Lundi 15 juin 1 15 /06 /Juin 15:06

L’agression (Justin)

Je descends ma poubelle, tous les soirs après le repas, ce soir là, tout a changé, ma cavalcade dans l’escalier, m’a fait percuter avec un type qui descendait doucement, et je l’ai poussé sur la rambarde, il a atterri un étage plus bas. Assommé, je panique, je lui donne une tape sur la joue, rien, je jette la poubelle par la porte d’entrée et j’essaye de le remonter chez moi, merde, il est lourd, je l’étends sur le lit, je lui mouille le visage, une belle gueule, un physique très masculin, son charisme est doux et naturel, vraiment mâle. Je lui enlève son blouson, déboutonne sa chemise, il reste dans les vapes, heureusement il respire, j’appelle un médecin, qui arrive vite, il me rassure qu’il n’a qu’une grosse bosse, il l’ausculte, me demande de l’aider à le déshabiller, voir si tout va bien, le mec est super bien foutu, je comprend qu’il soit lourd, vu sa masse musculaire imposante, c’est sûrement un bodybuildé, un véritable objet de fantasme, il est très sexy en slip, le docteur monte le drap et me sort que je n’ai rien à craindre pour mon petit copain, je voulais lui répondre que ce n’était pas le mien mais je suis resté scotcher. Peu après son départ, le mec cris « ouie, ma tête », je m’assoie à côté de lui, lui raconte l’histoire de l’escalier et lui demande pardon, il me regarde fixement, j’attends qu’il parle, il soulève le drap et sourit, je le rassure que ce n’est pas moi qui l’ai déshabillé mais le médecin, il me demande le diagnostic. Il essaye de se lever et recommence à dire « ouie », il se recouche, me dit qu’il a mal aux jambes et au dos, je lui dis que je vais à la pharmacie, d’en bas, pour les médicaments, il me signale que se serait bien d’acheter une crème inflammatoire, je cours et reviens vite, il dort, merde, il manquait plus que ça, je vire Mélanie et voilà que je me retrouve avec un mec dans le lit,  il est très mignon, je le laisse tranquille et je vais faire du café, au bout ½ h, il redit « ouie », j’accours, il me sourit, je lui tends un verre et les médicaments, il avale tout et me sort, « ok, je suis prêt pour le massage », J’ouvre les yeux en grand et reste la bouche bée.  Il tire sur le drap et me dit qu’après tout c’est de ma faute s’il a mal, je culpabilise et prends le tube, je vais chercher une serviette, je lui dis de soulever ses fesses, pour ne pas tacher le drap, ma main se pose sur ses petites fesses fermes, je trouve la situation embarrassante, il se cambre, fait une grimace mais se laisse toucher le cul, je glisse la serviette. Il est vraiment bien foutu, le slip laisse voir qu’il est très bien membré, il me regarde faire et ferme les yeux, il repose son cul sur ma main, je ne bouge plus, il rouvre les yeux, sourit encore, et me soulève juste de quoi m’obliger à forcer pour sortir, je le sens très entreprenant pour un malade. Je commence le massage par les chevilles, ses mollets sont musclés, il doit faire du vélo, aux genoux je commence à mater son slip qui montre la forme d’une grosse bite. Je le masse jusqu’aux cuisses, il écarte un peu les jambes pour que je puisse aller plus haut, son érection, arrive à déformer le tissu, son gros bâton est imposant, long, très épais, la consistance d’une vraie bite. Je comprends qu’il apprécie les massages, je serais pareil, j’avoue que de toucher ce corps de rêve simplement vêtu d’un slip, à l’état brut, me chauffe à bloc, il n’a toujours pas ouvert les yeux, ce qui me donne plus de hardiesse, il n’a pas de défaut, il est doux au touché, ma libido se libère, des désirs fous me parcourent les veines, je me dis que de toute façon, personne ne me vois, je continu mon massage dans le creux de ses cuisses et touche de temps en temps, volontairement ses bourses à travers le tissu, je passe ma main sur sa taille, je lui masse les abdos, le bas du ventre mais évite de toucher son slip, il a quelques poils sur le torse, bien agréable à toucher, je m’assoie près de lui, lui masse les épaules, son bras vient se poser sur ma taille, je reprends mes esprits, m’arrête, et dis au mec « ok, c’est bon », il ouvre les yeux, regarde sa grosse bosse et me regarde, Il dit «et mon dos », il se retourne,  son dos est carré, de belles épaules, je commence à masser, ma position n’est pas confortable, je me mets à califourchon sur lui pour une meilleure assise, mon sexe gonfle dans mon jean, frotte sur ses fesses, il sort que c’est bon, je m’énerve un peu de la situation, il le sent, me dit avec une bouille malicieuse « Eh mollo, c’est de la qualité que tu as dans les mains », Un « oui çà je vois », m’échappe, je descends jusqu'à l’élastique du slip, et remonte à chaque fois jusqu’aux épaules, il gémit de soulagement. Là, tout net, il bouge, glisse son slip jusqu’au bas des cuisses, ses adorables fesses apparaissent, fabuleux spectacle, il me dit « tu vas me le dégueulasser, enlève-le ». Je ne maîtrise pas la situation et l’enlève complètement sans broncher. La vue de ce mec nu, les jambes écartées autour de moi, commence à m’exciter, je bande dur, il a des petites fesses très mignonnes, il met sa main sous lui pour replacer sa bite, ce qui le fait cambré, et j’aperçois le centre de sa raie, il n’a pas de poil, et je vois sa rosette toute rose, « hummm, quel délice », sa chute de reins est très sexy, il écarte ses cuisses, je m’agenouille entre, le contact de nos corps, m’excite encore plus, j’aperçois son sexe rigide le long de sa cuisse, il est vraiment gros, un bon 20 cm, courbé. Je masse de plus en plus vers le bas, à la taille, il me dit que son cul aussi avait subit l’escalier, j’hésite un peu mais l’envie est trop grande, et comme il a la tête dans l’oreiller, j’accepte en me disant qu’il ne pourra pas dire que je n’ai pas tout fait pour qu’il m’excuse. Je n’ai pas l’habitude de tripoter les fesses d’un mec, et fini par mettre les deux mains, je perçois sa raie, je bande comme un turc, il me plait beaucoup, il se cambre un peu plus, et me laisse le toucher plus intimement. Je m’entends dire « c’est fini », il lève la tête, tourne, lève une jambe devant moi, il est sur le dos maintenant, face à moi qui suis resté entre ses jambes, sa queue est énorme, massive, droite jusqu’au nombril, elle doit faire 25 cm. Il me dit «  tu peux finir ce que tu as commencé », je le mate, c’est vrai que j’ai envie, j’approche ma main de sa bite, et commence un va et vient, il se laisse aller, soupir, il me dit de lui caresser les couilles, ma deuxième main vient machinalement lui peloter les bourses, je me penche, sur lui et ma bouche, lui titille les tétons, punaise, il s’excite vraiment, sa main vient percuter ma bosse dans mon jean, il me malaxe, et se met à jouir abondamment dans ma main, et sur son torse. Il récupère sa respiration, ouvre les yeux, et me sourit, je suis gêné, retire ma main de son sexe maculé par sa semence, la sienne est toujours serrée sur ma bite, il me tripote, et me dis, « tu sais, c’est la première fois, qu’un mec me masse, et me branle la tige, si tu fais aussi bien l’amour, je suis partant ». Tout rouge, l’air ahuri, je réponds, que je ne suis pas homo, que c’était parce que je l’avais fait tomber, il rétorque, « tu n’as pas compris, moi non plus, mais j’aimerai bien commencer ce style d’expérience avec toi », il défait les boutons de mon jean, le baisse, promène ses mains sur mes fesses et ma bosse, fait glisser mon slip, je bande comme un taureau, il me fait un compliment sur la bonne taille de ma bite, il la prend dans la bouche, je ne peux qu’apprécier cette succion, il sait y faire, il m’a tellement excité auparavant, que je ne vais pas résister longtemps, il m’enlève complètement le jean, le slip, le Tee-shirt,  Je suis à poil devant ce mec, et lui exhibe une queue de 25 cm épaisse, prête à l’emploi, il n’arrête pas de me turluter, c’est très bon, je prends un pied d’enfer, il me décalotte, avale plus de la moitié de mon sexe super tendu, au bout de cinq minutes, je largue ma purée sur son visage, il me sourit, je lui dis « tu travailles demain »,  il répond « non », je prends la serviette, je l’essuie, en le caressant, j’approche mon visage du sien, lui roule une pelle, et lui propose de rester coucher cette nuit, il se montre tendre, je me laisse faire, je tire sur le drap et éteint la lumière, Il se blottit près de moi, je suis épuisé par cette aventure, jamais je me serai imaginer m’endormir dans les bras d’un mec. Dans la nuit, il me tourne le dos, on se frotte l’un contre l’autre, ma bite reprend vite son allure de guerrière, je prends du gel sur la table de nuit, il écarte les jambes, je glisse entre ses fesses un doigt sur sa rosette, il bredouille des « hummm », je lui titille de plus en plus le trou, je décide de me branler sur ses fesses, je le chevauche, frotte ma bite en feu, dans sa raie, je tape à l’entrée de son anus, il fait venir ses mains, une sur sa fesse droite pour l’écartée, l’autre pour diriger mon sexe dans son orifice, je pousse un peu, je ne veux pas le déchirer vu la taille de ma bite, Il ne bronche pas, j’insiste, l’anus de dilate, la pression laisse passer mon gland, il gueule, je suis dans son cul, je prends mon temps, je fais des petites pressions pour faire accepter mes 23 cm dans son petit cul de puceau, il tortille de douleur et de jouissance, ma bite de cheval exerce une pression si forte, son fion me lape la teub, il écarte encore plus ses miches, mon bazooka déchire tout sur son passage. Il suffoque, mais dit « oui, encore », alors là, j’ai plus à me faire de souci pour lui, je le ramone avec ma grosse queue, je prends son cul sans relâche, elle s’enfonce bien profond dans son trou, il s’ouvre, s’abandonne à ma queue. Il se cambre, cri de douleurs, il prend conscience que c’est une vraie bite, mes coups le scotchent au lit, nous baisons, comme des furies, Je lui pilonne l’anus tuméfié, il gueule qu’il jouit, je n’arrête pas, tout de suite, je sors pour me vider les couilles et jouir d’une magnifique éjaculation sur son dos, je m’écroule à côté de lui. Pas un mot, je lui essuie le dos et nous recouvre du drap, il s’approche, met son bras sur mon torse et s'endort, au matin, il est blottit contre moi, je lui donne un baiser, il me le rend, « je m’appelle Justin », « bonjour, Justin », « moi c’est Emeric », je n'aurais jamais pensé, vive une nuit d’amour avec lui, il me serre dans ses bras, punaise, il est très fort, il m’embrasse et me prend la taille, pour me rapprocher encore plus, nous nous pelotons un peu, et discutons une bonne heure dans le lit, attaché l’un à l’autre. Il me dit avoir faim, nous nous levons, enfilons nos slips et direction la cuisine, je lui dis qu’il est mignon, il me dit ne pas perdre au change, que je lui plais beaucoup, qu’il a adoré être pris par moi, que si je veux, il sera près à le refaire quand je voudrais. Je lui dis qu’il fallait se doucher, car je voulais voir une expo, cette après-midi, il me regarde vexé, et se lève, me dit « t’inquiète, je pars, après la douche », je le suis en lui demandant de m’excuse, que s’il veut, il peut venir avec moi, il est sous la douche et ne réponds pas, je baisse mon slip et le rejoins, rien que la vue de son petit cul, mon gros zob veiné trique, je le prend par la taille, lui donne un baiser d’amoureux, il se blotti dans mes bras, et machinalement glisse le long de mon corps, bute sur ma bite, qu’il pompe goulûment, enserre mon chibre de matador, l’engloutit jusqu’à plus de la moitié, quel pied ! J’adore ce mec, il suce à merveille, et profondément, il est très persuasif dans ses démarches, pendant qu’il me suce, je sens un doigt venir entre mes fesses, après tout il a autant le droit que moi, je le laisse faire, j’écarte mes jambes pour lui laisser le passage libre, il me tourne et commence un léchage de fion baveux, c’est une merveille, j’adore ces nouvelles sensations de me soumettre au pouvoir du mâle, je me cambre, je me branle, il se lève, frotte sa teub sur ma raie, me frotte l’anus avec du savon,  il pousse, me transperce la croupe de sa bite, je gueule fort qu’il arrête, il continu, il me défonce d’un grand coup de butoir, bien profond. Il me besogne le derche, je crois mourir. Il m’explose la rondelle, empale son sexe viril comme une brute, aucune retenue dans les pénétrations, il élargit mon rectum de puceau, je me soumets à ses puissants vas et viens.  Je me cramponne aux parois, il aime, me dit que je l’excite, qu’il ne regrette pas de s’être initier à l’amour homosexuel avec moi. Je crache dans une jouissance brutale en entendant ses délires, il me ramone avec sa grosse queue, sans relâche, pilonne sans merci, il est monté comme un âne. Je commence à avoir mal, il me laboure encore deux ou trois minutes, une éternité, il m’asperge le rectum de sperme, à grand jus, ne bouge plus, reste encré dans mon cul, il me dorlote, j’apprécie sa douceur, sa force me rassure, il me bloque pour que nous ne bougions pas, j’aime son zob de maître queue en moi, il ne débande pas, ses 25cm me prennent vraiment tout le trou du cul, il n'arrête pas de m’embrasser dans le cou, je me sens bien, je lui dis, il ne donne encore un dernier coup de butoir, et sort de moi, il me dit vouloir venir avec moi, je ne peux qu’accepter de connaître mieux ce beau mec. Nous nous baladons tout en nous caressant de temps en temps, je lui tiens la main, le prend par les épaules, la taille, jamais je n’aurais fait ça avant hier, il ne me repousse pas au contraire il m’embrasse dans le cou, me susurre des mots tendres à l’oreille, je vais craquer pour ce mec, s’il continu, et rien que de le voir marcher et mater son petit cul dans son jean, je rebande, nous nous mettons à une terrasse, et il me prend la main sous la table, je vois des gens nous mater, ils n’en reviennent pas que deux beaux mecs virils soient ensemble, nous rigolons de la situation, et repartons en balade. La soirée arrive, il me dit vouloir me présenter deux amis à lui, j’hésite, nous arrivons pour l’apéro, « vous allez bien manger avec nous », ce couple est très gentil, elle est mignonne et très bonne cuisinière, lui agréable à regarder et pas con. Pendant le dîner, Justin me caresse la cuisse, je rougis car son copain nous regarde. Il sort « vous êtes ensemble, on dirait », Justin me fixe « oui », « je ne savais pas que tu étais Bi, sinon je t’aurai branché », Justin sourit et répond « normal, je ne le savais pas moi non plus avant Emeric ». Et il m’embrasse devant eux, sans retenue sur la bouche. Le dessert arrive et nous passons au salon pour le café. Justin s’assoie à côté de moi et de sa copine et me met le bras sur les épaules, je ne bouge plus, elle sort « j’adore avoir des amis comme vous, c’est beaucoup plus cool, par rapport à moi, pas de baise,  j’espère que vous reviendrez ». Nous partons, Justin me bloque sous le porche, m’embrasse goulûment, me serre dans ses bras, j’adore quand il me tient la taille et qu’il me tripote les fesses. Il me dit  « tu sais, ils t’ont beaucoup appréciés, et même plus, je crois, ils m’ont sorti que si je ne voulais plus de toi ils étaient preneur », je lui souris, il continu « je préfère te garder, tu es vraiment un beau mec », je l’embrasse amoureusement, nous sortons, il me dit « on sort, tu connais un bar PD », «euh ! , je crois qu’il y en a un dans le centre», « ok, on va voir leur tronche », « pourquoi pas », nous arrivons au bar, nous nous asseyons au comptoir, il me tient la main, plusieurs mecs nous matent, Justin me souffle « tu sais que tu leurs plait, ils bavent tous devant toi », je lui dis « mais non, c’est toi qu’ils matent », nous buvons quand un mec s’approche de moi, « tu veux venir avec nous en boîte », je me retourne stupéfié, il me sourit, il n’est pas mal du tout, je veux lui répondre, mais Justin se lève et lui dit  « tu laisses mon mec sinon je te casse la gueule », je le retiens par la taille, sourit au mec en m’excusant que nous ne sortirons pas ce soir en boîte, mais merci quand même de l’invitation, le mec sort  « ok, mais si tu es libre, n’hésite pas à venir me voir, tu ne le regretteras pas », j’écarquille les yeux, il me fait du rentre dedans, incroyable, Justin voit rouge, je le force à s’asseoir, et par dans une conversation plus calme avec lui en l’embrassant tendrement, il me dit « tu vois que tu plais, le salaud, et devant moi, merde alors il allait te bouffer tout cru », je lui souris « alors comme ça tu es jaloux, tu ne me connais que depuis vendredi », « je sais mais quand je tombe amoureux, je ne peux pas m’empêcher d’être jaloux », « pourquoi tu es amoureux ? », « tu te fiches de moi, évidemment que je suis sous le charme, tu t’es vu, gueule d’ange, géant en amour, un corps de rêve, une bite d’enfer,  pas con en plus, la totale en un », je lui sors, que de toute façon, moi non plus je n’ai pas l’intention de changer, « tu me plais énormément », il me sourit, m’embrasse goulûment, regarde l’autre type, le fixe l’air de dire, c’est moi qui l’ai, nananaire, nous passons une bonne soirée, mais j’ai envie de lui, je lui dis, aussitôt, il se lève, me prend le bras, nous voilà sortie, une fois chez moi, je lui saute dessus, le déshabille, le lèche partout, il glisse sa main dans mon slip, me branle déjà, je lui titille les tétons, le bouscule jusqu’à la chambre, il trébuche sur le lit, je saute dessus, lui lèche les bourses, il glousse, me tient la tête, commence un va et vient que j’ai du mal à faire, sa bite est trop grosse dans ma gorge, quelle matraque il a, je tousse, et recommence à m’acharner sur le morceau. Il se tortille tellement que je ne peux plus la garder en bouche, il me pousse me tourne et lèche ma raie, il me dit « tu es à moi, j’adore ton cul, je vais te baiser, tu vas t’en souvenir, crois-moi », il me parle en glissant deux doigts dans mon cul, toujours douloureux du matin, il me doigte bien l’enfoiré, j’aime ça, j’écarte de plus en plus mes fesses, il comprend qu’il peut faire ce qu’il veut, je lui laisse toute liberté, en moins de deux minutes , je sens son gland frotter mon anus, et le forcer, il n’a pas besoin d’un signale pour me pénétrer, son gland ouvre la marche me voilà avec sa grosse bite dans le cul, j’ai beau essayé de le repousser, il n’hésite pas à m’enculer au plus profond, me donnant des coups beaucoup trop puissant pour ue je ne jouisse pas, tout part, il comprends et me burine encore plus vite, je gueule ue c’est trop bon, ca doit l’exciter encore plus, car je sens son sexe grossir encore, nous baisons encore dix minutes avant de le voir me craché sa semence sur le ventre et les épaules, il est vraiment beau, nous nous endormons comme des bébé, cette nuit fut l’une des première de ma nouvelle vie d’homo, nous sommes très proche et n’arrivons pas à nous laisser longtemps, en tout cas, chaque soir, notre lit à droit à de troublant déclaration d’amour, mon petit cul est devenu le plus fidèle engin sexuel de plaisir pour Justin.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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