Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 14:42

Les gorges du Verdon (Joël et Slave)

Nous avons pris un pote et moi, trois semaines de vacances dans l’Ardèche, nous voilà arrivé juste à Pont de l’Arche. Il y a un camping au bord de l’eau, comme nous voulons faire du canoë, c’est parfait. Le temps de nous installer et nous partons voir les prix pour les descentes des gorges. Il faudra nous lever tôt car la plus grande descente dure la journée. Après avoir réservé, nous profitons du petit village, le soir, il y a du monde qui comme nous, veuillent tuer le temps, nous  ne rentrons pas trop tard, car demain 8 H sur le pont. Un réveil un peu dur, mais enthousiasmé par cette superbe journée qui s’annonce. Nous commençons notre descente, calmement, avec des petites haltes pour découvrir cette magnifique région. Le passage de quelques rapides sans dangers, nous éclatent bien, nous nous retrouvons vers midi à vouloir déjeuner, mais nous sommes dans la partie des naturistes. Joël me dit qu’on peut quand même s’y arrêter pour acheter un sandwich à la buvette. Alors nous accostons, je ne suis pas perturbé par la nudité car l’an dernier nous avons fait l’aquitaine. Il y a aussi beaucoup de coin naturiste. Nous remontons notre canoë sur la rive et il me dit d’aller au stade pendant qu’il garde nos affaires. Je me dirige donc vers cette buvette, un peu mal à l’aise d’être habillé, même si certains ont un paréo ou un maillot, la majorité est nue, je m’approche et commande. Quand vient à côté de moi un hollandais d’une trentaine bien sonné, beau mec. Je ne le détaille pas mais ses yeux sont d’un vert clair à vous faire plier les paupières de peur d’avoir mal pour lui par le soleil. Il me sourit. Je prends mes achats et me dirige vers mon copain.  J’hésite, mais me retourne pour le voir en entier. Il est super bien gaulé, une musculation à vous faire pâlir et un sexe de taille plus que la normale, tu m’étonnes qu’il aime se mettre à poil. Il n’est pas gêné par le tissu, pour mettre tout ce matos. Il me regarde toujours, je reprends le chemin de l’escale. Nous nous allongeons et mangeons tranquillement à l’écart des naturistes. Mais mes pensées sont encore pour ce type qui ne m’a pas laissé indifférent. Après une bonne petite sieste au soleil radieux, nous repartons dans la course des courants. Au terminus, nous sommes épuisés, nous montons dans le camion qui nous ramène au camping. Nous avons passé une superbe journée, et projetons de recommencer souvent. Par contre le camping en lui-même n’est pas terrible et nous décidons d’en changer. L’idée d’aller dans le fameux endroit naturiste me vient. Je le suggère à Joël, qui n’a rien contre de se foutre à poil tout l’été. Nous demandons donc, des renseignements pour aller dans ce camping qui semblait être dans la roche de la vallée. On nous donne un nom et la route à prendre. Après plusieurs fois avoir passé devant le petit chemin de terre, je décide de tourner. Il est très mal entretenu, nous continuons et nous retrouvons sur un parking avec les explications « zone surveillée du camping naturiste ». Nous descendons de la voiture et trouvons une vue magnifique sur les gorges, personne pour nous recevoir, le cabanon est vide, et le treuil pour descendre les affaires est bloqué. Sur le côté, se trouve un petit chemin forestier, ui nous fait accéder à la réception du camping. Les gens sont nus, nous leur expliquons notre désir de venir dormir ici, ils nous acceptent avec un peu d’hésitations car deux mecs, ce n’est pas bien pour les familles. Nous remontons avec un jeune homme, qui nous explique ce qu’il faut faire pour les bagages. Nous vidons la voiture, et nous voilà repartit dans le chemin de forêt pour réceptionner les affaires. Une brouette est à notre disposition, pour transporter nos affaires jusqu’à l’emplacement, je regarde un peu autour de moi, pour voir si le mec d’hier est dans notre coin. Apparemment non, mais il y a beaucoup de hollandais ici, on nous a mis dans la zone des jeunes. Certains nous regardent, nous décidons de faire comme eux, les bermudas tombent. J’avais déjà vu mon copain nu, donc aucune gêne ne s’installe entre nous, nous sommes des potes, point à la ligne. rien de plus. Après l’installation nous allons faire des courses à l’épicerie et sur qui je tombe, au rayon fruit, mon bel apollon, il me sourit encore. Il est comme nous habillé d’un paréo pour faire ses courses question d’hygiène. Nous nous matons sans que mon pote s’en aperçoive. Il repart de son côté, j’essaye de voir où il crèche, il est dans le même sens que nous mais plus haut. Nous allons après, faire une petite ballade au bord de l’eau avant de décider de nous équiper un peu pour marcher le long de la montagne dans les sentiers. La balade nue, nous fait rire, mais comme d’autres que nous croisons, dans la même situation, nous nous y habituons très bien, de retour après avoir prit plein de belles photos, nous allons nous laver. Les douches sont des plus originales car elles sont en plein air. Je fais dons couler l’eau et commence à me doucher quand je vois arriver mon bel âtre. Il est vraiment bien foutu ce mec, sa bite se balade de droite à gauche, épaisse alors qu’il ne bande pas, il me sourit encore et vient se mettre devant un évier. Tout en me matant dans la glace. Je continu de me laver, espérant ne pas avoir d’érection, mais la sale bête commence à pointer doucement, heureusement que nous sommes ue deux, il se lave les dents tout en me regardant, je me retourne et décide de me mettre de l’eau froide pour me calmer. Je ne le vois plus, je suis rassuré, ma libido s’est calmée. Quand j’arrête l’eau, je me retourne, il se retourne à ce moment là, pour partir, et la surprise, son sexe à lui aussi est en bandaison, même plutôt bien car son chibre est gros, courbé ver le bas, tellement grosse, mais c’est sur, il bande, il s’assure que j’ai bien regardé et que j’ai compris le message, avant de mettre sa serviette devant lui pour se cacher et partir. Je ne comprends rien, mais d’un coup, je me suis aperçu que j’avais la gaule, rien que de l’avoir vu dans cet état, pourtant toute la journée, j’ai été à poil avec mon ami et rien n’est arrivé. Alors pourquoi avec lui, je n’ai jamais eu d’expérience homo, mais je sentais que ça me démangeais. Ce type allait sûrement pourvoir m’aider. De retour, mon pote n’était pas là. J’ai rangé un peu et me suis décidé àexplorer les lieux. J’ai marché nu dans un chemin ui menait dans des petites criques. Il était déjà tard, alors j’ai rebroussé chemin, ma surprise fut d'être face à lui, ce mec, était accoudé à une roche, il ne bandait pas mais s’exhibait sans retenu, je me suis approché sans rien dire, je ralentis en passant à côté de lui, c’est là, qu’il a tendu sa main et m’a caressé le torse, je me suis arrêté. Le laissant faire, je n’osais pas le toucher, il ne me laissait pourtant pas indifférent vu dans grossissait à vu d’œil, un sacré morceau ; il prit ma main et a posa dessus, je fus électrisé de découvrir la sensation du touché, comment pouvait-on faire une pipe à un mec pareil. Il me branlait doucement, son visage s’éclairait de joie, je fais mon possible pour le satisfaire aussi, quand je sens la sève montée , je lui dis, il me sort « ok », et il se met à jouir dans ma main, merde, la quantité de sperme qui sort. La vache, une ne tient pas dans ma main sa bite, je le trouve vachement beau, je jouis encore, d’excitation. Nous nous essuyons avec les feuilles et commençons en rentrant à discuter, qu’il voudrait bien me voir demain, je ne peux pas laisser tomber mon pote, nous refaisons du canoë, il me fixe et me dit qu’il viendra avec nous et une copine. Arrivé à ma tente, mon ami est là, il écoute de la musique allongée, je lui présente le hollandais sans lui dire comment je l’ai connu, et lui demande si ça le dérange que nous fassions la descente avec lui et sa copine. Nous décidons d’une heure, puis il s’en va en me faisant un clin d’œil, je le regarde discrètement partir et mate son joli corps musclé, ses petites fesses sont mignonnes, des drôles de pensées me hantent toute la nuit. Son corps, ses bourses lourdes et ce splendide bout de viande entre les jambes, me fait bander toute la nuit. Au matin, je retrouve Slave, au lavabo, il me dit qu’il aimerait être dans le même canoë que moi, qu’il faut que nous nous organisions, de fait une fois les canoës prit, il propose à mon pote d’échanger nos partenaires afin de faire plus ample connaissance, mon ami ne dit pas non, surtout u’il en a un peu marre de ma tronche, sûrement. Quand plus elle est plutôt bien foutue la minette, nous pagayons mais slave, me dit de las laisser partir devant. Nous nous éloignons d’eux pour accoster dans une petite crique. Quand il se lève pour sortir de la barque, je découvre qu’il bande comme un taureau, là, il ne peut pas le cacher. Il me pousse sur un rocher et me roule un baiser, je me laisse faire, je  sens sa bite frapper contre mon ventre, ses mains se trouvent vite sur mes fesses, il fait glisser son sexe entre mes jambes, puis branle en me demandant de serrer les cuisses, « hum », un délice, ce mec sait faire l’amour, il me pince les tétons, pendant qu’il me roule un palot. Je ne résiste pas j’ai trop envie de découvrir cette version de ma sexualité. Il laisse partir sa langue le long de son torse, pour atterrir sur ma bite en feu, je suis au maximum de mon érection, il me lèche, sa langue va se frayer un petit chemin dans mon uréte avant de partir sous mes bourses. Merde, aucune fille ne m’avait fait des choses aussi sensuelles. Il engloutit mon zob sans rechigner. En peu de temps, il réussit à me faire cracher ma purée. Je n’ai pas pu résister. Dommage, il s’est alors redressé, et m’a demandé du regard de lui prodiguer la même chose, j’ai cédé, mon corps tout entier était à son service, j’ai essayé d’avaler du mieux possible ce chibre surdimensionné. Il me bloquait la nuque pour que j’aille encore un peu plus loin. J’ai vite dégluti ce spécimen quand j’ai sentit le sperme m’envahir la gorge. Il venait de me jouir dans la bouche, mon regard s’est posé sur lui, il jouissait encore, ma vue était belle, ce type prenait réellement un pied devant moi. J’ai alors décidé de l’explorer encore un peu, je l'ai retourné et me suis mit à lui écarter les jolies petites fesses. Un délice pour la langue, il couinait, quand je  passais ma langue sur son petit orifice, il gémissait qu’il voulait que je le prenne, je n’avais pas eu cette idée, mais comme il semblait la vouloir et que je bandais un max. J’ai alors craché dans ma main et l’ai enduit, ainsi que ma bite déjà lubrifiée par son sperme. Il écarta un peu las jambes et tint ses fesses écartées. Pendant que je visais son trou, mon gland est entré facilement. Je jubilais de voir partir mon gland en lui, le reste suivi aussi, j’ai mis mes mains autour de sa taille et est commencée à le buriner de toutes mes forces. Il aimait ça, je le sentais dans sa façon, de pousser son cul vers moi à chaque fois que je m’enfonçais. Je n’ai pas pu résister tellement il était bon. Ce joli petit cul était une torture pour moi tellement il savait l’utiliser. Je suis ressorti, tout gluant, j’avais joui en lui, oubliant toutes les règles de base. Nous avons plongé dans l’eau pour nous rafraîchir et sommes repartit dans la bonne humeur retrouver les deux autres, qui semblent-il n’était pas sans s’apprécier. J’ai vite compris ce que nous allions faire le reste de nos vacances. Arrivé au camping, mon ami me demanda s’il pouvait faire échange avec slave, car il avait un tiqué avec la fille, et il commençait même à bander devant moi, rien que d’y penser, pour m’amuser, je lui ai dit en la saisissant, un bon morceau d’ailleurs, car rien qu’au touché, il n’a pas pu faire autrement que de bander complètement. Il se sentit gêner que je fasse ça, poussa ma main, en se cachant des autres en s’asseyant, je pouvais toujours voir son sexe en érection, il me fixait, « c’est malin, de m’avoir fait bander », « tu rigoles, je n’ai rien fait, c’est toi qui fantasme sur la minette, pas moi ».  « Ouais, tu as raison, il faut que je me calme », il entra dans la tente, s’allongea, me laissant voir son engin droit devant, ses jambes étaient un peu écartées, je pouvais voir les poils entre ses bourses et sa raie. Il commence à se trouver, sans même chercher à se cacher de moi. Il se branla deux minutes, me mettant dans un état moi aussi d’excitation. Il se mit à jouir en poussant de petits cris étouffés. Plusieurs jets sont retomba sur sa poitrine. Il resta encore deux autres minutes sans bouger. J’avais toujours la gaule, il le remarqua. « ca t’a excité que je me branle, mon salaud », je suis alors venu m’installer à côté de lui, et me suis masturbé, il me regardait, j’ai pris un réel plaisir à le faire devant lui. Ma jouissance fut tellement forte qu’il  en a récupéré une partie. Nous sommes restés ainsi, avant de reprendre notre conversation sur nos drôles d’amis. Quand Slave, nous appela du dehors de la tente. Je suis sorti après un bref nettoyage, suivi de mon pote qui avait encore du sperme sur tout le corps. Slave nous expliqua, qu’il était d’accord de l’arrangement entre sa copine et mon pote. Tout en regardant dégouliné le sperme du ventre de Joël. Nous avons prit une douche, puis dîné ensemble sur la plage. Nous avons veillé jusqu’à une heure du matin, avant de prendre congés des deux tourtereaux, ui franchement ne se gênaient pas devant nous. Slave a du être excité par la vue de nos amoureux. Une fois dans la tente, je me trouve face à un mec très chaud. Il me présenta son engin, se mettant sur les genoux, je ne crois pas ce que je voyais, il prit ma main et la posa sur son cul jusqu’à sa raie, je n’osais pas le repousser, j’avais la chance de pouvoir le toucher, c’était bien, mais très vite, je me suis retrouvé avec son sexe en bouche, je n’en revenais pas, il se branlait en moi, ses mains me malaxaient les fesses. Quand je sentis qu’il me mettait du gel sur l’anus, j’ai voulu lui dire non, mais son gland entrait et sortait si souvent ue je ne pouvais pas protester. J’ai alors reçu le premier doigt en moi, qu’il enfonça son sexe au fond de ma gorge. J’ai envie de vomir, mais la douleur de mon anus me fait plus d’effet. Un impressionnant désir d’aller encore plus loin avec lui me taraude, mes jambes s’écartaient d’instinct. En moins de cinq minutes, j’avais le cul rempli de trois doigts, il m’annonça que j’étais prêt. Il me retourna et point son gland entre mes fesses, le contact de ce mec et l’envie de le recevoir, me laissa sans voix, je n’ai pas crié quand le gland m’a pénétré. Il y allait doucement, je voulais maintenant le sentir complètement. Je pris la décision de reculer, un râle sortit de ma gorge, alors qu’il était entièrement en moi. Voyant ma réaction, il ne pris plus de gant pour m’enculer. J’ai alors subit tous ses outrages pendant dix bonnes minutes avant de l’entendre crier qu’il jouissait. Je n’eue qu’un petit aller-retour à faire sur ma tige pour qu’elle lâche sa semence. C’était fait, j’avais vraiment fait l’amour avec un mec. Ce désir m’a hanté depuis le jour, ou j’ai vu Slave nu avec son sexe surdimensionné. Nous avons dormi dans les bras de l’autre. Au matin, il était déjà debout pour nous préparer à nous quatre un petit déjeuner, quand j’entendis Joël et sa bien aimée s’approchés, je suis sortit et les ai tous embrassés normalement, mais j’ai eu un pincement en voyant Slave nu si proche de moi, il fallait que je me concentre avant de bander. La journée, commença par un tour en randonnée. Très vite nous avons laissé les deux autres partir devant et sans même attendre. J’ai pompé Slave du mieux possible, mais il en vouait plus, mon cul lui plaisait, je n’ai pas tardé pour avoir ce joyau en moi, et la puissance du plaisir que j’ai eu m’a confirmé que je ne pourrais plus faire l’amour qu’avec un homme, je luisais du cul comme une petite salope, je ne me contrôle plus, quand j’entendis les buissons bouger, je ne voulais pas arrêter, personne ne se montra mais je savais que quelqu’un était là. Je me suis laissé prendre encore deux bonnes minutes avant de jouir en synchro avec Slave. Peu de temps moins d’une minute, et je vis arriver Joël, son sexe avait lui aussi du être soulagé car sa taille  était encore belle, même s’il ne bandait plus. Il me regarda d’un air bizarre, tout en nous demandant ce que nous faisions, nous sommes repartit pour retrouver la minette et avons passé une excellente journée, même si Joël savait que j’étais homo. Une semaine se passa dans les mêmes conditions, quand Slave m’annonça qu’il repartait demain. Nous avons fait l’amour comme des fous, je l’ai pris et lui aussi. Quand ils sont repartit, j’étais triste, mais sans plus, pour le sexe maintenant c’était tintin, mais je n’étais pas seul, Joël était plutôt beau mec à regarder, et en détaillant bien, il était même plus bandant ue slave, mieux dessiné côté abdos et une bite plus fine mais plus longue. La soirée arriva, après avoir bu un peu, je suis allé pisser un peu plus loin dans la forêt, il m’a accompagné et nous sommes rentrés dans notre tente. Il ne parla pas mais je sentais une gêne s’installer, il voulait me dire quelque chose, mais n’y arrivait pas. Je lui ai demandé, et là il s’est tout simplement levé de trois quart dans la tente, m’exhibant une bite en érection, il ne parla pas mais prit à tête et la poussa vers son sexe. Je n’ai rien fait pour le repousser, je me suis dit que c’était un dérapage car il devait encore penser à la fille. Le truc sympa, c’était que j’en profitais pour le pomper. Il ne me repoussa pas quand j’ai posé mes mains sur ses fesses, il se pencha et commença à mettre ses doigts entre ma raie. Je n’en revenais pas, j’étais maintenant sur qu’il nous avait vu faire l’amour pendant la randonnée de l’autre jour. Il n’hésita pas, me coucha, m’écarta les jambes pour accéder à mon anus, Non d’un chien, il me léchait comme un pro, je commençai  à couiner quand il me dit que j’allais en avoir pour mon grade. Sans même attendre, il se positionna entre mes jambes et positionna son gland sur mon anus, je ne pouvais pas le refuser. Il bandait trop mais j’avais une envie encore plus forte que la douleur, il s’introduisit et me burina pendant dix bonnes minutes, ses yeux s’écarquillaient quand il s’approcha de mon visage. Je sentais son sexe grossir en moi. Il me fixait du regard, en me donnant de grand coup, pour voir si je trouvais ça bon, je ne pouvais pas cacher mon plaisir, il souries, en m’enculant encore plus fort, moins de deux minutes après j’étais aspergé de mon sperme et du sien, nous sommes resté dans cette position, il ne voulait apparemment pas sorti de moi. Il ne parlait pas, je transpirais d’avoir eu ce rapport de force. Il glissa sur le coté et me demanda de venir sur lui. Je m’exécutai en passant au-dessus de lui et senti son sexe s’introduire encore en moi, il ne débandait pas le cochon, j’ai alors commencé une descente et une montée en le regardant, il souriait de toute ses dents, j’ai alors accéléré la cadence, même si l’engin  commençait à prendre  trop de place en moi, je voulais qu’il jouisse encore, ce qui ne tarda pas. Il me bloqua la taille et poussa un petit soupir de joie. Je sentais le liquide couler entre mes jambes. Je me suis relevé, un « flop » est survenu quand son gland est sorti. Nous sommes restés côte à côte sans un autre mot. J’étais épuisé de notre activité, je me suis endormi sans résistance. Mais dans la nuit son assaut entre mes jambes m’a vite réveillé, j’ai encore eu le cul défoncé dans une joie la plus totale. Notre réveil ne fut que vers onze heures tellement nous avions baisé comme des dingues. En prenant notre petit déjeuner, il me regardait toujours sans rien dire. J’ai décidé d’entamer la conversation, pensant qu’il voulait arrêter là les vacances, qui normalement se terminait dans deux jours, il me fixa « tu rigoles, nous restons et on va en profiter un maximum, tu vas voir… ». Pour en profiter, c’est sur, que se soit dans le canoë ou dans la forêt, j’ai au moins subit ses érections trois fois par jour, nous ne discutions pas de cette relation, mais en profitions chacun. En …. Aussi bien que moi. Je lui ai retourné la question, et la surprise. C’était ses meilleures vacances. Après six heures de route, nous sommes allés chez moi. A peine, la porte fermée, il m’a littéralement poussé dans ma chambre, me déchirant mon tee-shirt, j’ai eu juste le temps de faire tomber mon bermuda et mon caleçon qu’il était déjà derrière moi à me badigeonner de gel, sa queue bandait tellement que je ne la reconnaissais pas de celle que j’avais eu encore ce matin. Il m’encula sans me ménager, « tu me fais trop bander ». Il me baisa comme un tordu, le prie est que j’aimai ça, il me prit dans différentes positions pour se retrouver face à moi, mes jambes sur les épaules. Son visage s’approcha et là, pour la première fois nos lèvres se sont rencontrées. Un baiser furtif au début. Mais dans une fougue absolu uand il me pénétra comme un diable pour me jouir dedans, j’étais aux anges, je n’ai pas eu besoin de me palucher la tige pour jouir. Il me faisait tellement d’effet que je jouissais naturellement, librement dans une apothéose de joie et de plaisir. Il s’enfouit avec moi sous les draps et m’annonça qu’il dormirait là ce soir. Croyez moi ou pas mais le lendemain et les autres jours de la semaine, il est revenu me faire l’amour et dormir. Ce n’est u’après dix jours, qu’il m’annonça avec un sac à la main, qu’il comptait rester ici pour l’instant. Je ne vous dis pas le bonheur que j’ai eu de savoir que ce mec allait pouvoir me prendre autant de fois que je et lui le voudrait.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 17:22

Le père de mon pote (Edgar)

Edgar, son père et moi sommes allés au match de foot ce soir, ils ont gagné. Nous avons fêté ça comme il se doit, j’ai préféré dormir chez eux car je n’avais pas le courage de rentrer à vélo. Edgar se pousse pour me laisser de la place dans le lit, et nous nous endormons comme des bébés. Le lendemain en me réveillant, je vois Edgar enfiler devant moi un caleçon, me laissant le temps de vois son joli petit cul blanc. Quand je me retrouve dans la cuisine, je ne vois pas mon pote, son père arrive en peignoir, et me serre un café, le temps qu’Edgar reviennent avec les croissants et du pain. Son père s’approche de moi pour me servir quand la ceinture de sa robe de chambre glisse et laisse apparaître son corps nu. Putain, il est encore super bien foutu le vieux, mais je suis stupéfait de voir la taille de son sexe. Une bite de cheval, il me sourit, reste debout devant ma chaise et me sort « pas mal encore pour mon âge, tu veux toucher ? », je ne sais pas pourquoi mais j’ai tendu la main sur sa cuisse, elle était ferme et musclée, mais ce que je voulais, c’était soupeser cette incroyable biroute. Je glisse donc mes doigts en remontant vers ce bazooka, quand j’entends la porte d’entrée claquée. Je retire aussitôt ma main, son père repart vers la cafetière, il repose le récipient, puis rajuste son peignoir. Nous prenons un copieux petit-déjeuner, Edgar se lève à un moment et part à la salle de bain car il a un rdv, son père s’approche de nouveau, vers moi et me sort direct « tu n’as qu’à revenir dans une heure, j’aurai des trucs à te montrer ». Puis, il me laisse seul dans la cuisine, je finis mon bol et remplace Edgar dans la salle de bain. Nous partons ensemble, je compte rentrer chez moi, mais l’idée de voir son père dans une heure à poil me traverse l’esprit. Je décide de faire mes courses au supermarché du coin et reviens une bonne heure après. Je sonne, il m’ouvre avec un sourire qui en dit long. Il me dit de le suivre, je sais que nous allons dans sa chambre, il est toujours en peignoir, il me demande de m’asseoir sur le bord du lit, je m’exécute, « alors, tu veux voir ça de plus près », et il rouvre son peignoir pour le laisser choir à terre, non d’une pipe, ce mec commençait à bander, et il en avait vraiment une grosse. La vache, je n’ai pas pu faire autrement que de la toucher, il s’est laissé faire. Je l’ai empoigné, mes doigts ont vite trouvé le rythme nécessaire pour la faire grossir encore un peu et surtout la faire mouiller. Je voyais les gouttes coulées le long de mes doigts, il prenait son pied, ça c’était sur, mais il voulait maintenant que je le suce. J’ai décidé de tenter le diable, j’ai ouvert ma bouche et ai englouti son gros gland, je le titillais, le suçais et surtout lapais pour lui donner un bonheur parfait, il couinait des « putain ue c’est bon », tout le temps, je m’excitais rien qu’à entendre cette phrase,  mon acharnement à, fait que j’ai pratiquement englouti l’engin de torture sans grande difficulté », mes mâchoires s’étaient d’elles même ouvertes à la bonne taille. Je jubilais de lui donner autant de joie, il s’est alors mis à crier qu’il n’en pouvait plus, j’ai senti alors son liquide chaud envahir ma gorge, je le voulais, je savais que je l’aurais, ma bite s’est mise à jouir sans la toucher, punaise que j’étais chaud. Il m’a sourit « tu en veux encore », je ne comprenais pas trop mais j’ai vite su de quoi il parlait, sa bite ne débandait pas, il m’a alors, dépouillé de mes vêtements, et  il m’a retourné, j’avais la tête dans l’oreiller alors qu’il commençait à me bouffer le cul, je sentais que j’allais aimer, je ne l’ai pas fait souvent mais j’étais près et chaud avec lui, même s’il en avait une grosse. Je savais que je la supporterais, je n’ai pas attendu longtemps pour le savoir, en moins de deux, j’ai senti son corps se mettre sur le mien et son gland se coller contre mon anus. Il a forcé et est entré, j’ai alors poussé un cri de désespoir, mais plus rien ne nous séparait, j’ai senti son sexe au plus profond de mes entrailles, alors là, j’ai ….. Déclenché une subite envie bestiale u’il a reporté sur moi. J’ai été baisé comme jamais, je ne l’avais été, je subissais ses outrages avec bonheur et plaisir, il me faisait l’amour si bien que j’ai joui avant lui. Il m’a enculé pendant un bon quart d’heure avant de sortir pour me jouir dans le dos, j’étais épuisé. Il s’est allongé à mes côtés, puis m’a dit « putain quel pied, tu en fais une bonne salope, je te baise quand tu veux, toi ! », quelque part, ce mot doux, me plaisait, j’avais donné un pied à ce type et moi par la même occasion. J’ai repris mes esprits et me suis relevé. Il était toujours étendu, je me suis fringué et suis parti, sans rien dire, En marchant mon vélo à côté, car j’avais le cul vraiment en compote, j’ai repensé au délire que je venais de faire avec le père de mon pote, mais le pire était ue je serais prêt à le refaire sans hésiter. J’ai fait le mort avec mon pote , pendant trois jours, le temps de me calmer les sens, mais le prochain match était pour ce soir, il insistait vachement pour ue je vienne, je n’ai pas osé demander si son père était là, je m’en suis douté en le voyant arriver après, car sa place était réservée, nous avons pu encore une fois faire une super fête, car notre équipe venait d’être qualifiée pour la demi-finale, l’alcool aidant, j’ai accepté de dormir encore avec mon pote, je me suis tout juste foutu à poil et couché sans demander mon reste. Au matin enfin, je crois, j’ai senti un corps sur moi, et une pénétration anale, je n’ai pas trop réagit et me suis laissé faire malgré la grosseur de l’engin, je me doutais ue son père était venu, mais uand j’ai entendu la voix de mon pote dans mon oreille droite, j’ai sursauté. Il me bloquait bien, D’un coup, il m’a pénétré totalement, j’ai poussé un petit râle, mais j’approuvais ce genre de baise, il m’a enculé sans vergogne, m’a tellement limé ue j’au cru ne plus pouvoir m’asseoir pendant trois jours, il était aussi bien monté ue son père. La vache, j’en ai eu pour mon compte, il m’a traité de petit pédé, bien chaud, u’il aimerait bien avoir à domicile, je ne répondais pas tellement, je jouissais de cette instant. Ma queue a laissé partir son surplus pendant u’il s’est approché avec son engin, près de mon visage, pour laisser partir par gros jets, ses puissantes giclées des spermes, u’elle drôle de situation. J’avais pris un pied d’enfer avec son père mais la vue de cette bite énorme devant moi, me fit changer d’avis sur le futur, je le trouvais tout simplement parfait, un corps musclé et une bite de taureau. Nous sommes restés allongé l’un contre l’autre pendant une bonne heure, avant d’enfiler un caleçon pour nous rendre à la cuisine. Son père  était déjà levé, il nous a sourit, « alors c’était bon » parlant à son fils « tu rigoles, le pied », il a alors regardé dans ma direction, et sans hésiter à laisser glisser son peignoir devant nous pour nous montrer son gros braquemart en érection, je n’ai rein fait, mais lui m’a saisit par la taille et sans demander mon autorisation, m’a pénétré devant son fils, je repris un bonheur de me faire défoncer par lui. Rien à voir avec son fils, il baisait brusque et ferme, je couinais à chaque pénétration, alors que le gland de mon pote est venus ‘engouffrer dans ma bouche. Je n’en pouvais plus, j’ai jouis sans retenu, alors qu’ils s’occupaient de mes trous, j’ai passé la demi-heure dans une euphorie totale, en pleine osmose avec mes baiseurs, ils m’ont relâché une fois purgé, nous avons repris nos places pour un bon petit-déjeuner. J’ai repris le chemin de mon appartement avec la queue complètement tendue dans mon jeans. J’ai été obligé de me branler en arrivant. A peine sorti de la douche, j’avais un sms, me signalant que je devais venir ce soir chez eux. Car ils avaient un petit cadeau pour moi. Ma journée fut dans l’indécis de ne pas y retourner tout de suite, mais mon envie était trop grande. J’ai sonné et suis entré, ils m’attendaient avec un bon repas, mousse avons un peu bu, et les choses ont vite dévié, nous nous sommes retrouvés dans le salon à poil tous les trois. C’est alors que je les chauffais tous les deux en les suçant successivement, que j’ai entendu mon pote me dire « putain, viens, baise-moi », je n’ai pas demandé mon reste, j’ai pris du gel et l’ai enduit vite avant « ui change d’avis. Ma queue était devenue raide d’un coup, il s’est posté sur ….. douce, je prenais son petit cul. C’était génial, mais son père ne voulait pas rester en voyeur, et c’est là que j’ai senti son mandarin se faire un chemin entre mes fesses. J’ai poussé à fond dans le cul de son fils quand il m’a pénétré, nous avons crié tous les trois ensembles. La baise parfaite, j’enculais tout en me faisant prendre, j’ai ressenti des milliers de sensations, je ne voulais pas que ça s’arrête, nous avons pratiquement joui ensemble, son père m’a lâché, et est parti, alors que je tenais dans mes bras ce superbe apollon. Il se laissait caresser, je venais de l’apprivoisé, il me sourit, le bonheur se voyait sur son visage, il m’a embrassé sans gêne, nous sommes allés nous coucher, le sommeil, nous a trouvé dans les bras l’un de l’autre. Au matin, je bandais tellement de la veille, que je l’ai pénétré doucement pour être sur de ne pas avoir rêvé, Nous avons fait l’amour, tous nos gestes s’assemblaient à la perfection, je n’ai pas pu dire autre chose que « je voudrais vivre ça tous les jours », il m’a dit « je n’ai rien contre, viens habiter ici ». A partir de ce moment là, je n’ai plus dormi une seule nuit dans mon appartement, que j’ai rendu au bout de trois mois, notre relation est très spéciale, mais j’ai trouvé le bonheur avec ces deux hommes, un pour la baise pure, et l’autre pour une harmonie des corps…

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 15:06

L’agression (Justin)

Je descends ma poubelle, tous les soirs après le repas, ce soir là, tout a changé, ma cavalcade dans l’escalier, m’a fait percuter avec un type qui descendait doucement, et je l’ai poussé sur la rambarde, il a atterri un étage plus bas. Assommé, je panique, je lui donne une tape sur la joue, rien, je jette la poubelle par la porte d’entrée et j’essaye de le remonter chez moi, merde, il est lourd, je l’étends sur le lit, je lui mouille le visage, une belle gueule, un physique très masculin, son charisme est doux et naturel, vraiment mâle. Je lui enlève son blouson, déboutonne sa chemise, il reste dans les vapes, heureusement il respire, j’appelle un médecin, qui arrive vite, il me rassure qu’il n’a qu’une grosse bosse, il l’ausculte, me demande de l’aider à le déshabiller, voir si tout va bien, le mec est super bien foutu, je comprend qu’il soit lourd, vu sa masse musculaire imposante, c’est sûrement un bodybuildé, un véritable objet de fantasme, il est très sexy en slip, le docteur monte le drap et me sort que je n’ai rien à craindre pour mon petit copain, je voulais lui répondre que ce n’était pas le mien mais je suis resté scotcher. Peu après son départ, le mec cris « ouie, ma tête », je m’assoie à côté de lui, lui raconte l’histoire de l’escalier et lui demande pardon, il me regarde fixement, j’attends qu’il parle, il soulève le drap et sourit, je le rassure que ce n’est pas moi qui l’ai déshabillé mais le médecin, il me demande le diagnostic. Il essaye de se lever et recommence à dire « ouie », il se recouche, me dit qu’il a mal aux jambes et au dos, je lui dis que je vais à la pharmacie, d’en bas, pour les médicaments, il me signale que se serait bien d’acheter une crème inflammatoire, je cours et reviens vite, il dort, merde, il manquait plus que ça, je vire Mélanie et voilà que je me retrouve avec un mec dans le lit,  il est très mignon, je le laisse tranquille et je vais faire du café, au bout ½ h, il redit « ouie », j’accours, il me sourit, je lui tends un verre et les médicaments, il avale tout et me sort, « ok, je suis prêt pour le massage », J’ouvre les yeux en grand et reste la bouche bée.  Il tire sur le drap et me dit qu’après tout c’est de ma faute s’il a mal, je culpabilise et prends le tube, je vais chercher une serviette, je lui dis de soulever ses fesses, pour ne pas tacher le drap, ma main se pose sur ses petites fesses fermes, je trouve la situation embarrassante, il se cambre, fait une grimace mais se laisse toucher le cul, je glisse la serviette. Il est vraiment bien foutu, le slip laisse voir qu’il est très bien membré, il me regarde faire et ferme les yeux, il repose son cul sur ma main, je ne bouge plus, il rouvre les yeux, sourit encore, et me soulève juste de quoi m’obliger à forcer pour sortir, je le sens très entreprenant pour un malade. Je commence le massage par les chevilles, ses mollets sont musclés, il doit faire du vélo, aux genoux je commence à mater son slip qui montre la forme d’une grosse bite. Je le masse jusqu’aux cuisses, il écarte un peu les jambes pour que je puisse aller plus haut, son érection, arrive à déformer le tissu, son gros bâton est imposant, long, très épais, la consistance d’une vraie bite. Je comprends qu’il apprécie les massages, je serais pareil, j’avoue que de toucher ce corps de rêve simplement vêtu d’un slip, à l’état brut, me chauffe à bloc, il n’a toujours pas ouvert les yeux, ce qui me donne plus de hardiesse, il n’a pas de défaut, il est doux au touché, ma libido se libère, des désirs fous me parcourent les veines, je me dis que de toute façon, personne ne me vois, je continu mon massage dans le creux de ses cuisses et touche de temps en temps, volontairement ses bourses à travers le tissu, je passe ma main sur sa taille, je lui masse les abdos, le bas du ventre mais évite de toucher son slip, il a quelques poils sur le torse, bien agréable à toucher, je m’assoie près de lui, lui masse les épaules, son bras vient se poser sur ma taille, je reprends mes esprits, m’arrête, et dis au mec « ok, c’est bon », il ouvre les yeux, regarde sa grosse bosse et me regarde, Il dit «et mon dos », il se retourne,  son dos est carré, de belles épaules, je commence à masser, ma position n’est pas confortable, je me mets à califourchon sur lui pour une meilleure assise, mon sexe gonfle dans mon jean, frotte sur ses fesses, il sort que c’est bon, je m’énerve un peu de la situation, il le sent, me dit avec une bouille malicieuse « Eh mollo, c’est de la qualité que tu as dans les mains », Un « oui çà je vois », m’échappe, je descends jusqu'à l’élastique du slip, et remonte à chaque fois jusqu’aux épaules, il gémit de soulagement. Là, tout net, il bouge, glisse son slip jusqu’au bas des cuisses, ses adorables fesses apparaissent, fabuleux spectacle, il me dit « tu vas me le dégueulasser, enlève-le ». Je ne maîtrise pas la situation et l’enlève complètement sans broncher. La vue de ce mec nu, les jambes écartées autour de moi, commence à m’exciter, je bande dur, il a des petites fesses très mignonnes, il met sa main sous lui pour replacer sa bite, ce qui le fait cambré, et j’aperçois le centre de sa raie, il n’a pas de poil, et je vois sa rosette toute rose, « hummm, quel délice », sa chute de reins est très sexy, il écarte ses cuisses, je m’agenouille entre, le contact de nos corps, m’excite encore plus, j’aperçois son sexe rigide le long de sa cuisse, il est vraiment gros, un bon 20 cm, courbé. Je masse de plus en plus vers le bas, à la taille, il me dit que son cul aussi avait subit l’escalier, j’hésite un peu mais l’envie est trop grande, et comme il a la tête dans l’oreiller, j’accepte en me disant qu’il ne pourra pas dire que je n’ai pas tout fait pour qu’il m’excuse. Je n’ai pas l’habitude de tripoter les fesses d’un mec, et fini par mettre les deux mains, je perçois sa raie, je bande comme un turc, il me plait beaucoup, il se cambre un peu plus, et me laisse le toucher plus intimement. Je m’entends dire « c’est fini », il lève la tête, tourne, lève une jambe devant moi, il est sur le dos maintenant, face à moi qui suis resté entre ses jambes, sa queue est énorme, massive, droite jusqu’au nombril, elle doit faire 25 cm. Il me dit «  tu peux finir ce que tu as commencé », je le mate, c’est vrai que j’ai envie, j’approche ma main de sa bite, et commence un va et vient, il se laisse aller, soupir, il me dit de lui caresser les couilles, ma deuxième main vient machinalement lui peloter les bourses, je me penche, sur lui et ma bouche, lui titille les tétons, punaise, il s’excite vraiment, sa main vient percuter ma bosse dans mon jean, il me malaxe, et se met à jouir abondamment dans ma main, et sur son torse. Il récupère sa respiration, ouvre les yeux, et me sourit, je suis gêné, retire ma main de son sexe maculé par sa semence, la sienne est toujours serrée sur ma bite, il me tripote, et me dis, « tu sais, c’est la première fois, qu’un mec me masse, et me branle la tige, si tu fais aussi bien l’amour, je suis partant ». Tout rouge, l’air ahuri, je réponds, que je ne suis pas homo, que c’était parce que je l’avais fait tomber, il rétorque, « tu n’as pas compris, moi non plus, mais j’aimerai bien commencer ce style d’expérience avec toi », il défait les boutons de mon jean, le baisse, promène ses mains sur mes fesses et ma bosse, fait glisser mon slip, je bande comme un taureau, il me fait un compliment sur la bonne taille de ma bite, il la prend dans la bouche, je ne peux qu’apprécier cette succion, il sait y faire, il m’a tellement excité auparavant, que je ne vais pas résister longtemps, il m’enlève complètement le jean, le slip, le Tee-shirt,  Je suis à poil devant ce mec, et lui exhibe une queue de 25 cm épaisse, prête à l’emploi, il n’arrête pas de me turluter, c’est très bon, je prends un pied d’enfer, il me décalotte, avale plus de la moitié de mon sexe super tendu, au bout de cinq minutes, je largue ma purée sur son visage, il me sourit, je lui dis « tu travailles demain »,  il répond « non », je prends la serviette, je l’essuie, en le caressant, j’approche mon visage du sien, lui roule une pelle, et lui propose de rester coucher cette nuit, il se montre tendre, je me laisse faire, je tire sur le drap et éteint la lumière, Il se blottit près de moi, je suis épuisé par cette aventure, jamais je me serai imaginer m’endormir dans les bras d’un mec. Dans la nuit, il me tourne le dos, on se frotte l’un contre l’autre, ma bite reprend vite son allure de guerrière, je prends du gel sur la table de nuit, il écarte les jambes, je glisse entre ses fesses un doigt sur sa rosette, il bredouille des « hummm », je lui titille de plus en plus le trou, je décide de me branler sur ses fesses, je le chevauche, frotte ma bite en feu, dans sa raie, je tape à l’entrée de son anus, il fait venir ses mains, une sur sa fesse droite pour l’écartée, l’autre pour diriger mon sexe dans son orifice, je pousse un peu, je ne veux pas le déchirer vu la taille de ma bite, Il ne bronche pas, j’insiste, l’anus de dilate, la pression laisse passer mon gland, il gueule, je suis dans son cul, je prends mon temps, je fais des petites pressions pour faire accepter mes 23 cm dans son petit cul de puceau, il tortille de douleur et de jouissance, ma bite de cheval exerce une pression si forte, son fion me lape la teub, il écarte encore plus ses miches, mon bazooka déchire tout sur son passage. Il suffoque, mais dit « oui, encore », alors là, j’ai plus à me faire de souci pour lui, je le ramone avec ma grosse queue, je prends son cul sans relâche, elle s’enfonce bien profond dans son trou, il s’ouvre, s’abandonne à ma queue. Il se cambre, cri de douleurs, il prend conscience que c’est une vraie bite, mes coups le scotchent au lit, nous baisons, comme des furies, Je lui pilonne l’anus tuméfié, il gueule qu’il jouit, je n’arrête pas, tout de suite, je sors pour me vider les couilles et jouir d’une magnifique éjaculation sur son dos, je m’écroule à côté de lui. Pas un mot, je lui essuie le dos et nous recouvre du drap, il s’approche, met son bras sur mon torse et s'endort, au matin, il est blottit contre moi, je lui donne un baiser, il me le rend, « je m’appelle Justin », « bonjour, Justin », « moi c’est Emeric », je n'aurais jamais pensé, vive une nuit d’amour avec lui, il me serre dans ses bras, punaise, il est très fort, il m’embrasse et me prend la taille, pour me rapprocher encore plus, nous nous pelotons un peu, et discutons une bonne heure dans le lit, attaché l’un à l’autre. Il me dit avoir faim, nous nous levons, enfilons nos slips et direction la cuisine, je lui dis qu’il est mignon, il me dit ne pas perdre au change, que je lui plais beaucoup, qu’il a adoré être pris par moi, que si je veux, il sera près à le refaire quand je voudrais. Je lui dis qu’il fallait se doucher, car je voulais voir une expo, cette après-midi, il me regarde vexé, et se lève, me dit « t’inquiète, je pars, après la douche », je le suis en lui demandant de m’excuse, que s’il veut, il peut venir avec moi, il est sous la douche et ne réponds pas, je baisse mon slip et le rejoins, rien que la vue de son petit cul, mon gros zob veiné trique, je le prend par la taille, lui donne un baiser d’amoureux, il se blotti dans mes bras, et machinalement glisse le long de mon corps, bute sur ma bite, qu’il pompe goulûment, enserre mon chibre de matador, l’engloutit jusqu’à plus de la moitié, quel pied ! J’adore ce mec, il suce à merveille, et profondément, il est très persuasif dans ses démarches, pendant qu’il me suce, je sens un doigt venir entre mes fesses, après tout il a autant le droit que moi, je le laisse faire, j’écarte mes jambes pour lui laisser le passage libre, il me tourne et commence un léchage de fion baveux, c’est une merveille, j’adore ces nouvelles sensations de me soumettre au pouvoir du mâle, je me cambre, je me branle, il se lève, frotte sa teub sur ma raie, me frotte l’anus avec du savon,  il pousse, me transperce la croupe de sa bite, je gueule fort qu’il arrête, il continu, il me défonce d’un grand coup de butoir, bien profond. Il me besogne le derche, je crois mourir. Il m’explose la rondelle, empale son sexe viril comme une brute, aucune retenue dans les pénétrations, il élargit mon rectum de puceau, je me soumets à ses puissants vas et viens.  Je me cramponne aux parois, il aime, me dit que je l’excite, qu’il ne regrette pas de s’être initier à l’amour homosexuel avec moi. Je crache dans une jouissance brutale en entendant ses délires, il me ramone avec sa grosse queue, sans relâche, pilonne sans merci, il est monté comme un âne. Je commence à avoir mal, il me laboure encore deux ou trois minutes, une éternité, il m’asperge le rectum de sperme, à grand jus, ne bouge plus, reste encré dans mon cul, il me dorlote, j’apprécie sa douceur, sa force me rassure, il me bloque pour que nous ne bougions pas, j’aime son zob de maître queue en moi, il ne débande pas, ses 25cm me prennent vraiment tout le trou du cul, il n'arrête pas de m’embrasser dans le cou, je me sens bien, je lui dis, il ne donne encore un dernier coup de butoir, et sort de moi, il me dit vouloir venir avec moi, je ne peux qu’accepter de connaître mieux ce beau mec. Nous nous baladons tout en nous caressant de temps en temps, je lui tiens la main, le prend par les épaules, la taille, jamais je n’aurais fait ça avant hier, il ne me repousse pas au contraire il m’embrasse dans le cou, me susurre des mots tendres à l’oreille, je vais craquer pour ce mec, s’il continu, et rien que de le voir marcher et mater son petit cul dans son jean, je rebande, nous nous mettons à une terrasse, et il me prend la main sous la table, je vois des gens nous mater, ils n’en reviennent pas que deux beaux mecs virils soient ensemble, nous rigolons de la situation, et repartons en balade. La soirée arrive, il me dit vouloir me présenter deux amis à lui, j’hésite, nous arrivons pour l’apéro, « vous allez bien manger avec nous », ce couple est très gentil, elle est mignonne et très bonne cuisinière, lui agréable à regarder et pas con. Pendant le dîner, Justin me caresse la cuisse, je rougis car son copain nous regarde. Il sort « vous êtes ensemble, on dirait », Justin me fixe « oui », « je ne savais pas que tu étais Bi, sinon je t’aurai branché », Justin sourit et répond « normal, je ne le savais pas moi non plus avant Emeric ». Et il m’embrasse devant eux, sans retenue sur la bouche. Le dessert arrive et nous passons au salon pour le café. Justin s’assoie à côté de moi et de sa copine et me met le bras sur les épaules, je ne bouge plus, elle sort « j’adore avoir des amis comme vous, c’est beaucoup plus cool, par rapport à moi, pas de baise,  j’espère que vous reviendrez ». Nous partons, Justin me bloque sous le porche, m’embrasse goulûment, me serre dans ses bras, j’adore quand il me tient la taille et qu’il me tripote les fesses. Il me dit  « tu sais, ils t’ont beaucoup appréciés, et même plus, je crois, ils m’ont sorti que si je ne voulais plus de toi ils étaient preneur », je lui souris, il continu « je préfère te garder, tu es vraiment un beau mec », je l’embrasse amoureusement, nous sortons, il me dit « on sort, tu connais un bar PD », «euh ! , je crois qu’il y en a un dans le centre», « ok, on va voir leur tronche », « pourquoi pas », nous arrivons au bar, nous nous asseyons au comptoir, il me tient la main, plusieurs mecs nous matent, Justin me souffle « tu sais que tu leurs plait, ils bavent tous devant toi », je lui dis « mais non, c’est toi qu’ils matent », nous buvons quand un mec s’approche de moi, « tu veux venir avec nous en boîte », je me retourne stupéfié, il me sourit, il n’est pas mal du tout, je veux lui répondre, mais Justin se lève et lui dit  « tu laisses mon mec sinon je te casse la gueule », je le retiens par la taille, sourit au mec en m’excusant que nous ne sortirons pas ce soir en boîte, mais merci quand même de l’invitation, le mec sort  « ok, mais si tu es libre, n’hésite pas à venir me voir, tu ne le regretteras pas », j’écarquille les yeux, il me fait du rentre dedans, incroyable, Justin voit rouge, je le force à s’asseoir, et par dans une conversation plus calme avec lui en l’embrassant tendrement, il me dit « tu vois que tu plais, le salaud, et devant moi, merde alors il allait te bouffer tout cru », je lui souris « alors comme ça tu es jaloux, tu ne me connais que depuis vendredi », « je sais mais quand je tombe amoureux, je ne peux pas m’empêcher d’être jaloux », « pourquoi tu es amoureux ? », « tu te fiches de moi, évidemment que je suis sous le charme, tu t’es vu, gueule d’ange, géant en amour, un corps de rêve, une bite d’enfer,  pas con en plus, la totale en un », je lui sors, que de toute façon, moi non plus je n’ai pas l’intention de changer, « tu me plais énormément », il me sourit, m’embrasse goulûment, regarde l’autre type, le fixe l’air de dire, c’est moi qui l’ai, nananaire, nous passons une bonne soirée, mais j’ai envie de lui, je lui dis, aussitôt, il se lève, me prend le bras, nous voilà sortie, une fois chez moi, je lui saute dessus, le déshabille, le lèche partout, il glisse sa main dans mon slip, me branle déjà, je lui titille les tétons, le bouscule jusqu’à la chambre, il trébuche sur le lit, je saute dessus, lui lèche les bourses, il glousse, me tient la tête, commence un va et vient que j’ai du mal à faire, sa bite est trop grosse dans ma gorge, quelle matraque il a, je tousse, et recommence à m’acharner sur le morceau. Il se tortille tellement que je ne peux plus la garder en bouche, il me pousse me tourne et lèche ma raie, il me dit « tu es à moi, j’adore ton cul, je vais te baiser, tu vas t’en souvenir, crois-moi », il me parle en glissant deux doigts dans mon cul, toujours douloureux du matin, il me doigte bien l’enfoiré, j’aime ça, j’écarte de plus en plus mes fesses, il comprend qu’il peut faire ce qu’il veut, je lui laisse toute liberté, en moins de deux minutes , je sens son gland frotter mon anus, et le forcer, il n’a pas besoin d’un signale pour me pénétrer, son gland ouvre la marche me voilà avec sa grosse bite dans le cul, j’ai beau essayé de le repousser, il n’hésite pas à m’enculer au plus profond, me donnant des coups beaucoup trop puissant pour ue je ne jouisse pas, tout part, il comprends et me burine encore plus vite, je gueule ue c’est trop bon, ca doit l’exciter encore plus, car je sens son sexe grossir encore, nous baisons encore dix minutes avant de le voir me craché sa semence sur le ventre et les épaules, il est vraiment beau, nous nous endormons comme des bébé, cette nuit fut l’une des première de ma nouvelle vie d’homo, nous sommes très proche et n’arrivons pas à nous laisser longtemps, en tout cas, chaque soir, notre lit à droit à de troublant déclaration d’amour, mon petit cul est devenu le plus fidèle engin sexuel de plaisir pour Justin.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 15:03

Le recensement (Damien)

 

Je dois me rendre dans la cité la plus difficile de la ville pour faire un recensement de la population Ce job ne me dit rien et encore moins dans ce quartier J’arrive et commence à entrer dans les 1er immeubles, une bande de mecs louches me dévisage méchamment, je monte l’escalier jusqu’au 10e étage car l’ascenseur est en panne, je frappe aux portes pour commencer mon boulot. Apres plusieurs refus et des absences, je prends une pose cigarette sur les marches du palier du 5e étage, plusieurs personnes passent et me dévisagent, à un moment un mec d’origine du sud, monte les marches et entre dans une des portes du 5e étage, il a l’air mignon, je finis ma clope et frappe à toutes les portes de l’étage et m’arrête à la sienne et attends. Il ouvre, je reste scotché car il est juste en slip, un verre à la main, sa plastique est superbe, sûrement après beaucoup de sport, il me mate des pieds à la tête et attends que je parle, je suis bouche bée quand mon regard se pose au niveau de son slip, un paquet énorme prouve qu’il a une bite gigantesque, la forme part à la base et va sur le côté de la hanche, jamais je n’avais vu ca, il m’adresse la parole « tu cherches quoi, des ennuis, sûrement si tu restes dans le quartier », « non, non, vous vous trompez, je ne voulais pas vous mater, je suis la pour le recensement de population », « parce qu’en plus tu mates » « excusez-moi, mais c’est la 1er fois que je fais ca et j’ai été surpris de vous voir en slip » « ok entre », « je ne dois pas entrer dans les foyers, c’est une violation », « tu crois que je vais rester en slip sur le palier, alors tu entres ! », Je franchis la porte et la referme, il passe une porte, je longe le couloir et le vois allongé sur son lit à boire,  Je commence mes questions et le vois se tripoter le paquet machinalement en répondant. J’évite de le regarder, il se lève et me dit de me servir un thé, qu’il revient. Je reste près de la porte et le voit partir dans sa sdb, il fait glisser son slip, la vache, son petit cul est bandant, ca commence à me titiller le jonc, je me ferais bien son petit cul même si c’est un mec Il stoppe devant la porte, nu la queue pendante le long de ses cuisses, « je reviens, serre-toi », et il part sous la douche, je reste scotché, je me demande si j’ai bien fait de rentrer dans cet appartement, il a une bite énorme, jamais j’aurai imaginé que ca existait. Il revient après 3 minutes avec une serviette à la taille Il prend une tasse et me serre, il s’assoit sur le rebord du lit et me donne plusieurs renseignements sur les appartements fermés. En même temps qu’il parle, il écarte les jambes et je peux voir apparaître sa grosse tige pendante, il n’a pas l’air gène de la situation,  Je termine le questionnaire et me lever, il fait pareil mais sa serviette tombe, il rit « eh ! bien, toi, tu auras tout vu, c’est plutôt rare qu’un mec me voie a poil », Je sors de l’appartement et le remercie de sa gentillesse. Une fois descendues d’un étage, je reprends mes esprits et reste stupéfait de la grosseur et la longueur de sa bite La matinée se termine, les zonards en bas de l’immeuble commencent à comprendre pourquoi je suis là, ils me laissent passer et me disent « à cette après midi, mec », je prends le bus et repars en ville manger mon sandwich Vers 14h, je reviens et retrouve les mecs, aucune fille, plusieurs d’entre eux sont mignons d’ailleurs, ils me disent que lorsque je serais au 1er étage ils arriveront, je commence à être accepter des gens et même certains viennent car je les ai loupé Le beau mec de ce matin descend et me dit « a tout à l’heure, tu prendras un the avec moi avant de finir » Arrivée au 1er étage il est déjà 18h30, je ne pensais pas être obligé de revenir demain, les mecs m’ouvrent et m’oblige à rentrer, ils me posent plein de question sur moi et pourquoi faire ce job, j’ai beaucoup de mal à repartir, certains sont très proche de moi et me touchent comme si j’etais à vendre, j’ouvre la porte quand le beau mec du 5e m ‘agrippe et me dit « alors tu viens », «je lui dis oui, nous montons, je suis soulagé, je préfère sa compagnie, à celle des bizarroïdes Il me fit un the de chez lui et commence à se déshabiller, il m’explique que dans son pays, nous mettons la djellaba et il ôte son tee-shirt et son pantalon, il est encore en slip quand il enfile et se penche pour faire glisser son slip, et qu’il jette dans la sdb Nu sous sa robe, il semble alaise, je perçois la forme de sa bite quand il bouge. Il me dit qu’il me trouve sympa et surtout courageux de faire ce recensement dans la cité,  Vers 19h30 je lui dis au revoir et peut-être à demain, car je dois finir le 1er et le rdc, et puis les autres immeubles ensuite, il me dit « ok alors tu viens pendre un the demain matin avant le boulot », j’hésite et lui dit « ok » Ma nuit fut remplie de tous ces gens et surtout du corps de ce Mac Le matin vers 8h30 je sonne, je n’entends pas un bruit et d’un coup Damien m’ouvre et repart en longent le couloir nu vers sa cuisine La vue de ce mec a poil me montrant ses jolies petites fesses dès le matin, m’excite un maximum, il passe la tête et me dit « alors tu viens », je reste devant lui à le mater, sa tige pendouille et ses poils pubiens sont en désordre comme ses cheveux, il me sert, et me regarde « eh ! , Oh ! , C’est bon tu me connais maintenant, tu ne vas  pas reste bloqué parce que je me promène à poil devant toi », « non pas du tout mais tu as un corps superbe et ta queue.....» « Quoi ma queue, elle te plaît pas ? « « Si au contraire, elle est très belle » merde pourquoi j’ai dit ca, il va me virer de chez lui, « je préfère qu’elle te plaise car de toute façon je resterai a poil car j’adore ca, pas toi ? «  « Si beaucoup le plus souvent quand je suis chez moi », alors tu vois que je suis normal » e il serre son the, une heure passe avec une vue imprenable sur un mec canon, je ne peux que me résigner à partir, il m’accompagne et me propose de venir dîner ce soir, si je veux J’hésite car le quartier le soir est dangereux, il me dit qu’il m’attendra devant la station de bus vers 19h30, je lui serre la main tout en jetant un dernier coup d’œil a sa tige La journée fut encore moins rapide  et vers 18h je repars chez moi me doucher et me changer J’achète un gâteau et repars vers la cité Damien m’attend comme prévu, il est resté en djellaba, je me demande s’il est nu dessous, les autres me fixent bizarrement, il leur dit des mots en arabe et me fait passer devant Arrivée chez lui, il me dit d’aller dans la chambre et de passer une djellaba Je m’exécute et hésite à ôter mon slip Il me sourit quand je rentre dans sa salle Tu vois c’est plus cool que tes vêtements, nous prenons l’apéro, allongé sur des grands couffins tout le long de la pièce Il soulève sa tenue pour être mieux et après avoir mangé, il m’ouvre un alcool spécial de chez lui Les vapeurs viennent, il ôte sa tunique et reste allonge nue et me propose de faire pareil, l’alcool aidant, j’enlève le tissu et me montre nu devant lui, il me mate et me Dit, « voilà, nous sommes ont égalité, tu m’as vu à poil, c’est normal que je te vois aussi » Je me rassois et sens ma bite se gonfler ; il me regarde, je pose ma main dessus pour la cacher, il se leve, tire sur mon bras pour que je libère ma bite Elle bande bien maintenant, il est accroupi près de moi, la sienne commence juste à bouger, il se touche en me fixant la tige, je le laisse mater, il approche sa grosse matraque près de mon visage, je le fixe dans les yeux, il ne me lâche pas du regard, et pose sa bouche sur mon gland, je me sens tout drôle, comme paralysé, je me laisse sucer par un mec et c’est bon, il me regarde en même temps pour voir si j’aime Sa queue grossie tellement que je ne crois plus a un sexe mais plutôt a un concombre non cueilli, il arrête de me lâcher et approche sa matraque sur mes lèvres, je sors ma langue et lui donne des petits coups, il ferme les yeux et me branle en même temps Je passe une de mes mains sur ses fesses et l’autre essaye de tenir sa bite, trop gargantuesque pour l’avoir en bouche, je le lèche de tout son long, il apprécie et me laisse mettre un doigt dans son cul, ses petites fesses m’excitent, il le sait, il me dit « tu veux mon cul », je le fixe avec un « oui » approbateur, il se tourne et m’offre son petit cul en contemplation Je lui malaxe et ouvre sa raie pour apercevoir son anus, tout rasé, ma langue part à sa rencontre, il se cambre pour ma donner plus d’accès Ma langue s’introduit en lui, il gémit de plaisir en tenant ses deux globes fessiers bien écartés, il me dit qu’il aimerait que je le prenne, à peine a t’il prononcé cette phrase que je suis dernière lui accroupi à lui présenter ma verge a sa rosette, il se tortille et me donne du gel, après l’avoir bien malaxe, je fais entre mon gland dans ce passage secret divin Il me dit la vouloir depuis hier, je l’encule avec fonce et me sens tout drôle de baiser un mec, il a un cul serre mais ma bite rentre bien, il geint et se laisse prendre, il s’enfonce même, je prends un pied d’enfer, dans son joli petit fessier, il m’excite trop Je jouis en sortant rapidement de lui et lui éclabousse toute ma semence sur le dos, il se branle devant moi avec ses deux mains, et jouis aussi de gros jets de spermes Nous restons à nous mater sans rien dire, il est vraiment beau, tout chez lui est à la perfection, même son petit anus Je n’avais pas vu l’heure, il est trop tard pour le dernier bus, il me regarde avec un sourire et me dit que je peux dormir avec lui, je n’ai pas trop de choix et celui de dormir avec un mec ne m’est pas encore arrivé mais avec mac pourquoi pas Nous allons nous laver et débarrassons tous les deux nus dans l’appartement Sa bite est encore belle grosse de 22 a 23 cm  Je lui pose la question une fois dans le lit, combien elle fait, il m’avoue ne pas en avoir vu d’autres comme la sienne, qu’elle fait 32 cm qu’e très peu de filles veulent se faire prendre alors que les mecs oui, ils acceptent mieux de se prendre un tel engin »ah ! Oui, tu en as en beaucoup », « tu sais les mecs en veulent toujours plus, certains n’arrivent même pas à mettre le gland d’autre au contraire mette pratiquement les ¾ de la taille, jamais je n’ai eu une pénétration totale, je reste rêveur par cette phrase, « moi qui suis puceau, ce n’est pas demain que tu pourras la mettre au fond », il sourit » détrompe-toi, les puceaux acceptent plus facilement une grosse pénétration «  « ah ! Bon ? » et nous restons sur cette méditation Il a une érection du matin qui me fait rêver, je lui lèche en espérant le voir cracher de près Il titille mon anus et arrive avec du gel à entrer un doigt, je me concentre sur sa tige, il arrive à dilater mon cul, ses doigts entre les uns après les autres, la douleur n’apparaît pas si terrible, je sens les doigts frotter mes parois, de drôles de sensations me font, lui tendre encore plus mon cul Il introduit maintenant 4 doigts et me dit que je suis près, je me trouve en pleine extase de jouissance, il se met derrière moi  et positionne son gourdin, il me lèche, il se lèche et pousse son gland en écartant un maximum mon anus, je sens une pression qui déchire mes lèvres anales, il entre la grosse orange qui lui sert de gland, et stoppe, pour que je respire, je suffoque et trouve l’expérience plus qu’excitante, du sperme coule de ma bite, il s’enfonce de quelques centimètres et bouge un peu, on cri le glace et lui donne l’envie de pousser encore, il entre tellement qu’il arrive à mettre-les ¾ de sa tige, ma pastille me fait souffrir terriblement, je mords la taie d’oreiller et sent le poids du corps de Damien sur moi, il est arrivé à m’enfiler complètement, il pleure de jouissance, il commence à bouger un peu mais ne veut pas sortir trop pour pouvoir profiter de ce que mon cul gobe toute sa bite Il m’enlace tendrement et s’active un peu, mes parois m’annoncent qu’il force, car a chaque coup, il tremble, tellement les sensations sont bonnes, il m’éclate à présent le cul comme jamais il le fera avec un autre  Je subis sa massue et apprécie de me faire dépuceler par un te mec, ma vie vient de changer avec elle Je commence même à apprécier ses coups, il m’écarte les jambes encore plus et me fait cambre pour aller encore plus au fond Il jouit d’un coup sans prévenir et reste en moi, j’ai déjà jouit depuis longtemps, sa grosse bite glisse dans l’autre sens et sort avec un brouis bizarre, je me sens vidé, il me sourit et me prend dans ses bras, m’embrasse partout dans le cou et au visage Il pleure de bonheur, il m’avoue qu’il n’avait jamais jouis comme ca dans quelqu’un Je lui souris mais il faut que j’aille travailler La beauté de ce mec nu devant moi me trouble, je pars me doucher et après dix minutes je reviens, il est dans la cuisine à me préparer un pdj, sa plastique et son petit cul me donnent encore pleins d’envies Mais mon cul en a pris assez pour aujourd’hui, j’ai des relances dans l’anus, il s’approche  de moi sa djellaba me montre que sa tige grossie, je prends un the et le laisse sur sa faim Je finis l’immeuble et part dans l’autre a cote ; Je retrouve la bandes de mecs d’hier qui m salut en arabe et me suivent du regard jusqu'à l’entrée du bâtiment Je fonce dans l’ascenseur après avoir fait 4 étages, je me pose au 3eme, je frappe à une porte et deux mecs d’environ 30 ans m’ouvrent, ils me souirent et me font entrer de force chez eux Un m’emmène avec lui dans le salon et me regarde des pieds a la tête « Alors tu t’amuses bien ici » »je travaille sur un recensement » « , ah ! Oui, et tu as du temps de libre pour nous », « non, mais vous pouvez répondre à mon questionnaire », « ça tu peux y croire « et je n le vois déboutonner son fut et tire dessus avec le slip, une bite surdimensionné s’agite devant lui, moins grosse que celle de mac mais quand même 25 bon cm, l’autre me pousse devant et m’accroupi pour que je voie l’engin de près, je comprends que je ne pourrais pas y échapper, il me pose son gland sur les lèvres et pousse, je pleure et sens qu’il force, son pote le déshabille, je me retrouve nu comme eux, il est en train de mette deux doigts avec du gel dans mon cul toujours douloureux de ce matin, Il m’astique sans vergogne, je gueule et l’autre s’enfonce dans ma gorge pour me faire taire, celui dernière moi enfonce sa bite et me baise d’un coup sec, je me cambre, ce qui l’excite encore plus, il me laboure pendant que l’autre se dégorge dans la bouche, j’espère que ca  va se terminer vite, quand ils échangent-leur places, ma souffrance se fait sentir, je sens la grosseur de la bite me déchirer et vois l’autre sortir de l pièce, des vois viennent de la porte, je tremble de peur, et me crispe de plus en plus, trois mecs apparaissent en plus de l’autre, ils me regardent, me faire défoncer, ils sourient et parle en arabe, je comprend que je vais Les avoir aussi dans le cul ; ils n’hésitent pas et se mettent tous à poil en m’exhibant leurs gros morceaux devant le visage, je lèche sans grandes convictions, les deux passent sur moi et laissent le plus membré en dernier, ils ont tous au moins 25 cm ils ne dérogent pas a leur réputation de gros baiseur, mais le dernier est au moins a 28 29 cm, je suis épuisé quand il s’approche, me tourne et m’allonge sur le dos, lever mes jambes et me fixe d’un regard noir, sa tige s’enfonce tout en observant mes grimaces, il m’encule bien l’enfoiré, je prends même du plaisir de sentir sa bite sur mes parois, je le regarde faire, il aime ca aussi,  il me baise d’enfer, je jouis en même temps que lui, son regard me donne confiance maintenant, il me lâche et me laisse, me rhabiller, je quitte l’appartement  et pars directement a la station de bus, je sens couler le sperme de mon cul, je tremble de partout jusqu'à mon appartement, je m’allonge en repensant à toutes ces scènes de baise, ma sensation est d’avoir quand même aimé, mon cul en redemande presque Ma hantise du matin est de ne plus pouvoir marcher, je me regarde dans la glace et ne trouve pas trop de changement du côté de mon anus a part le faite qu’il soit plus rouge des lèvres et un peu enflé, je repars avec un pincement au cœur, arrivée devant l’immeuble, mac me crie de l’attendre, je stoppe et le regarde courir avec sa djellaba, il est très beau dedans et c’est rigolo de voir bouger son gros morceau sous le tissu, je sais qu’il ne porte rien dessous, son visage d’ange brun me fascine, il me demande de venir le voir ce soir, j’accepte et il repart tout souriant Ma première peur est de tomber sur un des types d’hier mais non, je continu de frapper au portes et de poser mes questions quand je ne retrouve nez a nez avec le type d’hier qui m’a baise en dernier avec son gros pieu, son regard me tétanisé, il tir sur mon bras et ferme derrière moi, il me regarde et me pousse du couloir jusqu’au salon sa main reste sur mon bras, je ne dis rien, il me tourne devant lui et ouvre ma chemise, ôte son pull machinalement, je pose mes mains dur son sexe, il bande déjà, je frotte et ouvre sa braguette, il tire sur son fut et montre un slip bien rempli Sa bite sort du tissu pas r le bas, je pose ma bouche dessus, et lui lèche-me gland glisse ma langue dans son méat ; Il me malaxe les fesses a travers le jean, ma fièvre du sexe augmente ; il nous pousse dans les cousins et nous nous déshabillons complètement, il est bien foutu et bande comme un taureau, il s’allonge et attends les bras derrière la tête, ma gourmandise lui plait, je le suce à fond, englouti un maximum son paquet, ses bourses sont grosses Il me tient la tête et force encore le passage de ma bouche, je bouge et lui montre mon cul pendant  que je continu à m’acharner sur sa sucette géante, il enfonce sa tête entre mes globes et lèche mon anus, c’est bon, il écarte et glisse du gel dans mon orifice, passe deux doigts  directement, je me soulève un peu de surprise, au bout de 5munites, je suis tellement chaud que je me tourne et me met à cheval sur lui ; il me laisse faire, je dirige sa grosse matraque sur mon anus et m’assoie dessus, le passage est étroit mais pas longtemps, je suis  mes parois s’écarte dans Ascension de sa pénétration Il force et entre tout, je me relève pour savourer son savoir-faire Il m’encule et me baise à merveille, sa teub me laboure à grand coup, et subit ave aisance son assaut Je jouis 15 minutes après, sa semence arrive peu près et reste en moi encore 5 bonnes minutes Il ne m’embrasse pas mais me caresse, je me relève et reprend mes vêtements Il prend sa djellaba et m’offre un the que j’accepte, Il me salut en partant d’une poignée de main et me propose de revenir demain et il me file son téléphone En sortant, Je croise le regard de plusieurs petites frappes et ils m’attendent à l’étage du dessous « Alors tu as fais quoi,  tout ce temps avec lui », « rien il m’a offert un the », « ha oui, et si nous t’en offrons un tu viens avec nous ? «  « Pas aujourd’hui j’ai fini l’immeuble » et je sors, il est temps que je m’éclipse, 19h30 et je retrouve mac devant la station de bus, il me pousse dans les escaliers en chahutant ; il est très contant de me voir, « tu parles, tu veux juste me baiser », « non, je mentirai que je n’ai pas envie, mais je voulais te voir aussi », il m’ôte mes affaires et m’enfile la djellaba de la dernière fois et se dénude au m’exhibant sa très grosse tige il enfile  sa tenue et me propose de dîner, la soirée est des plus agréables arrivée le moment où il revient nu la queue pendante jusqu'à la moitié de la cuisse et son alcool du pays a la main, je n’ai pas attendu qu’il me serve de son alcool, j’ai glissé du coussin, mai main à grimper le long de sa jambe pour trouver ce gros morceau qui n’attendait que ça, je me suis approché, j’ai englouti son gland du mieux possible, ; il bandait bien maintenant, raide contrairement au longue bite, je pouvais voir une petite veine tout le long du gland à la base, j’ai fermer les yeux et me suis forcé à l’avoir le plus loin possible, je ne perdais pas pour autant l’idée de l’enculer, mes doigts avaient réussi à se faire un passage qu’il daigna ne pas refermer, j’ai alors  lâché son gros machin, pour ne me concentrer que sur ce joli petit cul, qui m’excitait depuis le début, il s’est alors assis sur mon visage, se laissant pénétrer de la langue, ses petits cris de plaisir, me faisais comprendre que je ne devais pas avoir été le premier à lui faire ça, j’ai vite pris le dessus et ai commencé à lui mettre du gel, il rechigna pour la forme, mais se laissa pénétrer, enfin au début, je n’ai pas pu mettre le gland, tellement il serrait les fesses pour que je n’aille pas plus loin, mais avec douceur et surtout beaucoup de patience, je me suis enfoncé, pour en arrivé à être complètement en lui, je pouvais maintenant bouger et lui sans être rejeté, il se laissait faire et appréciait même, j’ai alors décidé de passer au chose sérieuse et l’ai un  peu bousculer, pour le niquer vraiment, il s’est alors branler et a joui rapidement, je n’ai pas fais long feu non plus, dans un râle puissant d’ailleurs, j’ai pris peur que les voisons entendent, nous nous sommes écroulé dans les coussins, épuisés, il souriait, moi aussi, nous étions bien, nu l’un à côté de l’autre, je ne savais pas que je pouvais apprécier à telle point le corps d’un homme, surtout le sien, nous sommes aller nous laver et nous coucher, il m’a demandé de rester, et de lui refaire l’amour une autre fois comme nous l’avions fait, j’ai passé tout mon mois de recensement à dormir dans ses bras, nous nous sommes mutuellement pénétré et j’avoue que je prenais autant de plaisir dans ma passivité que dans mon côté actif. Mais le recensement était fini, il fallait que je reparte faire mes études, c’est alors qu’il m’a demandé s’il pouvait venir chez moi, mon appartement était plus petit ue le sien, mais il ne venait pas pour ça, nous avons continuer à nous voir, et de faire l’amour comme des tordus, pendant toute mon année étude, j’ai réussi , je ne sais pas comment à avoir mon diplôme, mon bagage en main, j’ai trouvé un petit boulot, sympa dans la publicité et avons décidé de vivre ensemble, chacun lâchant son appartement.

Fini

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 17:16

Le viol dans la cave (Habib)

Je finis mon boulot et longe les grands immeubles d’une cité quand l’envie de faire pipi me vient, j’hésite mais ne trouve pas de coin caché, alors je descends par une porte dans une cave, la pénombre se fait soudainement, je ne sais pas où est le bouton, quand elle se rallume, un mec est face à moi et me bloque contre le mur, je n’ai eu que le temps de pisser, sa force me bloque complètement, mon fut tombe à mes pieds, il souffle dans mon cou, je sens sa main glisser mon slip, me voilà le cul à l’air, avec ce type dans le dos, je ne réalise pas que sa bite est déjà entre mes jambes, il me bloque les pieds et crache dans sa main, je veux me débattre mais il me menace de me trancher la gorge, ses doigts se faufilent entre mes fesses passent, sur ma raie, et partent directement presser mon anus, je cris mon désespoir mais la lame vient vite caresser ma peau, quand ses deux doigts entre en moi, je gueule encore plus fort, il rit et les enfonce à fond, je halète des poussées de respiration rapide, il ôte ses doigts et presse son gland, mon anus n’a pas le temps de se refermer qu’il s’introduit, mon désespoir passe par un autre cri bloqué par la lame encore, la puissance de sa pénétration me plaque complètement sur le mur, je suis collé au mur, je sens mes parois se fendre par la pression, il ne me laisse pas de répits, il passe à l’action dans ses vas et vient me terrassant littéralement, sa bite est énorme, mes cris ne le gênent pas, il me fait plier en deux et saisit mes fesses, sa bite entre et sort de moi, je crois mourir, son pieu est long, ma prostate ne comprend pas, j’ai des douleurs dans l’anus, son sexe fait pousser mes parois anales à chaque passage, mon cul est défoncé, mes pleurs le laisse de glace, son corps me transperce, il gémit et me jouit dedans, il ressort et me lâche, je saisis vite mon pantalon, il me dit « demain même heure, tu as intérêt d’être là », je le fixe et pars sans demander mon reste, je cours dans la rue jusqu’à mon appartement, je referme la porte et reste derrière plaqué à penser à ce que je venais de vivre « un viol », ce type était membré comme un taureau en plus, je souffre de la rondelle, je pars vers la sdb, me déshabille, entre dans la douche, je laisse couler l’eau pendant une bonne demi-heure, je passe de temps en temps mes doigts sur ma rondelle pour constater du viol, en me touchant ma bite entre en érection, la seule pensée que j’ai, c’est cette bite énorme qui m’a enculée, toute la nuit je suis resté éveillé, en pensant que faire, il m’attendait ce soir encore, au matin, je fais machinalement mon travail avec quand même à l’esprit qu’il m’attendrait, l’après midi est complètement fichue car je me pose la question « tu y vas ou non », ma tête dit non mais mon corps le réclame encore, ce type m’a violé, mais j’ai encore envie d’y aller, je reprends le même chemin que d’habitude, passant devant les immeubles et stoppe devant l’entrée de la cave, cinq minutes passent, quand sans le savoir, j’ai franchi la porte et descendu l’escalier, il est là, la bite dehors, il bande déjà, sa queue est très grosse, il me fait signe de venir, je franchis les trois pas qui nous sépare, il saisit mon épaule et presse sa main me faisant agenouiller, j’ai une vue incroyable, sa queue s’agite devant mon nez, il pose sa main derrière mon cou et pose son gland su mes lèvres, je fais tout pour la repousser, mais elle est déjà en moi, je vois coulisser cet engin de torture, je crois vomir, il me fixe en souriant, et me bouche de ce corps, j’ai mal à force de laisser ouverte au maximum ma bouche, il se fait plaisir en me baisant la tronche, je peux voir ses poils pubiens me chatouiller les narines, quand d’un coup, il me saisit par les dessous des bras et me jette contre le mur, je me récupère du mieux possible alors qu’il m’ôte le fut, me voilà comme hier, cul nu, il ne me pose pas la question si je veux ou pas, il enfonce directement son gland dans ma rondelle, je pousse un cri d’horreur, mais sa puissance de pénétration ne me laisse aucune chance, les aller retour vont vite et me chauffe le conduit, je tends le cul vers lui pour lui donner plus d’accès et l’enfoiré en profite pour me remettre encore sa tige de 25 cm mes gémissements lui donnent encore plus de plaisir à me pénétrer, il pousse un cri de joie tout en me labourant, ma vie ne tient plus que dans ce jet, je crois ne plus pouvoir marcher mes jambes ne tiennent plus, mais il continu de m’enculer, je ne sens pas ma bite cracher, il y est arrivé, rien que de m’enculer, il m’a fait jouir, je remonte mon pantalon et repars, il me dit de revenir demain, j’ai fini par revenir, je ne savais rien de lui sauf qu’il possédait une énorme bite qui me chauffait le cul à chaque fois, je n’ai rien vu de la semaine, le vendredi il m’a demandé de revenir lundi, je n’ai rien dit, je suis parti doucement cette fois ci, je savais qu’il ne me tuerait pas, je n’avais plus peur de lui, je sentais en lui uniquement l’envie de me prendre, le samedi, après midi, il fallait que j’aille avec une copine et ses enfants à une fête foraine, nous parlions de nous quand il se trouva face à nous, lui aussi fut surpris de me voir ici, on s’est dit bonjour rapidement, mais ma copine l’a arrêté net, signalant que je me devais de présenté un si beau jeune homme, quand j’en connaissais un, il m’a sourit, je ne connaissais même pas son prénom, depuis une semaine qu’il me baisait, je n’avais même pas demandé, il se présenta, en lui serrant la main, elle se sentait partir dans une certaine jouissance quand il lui a rendu son sourire, tout en me regardant, mais elle ne comptait pas en rester là, j’ai vite senti le traquenard, et voilà, elle venait d’inventé une soirée et elle l’invitait à venir ce soir, je ne voulais pas prononcer un mot, il me fixa en acceptant, sûrement espérant me voir, il m’a dit ne pas avoir de téléphone, c’est la que je lui ai dit qu’il n’aura qu’à venir chez moi, et que je l’emmènerais, il me laissa écrire sur son papier, et nous salua, elle sautillait, comme une dinde, elle le trouvait craquant, un peu timide, mais c’était très sexy, sur un si bel homme, elle ne savait pas ou elle mettait les pieds, le soir alors que je l’attendais, il ne venait toujours pas, quand j’ai décidé d’y aller quand même, il sorti d’un buisson, il me demanda de remonter, il me tenait le bras, et sans attendre que j’ai fermé la porte, il m’a mit à genou et m’a exhibé sa grosse queue, il bandait déjà un maximum, je n’allais pas à tarder à me faire défoncer par lui dans un tel état, ce fut fait, il me traîna vers mon lit, juste le temps de lui donner le gel et je senti son gland me forcer, punaise, qu’il en avait une grosse, je n’ai pas pu me contrôler non plus, je me suis senti partir dans un bonheur inégalé, je savais que je ne devais pas faire ça, mais il me défonçait tellement bien, que je gueulais des encore, encore, nous avons fini nu sur le lit à nous regarder, je venais de faire l’amour avec lui dans mon lit, c’était carrément différent du lieu sordide de l’immeuble, nous sommes quand même aller à la soirée, après une bonne douche, il n’a pas pu se défaire de ma copine même s'il me cherchait pour être secouru, je l’ai fait expert pour le punir de la première fois, quand j’ai voulu partir, il n’était plus là, en descendant, il m’a chopé et m’a dit qu’il m’attendait depuis une demi-heure, nous sommes repartis chez moi, et étrangement, j’ai eu envie de lui, de son sexe de ce superbe corps, je n’ai pas cherché à me retenir, en montant sur lui et en faisant coulisser ce monstre dans mes entrailles, je lui ai proposé de dormi avec moi, mais il a refusé, il s’est rhabille et m’a dit bonsoir, je pensais qu’il était parti, quand il a rouvert la porte, m’a fixe et a commencé, à se re-déshabiller, il était vraiment beau, il a glissé nu dans le drap et m’a serré dans ses bras, je me sentais plutôt bien avec lui, au matin nous nous sommes réveillés pratiquement en même temps, il m’a regardé un peu gêné mais est venu quand même se blottir contre moi, je n’ai rien fait pour le repousser, ce fut très agréable de flâner avec lui dans le lit, surtout qu’à force de se caresser, il a fini par bander grave, j’ai eu droit à une érection de sa plus belle dimension, il n’a pas fait semblant en m’enculant d’un trait, je sentais ses bras tenir mes jambes, pendant qu’il me défonçait, je respirais du mieux possible car il ne fallait pas que je craque dans un moment pareil, il m’a donné du plaisir, j’ai joui deux fois avant de le voir sortir sa queue pour m’arroser de son foutre, il me souriait, je n’ai eu qu’à lui saisir la nuque et de l’embrasser, il m’a roulé un patin d’enfer, j’ai adoré ça, j’ai réalisé qu’il devait lui aussi aimer car il ne cachait pas son envie de me rouler un patin, la semaine s’est passée dans le lit tous les soirs et au matin, car il avait un appétit très féroce coté sexe, j’ai fini par lui dire qu’il devait me laisser souffler coté cul, mais rien n'y a fait, j’ai subi pendant les six mois qui ont suivi, sa libido, et n’ai pas eu envie d’arrêter, jusqu’à ce qu’il me dise qu’il fallait choisir, arrêter ou continuer, je ne comprenais pas, il m’a dit qu’il fallait qu’il choisisse entre un boulot moins bien payer mais il restait dans la vile, ou sinon il partait à 100 km, je n’ai pas hésité, lui proposant de venir vivre ici, ce qui n’a pas discuté, j’ai enfin un mec, un vrai qui sait faire l’amour et qui n’ai pas une fillette, je sais que je devrais le freiner un peu, mais pour qu’il aille voir ailleurs, jamais, je préfère, être son jouet, et il le sait et en profite carrément.

Fini

  

 

Par histoires gays cooletclean
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

histoires gays

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus