Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 16:42

La maison de rêve (Geoffroy)

Geoffroy et moi, nous connaissons depuis la troisième, j’ai tout de suite sympathisé avec lui, nous sommes devenu les meilleurs copains, jusqu‘à la fin de nos études, même si je n’avais pas fait le même choix, c’était toujours la même fac et donc la même vie ensemble dans notre piaule d’étudiants, jusqu’au jour final, où chacun a trouvé du travail dans la même ville mais plus, les même horaires dans la journée. Donc, nous nous sommes vus les premiers mois très souvent à peu près tous les jours. Mais depuis que Geoffroy, a décidé d’acheter sa maison, je ne peux pas toujours l’accompagner dans ses achats de rénovations, les travaux font vite, l’entrepreneur lui prend un max. de pognon, mais ça en vaut la peine, vu comment ils ont réussi à transformer, cette petite maisonnette en magnifique baraque avec des extensions dans le jardins privé, j’avoue être jaloux, même si notre connivence est toujours intact, j’aurai voulu pouvoir m’acheter aussi ce style de baraque. Un soir que nous étions dans son salon dans la véranda, laissant voir le très joli jardin, je lui en ai parlé, il m’a sourit, et m’a sortit « tu n’as qu’à venir prendre la deuxième chambre et tu m’aides à payer la baraque comme ça, elle sera à nous deux ». L’idée me traversa très vite les neurones et ma réponse fut « oui », il souriait toujours, je le trouvais mignon, comme mec, je ne l’ai jamais vu avec une minette. Je pense dans mon fond intérieur qu’il devait avoir quelqu’un mais juste pour la baise. Car quelques soirs chaque mois, il disparaissait une nuit, sans pouvoir savoir ce qu’il faisait. Je ne m’étais pas fait d’idée sur sa sexualité, moi, je le trouvais beau gosse. Rien ne s’était fait entre nous et je ne voulais pas gâcher notre amitié sincère par une erreur de jugement sexuel. Alors même si je l’admirais lorsqu’il se préparait devant moi en slip, je ne lui disais rien. Il était très exhibe aussi, très souvent, il se trouvait torse nu ou en short court, laissant voir sans détour ses bourses ou la forme de son sexe dans ses slips, je bavais de temps en temps sur lui, mais jamais à en rêver la nuit. Les trois jours qui ont suivi notre fameuse conversation ont été cruciaux pour toute notre vie. J’ai signé avec lui une partie de l’achat, mes parents m’ayant donné de l’argent pour l’apport. Et le reste en crédit, mais nous avions décidé de laisser nos appartements communs dans les quinze jours pour moi. Et le lendemain pour Geoffroy qui s’y était préparé depuis longtemps. J’étais excité de pouvoir d’abord acheter quelque chose et en plus de pouvoir le partager avec lui. Tout se précipita car mon proprio voulait l’appartement rapidement aussi. Elle l’avait déjà reloué. Alors trois jours après, j’eus mon chèque de caution et mes valises dans le couloir de notre nouvelle maison. Tout était pratiquement fini sauf ma chambre. Le dilemme survint rapidement, où mettre mes fringues en attendant que les placards soit fini, Geoffroy me fit, les monter dans sa chambre et m’expliqua qu’il ne nous restera que peut-être qu’une petite semaine de travaux. Alors que j’aurai qu’à dormir avec lui cette semaine là. Tout était donc réglé, nous avons fêté, cette superbe auisition et vers 23h, nous avons décidé de nous coucher car boulot demain. Ce n’est que dans la chambre que je ressentis un petit pincement d’excitation quand je le vis se déshabiller. Il resta en slip et alla à la douche. Je rangeais mes fringues sur les étagères libres en attendant son retour. Il se lavait maintenant les dents, je pris sa place, passant tout proche de lui, il avait juste une serviette autour de la taille, il sentait bon, je me suis mis devant le lavabo, lui partit vers la chambre, je le vis ôter sa serviette pour glisser dans le lit. Je me suis précipité sous la douche pour reprendre mes esprits. Et me voilà tout frais pour entrer moi aussi dans le lit, comme lui je ne portais rien, mais je pense ne pas l’offusquer si je reste nu aussi. Alors je laisse partir à terre la serviette et entre dans ce fabuleux lit, où ce type, mon meilleur pote s’était mis aussi. Je dois avouer ue l’idée de bander près de lui m’a traversé, Nous avons discuté du temps que nous mettrions demain matin pour nous préparer et il éteignit la lumière. Tout resta correcte, jusqu’au moment où il me taquina en me chatouillant, nos mains sont venues toucher le corps de l’autre, pour nous rendrent les gestes. Mais je sentais que ses mains étaient précises, et douces sur ma peau, je n’en revenais pas, je me laissais caresser sans rien faire. Il le comprit car sans chercher, il approcha tout son corps et le mit le long du mien, je pouvais sentir son sexe entre mes fesses. Ma bite a grossi aussitôt. Ses mains étaient passées sur ma poitrine et me titillaient les tétons. Alors qu’un léger va et vient trahissait qu’il se branlait entre mes cuisses. Quelle bonne sensation, sa force musculaire me bloquait un peu, mais je ne voulais pas arrêter ce bellâtre dans son élan de sexe. Il bougea et vint s’allonger sur moi, sa bite s’est unie à la mienne, je sentis son visage près du mien, mes mains étaient partis dans son dos et descendaient vers le bas de ses reins. Il ne bronchait pas, quand je sentis ses lèvres sur les siennes et sa langues s’insérer dans ma bouche, je ne pouvais plus refuser, je prenais réellement du plaisir de faire ça avec lui. Notre complicité serait peut-être fichue, mais je savourais ce délicieux moment de rêve. Il se mit à bouger, se tourna et je fis surpris qu’il me présente son petit derrière, il le positionna tout près de ma bouche. Je ne refusai pas la demande et glissa mes lèvres puis ma langue dans ce petit trou, il était imberbe, je pouvais lécher de temps en temps ses bourses, mais n’avais pas encore léché son sexe. Lui pouvait tout faire, il me léchait avec délice, mon gland était enflé par ce désir, il ne s’arrêtait pas uniquement à mon sexe. Il me releva les jambes et commença un long léchage de mon anus, je commençais vraiment à ne plus pouvoir résister. Il couinait aussi, que je lui bouffais bien le cul, mais ses paroles m’ont fait l’effet d’une bombe. J’ai giclé sur son torse, alors qu’il commençait à me mettre le deuxième doigt dans le cul. Plus possible de refaire marche arrière, j’avais joui. Il se retourna et me fit faire connaissance avec son sexe, je le pris en main, et compris qu’il n’avait rien à voir avec la dimension du mien. Nom d’un chien, elle était énorme, je n’arrivais pas à faire le tour avec mes doigts. Il força un peu voyant mon hésitation et me voilà avec une bite dans la bouche. Elle avait le goût du gel douche. Je commençai à m’appliquer, il se mit sur le côté et m’obligea à la remettre dans la bouche. Je pouvais maintenant lui faire une pipe dans sa longueur, il n’hésita pas à mettre sa main derrière ma tête et commença par me faire des va et vient de plus en plus rapide. Quand d’un coup, il me sortit qu’il jouissait alors que j’avais sa queue eu fond de ma gorge. Je n’eus pas le temps de la sortir et fut aspergé de sperme au plus profond de moi, je cherchais à respirer mais la seule chose que je faisais c’était d’avaler. Merde, il continuait à s’astiquer avec ma bouche, qu’il remplissait avec des couinements de plaisirs. Il me relâcha et s’approcha de ma bouche, posa ses lèvres pour me remercier de cette délicieuse baise, nous sommes resté ainsi à nous blottir l’un à l’autre une bonne dizaine de minutes sans rien dire. Quand il commença à ouvrir la bouche. J’ai cru qu’il voulait que je parte, mais il me dit « c’était super, j’ai toujours voulu le faire avec toi ». Je l’ai embrassé mais c’est là que j’ai vite compris que ce n’était pas terminé, car son sexe n’avait pas d’un pouce perdu de sa vigueur. Il me caressait les fesses et insistait lourdement sur l’entrée, quand il bougea, je compris qu’il allait m’enculer, il prit du gel et commença à s’en enduire avant de m’en mettre. Je ne résistais pas. Je voulais qu’il le fasse même si j’allais souffrir. Jamais, je n’avais été pris, ma passivité était plutôt personnel quand j’ai essayé d’introduire dans le cul une brosse à dent, c’était tout. Mais là, je sentis tout mon corps partir dans une fièvre de chaleur, mes sens n’étaient plus qu’à cet endroit de mon corps. Il me titillait les tétons, mais je n’éprouvai qu’une chose, la pénétration de son sexe, il s’enfonçait toujours, je commençai à râler de plaisirs. Quand il fit ses premiers va et vient, je n’en fus libéré après plusieurs positions. Mais trente minutes après, je n’en pouvais plus, j’avais réjoui entre temps. Alors que lui était encore à me buriner. Je sentis qu’il allait jouir, il se braqua et me saisit les jambes droites, il était devant moi, il sortit son sexe et m’éjacula sur tout le torse et le visage, Je n’avais jamais senti quelqu’un me jouir dessus, c’était inexplicable, j’aimai et c’était tout. Il râla encore, plus j’étais en sueur, des pieds à la tête, je n’arrivais plus à bouger, tellement les pénétrations avaient été fortes, « ça va, tu as aimé, moi j’ai adoré ton petit cul en tout cas », Je n’osais pas répondre, et puis, je me suis dit qu‘après tout autant qu’il sache « moi aussi, j’ai aimé ta queue en moi », il se mit à sourire « génial ». Nous nous sommes endormis dans les bras de l’autre. Au matin, le réveil nous a remis dans la réalité et m’a fait faire un bon dans le temps, enfin d’hier soir, Geoffroy, me souriait et se leva, il était nu et pour la première fois je le vis nu devant moi, son sexe était long. Il pendait entre ses cuisses, même au repos, il mesurait une taille impressionnante. « Allez, nous allons être en retard ». Chacun se doucha pendant que l’autre se rasa, et nous nous sommes retrouvé à faire le petit déjeuner ensemble, près à partir, aucun de nous n’a osé parler d’hier, ce n’est que lorsque nous sommes allé vers la porte, pour récupérer dans le garage les deux voitures, qu’il m’a chopé le bras, m’a fixé, il est venu poser ses lèvres sur les miennes. J’ai lâché ma sacoche et l’ai enlacé pour répondre à ce baiser tant attendu depuis mon réveil. Il nous stoppa et me donna une tape « tu es gourment toi, tu auras le reste ce soir et prépare toi à une bonne baise, j’ai la queue qui me démange déjà ». Nous sommes entrés dans nos voitures en riant. Ma journée fut des plus joyeuse, je venais de découvrir ma sexualité et en plus avec le type ue j’appréciais le plus au monde, rien ne m’arrêta en chemin, pour pouvoir le revoir le soir, à peine arrivé que je déchantai de ce que j’aurais voulu car il était avec ses parents à prendre un café, il n’avait pas besoin de me présenter car nous nous sonnassions depuis longtemps. Mais après cinq minutes, ils commencèrent à nous dire qu’il serait difficilement de la revendre si nous l’achetons ensemble. Geoffroy me souriait, ce qui me détendit, plus rien ne m’atteignais à part ce type. Il m’excitait même devant ses parents, après une heure, ils partirent, Geoffroy se jeta sur moi et m’obligea à monter dans la chambre, il m’a pratiquement déchiré mes vêtements avant de se déshabiller dans un temps record. Nos bites se frottaient alors que nous nous empressions comme des collégiens. J’aimais sentir sa peau de bébé, son odeur de printemps m’enivra, mais il en voulait tout de suite plus. Il prit du gel et m’enduisit sans même me demander. Il bandait tellement que je pris peur en la voyant, mais rien ne pourrait l’arrêter. Il me sodomisa avec douceur, mais fermeté. Il savait à quel moment s’arrêter pour me rendre encore plus excité et je compris que ce ne serait pas la dernière fois qu’il me prendrait. Je me suis détendu, j’ai pris un pied d’enfer avec cette matraque en moi. Il me branlait si bien que je n’eus que le temps de lui dire quand mes jets de sperme partir dans la nature. Il continua encore cinq bonnes minutes avant de sortir et de m’asperger de son foutre sur tout le corps, nous nous sommes regardé et avons ri de la situation « tu te rends compte de l’excitation que tu me produis. J’ai eu mal aux couilles toute la journée rien que de penser que j’aurais ton si joli cul ce soir ». Il s’approcha de moi, s’allongea près de moi, nos lèvres se sont unies. Nous sommes restés à discuter et avons conclu que ce n’était plus la peine de faire une deuxième chambre mais plutôt un bureau bibliothèque. « tu te rends compte de ce que nous faisons », « oui, j’ai prévenu mes parents que je vivrais avec toi un long moment, je crois qu’ils ont compris ce que j’insinuais, c’est pour ça qu’ils ont pas été très courtois », « alors c’est vrai, tu le veux vraiment », « évidemment, tu m’as toujours plus, simplement je me cachais la réalité, mais maintenant que nous faisons l’amour, je comprends que c’est toi que j’attendais ». Je n’eus aucune réponse à part un baiser d’amour. Dans les mois qui ont suivi, aucun jour ne s’est passé sans une baise effrénée. Je ne comprends pas comment il peut avoir une libido aussi forte, je ne me plains pas au contraire, je crois que j’en suis de plus en plus accro moi aussi. Depuis peu, je le sodomise aussi, mais sans trop d’apothéose, je pense être fait pour être passif et lui actif, notre couple fonctionne super bien ainsi, ce n’est qu’au bout d’un an que nous avons vraiment dit la vérité à tout notre entourage, qui pour certains n’ont pas compris et d’autres l’ont très bien accepté ».

Fin

 

Par gayshistoirescooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 16:40

La troisième mi-temps (Nake)

Notre coach , nous avait demander de visionner la vidéo de notre dernier match pour en reparler demain, car nous avions foiré complètement, nous avons donc décidé de nous retrouver chez Nake, un des équipiers, un type d’une force musculaire impressionnante, et avec un charme très fort, toutes les filles au stade, craquent pour lui, nous avons donc décidé de manger ensemble, chacun apportant boisson et bouffé, tout en regardant la vidéo, nous ne sommes que quatre et discutons sans hésiter sur nos conneries pendant le match, la soirée avait bien avancée quand Nake, nous dit qu’il allait nous mettre quelque chose d’autre pour nous détendre un peu, l’alcool avait déjà bien fait son travail, nous nous sommes installé, Nake se mit à côté de moi, dans le canapé les deux autres dans l’autre canapé, il fit accélérer le film et d’un coup, j’ai compris que c’était un film porno, les filles se prenaient de sacrés queues, nous étions déjà excités par l’alcool alors les esprits se libérèrent rapidement, je vis les deux autres mecs sur l’autre canapé se déboutonner sans gène et les voilà la queue en l’air. Nake n’osait pas mais d’un coup, il me dit « après tout, pourquoi on ne le ferait pas nous aussi », et il a déboutonné son jeans, me laissant découvrir une bite avec  des dimensions assez impressionnantes, j’ai suivi le mouvement pour ne pas paraître con, mais ce n’était pas le film qui m’excitais, ça j’en étais sur, je me branlais en matant de temps en temps le film, mais mon intérêt principal fut la grosse bite de Nake, comment pouvait-il faire grossir une si grosse masse, elle restait raide comme un bâton, je me branlais en matant  les deux autres qui s’excitaient grâce au film, quand d’un coup, je sentis la main de Nake passer sous moi, passa dans mon dos et glissa vers mon postérieur, je n’osai pas lui dire non, et lui laissa tout loisir d’aller jusqu ’à mon intimité la plus secrète, ce qui ne le gêna pas, il me sourie et repartit dans son film, pendant qu’il me titilla l’anus, je n’en pouvais plus, je commençai à sentir la jouissance venir, ce type était en train de me pénétrer de son doigt et je jouissais, un petit cri fit comprendre aux autres que je jouissais sois disant grâce au film, ce qui les fit faire pareil en gueulant comme des porcs, alors que Nake prenait son temps, toujours en glissant son doigt en moi, je n’en pouvais plus de cette intrusion, il se mit à jouir en se penchant vers moi, je reçus pratiquement la totalité de son sperme, il jouissait abondamment en plus, mon tee-shirt était rempli sa queue ne dégrossissait pas pour autant, une fois les esprits calmés, nous nous sommes rhabillés, et avons quitté Nake sans trop de commentaire. Le lendemain, le coach nous questionna et croyez-moi, je n’ai rien oublié du match comme de la troisième mi-temps, mon sexe commençait même à grossir en revoyant certaines scènes, Nake me sourie avec un petit clin d’œil quand je le regardai, la journée fut éreintante, mais constructive pour notre prochain match. Trois jours après, nous avons fait un très bon match et pour nous remercier, le coach nous emmena dans un bar, après deux bonnes heures d’alcool, Nake s’approcha en me signalant que nous continuerons la soirée chez lui avec d’autres sans le coach, j’avoue qu’à ce moment là, j’ai pensé d’un coup que nous revivrions peut-être la même expérience que l’autre jour, et la soirée continua, les uns partaient, quand Nake me dit "tu viens, les autres vont nous rejoindre", j’ai suivis, dans sa voiture, je ne réalisa pas encore ce qui allait m’arriver, une fois dans son appartement, je me suis installé dans le même canapé que l’autre jour, il est arrivé avec deux bières, je n’en pouvais plus, quand il mit une casette dans le magnétoscope, je compris que nous ne verrions pas un film autre que porno, mais j’étais loin de penser voir un film bisexuel, les mecs se suçaient pendant que la minette se faisait  prendre et vis versa, je bandais dur, il était à côté et déboutonna son jeans, se libérant totalement en glissant le tout jusqu’à ses chevilles, il ôta même son tee-shirt me montrant totalement sa nudité, il bandait comme un taureau, je ne voyais plus le film, lui regardait tout en surveillant ce que je faisais, j’hésitai et fis comme lui, plus lentement mais le résultat fut le même en dix minutes, nous étions tous les deux nu devant cette télé qui nous diffusait des cochonneries, les mecs s’enculaient en baisant la fille, ma queue était aussi raide que celle de Nake, il me fixa et saisit ma main, la dirigea vers son sexe et m’obligea à le branler, je n’en pouvais plus, je croyais que j’allais en jouir, je m’appliquais mais c’était la première fois, il ne  chercha pas à faire pareil, car sa main partit comme la dernière fois sous mes fesses, pour se retrouver devant mon anus, ma main continuait son rythme, alors que je sentis son doigt se faire un passage en moi, il ne me fixait pas mais ne regardait plus la vidéo, il me dit « suce-moi, s’il te plait », je n’en revenais pas, mais sa bite était mon obsession depuis ces trois jours, alors il fallait en finir, je me suis penché, je l’ai vu tout près de ma bouche, son gland était énorme, et tout rouge, mais je n’eu pas l’occasion de penser à autre chose que son gland qui frappa à ma porte, et s’engouffra, je n’en revenais pas, il me bourrait la bouche pendant qu’il enfonçait son doigt complètement en moi, je n’en pouvais plus, je me suis mis à jouir, il souriait, alors qu’il continuait de me baiser la gueule et l’anus, son doigt fut accompagné d’un deuxième et d’un troisième avant qu’il me jouisse dans la bouche, je restais un long moment inerte avant de m’essuyer alors qu’il s’affalait dans le canapé, s’étirant, et m’exposant son sex-appeal, quel beau mec quand même, il n’était pas très romantique mais il avait tout ce qu’il fallait, je me suis rhabillé et levé, il est resté nu allongé, en me disant salut, j’ai claqué la porte en sortant, et me suis arrêté devant la fenêtre pour l’observer, il resta un long moment ainsi, avant de s’étirer comme un chat, et il vira complètement ses fringues et sortit de la pièce, il était aussi bien de dos que de devant, son petit cul était ferme et un peu arrondi, je suis parti en rêvant de ce type, ma nuit fut la plus mouvementé de ma vie. Le lendemain, rien ne paru de notre soirée, les autres aussi avaient une petite mine, l’entraîneur nous proposa uniquement des échauffements et des exercices, ce n’est que vers la dernière demi-heure que Nake s’approcha et de demandé si je voulais venir chez lui ce soir, un peu interloqué, je lui sort « pourquoi », « il faut que l’on parle », « parler de quoi, d’hier », « tu sais bien, la vidéo et le reste », « je ne pense pas qu’il y ai quelque chose à dire », « tu rigoles, j’ai besoin de te parler, alors tu te ramènes chez moi vers 19h et tu as intérêt à venir », il repart faire son exercice, je ne le revois pas car il ne s’est pas douché avec nous, je n’arrivais pas à savoir s’il fallait y aller, l’heure passait, il était presque moins le quart et je ne savais toujours pas, j’ai décidé d’aller faire une course, une bouteille, comme ça, je me bourrerais la gueule et l’oublierai, mais quand je suis arrivé à l’épicerie, j’ai vu Nake, « ah ! bien, tu t’es décidé à venir, ok, on achète quoi à bouffer », je ne savais pas dire non, je me suis retrouvé dans son piège et c »est moi qui m’y suis mis, je n’arrivais plus à sortir un traître mot, nous sommes ressorti du magasin et nous avons marché vers chez lui les mains pleines, il m’ouvrit et me fit entrer le premier, refermant derrière lui, à peine posé la marchandise, qu’il s’approche de moi, très près, il faut que l’on discute tous les deux et il me saisit la main, m’emmène avec lui dans le couloir et nous pénétrons dans sa chambre, il ferme et ôte sa chemise, s’approche de moi et me prend par la taille, nos torses se retrouvent, des frissons me viennent au moment ou je sens ses doigts, ouvrir mon jeans et faire tomber à mes chevilles tout ce que je porte en bas, mon sexe est en érection, il le sent sur sa jambe droite, je me laisse faire sers mains sont maintenant sur mes fesses et les tripotent sans vergogne, mes doigts sont toujours sur son torse, je réalise qu’il est lui aussi nu, son sexe se fraye un passage entre mes jambes, passe sous mes bourses, je trouve une drôle de sensation avec ce gros morceau de chair sous moi, il me fixe toujours, quand d’un coup, il nous projette sur le lit en disant « je sais que tu aimes ma bite, moi s’est ton petit cul, alors pourquoi pas les unir », je ne lâche pas prise dans mon regard pour lui dire que je ne voulais pas de son sexe en moi, mais il s’est installé en soixante neuf et m’a littéralement gobé la bite, alors que se présentait son gros sexe à ma bouche, je l’avais eu une fois alors pourquoi pas, j’ai commencé à lui titiller le gland, tout en lui léchant les bourses, ça l’a mit dans un état de furie, il me pompait avec encore plus d’acharnement, je n’allais pas durer longtemps à ce rythme, il me titillait aussi bien la bite de sa langue que mes parties intimes comme mes bourses ou mon anus, je commençais à me sentir plus calme, je commençais à accepter qu’il me tripote partout, je sentais bien ses doigts enfoncer une phalange puis une autre, je me concentrais sur ce gros calibre, un gel froid me réveilla, quand il l’enduit sur mon anus avec ses doigts, je ne pouvais pas parler la bouche pleine, mais je ne voulais pas de ce style de rapport sexuel, mais trop tard, sans même souffrir, j’accepta les deux doigts de Nake et ne broncha pas plus quand il fit des vas et viens, j’étais si concentré de le faire jouir que je ne me rendais pas compte qu’il m’enculait profondément, il décida de changer de position quand il sut que j’étais dilaté à souhait pour lui, car il s’allongea derrière moi et m’enlaça et frotta son sexe tout contre mon postérieur, je lui ai rappelé que je ne voulais pas, mais je sentis son sexe se frotter dangereusement contre mon anus et força, je voulais bouger mais il me tenait bien, je n’eu qu’à crier, de douleur, car son mastodonte n’était pas dut tout à ma taille, je souffrais alors qu’il s’enfonçait encore, jusqu’à ce qu’il soit bien au fond, je me mis à respirer très fort, et tourna la tête pour le fixer de rage, il souriait « on y est arrivé, tu vois », j’avais le cul en feu, et lui ne se souciait que de sa bite, il commença à me pistonner, à me tordre, jusqu’au moment ou plus rien ne me gênait, j’étais devenu insensible, à cette chair, qui allait et venait de plus en plus vite en moi, quel drôle de moment, je ne savais plus si j’aimais ce qu’il faisait ou le détestait, jusqu’au moment ou j’ai tellement joui que je lui ai déclenché un orgasme aussi, il a gueulé de joie en me soignant que j’avais le meilleur cul qu’il connaisse, et il contenait de me pilonner sans vergogne, puis il ralenti et sortit de moi, j’ai poussé un cri de soulagement, il m’a gardé entre ses bras et s’est levé « faut que j’aille pisser, viens te doucher après, je le vis partir de dos, il était vraiment bien foutu ce con. J’ai attendu un peu le temps de reprendre mes esprits et est décidé de me rendre à la douche, une fois l’eau mise à bonne température, je commença à me laver et à approuver ce délicieux moment, quand il poussa le rideau et entra avec moi dans la douche, il était tout près de moi, et plongea sa tête sous l’eau avant de prendre le gel douche, nous nous sommes rincé, et il me donna une serviette, lui enfila un slip après s’être séché, moi j’ai mis la serviette à ma taille car il me convia de rester ainsi pour aller grignoter, je me suis senti à l’aise pour la première fois, il était devant moi en petite tenue, mais je ne suis plus aussi impressionné car j’avais déjà eu ce corps tout près, trop près d’après mon petit anus, un pincement me rappela à l’ordre, nous nous sommes installé dans le salon, en regardant une émission débile, il me parlait comme ci de rien était, s’en était même bizarre, qu’il soit si rationnel entre maintenant et la baise de tout à l’heure, quand après une bonne heure de télé, je sentis sa main sur ma cuisse, il me fixait monta sa main jusqu‘à ma queue qu’il saisit, j’entendis un « hum ! , tu as l’air en forme toi », je vis quand il ouvrit les pans de la serviette que je bandais raide, il approcha sa bouche et me lécha le gland avec passion, je me sentais partir dans un délire d’excitation, je me suis allongé sur le canapé et lui, il est venu entre mes jambes, je pensais qu’il me pomperait mais, il est partit à la recherche de mon anus en me soulevant les jambes, j’ai eu un soupir et j’ai senti sa queue s’enfoncer, un peu surpris d’aller si vite, mais le passage était encore chaud, j’ai juste eu une petite grimace au premier passage, mais rien de monstrueux, le reste fut facile, car c’est lui qui forçait en moi, je me suis décontracter et j’ai vite eu des sensations multiples et vous faire jouir rapidement, il m’a regardé jouir à grands jets et m’a suivi rapidement, quand nous nous sommes réinstallés dans le canapé correctement, il m’a sortit « je pense que tu as compris que je te drague », je n’aurais pas dit ça comme ça mais oui, il le faisait à sa manière, « oui, j’avais remarqué », « tu me fais trop craquer, tu veux bien dormir ce soir avec moi », je n’avais pas d’obligation alors « oui », et nous avons reparlé de pleins de choses, sauf de nous, la soirée s’est terminé par un gros câlin dans le lit mais soft, nous étions épuisé d’avoir trop baisé. Le lendemain, j’ai vite repris la route sans avoir oublier de voir encore une fois ce joli corps qui s’était blottit contre moi, toute la nuit, j’ai vraiment apprécié ce type depuis hier, le soir ne fut pas aussi romantique, enfin pas au début, je sonne, il m’ouvre, il était en débardeur et short, pas mal, mais il m’annonce que nous ne serons pas tout seul ce soir, il fait la bouffe, un petit bisou sur les lèvres et il repart vers la cuisine, je le suis après avoir déposé mon sac dans la chambre, car j’avais bien l’intention de dormir ici encore cette nuit, de retour dans la cuisine, je lui demande un verre d’eau, il me dit de prendre un verre dans le placard du haut à droite, je passe derrière lui, sent son parfum, quelle bonne odeur, mélangé à celles du repas, il avait l’air doué en cuisine, après avoir bu mon verre, je suis resté derrière lui et ai commencé à poser mes mains sous son tee-shirt, un délice, sa peau es douce, il ne bronche pas, je lui soulève et lui ôte, il semble apprécier cette action, alors pris dans mon délire, je l’embrasse dans le cou pendant que je fais partir mes mains dans son slip, mon dieu, son sexe grossissait en moins de trente seconde, une bite énorme était dans mes mains, je l’ai déshabillé complètement, et j’ai glissé mon corps le long du sien jusqu’à  me retrouver devant ce joli petit postérieur, alors qu’il continuait de faire sa bouffe, je ne pouvais pas rester là, j’ai écarté le petit lot et ai fourré ma langue pour laper cette petite rosette toute rose, un vrai plaisir, pas un poil imberbe côté cul sexy sur le torse, ce mec était parfait, j’ai tellement insisté qu’il a été obligé de lâcher sa préparation, s’est penché pour gober complètement ce joli morceau de choix, je commençais à faire causer mon jeans tellement j’étais excité, j’ai tout viré et me suis frotté le sexe à sa magnifique croupe, il était d’accord, je frottais mon sexe de plus en plus fort sur son anus, le gland allait bientôt faire une entrée remarquable, le passage céda, je venais de réussir  à écarter le passage secret quand la sonnerie retentit, tout alla très vite, je ressortis renfila le fut et le tee-shirt alors qu’il avait remonté son short et partait ouvrir en passant sa tête dans le tee-shirt, il me fixa, « ce n’est que partie remise et crois-moi, on ne s’arrêtera pas là, je bandais encore un peu, j’ai ouvert la fenêtre pour prendre une bouffée d’air pur pour me concentrer, la chose que nous venions de commencer me permettais de découvrir Nake sur un autre jour, et que nous allions avoir de sacré moments de baises tous les deux. Je vis arriver deux de ses amis, un grand brun grisonnant pas mal et un blond lui aussi correct avec un ou deux kilos de trop, nous nous sommes assied pour l’apéro alors ue Nake tout en nous parlant, finissait de faire son gâteau, une fois terminé nous avons passé une soirée sans parler sans parler de notre relation aux autres, mais vite après leur départ, nous nous sommes précipité vers la chambre, dans de langoureux baisers et caresses, jamais je n’avais eu envie de quelqu’un aussi fort, nous étions presque à nous déchirer les vêtements, nus nous avons commencé à nous sucer mutuellement quand l’envie de tout à l’heure fut aussi forte pour moi que pour lui, il s’est alors mit à quatre pattes et m’a laissé lui bouffer son petit cul, et ai posé mon gland tout rempli de sang, l’orifice s’ouvrir doucement, il gémissait encore plus à chaque fois que ma queue allait au fond, il me sortit « putain, vas-y, baise-moi, profite en tu auras ton compte plus tard, t’inuiètes » à ces paroles, je n’ai plus hésité et l’ai embroché de toutes mes forces, des cris venaient de sa gorge à lui abîmer les amygdales, tant pis il me l’avait demandé, je ne le lâcha pas avant d’avoir jouit en lui que c’était bon, je n’en revenait pas de prendre un tel pied avec lui, il s’écroula, je sortis de lui et m’allongea tout près, il se laissait toucher, caresser, dorloter, j’étais son male, il appréciait cette situation, il tourna la tête et me donne un baiser sur la bouche avant de s’écrouler de sommeil, j’ai tiré sur la couette, pour nous protéger du froid et l’ai enlacé avant de sombrer aussi. Ce n’est que vers 9h du matin, que nous avons émergé dans les bras de l’autre, toute la semaine fut sous le thème de l’amour, nous n’arrivions pas à passer une journée sans que l’un ou l’autre soit pénétrer, pour la deuxième semaine, j’ai emménagé, avec lui, pour tester notre relation, et j’avoue que même si tout le monde ne le sait pas, je prends un pied extraordinaire de faire l’amour avec Nake, notre relation en étonne plus d’un mais nous continuons à vivre normalement sans offusquer qui que ce soit, j’ai gardé tous mes amis et le fait de vivre avec Nake n’a pas du tout changé notre amitié, j’espère pouvoir encore vivre un certain nombre d’années avec lui , un bonheur aussi simple.

Fin

 

 

 

Par gayshistoirescooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 14:42

En boîte (florentin)

Nous arrivons florentin et moi à la fameuse discothèque que nous connaissons depuis longtemps, nous nous installons comme d’habitude dans notre petit coin au fond du bar sur une petite table rehaussée. Nous restons debout, et pouvons nous accouder à la table. Je sais ue c’est bizarre, mais je connais Florentin depuis tout petit et le fait u’il pose toujours ses mains sur moi m’est devenu habituel. Il est très tactile, ses mains sont toujours soit sur mes épaules, mes hanches, dans mon dos, mes cuisses et même mes fesses, à force de l’avoir repoussé, je m’y suis habitué. Ce soir est comme les autres soirées ensemble, uand je le sens mettre ses mains sur le bas de mon dos, je ne bronche pas, il ne fait rien de provocant, me caresse simplement, je ne me choue même plus si un autre mec nous regarde bizarrement. Nous buvons tranuillement en matant sans chercher uand ses doigts commencent à s’agiter et à glisser dans mon caleçon. Je tourne la tête pour lui faire remarquer mais il ne l’enlève pas pour autant et va même jusqu ‘à passer sa main entière et la pose sur ma fesse droite. Je lui signale u’il ne serait sûrement pas content, si je lui tripotais le sexe. Je fais le geste en posant ma main sur l’entre jambe de son jeans, mais je fus très surpris de savoir u’il bandait. Ma main involontairement se serra sur son sexe en l’entourant. Je me trouvais con de faire ça. Je ne savais pas pourquoi je le faisais, mais j’étais en train de masser cette bite dans sa longueur pour connaître sa taille « eh bien ! , merde, tu l’as grosse et longue. Il me sourit en me serrant un peu plus la fesse. Il posa sa deuxième main sur la mienne pour ue je continue mon massage. Je l’ôte : « je n’y peux rien, tu m’excite ». ue répondre à ça. Je retourne la tête vers la piste de danse, alors u’il bouge ses doigts et les laissent partir vers ma raie, je proteste en bougeant un peu, mais il me bloque en se mettant derrière moi, deux phalanges arrivent à se faire un passage et touche mon anus. Je vaux u’il arrête son jeu, mais il m’a bloqué entre la table et lui. Il saisit ma main droite et la repose sur son sexe gonflé à bloc, sa bite est énorme dans ce jeans. Pendant u’il me force à le toucher, un doigt presse ma rondelle, je conteste et arrive à me détacher, il sourit et me dit u’il voulait s’amuser, je le fixe tout en restant sur le côté, je perçois ue même s’il voulait se divertir, il bandait bien, deux minutes passent comme ça, puis le sentant plus calme, je me rapproche, nous discutons d’autres choses, uand vers deux heures du matin il me demande de rentrer. Je suis moi aussi épuisé de ma journée de boulot, alors j’accepte, ce n’est ue dans la voiture, u’il repose sa main sur ma cuisse alors ue je conduis, je lui jette un oeil sévère pour lui faire comprendre d’arrêter, mais il la passe maintenant entre mes jambes et vient me masser la tige, je crois rêver. Je lui demande de stopper mais en moi, je ressens l’envie u’il continu et pour cause ma bite gonfle à la vitesse grand V. Ce ui lui donne encore plus de courage. Il commence à défaire un puis tous les boutons de ma braguette, je lui dis ue je vais m’arrêter s’il continu, mais il est déjà en train de me tripoter la bite à travers le slip, je fixe son geste et n’en reviens pas de le laisser faire. Uand d’un coup, il la fait surgir de sa cachette et me branle, je dois absolument arrêter. Je freine et me gare sur le premier parking, mais pendant ue je faisais mes manœuvres, je le vois se pencher, il m’avale la tige, punaise, il me suce, je bande comme un taureau de le voir me pomper. Il sait y faire, je couine déjà de plaisir. Peu de temps suffit pour ue je me mette à jouir. Je lui écarte la tête et lui gicle sur le visage, il se redresse après mon dernier jet. Il prend un kleenex pour s’essuyer. Il m’observe, je n’ose pas trop le regarder, il dit « à toi maintenant ». Je ne sais pas uoi dire, je le vois commencer à défaire sa ceinture et déboutonner son fût, la vache une grosse bosse surgit des pans ouverts, son slip est tendu , laissant déjà voir par l’humidité de l’excitation la forme de son gland, il n’hésite pas et la libère me la montrant dans sa totalité, car il soulève ses fesses pour faire glisser le jeans à ses chevilles,. Non d’un chien, quelle bite, un morceau trop gros pour ma bouche, mais je sens sa main venir se poser sur mon cou, me dirigeant vers ce monstre, ma bouche est maintenant à 10 cm du gland, je peux le sentir et le voir de si près, mais tout va trop vite. Je me retrouve à ouvrir la bouche et à engloutir le morceau, non pas ça, mais trop tard, car de mon cerveau à la parole, il y avait trop de temps, je le sens, me diriger et m’obliger à avaler le plus possible son sexe, des hauts de cœur me viennent, mais il ne lâche pas prise et me voilà à le pomper. Je trouve ça pas très bon mais pas écœurant, des mouvements réguliers le mettent dans un état torride, et me voilà rempli de sperme dans la bouche, l’enfoiré il aurait pu sortir, je ne peux pas avaler ça, je recrache par la fenêtre à peine libérée se son emprise. Il reste dans cette position encore un bon moment, ce ui me laisse, la voir avec plus de détails, elle est vraiment grosse, une taille à vous faire décrocher la mâchoire, il me sourit « depuis le temps ue tu m’excites », je me rhabille aussi et redémarre la voiture sans rien dire. Nous arrivons sans encombre devant son appartement, uand il me dit « tu crois ue nous allons en finir ici, tu rêves, on va chez toi ». Je ne comprends pas trop et en même temps, je ne veux pas croire u’il veuille recommencer avec moi, seulement deux routes nous séparent, nous roulons donc jusque chez moi, une fois la voiture garée, je descends et monte le perron, il me suit, je veux lui dire bonsoir, uand il me plaque contre le mur, passe sa main gauche, sous mon tee-shirt , la fait remonter vers ma poitrine, mes tétons durcissent à ses caresses, son visage est tout près du mien, son bras est autour de ma taille, alors ue ces lèvres prononcent « on essaye ». Il pose alors les lèvres sur les miennes, je ne peux ue le laisser faire, il m’excite ce con, avec mes tétons, il introduit sa langue et vient la rouler autour de la mienne, quel patin. Il est expert, je ne le savais pas, les filles doivent vachement l’apprécier, je sens ma bite gonfler, il me sort  « amène-toi ». Il saisit d’une main la clé de la porte d’entrée et de l’autre me tient pour m’introduire dans le couloir de l’appartement. Il referme toujours en me tenant, jusqu ‘à ma chambre, et me lâchent me demande de retirer tous mes vêtements, je le fixe pour être sur d’avoir bien entendu, il est allongé les jambes écartées sur le lit, laissant bien voir la grosse bosse à travers du jeans. J’ôte mon tee-shirt, vire mes pompes et mes chaussettes, je garde mon slip, un sifflement d’admiration vient de Florentin, c’est là u’il vire aussi ses fringues et reste en slip aussi. Sa bite commence à jaillir tellement il bande, j’ôte doucement la mien et le laisse, me mater, il se redresse et m’empoigne le sexe. Il est assis sur le bord du lit et me pompe en s’appliquant, je crois vaciller tellement c’est bon, jusqu ‘au moment ou il me saisit la taille et me projette sur le lit. Il tire le dernier tissu ui lui reste et vient se placer sur moi, m’exhibant sa grosse tige sous le nez, j’ouvre la bouche et l’avale d’un coup, ses profonds soupirs me confirme ses plaisirs, il lâche ‘j’avais envie de toi depuis si longtemps », il s’enfonce encore plus, me bourrant la gorge sans vergogne, ma bouche est tellement ouverte ue je pleure, de sa main droite il me branle et de l’autre, il me bloque la tête. Sans même prévenir, il s’extirpe de ma bouche et s’allonge sur moi, un déclic, ses gestes tendres et délicats, me font encore bander plus bander, elle se trouve maintenant entre ses cuisses, il se frotte contre, ma trique est au maximum, l’enfoiré m’excite , pour ue je le baise, il m’a encore embrassé avec merveille, tout en dirigeant sa rondelle sur mon gland, je n’ai aucun mal à entrer en lui, son élasticité anale confirme ue je ne suis pas le premier à passer par-là, punaise, c’est super bon. Il se met à genoux et commence à monter et descendre sur ma tige, rien de mieux pouvait m’arriver. Sa bite était énorme et laissait perdre de grosses gouttes gluantes, pendant ce temps, il avait ressaisit ma bite en la pintant sur son anus ui s’ouvrait naturellement d’excitation, en deux mouvements de reins, mon sexe était entré, j’avais Florentin sur moi et je le possédais. Sa queue était encore plus raide de désirs, son visage rayonnait de joie, il commença alors son rythme de descentes et de montées, en se positionnant sur les pieds de chaque côté de mes hanches. J’avais une vue superbe, sur mon sexe ui entrait et sortait de ce petit trou, mes râles l’excitait encore plus. Il me sort « je veux ue tu me défonces », ce ue je fis sans tarder, mon bassin montant de plus en plus , alors ue mes mains lui bloquaient les hanches, les coups de butoirs le rendaient dingue, il criait de plaisir, « tu vas me faire jouir », et je vis venir dans ma direction le premier . C’est là ue ma jouissance fut totale, il m’aspira, ma bite dut lâcher sa semence en lui car il s’assit à fond sur moi. Il ne bougea plus en gardant la totalité en lui, il me souriait « j’adore faire l’amour avec toi, tu m’excites trop, je pense à toi . Avant de nous basculer sur le côté, me laissant la direction des affaires, je lui soulève une jambe et le pistonne de plus belle, il se branle en tournant la tête « j’adore ça ». Ses doigts viennent toucher mon sexe dans son trou, je me relève tout en gardant mon sexe en lui, et arrive à me mettre face à lui. Ses jambes sont relevées sur mes épaules, mes coups lui conviennent, il est heureux. Je vois ses yeux brillés, ma bite aussi aime ça, je ne me sens pas fatigué après le premier round. Mon ramonage se fait de plus en plus brutal. Ce ui le rend hystérique, il me titille les tétons « vas-y bien au fond, je suis à toi », quel drôle d’aventure, je veux sortit mais il m’en empêche encore une fois, un râle de jouissance lui déclenche aussitôt une éjaculation, pour la deuxième fois. Je vois son sperme couler sur son torse, alors ue je lui gicle la totalité dans l’anus. Il veut m’embrasser n me prend par le cou, d’une main pour m’attirer à lui. Ses lèvres étaient goulues et avides d’envies sur les miennes. Nos câlins deviennent amoureux, les caresses me plaisent, je viens de faire l’amour à mon pote, uoi penser maintenant, comment vivre avec cette idée, Lui le gère mieux car il m’avoue ue je pourrais recommencer tout à l’heure. Une douche et une petite restauration lui donne l’appétit sexuel demandé, je lui saisis la bite et l’avale avec conviction, je ne compris ue ce u’il demandait ue lorsqu ’il me donna vers la table et me positionna le cul à l’air, libre de toute intrusion, sa langue a directement trouvé le chemin. Ses mains aussi, car elles écartent fermement mes fesses pour avoir un accès total sur mon intimité, j ‘étais troublé de le laisser me regarder ainsi. Sa langue s’activait tellement ue je ne mis pas longtemps à gémir. Il ne fit pas attention à ça, et me lécha encore cin bonnes minutes avant de commencer à y mettre le bout d’un doigt, je ne savais pas si c’était de l’excitation, j’avais chaud, je tremblais, mon anus me faisait réagir comme jamais, il accepta même l’intrusion d’un doigt sans rechigner. J’étais en train de me faire dépuceler, je me libérais de tout tabou et le laissait profiter de mon corps. Jusqu ‘au moment ou il approcha son gland de mes fesses, j’eus  un recul, ce ui me fit presque m’empaler sur son sexe, un cri de douleur m’envahit car mes parois étaient mises à dures épreuves, Il resta calme derrière moi, « arrête, je ne peux pas faire ça », mais il resta en attente, la position de mon corps, lui donna plus encore accès car il poussa et s’introduisit, je n’eus u’à m’agripper aux rebords de la table, ses mains étaient bien accrocher à ma taille, je sentis glisser son zob, la pénétration était horrible, comment pouvait-il me faire ça, des grimaces restaient en permanence sur mon visage, alors u’il réussit à aller au fond, et s’installe « ça va, bébé », je ne pouvais pas répondre, ma mâchoire était crispée, si j’ouvrais la bouche, je criais, c’est alors u’il décida de me baiser, je me cramponne alors u’il ne me laisse aucune chance, son corps me transperçait, je savais ce u’il avait ressentit tout à l’heure, mais où était le plaisir, il continuait, ne me laissant pas de répit, après dix bonnes minutes de bourrage, il sort de moi, m’agrippe et me fait mettre à terre sur le dos, en m’indiquant de relever les jambes, son sexe était énorme, comment je pouvais avoir accepter son engin, il se représenta devant mon orifice et s’y réinstalla, mes mollets collés à ses épaules, il me souriait en m’enfilant, je râlais de désaccord, mais je n’avais pas refusé u’il me reprenne, je le sentais bien en moi, l’envie me prenait de l’avoir son gros braquemart me dominait, me donnait l’envie de réessayer encore, il le comprit et me chevaucha sans hésiter, ma bouche bée le faisait rire, sa cadence était étonnante, il avait un sacré coup de queue, ma bite gicla le reste de sperme u’elle avait encore emmagasiné, alors u’il continuait à me buriner, la sodomie ne m’avait jamais traversé l’esprit et la j’avais enculé et je me faisais défoncer, je ne sentais plus ue son gourdin travailler en moi, son sexe grossissait à chaque fois, rien ne pouvait l’arrêter uand d’un coup, il sortit et m’éjacula la totalité de son sperme sur le torse, quel spectacle, sa bite était gorgée de sang, il m’exhibait ses 22 cm, son torse est parfait, ses abdos aussi, il n’arrêtait pas de me caresser les bourses, la bite et le trou, longtemps après, il vint s’allonger à côté de moi et m’embrassa fougueusement, je compris u’il n’en resterait pas là, et u’il recommencerait bientôt, la nuit fut bonne dans les bras l’un de l’autre, la surprise du matin fut de voir sa tige déjà raide, ue devais-je faire, ce mec ue je connaissais tellement était maintenant dans mon lit nu, il ne laissait pas paraître sa gêne de bander pour moi, sa main ma guida pour le branler, pendant u’il me faisait un patin d’enfer, ma bite n’eue u’une seconde pour réagir et se dresser, il me pompa avec délice les tétons, je couinais de le voir s’acharné sur moi ainsi, j’aimai ça en plus, mon gland s’avança dans sa bouche et n’en ressorti u’une fois libéré de toute semence, j’étais incroyablement léger après, mais sa tige demandait la même faveur, je m’y attela avec désir et lui prodigua de telles soins u’il résista encore moins longtemps ue moi, j’en eu une certaine satisfaction en voyant cette grosse tige gicler des kilos de sperme bien épais, je gardais sa bite dans la main alors ue je me repositionnais à côté de lui, le fixant « u »allons nous faire maintenant », il sourit en ouvrant les yeux, tourna la tête « tu crois uoi, ue je vais te laisser maintenant ue j’ai réussi à t’avoir, demain, nous cherchons un appartement et nous y vivons tous les deux, comme ça nous ferons l’amour tout le temps et crois-moi ue tu n’y échapperas pas, depuis dix ans ue je me branle en pensant à toi ». Tout c’est réalisé comme il l’a voulu, nous nous trouvons dans un bel appartement, il ne se passe pas une journée sans ue nous fassions l’amour, tout à changer pour moi, je suis fou de Florentin, et maintenant, je découvre ue j’ai toujours voulu être avec lui, côté sexe, je n’aurai jamais cru pouvoir jouir aussi bien du cul ue de la bite, il me fait monter au septième ciel avec son gros braquemart, j’en suis à le supplier maintenant de me prendre ce ui ne m’empêche pas de lui perforer l’anus aussi souvent ue j’en ai envie, pour son grand plaisir, j’ai découvert ma passivité voilà tout.

Fini

 

Par gayshistoirescooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

histoires gays

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus