Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 14:42

Les gorges du Verdon (Joël et Slave)

Nous avons pris un pote et moi, trois semaines de vacances dans l’Ardèche, nous voilà arrivé juste à Pont de l’Arche. Il y a un camping au bord de l’eau, comme nous voulons faire du canoë, c’est parfait. Le temps de nous installer et nous partons voir les prix pour les descentes des gorges. Il faudra nous lever tôt car la plus grande descente dure la journée. Après avoir réservé, nous profitons du petit village, le soir, il y a du monde qui comme nous, veuillent tuer le temps, nous  ne rentrons pas trop tard, car demain 8 H sur le pont. Un réveil un peu dur, mais enthousiasmé par cette superbe journée qui s’annonce. Nous commençons notre descente, calmement, avec des petites haltes pour découvrir cette magnifique région. Le passage de quelques rapides sans dangers, nous éclatent bien, nous nous retrouvons vers midi à vouloir déjeuner, mais nous sommes dans la partie des naturistes. Joël me dit qu’on peut quand même s’y arrêter pour acheter un sandwich à la buvette. Alors nous accostons, je ne suis pas perturbé par la nudité car l’an dernier nous avons fait l’aquitaine. Il y a aussi beaucoup de coin naturiste. Nous remontons notre canoë sur la rive et il me dit d’aller au stade pendant qu’il garde nos affaires. Je me dirige donc vers cette buvette, un peu mal à l’aise d’être habillé, même si certains ont un paréo ou un maillot, la majorité est nue, je m’approche et commande. Quand vient à côté de moi un hollandais d’une trentaine bien sonné, beau mec. Je ne le détaille pas mais ses yeux sont d’un vert clair à vous faire plier les paupières de peur d’avoir mal pour lui par le soleil. Il me sourit. Je prends mes achats et me dirige vers mon copain.  J’hésite, mais me retourne pour le voir en entier. Il est super bien gaulé, une musculation à vous faire pâlir et un sexe de taille plus que la normale, tu m’étonnes qu’il aime se mettre à poil. Il n’est pas gêné par le tissu, pour mettre tout ce matos. Il me regarde toujours, je reprends le chemin de l’escale. Nous nous allongeons et mangeons tranquillement à l’écart des naturistes. Mais mes pensées sont encore pour ce type qui ne m’a pas laissé indifférent. Après une bonne petite sieste au soleil radieux, nous repartons dans la course des courants. Au terminus, nous sommes épuisés, nous montons dans le camion qui nous ramène au camping. Nous avons passé une superbe journée, et projetons de recommencer souvent. Par contre le camping en lui-même n’est pas terrible et nous décidons d’en changer. L’idée d’aller dans le fameux endroit naturiste me vient. Je le suggère à Joël, qui n’a rien contre de se foutre à poil tout l’été. Nous demandons donc, des renseignements pour aller dans ce camping qui semblait être dans la roche de la vallée. On nous donne un nom et la route à prendre. Après plusieurs fois avoir passé devant le petit chemin de terre, je décide de tourner. Il est très mal entretenu, nous continuons et nous retrouvons sur un parking avec les explications « zone surveillée du camping naturiste ». Nous descendons de la voiture et trouvons une vue magnifique sur les gorges, personne pour nous recevoir, le cabanon est vide, et le treuil pour descendre les affaires est bloqué. Sur le côté, se trouve un petit chemin forestier, ui nous fait accéder à la réception du camping. Les gens sont nus, nous leur expliquons notre désir de venir dormir ici, ils nous acceptent avec un peu d’hésitations car deux mecs, ce n’est pas bien pour les familles. Nous remontons avec un jeune homme, qui nous explique ce qu’il faut faire pour les bagages. Nous vidons la voiture, et nous voilà repartit dans le chemin de forêt pour réceptionner les affaires. Une brouette est à notre disposition, pour transporter nos affaires jusqu’à l’emplacement, je regarde un peu autour de moi, pour voir si le mec d’hier est dans notre coin. Apparemment non, mais il y a beaucoup de hollandais ici, on nous a mis dans la zone des jeunes. Certains nous regardent, nous décidons de faire comme eux, les bermudas tombent. J’avais déjà vu mon copain nu, donc aucune gêne ne s’installe entre nous, nous sommes des potes, point à la ligne. rien de plus. Après l’installation nous allons faire des courses à l’épicerie et sur qui je tombe, au rayon fruit, mon bel apollon, il me sourit encore. Il est comme nous habillé d’un paréo pour faire ses courses question d’hygiène. Nous nous matons sans que mon pote s’en aperçoive. Il repart de son côté, j’essaye de voir où il crèche, il est dans le même sens que nous mais plus haut. Nous allons après, faire une petite ballade au bord de l’eau avant de décider de nous équiper un peu pour marcher le long de la montagne dans les sentiers. La balade nue, nous fait rire, mais comme d’autres que nous croisons, dans la même situation, nous nous y habituons très bien, de retour après avoir prit plein de belles photos, nous allons nous laver. Les douches sont des plus originales car elles sont en plein air. Je fais dons couler l’eau et commence à me doucher quand je vois arriver mon bel âtre. Il est vraiment bien foutu ce mec, sa bite se balade de droite à gauche, épaisse alors qu’il ne bande pas, il me sourit encore et vient se mettre devant un évier. Tout en me matant dans la glace. Je continu de me laver, espérant ne pas avoir d’érection, mais la sale bête commence à pointer doucement, heureusement que nous sommes ue deux, il se lave les dents tout en me regardant, je me retourne et décide de me mettre de l’eau froide pour me calmer. Je ne le vois plus, je suis rassuré, ma libido s’est calmée. Quand j’arrête l’eau, je me retourne, il se retourne à ce moment là, pour partir, et la surprise, son sexe à lui aussi est en bandaison, même plutôt bien car son chibre est gros, courbé ver le bas, tellement grosse, mais c’est sur, il bande, il s’assure que j’ai bien regardé et que j’ai compris le message, avant de mettre sa serviette devant lui pour se cacher et partir. Je ne comprends rien, mais d’un coup, je me suis aperçu que j’avais la gaule, rien que de l’avoir vu dans cet état, pourtant toute la journée, j’ai été à poil avec mon ami et rien n’est arrivé. Alors pourquoi avec lui, je n’ai jamais eu d’expérience homo, mais je sentais que ça me démangeais. Ce type allait sûrement pourvoir m’aider. De retour, mon pote n’était pas là. J’ai rangé un peu et me suis décidé àexplorer les lieux. J’ai marché nu dans un chemin ui menait dans des petites criques. Il était déjà tard, alors j’ai rebroussé chemin, ma surprise fut d'être face à lui, ce mec, était accoudé à une roche, il ne bandait pas mais s’exhibait sans retenu, je me suis approché sans rien dire, je ralentis en passant à côté de lui, c’est là, qu’il a tendu sa main et m’a caressé le torse, je me suis arrêté. Le laissant faire, je n’osais pas le toucher, il ne me laissait pourtant pas indifférent vu dans grossissait à vu d’œil, un sacré morceau ; il prit ma main et a posa dessus, je fus électrisé de découvrir la sensation du touché, comment pouvait-on faire une pipe à un mec pareil. Il me branlait doucement, son visage s’éclairait de joie, je fais mon possible pour le satisfaire aussi, quand je sens la sève montée , je lui dis, il me sort « ok », et il se met à jouir dans ma main, merde, la quantité de sperme qui sort. La vache, une ne tient pas dans ma main sa bite, je le trouve vachement beau, je jouis encore, d’excitation. Nous nous essuyons avec les feuilles et commençons en rentrant à discuter, qu’il voudrait bien me voir demain, je ne peux pas laisser tomber mon pote, nous refaisons du canoë, il me fixe et me dit qu’il viendra avec nous et une copine. Arrivé à ma tente, mon ami est là, il écoute de la musique allongée, je lui présente le hollandais sans lui dire comment je l’ai connu, et lui demande si ça le dérange que nous fassions la descente avec lui et sa copine. Nous décidons d’une heure, puis il s’en va en me faisant un clin d’œil, je le regarde discrètement partir et mate son joli corps musclé, ses petites fesses sont mignonnes, des drôles de pensées me hantent toute la nuit. Son corps, ses bourses lourdes et ce splendide bout de viande entre les jambes, me fait bander toute la nuit. Au matin, je retrouve Slave, au lavabo, il me dit qu’il aimerait être dans le même canoë que moi, qu’il faut que nous nous organisions, de fait une fois les canoës prit, il propose à mon pote d’échanger nos partenaires afin de faire plus ample connaissance, mon ami ne dit pas non, surtout u’il en a un peu marre de ma tronche, sûrement. Quand plus elle est plutôt bien foutue la minette, nous pagayons mais slave, me dit de las laisser partir devant. Nous nous éloignons d’eux pour accoster dans une petite crique. Quand il se lève pour sortir de la barque, je découvre qu’il bande comme un taureau, là, il ne peut pas le cacher. Il me pousse sur un rocher et me roule un baiser, je me laisse faire, je  sens sa bite frapper contre mon ventre, ses mains se trouvent vite sur mes fesses, il fait glisser son sexe entre mes jambes, puis branle en me demandant de serrer les cuisses, « hum », un délice, ce mec sait faire l’amour, il me pince les tétons, pendant qu’il me roule un palot. Je ne résiste pas j’ai trop envie de découvrir cette version de ma sexualité. Il laisse partir sa langue le long de son torse, pour atterrir sur ma bite en feu, je suis au maximum de mon érection, il me lèche, sa langue va se frayer un petit chemin dans mon uréte avant de partir sous mes bourses. Merde, aucune fille ne m’avait fait des choses aussi sensuelles. Il engloutit mon zob sans rechigner. En peu de temps, il réussit à me faire cracher ma purée. Je n’ai pas pu résister. Dommage, il s’est alors redressé, et m’a demandé du regard de lui prodiguer la même chose, j’ai cédé, mon corps tout entier était à son service, j’ai essayé d’avaler du mieux possible ce chibre surdimensionné. Il me bloquait la nuque pour que j’aille encore un peu plus loin. J’ai vite dégluti ce spécimen quand j’ai sentit le sperme m’envahir la gorge. Il venait de me jouir dans la bouche, mon regard s’est posé sur lui, il jouissait encore, ma vue était belle, ce type prenait réellement un pied devant moi. J’ai alors décidé de l’explorer encore un peu, je l'ai retourné et me suis mit à lui écarter les jolies petites fesses. Un délice pour la langue, il couinait, quand je  passais ma langue sur son petit orifice, il gémissait qu’il voulait que je le prenne, je n’avais pas eu cette idée, mais comme il semblait la vouloir et que je bandais un max. J’ai alors craché dans ma main et l’ai enduit, ainsi que ma bite déjà lubrifiée par son sperme. Il écarta un peu las jambes et tint ses fesses écartées. Pendant que je visais son trou, mon gland est entré facilement. Je jubilais de voir partir mon gland en lui, le reste suivi aussi, j’ai mis mes mains autour de sa taille et est commencée à le buriner de toutes mes forces. Il aimait ça, je le sentais dans sa façon, de pousser son cul vers moi à chaque fois que je m’enfonçais. Je n’ai pas pu résister tellement il était bon. Ce joli petit cul était une torture pour moi tellement il savait l’utiliser. Je suis ressorti, tout gluant, j’avais joui en lui, oubliant toutes les règles de base. Nous avons plongé dans l’eau pour nous rafraîchir et sommes repartit dans la bonne humeur retrouver les deux autres, qui semblent-il n’était pas sans s’apprécier. J’ai vite compris ce que nous allions faire le reste de nos vacances. Arrivé au camping, mon ami me demanda s’il pouvait faire échange avec slave, car il avait un tiqué avec la fille, et il commençait même à bander devant moi, rien que d’y penser, pour m’amuser, je lui ai dit en la saisissant, un bon morceau d’ailleurs, car rien qu’au touché, il n’a pas pu faire autrement que de bander complètement. Il se sentit gêner que je fasse ça, poussa ma main, en se cachant des autres en s’asseyant, je pouvais toujours voir son sexe en érection, il me fixait, « c’est malin, de m’avoir fait bander », « tu rigoles, je n’ai rien fait, c’est toi qui fantasme sur la minette, pas moi ».  « Ouais, tu as raison, il faut que je me calme », il entra dans la tente, s’allongea, me laissant voir son engin droit devant, ses jambes étaient un peu écartées, je pouvais voir les poils entre ses bourses et sa raie. Il commence à se trouver, sans même chercher à se cacher de moi. Il se branla deux minutes, me mettant dans un état moi aussi d’excitation. Il se mit à jouir en poussant de petits cris étouffés. Plusieurs jets sont retomba sur sa poitrine. Il resta encore deux autres minutes sans bouger. J’avais toujours la gaule, il le remarqua. « ca t’a excité que je me branle, mon salaud », je suis alors venu m’installer à côté de lui, et me suis masturbé, il me regardait, j’ai pris un réel plaisir à le faire devant lui. Ma jouissance fut tellement forte qu’il  en a récupéré une partie. Nous sommes restés ainsi, avant de reprendre notre conversation sur nos drôles d’amis. Quand Slave, nous appela du dehors de la tente. Je suis sorti après un bref nettoyage, suivi de mon pote qui avait encore du sperme sur tout le corps. Slave nous expliqua, qu’il était d’accord de l’arrangement entre sa copine et mon pote. Tout en regardant dégouliné le sperme du ventre de Joël. Nous avons prit une douche, puis dîné ensemble sur la plage. Nous avons veillé jusqu’à une heure du matin, avant de prendre congés des deux tourtereaux, ui franchement ne se gênaient pas devant nous. Slave a du être excité par la vue de nos amoureux. Une fois dans la tente, je me trouve face à un mec très chaud. Il me présenta son engin, se mettant sur les genoux, je ne crois pas ce que je voyais, il prit ma main et la posa sur son cul jusqu’à sa raie, je n’osais pas le repousser, j’avais la chance de pouvoir le toucher, c’était bien, mais très vite, je me suis retrouvé avec son sexe en bouche, je n’en revenais pas, il se branlait en moi, ses mains me malaxaient les fesses. Quand je sentis qu’il me mettait du gel sur l’anus, j’ai voulu lui dire non, mais son gland entrait et sortait si souvent ue je ne pouvais pas protester. J’ai alors reçu le premier doigt en moi, qu’il enfonça son sexe au fond de ma gorge. J’ai envie de vomir, mais la douleur de mon anus me fait plus d’effet. Un impressionnant désir d’aller encore plus loin avec lui me taraude, mes jambes s’écartaient d’instinct. En moins de cinq minutes, j’avais le cul rempli de trois doigts, il m’annonça que j’étais prêt. Il me retourna et point son gland entre mes fesses, le contact de ce mec et l’envie de le recevoir, me laissa sans voix, je n’ai pas crié quand le gland m’a pénétré. Il y allait doucement, je voulais maintenant le sentir complètement. Je pris la décision de reculer, un râle sortit de ma gorge, alors qu’il était entièrement en moi. Voyant ma réaction, il ne pris plus de gant pour m’enculer. J’ai alors subit tous ses outrages pendant dix bonnes minutes avant de l’entendre crier qu’il jouissait. Je n’eue qu’un petit aller-retour à faire sur ma tige pour qu’elle lâche sa semence. C’était fait, j’avais vraiment fait l’amour avec un mec. Ce désir m’a hanté depuis le jour, ou j’ai vu Slave nu avec son sexe surdimensionné. Nous avons dormi dans les bras de l’autre. Au matin, il était déjà debout pour nous préparer à nous quatre un petit déjeuner, quand j’entendis Joël et sa bien aimée s’approchés, je suis sortit et les ai tous embrassés normalement, mais j’ai eu un pincement en voyant Slave nu si proche de moi, il fallait que je me concentre avant de bander. La journée, commença par un tour en randonnée. Très vite nous avons laissé les deux autres partir devant et sans même attendre. J’ai pompé Slave du mieux possible, mais il en vouait plus, mon cul lui plaisait, je n’ai pas tardé pour avoir ce joyau en moi, et la puissance du plaisir que j’ai eu m’a confirmé que je ne pourrais plus faire l’amour qu’avec un homme, je luisais du cul comme une petite salope, je ne me contrôle plus, quand j’entendis les buissons bouger, je ne voulais pas arrêter, personne ne se montra mais je savais que quelqu’un était là. Je me suis laissé prendre encore deux bonnes minutes avant de jouir en synchro avec Slave. Peu de temps moins d’une minute, et je vis arriver Joël, son sexe avait lui aussi du être soulagé car sa taille  était encore belle, même s’il ne bandait plus. Il me regarda d’un air bizarre, tout en nous demandant ce que nous faisions, nous sommes repartit pour retrouver la minette et avons passé une excellente journée, même si Joël savait que j’étais homo. Une semaine se passa dans les mêmes conditions, quand Slave m’annonça qu’il repartait demain. Nous avons fait l’amour comme des fous, je l’ai pris et lui aussi. Quand ils sont repartit, j’étais triste, mais sans plus, pour le sexe maintenant c’était tintin, mais je n’étais pas seul, Joël était plutôt beau mec à regarder, et en détaillant bien, il était même plus bandant ue slave, mieux dessiné côté abdos et une bite plus fine mais plus longue. La soirée arriva, après avoir bu un peu, je suis allé pisser un peu plus loin dans la forêt, il m’a accompagné et nous sommes rentrés dans notre tente. Il ne parla pas mais je sentais une gêne s’installer, il voulait me dire quelque chose, mais n’y arrivait pas. Je lui ai demandé, et là il s’est tout simplement levé de trois quart dans la tente, m’exhibant une bite en érection, il ne parla pas mais prit à tête et la poussa vers son sexe. Je n’ai rien fait pour le repousser, je me suis dit que c’était un dérapage car il devait encore penser à la fille. Le truc sympa, c’était que j’en profitais pour le pomper. Il ne me repoussa pas quand j’ai posé mes mains sur ses fesses, il se pencha et commença à mettre ses doigts entre ma raie. Je n’en revenais pas, j’étais maintenant sur qu’il nous avait vu faire l’amour pendant la randonnée de l’autre jour. Il n’hésita pas, me coucha, m’écarta les jambes pour accéder à mon anus, Non d’un chien, il me léchait comme un pro, je commençai  à couiner quand il me dit que j’allais en avoir pour mon grade. Sans même attendre, il se positionna entre mes jambes et positionna son gland sur mon anus, je ne pouvais pas le refuser. Il bandait trop mais j’avais une envie encore plus forte que la douleur, il s’introduisit et me burina pendant dix bonnes minutes, ses yeux s’écarquillaient quand il s’approcha de mon visage. Je sentais son sexe grossir en moi. Il me fixait du regard, en me donnant de grand coup, pour voir si je trouvais ça bon, je ne pouvais pas cacher mon plaisir, il souries, en m’enculant encore plus fort, moins de deux minutes après j’étais aspergé de mon sperme et du sien, nous sommes resté dans cette position, il ne voulait apparemment pas sorti de moi. Il ne parlait pas, je transpirais d’avoir eu ce rapport de force. Il glissa sur le coté et me demanda de venir sur lui. Je m’exécutai en passant au-dessus de lui et senti son sexe s’introduire encore en moi, il ne débandait pas le cochon, j’ai alors commencé une descente et une montée en le regardant, il souriait de toute ses dents, j’ai alors accéléré la cadence, même si l’engin  commençait à prendre  trop de place en moi, je voulais qu’il jouisse encore, ce qui ne tarda pas. Il me bloqua la taille et poussa un petit soupir de joie. Je sentais le liquide couler entre mes jambes. Je me suis relevé, un « flop » est survenu quand son gland est sorti. Nous sommes restés côte à côte sans un autre mot. J’étais épuisé de notre activité, je me suis endormi sans résistance. Mais dans la nuit son assaut entre mes jambes m’a vite réveillé, j’ai encore eu le cul défoncé dans une joie la plus totale. Notre réveil ne fut que vers onze heures tellement nous avions baisé comme des dingues. En prenant notre petit déjeuner, il me regardait toujours sans rien dire. J’ai décidé d’entamer la conversation, pensant qu’il voulait arrêter là les vacances, qui normalement se terminait dans deux jours, il me fixa « tu rigoles, nous restons et on va en profiter un maximum, tu vas voir… ». Pour en profiter, c’est sur, que se soit dans le canoë ou dans la forêt, j’ai au moins subit ses érections trois fois par jour, nous ne discutions pas de cette relation, mais en profitions chacun. En …. Aussi bien que moi. Je lui ai retourné la question, et la surprise. C’était ses meilleures vacances. Après six heures de route, nous sommes allés chez moi. A peine, la porte fermée, il m’a littéralement poussé dans ma chambre, me déchirant mon tee-shirt, j’ai eu juste le temps de faire tomber mon bermuda et mon caleçon qu’il était déjà derrière moi à me badigeonner de gel, sa queue bandait tellement que je ne la reconnaissais pas de celle que j’avais eu encore ce matin. Il m’encula sans me ménager, « tu me fais trop bander ». Il me baisa comme un tordu, le prie est que j’aimai ça, il me prit dans différentes positions pour se retrouver face à moi, mes jambes sur les épaules. Son visage s’approcha et là, pour la première fois nos lèvres se sont rencontrées. Un baiser furtif au début. Mais dans une fougue absolu uand il me pénétra comme un diable pour me jouir dedans, j’étais aux anges, je n’ai pas eu besoin de me palucher la tige pour jouir. Il me faisait tellement d’effet que je jouissais naturellement, librement dans une apothéose de joie et de plaisir. Il s’enfouit avec moi sous les draps et m’annonça qu’il dormirait là ce soir. Croyez moi ou pas mais le lendemain et les autres jours de la semaine, il est revenu me faire l’amour et dormir. Ce n’est u’après dix jours, qu’il m’annonça avec un sac à la main, qu’il comptait rester ici pour l’instant. Je ne vous dis pas le bonheur que j’ai eu de savoir que ce mec allait pouvoir me prendre autant de fois que je et lui le voudrait.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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