de lui rendre la vie, je suis sorti rapidement et suis allé me rhabiller, avant de lui signaler qu’il était pratiquement guérit à en croire cette performance, il m’a souri en me disant à demain matin pour ma douche, je n’ai rien dit et suis sorti. En rentrant chez moi, j’ai voulu m’asseoir, punaise, j’avais le cul en feu, il m’avait bien eu le salaud, je n’ai pensé qu’a lui ce soir là. Le lendemain, une appréhension de le voir dans son lit, il était tout heureux de me voir, et sans attendre a demandé à l’infirmière qui m’accompagnait, de nous laisser car il avait un truc important à me montrer, elle n’a même pas relevé, a fini ses tests et est sortie, à peine la porte refermée, qu’il a bondi bloquant la serrure, et m’entraîna dans la salle de bain, je n’ai rien fait pour le repousser, je sentais en moi, un désir inavouable de me faire prendre part ce mec hyper membré, j’ai connu une certaine extase de me faire prendre pour la deuxième fois par lui, nous avons fini par le refaire le soir même avant que je parte, le matin après un contrôle, il a eu le droit de sortir, je ne l’ai pas revu, un peu triste que cette aventure se termine, mais c’était le mieux pour nous, en rentrant tard ce soir là, je me suis pratiquement écroulé sur le canapé, quand la sonnerie de la porte a retenti, j’ai ouvert, alors que je n’étais qu’en caleçon et tee-shirt, pensant à mon voisin qui me demandait de temps en temps un ingrédient, ne réfléchissant pas à l’heure qu’il était, quand je l’ai vu devant moi, son tee-shirt montrait clairement le superbe corps qui se cachait dessous, il m’a poussé en refermant la porte à clé, je n’ai rien fait , sentant ses lèvres se coller aux miennes, ses mains viraient à une vitesse grand V mes fringues, tout en se déshabillant aussi, il m’a demandé la chambre,  et je me suis retrouvé nu avec lui sur le lit les jambes écartées avec du gel sur l’anus avant de sentir cette masse me perforer, je savais que la douleur s’évanouirait, mais elle était encore bien là, après trois minutes, normale avec ce qu’il se trimbalait dans le slip, j’ai fini par sentir monter la chaleur du désir, « oh, non, je vais jouir », c’est la seule chose que j’ai pu dire, ne pouvant plus me contrôler, il continua de me baiser avec furie alors que je m’apaisais de cette scène de baise, il s’est cambré et a tout concentré sur son sexe, me bloquant les hanches et jouissant ainsi, en moi, il ralait que c’était trop bon, qu’il n’avait pas l’intention de me lâcher comme ca, et il s’est écroulé à côté de moi, nous sommes restés ainsi, une bonne heure à nous caresser avant qu’il parte, mais au matin, il sonna , j’allais bosser, lui aussi, il avait une côte de travail, comme mécanicien dans un garage, je n’ai pas eu le temps de dire non que déjà ses fringues tombaient, je n’ai rien fait pour le repousser et il m’a enculé dans la cuisine sur la petite table, je n’en revenais de cette envie de baise, je n’avais pas imaginé me faire culbuter sur cette table, il m’a souri après cinq minutes intenses de baise. Il m’a souhaité une bonne journée, je venais de m’en prendre une énorme dans le cul, et lui me souhaitait une simple bonne journée, la journée s’est passée avec de courts passages aux toilettes, mais très bonne comme il me l’avait prédit, j’ai senti qu’il reviendrait, et ce fut très chaud de le voir débarquer en côte de travail un peu sale, sentir son odeur de male en rut m’a libéré de mes complexes, il m’a fait l’amour pendant une bonne heure avant de nous faire un chant de jouissance, il venait de prendre un drôle, le pied on dirait, j’avais jouis deux fois, et n’arrivais plus à bouger tellement mon cul en avait eu pour son grade, il m’a pris dans ces bras et nous avons fini par nous endormir, dans la nuit, j’ai senti son corps contre le mien, je n’ai pas chercher à le repousser mais au petit matin, nous avons refait l’amour, je devenais aussi obsédé que lui, en tout cas, il avait un sacré tempérament, et une condition physique très bonne, nous sommes partis ensemble de chez moi ce jour là, ça a été ma première fois, sentir le bonheur de lui dire à ce soir, il m’a souri, ce fut le cas, un petit dîner au resto et une baiser torride pour nous endormir, je ne pensais pas vivre un truc pareil, mais deux mois ont passé avec toujours cette envie de baise torride, le sexe, le sexe, nous étions sur la même longueur d’onde sur ce sujet, et rien ne nous empêchait de continuer semble-t-il, en fin du second mois déjà, je voyais ses fringues venir les un après les autres, je lui lavais et les rangeais dans l’armoire, il ne sembla pas dépourvu de les prendre le matin, un signe étrange qu’il m’aimait bien, en tout cas qu'il aimait baiser avec moi, puis naturellement nous sommes devenu plus qu’amant, car il est reste et n’ai pas reparti, après six mois de vie commune, il m’a demandé de venir voir ses potes de son quartier, rien que la présentation à ce groupe en tant qu’infirmier, ils ont eu plein de questions impossibles à dire à d’autres, j’ai fini par connaître quelques secrets intimes de chacun, et en rentrant, Marcus était tout souriant, « ils t’adorent, tu es un MAN pour eux », j’ai souri, je ne pensais pas les épater même je pensais que je devrais rester tranquille, puis ce fut mon tour de le présenter à mes amis, et étrangement, alors qu’il avait eu plusieurs consignes de moi, il passa très bien, proposant des réparations ou contrôle de voiture, de tests ou de conduite sur piste, que François a adoré vouloir faire avec lui, il semblait à l’aise, ce soir là j’ai eu envie de lui comme jamais, me donner vraiment à lui fut un bonheur, il l’a remarque, car il m’a enculé trois fois cette nuit là, heureusement que nous ne travaillions pas le lendemain, j’ai eu un petit peu de mal a marcher ce matin là, il me souriait, signalant qu’il fallait voir le bon côté, que j’avais eu le plus beau mec de toute ma vie dans les bras et toute la nuit, j’ai quand même grimacé en m’asseyant, nous avons décidé de faire la semaine d’après une soirée, afin de mélanger les amis, histoires de voir, notre surprise vient de Nathan et de François qui semblaient très bien s’entendre, Marcus me fit remarquer que Nathan semblait très proche de François, des signes étranges nous firent croire qu’ils se draguaient, la main sur l’épaule de François, lui mettre les doigts dans les cheveux, lui donner son pull, pour aller fumer sur la terrasse ensemble, ça semblait peu probable que deux hétéros couchent ensemble, mais bon, nous ne les avons pas vu partir, mais le lendemain, François m’a appelé paniquer qu’il fallait que je le rejoigne chez lui tout de suite, j’ai explique à Marcus ou j’allais et que je serais de retour pour le midi, en arrivant, François était encore en caleçon et tee-shirt, il avait pleuré,  il m’a regardé et est venu dans mes bras, « je crois que j’ai fait une connerie », je l’ai invité à s’asseoir dans le canapé, il m’a annoncé avoir baisé avec Nathan, qu’il s’était fait dépuceler et qu'il avait aimé ça, je n’en revenait pas de sa franchise avec moi, jamais nous avions parlé ainsi des minettes que nous baisions, mais là, c’était autre chose, il venait de se faire enculer, c’est vrai, il m’a fixé, « merde comment je dois réagir », je lui ai expliqué que les pulsions pouvaient être temporaire et que se sera une belle expérience sinon qu’il allait devenir un petit PD, il m’a regardé, mais je t’ai pas tout dit, « il en a une grosse », j’ai souri, repensant à mon bel étalon, « je crois que nous avons de la chance tous les deux », et je lui explique mon cas avec Marcus, qu’il m’est carrément impossible de refuser ses avances même avec son gros truc , qu’une fois en moi, je deviens l’homme le plus heureux de la terre, il me regardait, stupéfait, j’avoue n’avoir jamais parler d’un truc pareil, mais là, je me sentais, le devoir d’en parler, de toute façon c’était vrai alors pourquoi pas, il m’a demandé comment faire s’il voyait Nathan un jour, je n’ai pas répondu, mais trois jours après, j’ai su par Marcus que François avait une liaison avec Nathan, qu’ils semblaient avoir choisi le plaisir au refus. Deux ans à vivre avec Marcus et ce fut le jour de rencontrer mes parents, un père toujours fourré dans sa bibliothèque et une mère distante mais aimante, dés le premier regard porté sur lui, j’ai eu peur, quand d’un coup sans rien faire, il fit tomber un verre sur la robe de ma mère, elle s’est mise à sourire en regardant mon père, « je crois que c’est bon signe, », et elle nous raconte que mon père la première fois qu’elle l’a rencontre avait fait la même chose, sauf que là, elle pouvait aller se changer et revenir toute contente, je n’ai pas remarqué le moindre changement dans leur attitude envers nous, un bon point, car je ne comptais pas changer ma vie, nous avons commence à faire notre vie et il semble que ce soit pour plusieurs années….

Fini

 

 

Par histoires gays cooletclean
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 17:19

Entre troufions ()

J’ai entendu au début un chahut dans le dortoir vers le fond, je n’y ai pas prêté attention plus que ça. Mais plus le temps passait plus j’entendais des petits cris, j’ai commencé par lever la tête vers le couloir mais je ne voyais rien, j’ai alors décidé de me lever doucement, et j’ai marché le long des lits, pratiquement vide tous, quand je me suis retrouvé discrètement à côté d’une armoire qui me cachait, face à un type qui se faisait sucer par un autre, la vue de cette scène m’a vraiment excité, le type bandait bien et était plutôt bien monté, j’ai attendu dans ma cachette, et les ai vu bouger, et j’ai compris qu’ils allaient s’envoyer en l’air, il a pris les jambes du mec et l’a carrément enculé à sec, enfin je crois, vu comment il gueulait, très vite ses cris sont devenus des souris d’encouragements, je le voyais gesticuler de joie quand l’autre lui donnait des coups de butoir profond, je ne savais pas si je pouvais , mais je bandais tellement que j’ai fais glisser mon slip à terre. Ils n’ont rien vu , je me branlais, quand j’ai vu partir le baiseur, dans l’autre direction, ma queue était raide et ce type était toujours nu allongé sur son lit, je n’ai pas attendu, me suis positionné sur lui et l’ai pénétré, il couinait de joie, je l’ai bourré comme je pouvais, nous avons changé de place, et l’ai mis à 4 pattes, il m’exhibait son joli petit postérieur qui semblait accepter facilement les gros calibres, je l’ai enculé encore un bon bout de temps quand je me suis aperçu que l’autre était revenu, il était juste derrière moi, et commençait à m’embrasser dans le cou, pendant que ses doigts s’agitaient entre mes fesses, je lui rendais son patin d’enfer, quand il commença à introduire un doigt plus profondément, je lui enlève la main pour lui faire comprendre que non, il n’insista pas et s’accroupi en m’écartant les fesses, je ne pouvais pas l’éviter car trop occupé à tringler l’autre, qui adorait se faire prendre, je sentais sa langue glisser entre ma raie pour commencer à s’introduire dans mon anus, je ne pourrais pas décrire la drôle de sensation , j’ai su quand il s’est mit à mettre le bout de sa langue en moi, je sentais trop de plaisir de là, pour le refuser, qu’il continua de m’en donner d’autres, il passa du gel et introduit encore un doigt  qui cette fois si, ne me fis pas mal, je sentais le va et viens en moi, pendant mon bourrage avec l’autre, ses mains m’agrippèrent les hanches quand je sentis passer son sexe entre mes fesses, ma réaction fut de les serrer, mais trop de choses à faire m’ont fait penser au petit trou de l’autre par exemple, j’ai alors su que j’allais y passer, je ne me sentais pas honteux de ce qui se passait, j’ai commence à me détendre au moment où j’ai pu reconnaître que son gland était en moi, sa tige devait être grande car il ne me touchait toujours pas du corps, j’ai senti une poussée et il s’est alors enfoncé en moi complètement ce qui me fit enculer l’autre comme une brute, il s’est alors  mis à jouir, pendant que je me faisais prendre doucement, maintenant, je ne pouvais plus réagir, qu’à cette bite en moi, l’autre s’est alors positionner pour me mettre sa bite dans la bouche pendant que les coups de butoir augmentait, à ne plus pouvoir faire autrement que de jouir , sur le lit, je n’en revenais pas de cette simplicité de jouissance entre mecs, ils avaient l’air d’apprécier autant que moi, je n’en redemanderai peut-être pas , mais l’expérience m’avait braiment plu, je me suis affalé sur le lit pendant qu’il m’enculait frénétiquement, mes mains se crispaient au drap, et je sentis qu’il jouissait, ses derniers coup me tuèrent, je râla encore une fois, avant qu’il s'ôte de moi, je n’ai pas pu me relever tout de suite, je suis resté à côté d’eux, allongé sur ce petit lit pour trois, ils me caressaient, en se roulant un patin, pour finir , mon enculeur s’approcha de moi pour un tendre baiser avant de sortir « prépare toi pour tout à l’heure », « quoi tout à l’heure », « prépare-toi, j’ai deux mecs bien monté à te présenter surtout Raoul », ma réaction fut instantanée, « je ne suis pas pd », il n,’a pas bronché, s’est relevé, et en partant vers la douche « t’inquètes, nous sommes tous un peu pd dans ces moments là, », j’ai regardé l’autre, qui souriait, « tu comprends ce qu’il voulait dire », « moi, non, je ne suis pas invité apparemment, mais tu as de la chance, il ne m’a jamais fait un trip pareil, tu vas être aux anges, vas te doucher », je ne voulais pas y aller en même temps que l’autre, j’ai rejoins mon pieu et quand il est ressortit, et qu’il s’est fringué pour sortir, j’ai pris la direction de la douche, mon petit cul était dans un drôle d’état, le fait de le  toucher ainsi, me fit encore bander, je devais me calmer, j’ai terminé, l’autre du lit n’était plus là, il n’avait même pas pris de douche, j’ai sauté sur mon lit, personne était dans le dortoir, cette séance m’avait épuisée, je me suis endormi pendant deux heures, mon réveil fut brutal, trois mecs étaient autour de mon lit, nu, je pouvais remarquer que chacun bandait et pas qu’un peu, j’ai eu vite fait , moi aussi d’avoir une érection, le plus costaud s’approcha et m’enfourna son sexe en pleine bouche, je ne voyais pas comment me défendre de ces types, ils m’ont alors tripoté à leur guise, l’un me branlant, l’autre commencent à me mettre du gel sur l’anus, très vite, je  me suis fait prendre par le type de tout à l’heure, sa puissance me fit crier, de douleur, il me lima trois bonnes minutes, pour laisser sa place à celui que je suçais, qui ne chercha pas à me faire plaisir sûrement pour lui se devait être jouissif , car il ne résista pas longtemps, pendant que le troisième se mit devant moi, je m’aperçu que ce que je voyais devant moi, n’était pas un petit calibre, c’était Raoul, il posa simplement son gland sur mes lèvres, me laissant libre de le sucer ou pas, son gland ne présageait que des souffrances, j’aillais devoir pour une première assurer un max. il se branlait pendant que le premier revenait à la charge pour se purger en moi, je n’ai pratiquement pas sentis sa jouissance tellement , je me fixais sur le gland devant moi, ma langue s’agitait, doucement pour lui donner du plaisir, des soubresauts venaient me confirmer que sa tige appréciait le châtiment, je me suis aventuré à l’avaler, mais juste la demi, car elle devait bien faire dans les 24 ou 26, que faire de mieux, nous nous sommes retrouvés à un moment tous les deux, je sentais en moi l’envie de l’avoir, il me demanda « tu veux essayer », j’ai alors pris la décision de ne pas mourir idiot, je me suis allongé et lui ai mis à disposition mon petit cul. Il s’est posé entre mes jambes et à installer son sacré morceau, je ne voulais pas souffrir mais avec ce style d’engin, il fallait choisir, la queue dans une certaine souffrance ou reine du tout, il ne m’a pas laissé le temps d’épiloguer, car son gland s’est introduit sans trop me faire de mal, ce qui me sembla jouissif, fut ue mes muqueuses sentent l’ascension de la hampe en moi, il poussait doucement et fini par y arriver, ses poils pubiens se collaient aux miens, je me cambrais pour m’ouvrir le plus possible, lui me tenait maintenant la taille et commença à un petit aller retour pour voir comment je le supportais, voyant en moi plus de plaisir que de douleur, il instaura entre nous une complicité sexuelle qui me fit monter au 7eme ciel, par le cul, je jouissais de la bite, sans m’en rendre compte, mais le plus intense était de mon postérieur, qui en tremblait et qui en redemandait sans cesse. J’ai du jouir deux ou trois fois, avant de  l’entendre jouir sur mon dos, il s’écroula à côté de moi sur mon lit, nous sommes restés ainsi, les yeux fixés dans ceux de l’autre, ses mains me touchaient toujours par endroit, « tu as aimé », « oh oui, c’est ma première mais tu m’as rendu au centuple le cadeau que je vous ai fait », il sourie « tu voudras recommencer avec moi », je le regarde « tu rigoles, avec toi, c’est sur mais les autres pas trop », il m’embrassa, j’ai senti sa force me tenir près de lui, je commençais vraiment à me poser la question sur mon tournant sexuel, nous sommes reparti tous les deux sous la douche, jet j’ai pu découvrir, l’homme qui m’avait tant fait jouir, il était grand mince, muscle mais pas trop, de belles mains, des yeux perçant vert, et surtout une bite entre les jambes qui promettait  un sacré bonheur, à celui qui le voudrait, il a attendu que je ressorte habillé pour le dire qu’il aimerait me revoir demain, je lui ai alors serré la main pour lui donner mon accord, son accord a lui fut plus direct, il me roula un patin à me couper le souffle, nous sommes allés au mess boire une bière, mon derrière me relançait souvent, mais ne fallait –il pas passer par-là pour avoir un certain bonheur sexuel.

 

Fini

Par histoires gays cooletclean
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 17:10

Mon voisin (Joss)

Nos fenêtres de chambres donnent face à face de chacune des maisons, de nos parents, pour avoir un contact, su système avait fait ses preuves, un interphone mural dans chaque chambre. Nous conversions depuis l’âge de 10 ans, l’année où je suis arrivé ici avec mes parents. Je m’entends très bien avec Joss (son vrai prénom est Josselin mais il ne l’aime pas), nos interphones étaient branchés à longueur d’année, et nous faisons nos cours comme ça tous les soirs, quand je lui demande de me passer le cours sur la biologie, je me lève pour me pointer devant la fenêtre, quand bien entendu, je le vois passer nu pour ouvrir sa commode et prendre un dossier, je ne bouge pas, il s’approche de sa fenêtre, nu toujours, et met le dossier dans le petit panier qui nous permettait de nous envoyer différentes choses, il tire le câble me laissant voir sa nudité, qu’elle drôle d’érection, je récupère alors le dossier, il me fait un signe et repart me parler dans l’interphone, je suis maintenant devant mon bureau mais je ne peux pas m’empêcher de regarder mon slip qui de déforme, mes pensées sont ailleurs, alors que je continu de parler avec Joss, je lui explique avoir un problème avec ce cours, et je l’entends, me dire « ok, j’arrive », tout con que je suis, je me précipite vers la fenêtre et le vois sortir par l’escalier de secours en caleçon, je n’ai toujours pas bouger qu’il monte à l’échelle de la maison, le voici qu’il entre dans ma chambre, il est habillé que de son caleçon, je ne sais toujours pas quoi penser, il s’approche tout en commencent à m’expliquer le cours, quand d’un coup, il stoppe et me sort « punaise, tu bandes », je n’ai pas regardé quand quel état, j’étais, mais quand je l’ai vu s’approcher et qu’il a posé ses doigts sur l’élastique de mon slip, en le faisant glisser, j’ai alors vu surgir ma bite en pleine forme, je ne me sentais pas bien mais très vite, il s’est agenouillé et m’a littéralement aspiré la bite, je le voyais faire mais ne bougeais pas, il me pompait avec une sacrée maîtrise, qui me chauffa rapidement, je couinais alors que je le vis se branler à travers son caleçon, je n’en pouvais déjà plus, il me suçait trop bien, je lui lâcha qu’il fallait arrêter sinon, je jouissais, c’est alors que le déclic arriva, je l’ai repoussé juste à temps, pour qu’il a ma purée sur le visage, je n’arrivais plus à me contenir, je jouissais comme  jamais, j’ai alors réouvert mes yeux et me suis aperçu qu’il avait lui aussi jouit dans son caleçon, il s’est relevé, nous nous sommes fixé un instant et il a repris sa conversation sur le cours, je ne pouvais me détacher de la tache qu’il avait entre les jambes, son caleçon en était rempli, je voyais bien que lui aussi me regardait bizarrement, j’ai attendu le lendemain soir pour avoir un peu d’excitation, quand je l’ai vu apparaître devant moi dans son simple appareil, nu, je n’ai pas pu faire autrement que de bander, punaise, il se retourna me montrant sons petit cul galbé, je n’en pouvais plus, j’ai pris l’échelle et fais ce qu’il avait fait la veille, je me suis vite retrouvé devant lui avec une énorme bosse dans le short, il s’est alors mir sur le lit à 4 pattes, je voyais son petit trou bien dégagé, il s’était rasé, j’ai alors glissé mon short et me suis approché, son trou était déjà humide de gel, il l’avait préparé à un assaut, je n’ai fais que pointer mon gland que sa rondelle, quand lui s’est littéralement enfoncé mon pieu dans le cul, il raillait des « vas y a fond », je ne bougeais pas, il faisait tout, tout seul, j’ai alors posé mes mains sur ses hanches et ai pris la situation en main, très vite, je l’ai enculé, il couinait pendant que je voyais mon sexe entrer et sortir, c’était excellent, je ne me rendais plus compte de ce que je faisais mais c’était bon, il écartait ses fesses, car mon gros pieu le terrassait, il voulait changer de position, et se mit sur le dos, très vite je suis retourner en lui, nos regards en disaient long, je le prenais si fort, qu’il se mit à jouir sans prévenir, j’ai continué mes vas et viens, je ne voulais pas jouir trop vite, mais ce petit con avait vraiment un orifice de rêve, j’ai craqué mon sexe a craché tout son surplus, je n’en pouvais plus, je me suis écroulé, j’ai pris mon Joss comme amant. Nous sommes après, partit tous les deux pour les usa, pendant un an, nous avons encore vécu plus intensément notre relation, et c’est vraiment la bas que je suis tombé amoureux de lui, rien n’a plus changé depuis, même après notre retour en France, nous avons ouvert un magasin et vivons ouvertement notre vis d’amoureux.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 17:04

 

 Mon frère ()

J’ai toujours eu mon frère comme protecteur, tout petit nous restions ensemble à regarder la télé car mon père étaient en déplacement et ma mère était occupée dans la maison, des soirs et des soirs, je les ai passé à côté ou dans les bras de mon frère devant la tv, même quand notre mère est devenue infirmière et que nous étions assez grands pour nous surveiller nous même, j’ai continué de m’allonger le long du corps de mon frère protecteur en matant la télé, mais ce soir, comme tant d’autres, il fait chaud, le tee-shirt ne sont même pas de rigueur, je m’étends près de lui, j’ai 15 ans et lui 17, il est en caleçon, moi en slip, nous avons loué un film sympa, je m’installe comme d’habitude malgré la chaleur, et ne me repusse pas, c’est ainsi depuis si longtemps qu’il n’y prête même plus attention, quand je me colle à lui, ma main glisse sur son torse et vient se loger sur ses abdos qui deviennent de plus en plus dur au fil des mois. Ma tête  se case sur son épaule quand je sens sa main me caresse le dos, je savoure toujours ses instants où il est totalement à moi, inconscient du plaisir qu’il me donne, sa main descend encore pour se retrouver devant l’élastique de mon slip, il n’hésite pas et repousse le tissu, je sens ses doigts me malaxer la fesse droite, je ne bronche pas mais profite de cette caresse. Pour moi, c’est l’occasion d’aller plus loin avec ma main, c’est comme un jeu entre nous. Je la remonte sur son torse, joue avec son petit téton ? Il ne dit rien, mais sa main ne faiblit pas, il me caresse franchement les fesses maintenant, je bande, j’en suis sur son caleçon aussi laisse apparaître une bosse, pas complètement droite, mais assez quand même, je recommence à passer ma main du torse au bas ventre sans pour autant aller plus bas, par peur, oui, peur de ne pas y arriver à temps avant qu’il me bloque la main, mais lui par contre se met à découvrir mon entre jambe anale, un de ses doigts est maintenant entre ma raie et découvre mon jardin, secret. Persone n’a encore essayé de faire ce qu’il fait, je me sens tout drôle de me laisser aussi facilement faire par lui. J’ai une entière confiance en lui mais « ah », trop tard, il vient de trouver mon petit trou et n’hésite pas à lui faire subir un contrôle de virginité, c’est alors que j’ai décidé de faire comme lui, j’ai glissé ma main jusqu’au caleçon et voilà, elle était si proche que je pouvais toucher son sexe du bout de mes phalanges, je n’ose pas quand sa deuxième main vient pousser la mienne et la rencontre se fait, je saisis l’engin, que de mes 15 ans semble énorme, je ne regarde plus la tv, la caleçon qui bouge par ma main soulevant le tissu me montre ainsi sa toison brune, et la base de son sexe, m’excite encore plus, je sens ma main glisser sur cette tige qui ne manque pas de me faire comprendre que j’agis bien pour elle, il ne se laisse pas dérouter avec son autre main car son doigt est bien entré en moi, je pousse des petits sursauts, de douleur, mais les accepte, il gémit de la branlette que je lui fait, les choses vont très vite, il repousse son caleçon me montrant sa nudité homme, je ne peux plus rien faire d’autre que de l’admirer, il est d’un calme pendant que j’approche mon visage , son gland laisse partir un liquide, un peu gluant, je pose ma langue dessus pour le goutter, dans trop de goût en fin de compte, je suis si près du but, je pense reculer pour l’admirer, mais sa main me montre le chemin à prendre, j’avale donc l’objet de mes désirs, je commence ma première pipe, je ne sais pas si je le fais bien, mais ses petits cris me laissent croire que oui, et sans attendre longtemps je me retrouve avec le visage rempli de sperme, la vache quelles giclées, nous restons cinq bonnes minutes dans cette position. Le film s’est alors fini, nous sommes partis à l’étage nous coucher, et je l’ai vu partir dans la salle de bain se laver, j’ai glissé dans mes draps en pensant encore à ce que je venais de vivre. Il est entré dans notre chambre et sans me demander est entré dans mon lit, il était toujours nu, s’est sans parler blottit contre moi, j’ai dormi dans les deux minutes qui ont suivi, dans la chaleur des bras de mon frère, je n’ai même pas entendu ma mère venir nous dire bonsoir, mais au matin avant de se lever, il n’a pas tardé à jouir, je n’ai rien dit, je bandais à mort de le voir faire, il m’a alors bousculé «  dépêche-toi, nous allons être ne retard », nous avons dévalé l’escalier pour un petit déjeuner, avant de nous préparer pour le bahut, rien n'avait changé, à part que nous avions un secret de plus entre nous, et pas le moindre, je n’ai pas attendu longtemps car à peine posé son sac sur son bureau, il est venu dans ma direction, s’est posé devant moi, en se massant le sexe à travers son jeans, « tu n’imagines même pas comment je bande », et il se met à déboutonner son fut, son slip ne peut apparemment même plus contenir son sexe tellement il est gros, il l’éjecte devant moi, il mouille la vache, il s’exhibe et me dit « tu la veux ? », je ne réponds que par le geste, ma bouche s’approche, ma langue vient lécher la goutte qui sort de son gland, puis, je commence à le pomper, doucement pour en profiter et pour lui donner le plaisir qu’il demande, il pose ses mains sur ma tête et pendant 10 bonnes minutes, c’est exquis, je crois que je vais jouir dans mon fric, il sort de ma bouche et me jouit dessus « punaise, tu suces bien », j’étais fier d’entendre cette remarque, je lui souris, il se rhabille, pendant que je m’essuie, nous entendons notre mère nous dire de descendre avant qu’elle parte, nous y allons, discutons un peu avec elle et nous revoilà seul tous les deux, il me sourit « punaise, nous allons nous éclater ce soir », à peine avait-il dit ça, qu’il vire tous ses vêtements et reste ne slip, il se met à nous faire des plateaux télé, et nous voilà fin près pour une petite soirée cool, je fais comme lui, je ne garde que mon slip, je suis fier de moi car mes efforts musculaires portent leurs fruits, et savoir qu’il aime se faire pomper par moi m’encourage pour la suite, qui d’ailleurs ne tarde pas, juste après le fil je sens ses doigts glisser dans mon slip, qu’il vire aussitôt, je bande déjà, son doigt entre dans ma raie et me masse l’anus, j’écarte les jambes sur le canapé pour lui donner ce qu’il veut, il ne parle pas mais ces gestes sont précis, je me retrouve à genoux contre le dossier du canapé pendant qu’il me lèche la rondelle, je couine des « oui encore », il ne le fait que trop peu pour moi, un gel vient remplacer sa langue et son doigt entre complètement, je suis tellement excité que la douleur passe vite, je me fais pénétrer par ce doigt qui s’agite en moi, je commence même à en vouloir plus, je lui sors « punaise baise-moi », je ne sais pas ce que je dis, je suis encore inconscient de la puissance de cette petite phrase car lui n’attendait que ça, je sens d’un coup son gland sur mon anus, et vlan , je me retrouve avec ses mains sur mes hanches, pendant qu’il s’enfonce dans mon postérieur, je lui crie d’arrêter mais trop tard, il est au fond, reste en moi un instant sans bouger, mais se remets vite fait au boulot, je ne me sens plus, je ne sens que ce sexe qui me ravage le cul, il s’excite trop pour ma première fois, il me fait mal, je lui dis de se calmer, de faire plus doucement, il s’exécute mais ce doux et lent va et vient le fait jouir rapidement, il sort de moi en poussant un cri de jouissance incroyable, je me retourne et éjecte aussi ma semence sus son bras, nous sommes remonter après avoir repris nos esprits mais à peine dans le lit, il m’a encore pénétré, je ne me suis pas senti si violenté que tout à l’heure, je prenais du plaisir a ce qu’il m’offrait, j’ai encore senti les dix minutes de baises pour du bonheur, lui aussi a été pris de jouissance fulgurante, nous avons dormi encore cette nuit la comme des bébés enlacés, notre mère le lendemain, nous a fait la remarque que cela faisait deux jours que nous dormions dans le même lit, mon frère a répondu qu’il était en manque d’affection en ce moment, sans rien dire de plus, mais son regard c’est porter sur moi avec beaucoup de malice, pendant les deux années qui ont suivi, nous avons fait un pacte de l’amour, au moins quatre à cinq fois par semaine, je suis des plus heureux, mais cela ne dura pas car une des filles de sa bande lui mit le grappin dessus, il accepta de sortir avec elle, tout en continuant de me baiser, je ne bronchais pas car je me rendis vite compte qu’il aurait beaucoup de mal à ne plus me voir, j’ai profit de ce qu’il me donnait quand  il le pouvait, je ne fus pas surpris de les voir mariés un jour, ils partirent dans un appartement plutôt sordide, moi de mon côté, j’ai aménagé près de ma fac, et pendant les 6 ans qui ont suivi, je l’ai vu au même rythme qu’avant, il me prenait toujours aussi bien et nous jouissions dans une parfait harmonie, nos baises étaient incorporées dans nos vies voilà tous, quand je le vis venir, un soir, me demandant de l’héberger un soir, car il s’était frictionné avec sa femme, je me suis dis que j’étais peut être le chanceux qui allait en profiter, la nuit fut  des plus hard, nous avons fait l’amour au moins trois fois, il en voulait toujours, je me suis réveillé au matin avec la tête dans le cirage, je devais aller au cours, lui était encore endormi nu sur le lit, qu’elle drôle de situation, d’avoir son frère nu dans cette position, j’avais envie de le garder, j’ai laissé un petit mot sur la table de la cuisine, lui donnant la possibilité de rester ici le temps que tout aille mieux, le soir, il avait déjà installé des fringues dans mes placards, « tu voudrais bien que je reste avec toi , j’ai vraiment envie de vivre plus avec toi, tu me plais beaucoup, je n’arrive pas à faire pareille avec les filles, » depuis ce soir là, toute ma vie a basculé dans le plus beau des bonheurs

Fini

Par histoires gays cooletclean
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Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 16:53

Mon amour d’enfance (Ray)

J’ai décroché mon diplôme d’architecture et cherche un local pour commencer, je me suis retrouvé nez à nez avec Ray dans la rue, j’ai toujours eu le béguin pour ce mec depuis notre enfance, il est devenu un très beau mec, je ne m’étais pas trompé. Nous allons prendre un café, histoire de nous raconter nos vies mutuelles depuis cinq ans. Il a toujours des yeux à vous renverser parterre, tellement ils sont clairs. Je bois ses paroles sans oublier de le détailler. Il m’annonce qu’il doit partir car il a un rdv à l’Anpe. Je lui file mon numéro et lui indique l’adresse de mon local. Les travaux de rénovation se terminent, je n’ai plus qu’à redonner une petite jeunesse et voilà. Un matin, vers 10h, Ray frappe à la porte, entre et me tend la main, sa poignée m’électrise. Rien que de toucher sa peau, me donnent des frissons dans le dos. Il me dit qu’il peut m’aider car il n’a toujours pas de job. Je le remercie et l’emmène dans la pièce, du fond qui me servira de bureau, tout le matériel est entreposé là. Il chope une combinaison et commence à tirer vers le haut de sa tête son tee-shirt, je découvre sans pouvoir réagir, ce petit strip-tease masculin, il est superbe, il ne me regarde pas, ce qui me donne l’occasion de continuer de le mater, il ôte ses chaussures et fait glisser vers le bas son jeans. Alors là, j’avoue être en semi-érection, ce mec est maintenant nu sauf ce caleçon qui glisse car sûrement trop grand, Son pubis est bien découvert quand il enfile la combinaison, je n’ai pas pu voir son sexe. Il relève les yeux et me sourit. Il remonte de moitié la fermeture éclair, tout en s’approchant de moi « ça t’as toujours plu de me mater, hein », je reste scotché, je ne sais pas quoi répondre. Il bouge et commence à préparer le produit pour décoller ce monstrueux papier peint. J’ai la gaule, je me casse un peu, et prétexte d’un rdv, qu’il garde la clé ce midi, car je ne pourrais être là que cet après-midi. J’ai eu le temps de me calmer et reviens vers 14h. Il est toujours là, la pièce d’entrée a déjà une autre tête sans cet horrible papier peint. Il n’a pas gardé la combi, il s’est changé pour un short. Ce qui laisse voir ces belles cuisses musclées. Nous  discutons un peu de la façon dont j’aimerai voir la pièce, mais il n’hésite pas à me dire qu’il va faire plutôt ça. Je suis surpris de ne rien dire. Il est à côté de moi, il m’impressionne toujours autant. Mais quand je le vois monter sur l’escabeau et que son short se retrouve au niveau de mon visage, je ne peux que regarder. Il semble pris dans son travail, me donnant une vue splendide, un slip apparaît quand il monte une marche décalant ses jambes. Le blanc de ce tissu m’attire, quand la partie la plus volumineuse sort de l’entrejambe du short. Il est toujours captivé dans ses explications. Je me recule. Nous travaillons chacun de notre côté, je décide de lui laisser le bricolage, pendant que j’installe les meubles dans le bureau. Il semble aimer m’aider. La chaleur est là,  il retire son tee-shirt. Punaise, il cherche à ce que je le mate. Il reste ainsi, pendant dix bonnes minutes à discuter. Evidemment, il remarque que je ne le fixe pas toujours dans les yeux si troublants. Rien que de voir le short avec une bosse devant m’excite. Je fins de m’occuper quand même quand il s’approche « tu sais, fais attention où tu mets tes yeux, tu risques de trouver quelque chose de trop gros pour toi », et sans même attendre que je lui pose la question, il me saisit la main et la pose sur le devant de son short. Je peux alors découvrir l’objet de mes désirs, il ne me laisse pas le choix, je le prends entre les doigts et constate réellement qu’il est bien même très bien monté. Il relâche ma main, ce qui ne me fait pas réagir, à ôter la mienne qui apprécie de saisir ce gros paquet. Mais il me sort « fait gaffe, tu risques de regretter le moment venu ». C’est alors, que je le lâche. Il part vers la porte, enfile un polo et me lance qu’il sera là demain vers 10h, « salut », je suis resté pensif d’avoir eu cette histoire avec lui.  J’ai du le provoquer pour qu’il en arrive là. Je ne regrette pas, puisque j’avais pu toucher son sexe, je commence même à me poser la question s’il n’est pas homo, le lendemain bien sur que j’étais là, en retard pour le déshabillage car des bouchons impossible, il avait adopté un tout autre look, un débardeur laissait découvrir à merveille son torse et pectoraux qui s’agitaient autant que ses bras musclés, mais le plus excitant  était encore ce drôle de survêt. Coupé à mi-jambe, mais montrant bien les formes de son petit cul moulé. Qui laissait découvrir facilement les formes avantageuses de ses bijoux de famille. Je lui tends la main toujours aussi désireux de l’avoir dans mes bras, nous refaisons le topo d’hier, j’ai vite compris qu’il aurait fini cette pièce ce matin et qu’il attaquerait derrière après. Le midi, un petit resto, nous a remis les idées en placent. Nous sommes revenus au labeur avec courage. Il est entré dans le bureau et à tout de suite retiré son tee-shirt. Je l’ai regardé quand j’ai découvert une bosse anormale dans le survêt. il s’est mis contre le mur face à moi, et a attendu trois bonnes minutes. Puis il a fait glisser sa main le long de cette forme, laissant glisser de temps en temps le survêt, Je ne réagissais toujours pas, mais j’avais les yeux qui devaient en dire long car il s’est mis à faire glisser le tissu me montrant tout d’abord son pubis et la base de son sexe qui semblait déjà gros. Mais rapidement, il s’est retrouve nu devant moi, s’approchant doucement, me montrant une bite énorme qu’il caressait doucement. Je n’ai  pas pu faire autrement que de le saisir, il bandait de plus en plus quand je le branlais. Son sexe atteignait les 24 centimètres au moins, mais le plus impressionnant, était qu’il était aussi gros de la base au gland, un bâton tout simplement. Je me suis accroupi, je l’ai vu sourire, mais je m’en foutais, j’ai alors commencé ce que je désirais, le lécher, le pomper, le sucer, j’ai fait de mon mieux. Ce qui semblait lui plaire, car apparemment, je n’étais pas le seul à vouloir quelque chose. Très vite, il m’a retiré le fut et m’a malaxé le cul et l’anus. Je ne pensais à rien mais j’ai vite compris qu’il aimait la baise ses doigts experts, m’ont mis vite le feu au derrière, je couinais de désir. Il m’avait tellement craché de salive sur l’anus qu’il avait réussit à faire entrer trois doigts. Je n’arrivais pas à me contrôler. Je le pompais comme un malade mais il reprit vite la situation en main, j’ai pivoté d’un demi-cercle et me suis retrouvé les mains au mur pendant que son sexe se frayait un passage. Le fait de sentir cette chair entre mes jambes m’a anéanti dans la résistance. Il s’est alors enfoncé tranquillement en moi, je l’avais en moi maintenant, il ne se pressait pas, me labourait tranquillement, puisque j’avais accepté cette énorme matraque en moi, il gémissait de plaisir, qu’il arrivait au fond de moi, il m’a relevé une jambe afin d’aller encore plus profondément, mes râles de joies lui disait d’y aller encore, ce qu’il faisait sans gêne, j’ai jamais eu autant de plaisir qu’avec lui. Tous mes sens étaient au travail, je ne pouvais plus nier que son sexe me faisais prendre mon pied, mes cris de jouissance lui ont fait comprendre que j’éjaculais et c’est là qu’il m’a littéralement violé, je n’en pouvais plus de ce gros machin en moi « tu vois, je t’avais dis que tu n’y arriverais pas », et j’ai encore subit pendant dix minutes une baise d’enfer. Je me suis écroulé à terre quand il m’a lâché, j’étais lessivé, je ne pouvais plus sentir mes jambes, lui était devant moi, me montrant ce monstrueux morceau de chair gluant, il souriait « tu as assuré, rien à dire, je crois que nous allons bien nous entendre », il a remis son survêt. Et m’a dit qu’il reviendrait demain vers 10h. J’ai pas réussi à me lever tout de suite, je n’y croyais pas, je venais de baiser comme jamais à ne pas pouvoir me relever, j’ai bien mis vingt minutes à reprendre mes esprits. Je suis rentré chez moi sans plus attendre. Mais vers 22h, mon portable a sonné, « salut, c’est Ray, on peut se voir », je ne savais pas uoi répondre, « oui, si tu veux », je venais de signer mon arrêt de mort, « ok donne moi ton adresse », j’ai débité bêtement mon adresse sans réfléchir. A peine dix minutes on suffit pour que j’entende l’interphone. Il était là devant moi, souriant. Je n’ai même pas eu le temps de lui proposer une boisson, qu’il m’a demandé ou était la chambre. Un signe pour lui donner la direction et le voilà parti, je le suis, il ôte son tee-shirt se retourne et me fixe droit dans les yeux, je sens que je vais craquer pourtant mon anus lui, n’en est pas encore remis, je n’ai pas tardé à comprendre que nous allions remettre ça, nous avons  fait l’amour comme jamais, des vrais démons, une baise torride et puissante, rien a voir avec les autres, il était un dieu du sexe, j’ai pris dans le cul ce que je méritai et n’ai jamais regretté, mes désirs pour lui sont toujours aussi forts, il le sait en venant me baiser comme un malade deux à trois fois par semaine, je crois ue notre relation prend une drôle de tournure, je m’attache de plus en plus et lui profite de moi pour me baiser, je sais qu’il partira, car sa puissance sexuelle est trop forte pour moi, mais je décèle chez lui quand même une envie de rester avec moi, depuis six mois que nous baisons ensemble, il a trouvé un job et vient plusieurs fois par semaine me chercher pour dormir chez moi mais surtout pour me faire l’amour, que tout cela continu….

Fini

 

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