Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 17:22

Le père de mon pote (Edgar)

Edgar, son père et moi sommes allés au match de foot ce soir, ils ont gagné. Nous avons fêté ça comme il se doit, j’ai préféré dormir chez eux car je n’avais pas le courage de rentrer à vélo. Edgar se pousse pour me laisser de la place dans le lit, et nous nous endormons comme des bébés. Le lendemain en me réveillant, je vois Edgar enfiler devant moi un caleçon, me laissant le temps de vois son joli petit cul blanc. Quand je me retrouve dans la cuisine, je ne vois pas mon pote, son père arrive en peignoir, et me serre un café, le temps qu’Edgar reviennent avec les croissants et du pain. Son père s’approche de moi pour me servir quand la ceinture de sa robe de chambre glisse et laisse apparaître son corps nu. Putain, il est encore super bien foutu le vieux, mais je suis stupéfait de voir la taille de son sexe. Une bite de cheval, il me sourit, reste debout devant ma chaise et me sort « pas mal encore pour mon âge, tu veux toucher ? », je ne sais pas pourquoi mais j’ai tendu la main sur sa cuisse, elle était ferme et musclée, mais ce que je voulais, c’était soupeser cette incroyable biroute. Je glisse donc mes doigts en remontant vers ce bazooka, quand j’entends la porte d’entrée claquée. Je retire aussitôt ma main, son père repart vers la cafetière, il repose le récipient, puis rajuste son peignoir. Nous prenons un copieux petit-déjeuner, Edgar se lève à un moment et part à la salle de bain car il a un rdv, son père s’approche de nouveau, vers moi et me sort direct « tu n’as qu’à revenir dans une heure, j’aurai des trucs à te montrer ». Puis, il me laisse seul dans la cuisine, je finis mon bol et remplace Edgar dans la salle de bain. Nous partons ensemble, je compte rentrer chez moi, mais l’idée de voir son père dans une heure à poil me traverse l’esprit. Je décide de faire mes courses au supermarché du coin et reviens une bonne heure après. Je sonne, il m’ouvre avec un sourire qui en dit long. Il me dit de le suivre, je sais que nous allons dans sa chambre, il est toujours en peignoir, il me demande de m’asseoir sur le bord du lit, je m’exécute, « alors, tu veux voir ça de plus près », et il rouvre son peignoir pour le laisser choir à terre, non d’une pipe, ce mec commençait à bander, et il en avait vraiment une grosse. La vache, je n’ai pas pu faire autrement que de la toucher, il s’est laissé faire. Je l’ai empoigné, mes doigts ont vite trouvé le rythme nécessaire pour la faire grossir encore un peu et surtout la faire mouiller. Je voyais les gouttes coulées le long de mes doigts, il prenait son pied, ça c’était sur, mais il voulait maintenant que je le suce. J’ai décidé de tenter le diable, j’ai ouvert ma bouche et ai englouti son gros gland, je le titillais, le suçais et surtout lapais pour lui donner un bonheur parfait, il couinait des « putain ue c’est bon », tout le temps, je m’excitais rien qu’à entendre cette phrase,  mon acharnement à, fait que j’ai pratiquement englouti l’engin de torture sans grande difficulté », mes mâchoires s’étaient d’elles même ouvertes à la bonne taille. Je jubilais de lui donner autant de joie, il s’est alors mis à crier qu’il n’en pouvait plus, j’ai senti alors son liquide chaud envahir ma gorge, je le voulais, je savais que je l’aurais, ma bite s’est mise à jouir sans la toucher, punaise que j’étais chaud. Il m’a sourit « tu en veux encore », je ne comprenais pas trop mais j’ai vite su de quoi il parlait, sa bite ne débandait pas, il m’a alors, dépouillé de mes vêtements, et  il m’a retourné, j’avais la tête dans l’oreiller alors qu’il commençait à me bouffer le cul, je sentais que j’allais aimer, je ne l’ai pas fait souvent mais j’étais près et chaud avec lui, même s’il en avait une grosse. Je savais que je la supporterais, je n’ai pas attendu longtemps pour le savoir, en moins de deux, j’ai senti son corps se mettre sur le mien et son gland se coller contre mon anus. Il a forcé et est entré, j’ai alors poussé un cri de désespoir, mais plus rien ne nous séparait, j’ai senti son sexe au plus profond de mes entrailles, alors là, j’ai ….. Déclenché une subite envie bestiale u’il a reporté sur moi. J’ai été baisé comme jamais, je ne l’avais été, je subissais ses outrages avec bonheur et plaisir, il me faisait l’amour si bien que j’ai joui avant lui. Il m’a enculé pendant un bon quart d’heure avant de sortir pour me jouir dans le dos, j’étais épuisé. Il s’est allongé à mes côtés, puis m’a dit « putain quel pied, tu en fais une bonne salope, je te baise quand tu veux, toi ! », quelque part, ce mot doux, me plaisait, j’avais donné un pied à ce type et moi par la même occasion. J’ai repris mes esprits et me suis relevé. Il était toujours étendu, je me suis fringué et suis parti, sans rien dire, En marchant mon vélo à côté, car j’avais le cul vraiment en compote, j’ai repensé au délire que je venais de faire avec le père de mon pote, mais le pire était ue je serais prêt à le refaire sans hésiter. J’ai fait le mort avec mon pote , pendant trois jours, le temps de me calmer les sens, mais le prochain match était pour ce soir, il insistait vachement pour ue je vienne, je n’ai pas osé demander si son père était là, je m’en suis douté en le voyant arriver après, car sa place était réservée, nous avons pu encore une fois faire une super fête, car notre équipe venait d’être qualifiée pour la demi-finale, l’alcool aidant, j’ai accepté de dormir encore avec mon pote, je me suis tout juste foutu à poil et couché sans demander mon reste. Au matin enfin, je crois, j’ai senti un corps sur moi, et une pénétration anale, je n’ai pas trop réagit et me suis laissé faire malgré la grosseur de l’engin, je me doutais ue son père était venu, mais uand j’ai entendu la voix de mon pote dans mon oreille droite, j’ai sursauté. Il me bloquait bien, D’un coup, il m’a pénétré totalement, j’ai poussé un petit râle, mais j’approuvais ce genre de baise, il m’a enculé sans vergogne, m’a tellement limé ue j’au cru ne plus pouvoir m’asseoir pendant trois jours, il était aussi bien monté ue son père. La vache, j’en ai eu pour mon compte, il m’a traité de petit pédé, bien chaud, u’il aimerait bien avoir à domicile, je ne répondais pas tellement, je jouissais de cette instant. Ma queue a laissé partir son surplus pendant u’il s’est approché avec son engin, près de mon visage, pour laisser partir par gros jets, ses puissantes giclées des spermes, u’elle drôle de situation. J’avais pris un pied d’enfer avec son père mais la vue de cette bite énorme devant moi, me fit changer d’avis sur le futur, je le trouvais tout simplement parfait, un corps musclé et une bite de taureau. Nous sommes restés allongé l’un contre l’autre pendant une bonne heure, avant d’enfiler un caleçon pour nous rendre à la cuisine. Son père  était déjà levé, il nous a sourit, « alors c’était bon » parlant à son fils « tu rigoles, le pied », il a alors regardé dans ma direction, et sans hésiter à laisser glisser son peignoir devant nous pour nous montrer son gros braquemart en érection, je n’ai rein fait, mais lui m’a saisit par la taille et sans demander mon autorisation, m’a pénétré devant son fils, je repris un bonheur de me faire défoncer par lui. Rien à voir avec son fils, il baisait brusque et ferme, je couinais à chaque pénétration, alors que le gland de mon pote est venus ‘engouffrer dans ma bouche. Je n’en pouvais plus, j’ai jouis sans retenu, alors qu’ils s’occupaient de mes trous, j’ai passé la demi-heure dans une euphorie totale, en pleine osmose avec mes baiseurs, ils m’ont relâché une fois purgé, nous avons repris nos places pour un bon petit-déjeuner. J’ai repris le chemin de mon appartement avec la queue complètement tendue dans mon jeans. J’ai été obligé de me branler en arrivant. A peine sorti de la douche, j’avais un sms, me signalant que je devais venir ce soir chez eux. Car ils avaient un petit cadeau pour moi. Ma journée fut dans l’indécis de ne pas y retourner tout de suite, mais mon envie était trop grande. J’ai sonné et suis entré, ils m’attendaient avec un bon repas, mousse avons un peu bu, et les choses ont vite dévié, nous nous sommes retrouvés dans le salon à poil tous les trois. C’est alors que je les chauffais tous les deux en les suçant successivement, que j’ai entendu mon pote me dire « putain, viens, baise-moi », je n’ai pas demandé mon reste, j’ai pris du gel et l’ai enduit vite avant « ui change d’avis. Ma queue était devenue raide d’un coup, il s’est posté sur ….. douce, je prenais son petit cul. C’était génial, mais son père ne voulait pas rester en voyeur, et c’est là que j’ai senti son mandarin se faire un chemin entre mes fesses. J’ai poussé à fond dans le cul de son fils quand il m’a pénétré, nous avons crié tous les trois ensembles. La baise parfaite, j’enculais tout en me faisant prendre, j’ai ressenti des milliers de sensations, je ne voulais pas que ça s’arrête, nous avons pratiquement joui ensemble, son père m’a lâché, et est parti, alors que je tenais dans mes bras ce superbe apollon. Il se laissait caresser, je venais de l’apprivoisé, il me sourit, le bonheur se voyait sur son visage, il m’a embrassé sans gêne, nous sommes allés nous coucher, le sommeil, nous a trouvé dans les bras l’un de l’autre. Au matin, je bandais tellement de la veille, que je l’ai pénétré doucement pour être sur de ne pas avoir rêvé, Nous avons fait l’amour, tous nos gestes s’assemblaient à la perfection, je n’ai pas pu dire autre chose que « je voudrais vivre ça tous les jours », il m’a dit « je n’ai rien contre, viens habiter ici ». A partir de ce moment là, je n’ai plus dormi une seule nuit dans mon appartement, que j’ai rendu au bout de trois mois, notre relation est très spéciale, mais j’ai trouvé le bonheur avec ces deux hommes, un pour la baise pure, et l’autre pour une harmonie des corps…

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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