Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 14:42

En boîte (florentin)

Nous arrivons florentin et moi à la fameuse discothèque que nous connaissons depuis longtemps, nous nous installons comme d’habitude dans notre petit coin au fond du bar sur une petite table rehaussée. Nous restons debout, et pouvons nous accouder à la table. Je sais ue c’est bizarre, mais je connais Florentin depuis tout petit et le fait u’il pose toujours ses mains sur moi m’est devenu habituel. Il est très tactile, ses mains sont toujours soit sur mes épaules, mes hanches, dans mon dos, mes cuisses et même mes fesses, à force de l’avoir repoussé, je m’y suis habitué. Ce soir est comme les autres soirées ensemble, uand je le sens mettre ses mains sur le bas de mon dos, je ne bronche pas, il ne fait rien de provocant, me caresse simplement, je ne me choue même plus si un autre mec nous regarde bizarrement. Nous buvons tranuillement en matant sans chercher uand ses doigts commencent à s’agiter et à glisser dans mon caleçon. Je tourne la tête pour lui faire remarquer mais il ne l’enlève pas pour autant et va même jusqu ‘à passer sa main entière et la pose sur ma fesse droite. Je lui signale u’il ne serait sûrement pas content, si je lui tripotais le sexe. Je fais le geste en posant ma main sur l’entre jambe de son jeans, mais je fus très surpris de savoir u’il bandait. Ma main involontairement se serra sur son sexe en l’entourant. Je me trouvais con de faire ça. Je ne savais pas pourquoi je le faisais, mais j’étais en train de masser cette bite dans sa longueur pour connaître sa taille « eh bien ! , merde, tu l’as grosse et longue. Il me sourit en me serrant un peu plus la fesse. Il posa sa deuxième main sur la mienne pour ue je continue mon massage. Je l’ôte : « je n’y peux rien, tu m’excite ». ue répondre à ça. Je retourne la tête vers la piste de danse, alors u’il bouge ses doigts et les laissent partir vers ma raie, je proteste en bougeant un peu, mais il me bloque en se mettant derrière moi, deux phalanges arrivent à se faire un passage et touche mon anus. Je vaux u’il arrête son jeu, mais il m’a bloqué entre la table et lui. Il saisit ma main droite et la repose sur son sexe gonflé à bloc, sa bite est énorme dans ce jeans. Pendant u’il me force à le toucher, un doigt presse ma rondelle, je conteste et arrive à me détacher, il sourit et me dit u’il voulait s’amuser, je le fixe tout en restant sur le côté, je perçois ue même s’il voulait se divertir, il bandait bien, deux minutes passent comme ça, puis le sentant plus calme, je me rapproche, nous discutons d’autres choses, uand vers deux heures du matin il me demande de rentrer. Je suis moi aussi épuisé de ma journée de boulot, alors j’accepte, ce n’est ue dans la voiture, u’il repose sa main sur ma cuisse alors ue je conduis, je lui jette un oeil sévère pour lui faire comprendre d’arrêter, mais il la passe maintenant entre mes jambes et vient me masser la tige, je crois rêver. Je lui demande de stopper mais en moi, je ressens l’envie u’il continu et pour cause ma bite gonfle à la vitesse grand V. Ce ui lui donne encore plus de courage. Il commence à défaire un puis tous les boutons de ma braguette, je lui dis ue je vais m’arrêter s’il continu, mais il est déjà en train de me tripoter la bite à travers le slip, je fixe son geste et n’en reviens pas de le laisser faire. Uand d’un coup, il la fait surgir de sa cachette et me branle, je dois absolument arrêter. Je freine et me gare sur le premier parking, mais pendant ue je faisais mes manœuvres, je le vois se pencher, il m’avale la tige, punaise, il me suce, je bande comme un taureau de le voir me pomper. Il sait y faire, je couine déjà de plaisir. Peu de temps suffit pour ue je me mette à jouir. Je lui écarte la tête et lui gicle sur le visage, il se redresse après mon dernier jet. Il prend un kleenex pour s’essuyer. Il m’observe, je n’ose pas trop le regarder, il dit « à toi maintenant ». Je ne sais pas uoi dire, je le vois commencer à défaire sa ceinture et déboutonner son fût, la vache une grosse bosse surgit des pans ouverts, son slip est tendu , laissant déjà voir par l’humidité de l’excitation la forme de son gland, il n’hésite pas et la libère me la montrant dans sa totalité, car il soulève ses fesses pour faire glisser le jeans à ses chevilles,. Non d’un chien, quelle bite, un morceau trop gros pour ma bouche, mais je sens sa main venir se poser sur mon cou, me dirigeant vers ce monstre, ma bouche est maintenant à 10 cm du gland, je peux le sentir et le voir de si près, mais tout va trop vite. Je me retrouve à ouvrir la bouche et à engloutir le morceau, non pas ça, mais trop tard, car de mon cerveau à la parole, il y avait trop de temps, je le sens, me diriger et m’obliger à avaler le plus possible son sexe, des hauts de cœur me viennent, mais il ne lâche pas prise et me voilà à le pomper. Je trouve ça pas très bon mais pas écœurant, des mouvements réguliers le mettent dans un état torride, et me voilà rempli de sperme dans la bouche, l’enfoiré il aurait pu sortir, je ne peux pas avaler ça, je recrache par la fenêtre à peine libérée se son emprise. Il reste dans cette position encore un bon moment, ce ui me laisse, la voir avec plus de détails, elle est vraiment grosse, une taille à vous faire décrocher la mâchoire, il me sourit « depuis le temps ue tu m’excites », je me rhabille aussi et redémarre la voiture sans rien dire. Nous arrivons sans encombre devant son appartement, uand il me dit « tu crois ue nous allons en finir ici, tu rêves, on va chez toi ». Je ne comprends pas trop et en même temps, je ne veux pas croire u’il veuille recommencer avec moi, seulement deux routes nous séparent, nous roulons donc jusque chez moi, une fois la voiture garée, je descends et monte le perron, il me suit, je veux lui dire bonsoir, uand il me plaque contre le mur, passe sa main gauche, sous mon tee-shirt , la fait remonter vers ma poitrine, mes tétons durcissent à ses caresses, son visage est tout près du mien, son bras est autour de ma taille, alors ue ces lèvres prononcent « on essaye ». Il pose alors les lèvres sur les miennes, je ne peux ue le laisser faire, il m’excite ce con, avec mes tétons, il introduit sa langue et vient la rouler autour de la mienne, quel patin. Il est expert, je ne le savais pas, les filles doivent vachement l’apprécier, je sens ma bite gonfler, il me sort  « amène-toi ». Il saisit d’une main la clé de la porte d’entrée et de l’autre me tient pour m’introduire dans le couloir de l’appartement. Il referme toujours en me tenant, jusqu ‘à ma chambre, et me lâchent me demande de retirer tous mes vêtements, je le fixe pour être sur d’avoir bien entendu, il est allongé les jambes écartées sur le lit, laissant bien voir la grosse bosse à travers du jeans. J’ôte mon tee-shirt, vire mes pompes et mes chaussettes, je garde mon slip, un sifflement d’admiration vient de Florentin, c’est là u’il vire aussi ses fringues et reste en slip aussi. Sa bite commence à jaillir tellement il bande, j’ôte doucement la mien et le laisse, me mater, il se redresse et m’empoigne le sexe. Il est assis sur le bord du lit et me pompe en s’appliquant, je crois vaciller tellement c’est bon, jusqu ‘au moment ou il me saisit la taille et me projette sur le lit. Il tire le dernier tissu ui lui reste et vient se placer sur moi, m’exhibant sa grosse tige sous le nez, j’ouvre la bouche et l’avale d’un coup, ses profonds soupirs me confirme ses plaisirs, il lâche ‘j’avais envie de toi depuis si longtemps », il s’enfonce encore plus, me bourrant la gorge sans vergogne, ma bouche est tellement ouverte ue je pleure, de sa main droite il me branle et de l’autre, il me bloque la tête. Sans même prévenir, il s’extirpe de ma bouche et s’allonge sur moi, un déclic, ses gestes tendres et délicats, me font encore bander plus bander, elle se trouve maintenant entre ses cuisses, il se frotte contre, ma trique est au maximum, l’enfoiré m’excite , pour ue je le baise, il m’a encore embrassé avec merveille, tout en dirigeant sa rondelle sur mon gland, je n’ai aucun mal à entrer en lui, son élasticité anale confirme ue je ne suis pas le premier à passer par-là, punaise, c’est super bon. Il se met à genoux et commence à monter et descendre sur ma tige, rien de mieux pouvait m’arriver. Sa bite était énorme et laissait perdre de grosses gouttes gluantes, pendant ce temps, il avait ressaisit ma bite en la pintant sur son anus ui s’ouvrait naturellement d’excitation, en deux mouvements de reins, mon sexe était entré, j’avais Florentin sur moi et je le possédais. Sa queue était encore plus raide de désirs, son visage rayonnait de joie, il commença alors son rythme de descentes et de montées, en se positionnant sur les pieds de chaque côté de mes hanches. J’avais une vue superbe, sur mon sexe ui entrait et sortait de ce petit trou, mes râles l’excitait encore plus. Il me sort « je veux ue tu me défonces », ce ue je fis sans tarder, mon bassin montant de plus en plus , alors ue mes mains lui bloquaient les hanches, les coups de butoirs le rendaient dingue, il criait de plaisir, « tu vas me faire jouir », et je vis venir dans ma direction le premier . C’est là ue ma jouissance fut totale, il m’aspira, ma bite dut lâcher sa semence en lui car il s’assit à fond sur moi. Il ne bougea plus en gardant la totalité en lui, il me souriait « j’adore faire l’amour avec toi, tu m’excites trop, je pense à toi . Avant de nous basculer sur le côté, me laissant la direction des affaires, je lui soulève une jambe et le pistonne de plus belle, il se branle en tournant la tête « j’adore ça ». Ses doigts viennent toucher mon sexe dans son trou, je me relève tout en gardant mon sexe en lui, et arrive à me mettre face à lui. Ses jambes sont relevées sur mes épaules, mes coups lui conviennent, il est heureux. Je vois ses yeux brillés, ma bite aussi aime ça, je ne me sens pas fatigué après le premier round. Mon ramonage se fait de plus en plus brutal. Ce ui le rend hystérique, il me titille les tétons « vas-y bien au fond, je suis à toi », quel drôle d’aventure, je veux sortit mais il m’en empêche encore une fois, un râle de jouissance lui déclenche aussitôt une éjaculation, pour la deuxième fois. Je vois son sperme couler sur son torse, alors ue je lui gicle la totalité dans l’anus. Il veut m’embrasser n me prend par le cou, d’une main pour m’attirer à lui. Ses lèvres étaient goulues et avides d’envies sur les miennes. Nos câlins deviennent amoureux, les caresses me plaisent, je viens de faire l’amour à mon pote, uoi penser maintenant, comment vivre avec cette idée, Lui le gère mieux car il m’avoue ue je pourrais recommencer tout à l’heure. Une douche et une petite restauration lui donne l’appétit sexuel demandé, je lui saisis la bite et l’avale avec conviction, je ne compris ue ce u’il demandait ue lorsqu ’il me donna vers la table et me positionna le cul à l’air, libre de toute intrusion, sa langue a directement trouvé le chemin. Ses mains aussi, car elles écartent fermement mes fesses pour avoir un accès total sur mon intimité, j ‘étais troublé de le laisser me regarder ainsi. Sa langue s’activait tellement ue je ne mis pas longtemps à gémir. Il ne fit pas attention à ça, et me lécha encore cin bonnes minutes avant de commencer à y mettre le bout d’un doigt, je ne savais pas si c’était de l’excitation, j’avais chaud, je tremblais, mon anus me faisait réagir comme jamais, il accepta même l’intrusion d’un doigt sans rechigner. J’étais en train de me faire dépuceler, je me libérais de tout tabou et le laissait profiter de mon corps. Jusqu ‘au moment ou il approcha son gland de mes fesses, j’eus  un recul, ce ui me fit presque m’empaler sur son sexe, un cri de douleur m’envahit car mes parois étaient mises à dures épreuves, Il resta calme derrière moi, « arrête, je ne peux pas faire ça », mais il resta en attente, la position de mon corps, lui donna plus encore accès car il poussa et s’introduisit, je n’eus u’à m’agripper aux rebords de la table, ses mains étaient bien accrocher à ma taille, je sentis glisser son zob, la pénétration était horrible, comment pouvait-il me faire ça, des grimaces restaient en permanence sur mon visage, alors u’il réussit à aller au fond, et s’installe « ça va, bébé », je ne pouvais pas répondre, ma mâchoire était crispée, si j’ouvrais la bouche, je criais, c’est alors u’il décida de me baiser, je me cramponne alors u’il ne me laisse aucune chance, son corps me transperçait, je savais ce u’il avait ressentit tout à l’heure, mais où était le plaisir, il continuait, ne me laissant pas de répit, après dix bonnes minutes de bourrage, il sort de moi, m’agrippe et me fait mettre à terre sur le dos, en m’indiquant de relever les jambes, son sexe était énorme, comment je pouvais avoir accepter son engin, il se représenta devant mon orifice et s’y réinstalla, mes mollets collés à ses épaules, il me souriait en m’enfilant, je râlais de désaccord, mais je n’avais pas refusé u’il me reprenne, je le sentais bien en moi, l’envie me prenait de l’avoir son gros braquemart me dominait, me donnait l’envie de réessayer encore, il le comprit et me chevaucha sans hésiter, ma bouche bée le faisait rire, sa cadence était étonnante, il avait un sacré coup de queue, ma bite gicla le reste de sperme u’elle avait encore emmagasiné, alors u’il continuait à me buriner, la sodomie ne m’avait jamais traversé l’esprit et la j’avais enculé et je me faisais défoncer, je ne sentais plus ue son gourdin travailler en moi, son sexe grossissait à chaque fois, rien ne pouvait l’arrêter uand d’un coup, il sortit et m’éjacula la totalité de son sperme sur le torse, quel spectacle, sa bite était gorgée de sang, il m’exhibait ses 22 cm, son torse est parfait, ses abdos aussi, il n’arrêtait pas de me caresser les bourses, la bite et le trou, longtemps après, il vint s’allonger à côté de moi et m’embrassa fougueusement, je compris u’il n’en resterait pas là, et u’il recommencerait bientôt, la nuit fut bonne dans les bras l’un de l’autre, la surprise du matin fut de voir sa tige déjà raide, ue devais-je faire, ce mec ue je connaissais tellement était maintenant dans mon lit nu, il ne laissait pas paraître sa gêne de bander pour moi, sa main ma guida pour le branler, pendant u’il me faisait un patin d’enfer, ma bite n’eue u’une seconde pour réagir et se dresser, il me pompa avec délice les tétons, je couinais de le voir s’acharné sur moi ainsi, j’aimai ça en plus, mon gland s’avança dans sa bouche et n’en ressorti u’une fois libéré de toute semence, j’étais incroyablement léger après, mais sa tige demandait la même faveur, je m’y attela avec désir et lui prodigua de telles soins u’il résista encore moins longtemps ue moi, j’en eu une certaine satisfaction en voyant cette grosse tige gicler des kilos de sperme bien épais, je gardais sa bite dans la main alors ue je me repositionnais à côté de lui, le fixant « u »allons nous faire maintenant », il sourit en ouvrant les yeux, tourna la tête « tu crois uoi, ue je vais te laisser maintenant ue j’ai réussi à t’avoir, demain, nous cherchons un appartement et nous y vivons tous les deux, comme ça nous ferons l’amour tout le temps et crois-moi ue tu n’y échapperas pas, depuis dix ans ue je me branle en pensant à toi ». Tout c’est réalisé comme il l’a voulu, nous nous trouvons dans un bel appartement, il ne se passe pas une journée sans ue nous fassions l’amour, tout à changer pour moi, je suis fou de Florentin, et maintenant, je découvre ue j’ai toujours voulu être avec lui, côté sexe, je n’aurai jamais cru pouvoir jouir aussi bien du cul ue de la bite, il me fait monter au septième ciel avec son gros braquemart, j’en suis à le supplier maintenant de me prendre ce ui ne m’empêche pas de lui perforer l’anus aussi souvent ue j’en ai envie, pour son grand plaisir, j’ai découvert ma passivité voilà tout.

Fini

 

Par gayshistoirescooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

histoires gays

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus