Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 16:44

La prison (Bruno)

Je suis seul dans ma cellule, ça ne durera pas, dix jours passent, 17 h, le maton ouvre la porte, laisse entrer un jeune homme black, environ mon âge. Il me regarde, ne me dit rien, met ses affaires sur son lit et s'assoit. La porte se referme sur nous. Je me lève du lit, je suis en slip uniquement, car il fait chaud cet été. Je me présent à lui, « salut moi c’est Emeric » il me regarde des pieds à la tête, ne dit rien, se lève, s’approche tout près de moi, j’ai l’impression qu’il va m’arriver des bricoles avec lui, il sent bon, me fixe tout en me baissant le slip et me prend les bourses, je ne cris pas, le fait qu’il me touche m’excite, personne ne m’a tripoté depuis deux mois au moins. Il voit que je commence à bander, il lâche mes couilles, et me caresse le sexe, tout en se présentant, « moi c’est Bruno ».  Il laisse toujours sa main traîner sur ma bite, je bande vraiment, maintenant, il me sourit et me libère en disant  «on s’occupera de ça ce soir ». Je remonte vite mon slip et me rassoit sur mon lit, je ne bouge plus. La sonnerie du dîner retentie, les portes s’ouvrent, de retour 1 h après, je rentre le 1er, m’installe sur mon lit, Bruno entre, il se dirige vers son lit, enlève son tee-shirt, il est baraqué, des épaules gigantesques, il se retourne, son torse est vraiment bien dessiné, il le sait, il se pavane, pour m’exciter, il baisse son pantalon, me montre à travers son slip qu’il a un sacré paquet très prometteur, il me dit « je fais des pompes tous les soirs et toi tu feras pareil », je le regarde droit dans les yeux, j’ai bien entendu, il me lance un message qu’il veux que je face comme lui ou que je le suce. Il se positionne, et commence, il a un petit cul, très bandant, je rebande aussi sec. Je le mate sans détour, il finit et s’essuie, s’approche de moi, et se touche le sexe à travers le slip, je vois gonfler son énorme bite, elle va jusqu’au bout sur le côté, il met sa main sur ma nuque, et me souffle « vas-y maintenant ». je savais que j’aurais à subir ce style d’agression physique, j’étais mignon, bien foutu, mais pensais, ne pas passer à la casserole tout de suite, il me pousse vers son membre, je ne résiste pas, il comprend que je suis d’accord, me lâche et attend, je m’approche de son slip, il en a une super grosse, je presse ma bouche sur la base, et par jusqu'à l’extrémité, il gémit, il me griffe le dos, je commence le bouffage de bite à travers le tissu, je tire dessus, elle émerge glorieusement ses 25 cm. Je lèche le bout du gland, il mouille, j’essaye de prendre le tout dans ma bouche, son braquemart est aussi épais du gland aux couilles, il s’enfonce dans ma gorge, je suffoque un peu mais ne lâche pas le morceau, il prend son pied et lance des petits cris jouissifs, il continu un bon moment et sort, se branle devant mon visage, éjacule de longs jets de sperme, abondant, je me retrouve le visage dégoulinent. Il me donne une serviette, se tourne et s’allonge nu sur son lit. Je me rassoie sur le mien et l’admire, toujours en bandant comme un turc, je m’allonge sur le ventre pour ne pas penser à tout ça, et essayer de dormir, un peu.

4 h, je sens que mon voisin bouge, il s’approche, je prends peur, que veut-il ? Je sens sa main sur mes fesses, il se branle avec l’autre main, je ne vois rien, il me lèche les fesses, la raie, descend sur mon intimité, écarte mes fesses, enduit mon anus de salive, et introduit un doigt, je me cambre un peu, je sens tous mes sens en ébullitions, c’est exquis, il met deux puis trois doigts, je commence à haleter, il me fait du bien, je prends mon pied, il se penche sur moi, frotte sa bite entre mes cuisses, met sa verge contre mon anus, pousse, je sens s’introduire le gland, il continu, il sait que je ne gueulerais pas, il me lubrifie avec sa salive, il suit son trajet en moi, il respire fort, je l’aspire goulûment par le cul, il aime, ressent mes plaisirs, il me laboure, de plus en plus vite. Au bout d’un quart d’heure, il éjacule sur mon fessier, ne me dit rien, m’essuie, et se lève, repart se coucher. Je ne bouge pas. Le matin arrive, la journée démarre, nous ne prenons pas la douche en même temps, je me trouve avec des mecs bizarres, ils m’embêtent depuis deux jours, mains aux fesses, insinuations perverses, clins d’œil, je reste sur mes gardes, j’attends qu’ils aient terminé. Je me déshabille, il ne reste que Polo, un mec bien foutu, beau gosse, de belles cuisses, je ne vois personne d’autre et je ne cherche pas d’ennuis, il est de l’autre côté des douches, je me savonne, tout est calme, je l’attends siffler, je me retourne et le vois beaucoup plus près, il est à deux douches de moi, je sers les fesses, je n’aime pas ça. Il me mate le cul, et me dit, « tu es baisable, tu sais », je fais comme si de rien n'était, je me lave un peu plus vite pour repartir, il continu, « Bruno ne doit pas s’emmerder avec un mec comme toi ». Il est tout près, les gardes ne nous regardent même pas ils discutent entre eux, je sens sa main sur ma fesse droite, il me la malaxe, il se serre contre moi, il frotte son sexe bandant sur ma raie, je mets mes mains sur les carreaux de la douche face à moi et le laisse faire, il n’hésite pas, prend sa bite dans la main et la glisse sur mon trou, il me pénètre directement, s’arrête une fois au fond, me lance, « merde, c’est bon, je ne résisterai pas longtemps,  je n’ai pas baisé depuis 15 jours », il me laboure de va et vient et sort vite jouir sur mon dos, bouge et se remet sous sa douche, une fois fini, me regarde et me dit, à demain sans faute, tu as pigé pourquoi. Je reste seul, et me demande ce qu’il se passe en ce moment, ils sont en rut. Les gardes me ramènent à la cellule, Bruno est partit travailler dans un autre bloc, moi je vais la journée dans la section bibliothèque. Je m’entends bien avec les mecs qui viennent me voir. Certains me draguent un peu mais très soft, pas de vacherie, ils ne veulent pas être interdits de bibliothèque. Je dois rentrer à 17 h 45 dans la cellule, les portes se rouvrent à 18 h 15 pour le dîner, Bruno est déjà là, il me regarde sévèrement, je reste tranquille dans mon coin, il s’allonge respire profondément. Je sens que quelque chose ne va pas, mais quoi ? Le temps passe, la sonnerie, nous nous séparons, Je suis fatigué, je rentre plutôt, et m’étire sur le lit, je somnole, un peu, la porte, Bruno, et comme hier, il défait son tee-shirt, enlève son pantalon, et fait ses pompes. Je ne le regarde pas de peur de me prendre un gnon dans la figure, il se relève, s’essuie, enlève son slip, et vient directement s’allonger sur mon lit. Je lui fais de la place, il me caresse le ventre, il bande comme un taureau, me regarde dans les yeux, approche son visage et m’embrasse, je ne pensais pas qu’il le ferait, un mec hétéro comme lui, je savoure ce baiser. Il me câline, me souffle qu’il à envie de moi, que se serait bien si je me laisse faire. Je me tais toujours, il vient sur moi, lève mes jambes, taquine mes fesses, frotte son avant bras sur ma raie, s’avance, frotte maintenant avec son gros, énorme sexe, plus gros que celui de Polo, et pourtant il est lui aussi bien membré j’en ai un bon souvenir, il me fixe et me frappe de son pubis sur les fesses, je le sens me défoncer sans vergogne, il s’excite, une vrai bête de sexe, il n’arrête jamais, il me fait un peu mal, je lui dis, il me réponds que j’ai qu’à rester fidèle et il sera plus doux, merde, comment à t’il sut pour ce matin, il m’embrasse, mais ne lâche pas prise sur mon cul, je me fais défoncer en grande pompe, il ne stoppera jamais, et un cri vient me faire comprendre qu’il me jouit dans le rectum, je ne voulais pas, je lui dis, il me dit « tu es à moi, et t’inquiète, tu pourras faire pareil ». Il se remet sur le côté et ne bouge plus, Je promène ma main sur ce magnifique corps, il se laisse faire, il bouge son bras pour que je mette ma tête dessus, je me sens bien et lui aussi, nous discutons un peu et nous endormons comme çà. Au réveil, nous sommes toujours enlacés, la sonnerie retentie, il me regarde, m’embrasse et se lève, le maton ouvre la porte, nous voit tous les deux nus, et dis « dépêchez les mecs, vous recommencerez ce soir, allez ! » La douche est remplie de monde, on me dit de reste de côté, je vois Polo se doucher, je ne bronche pas, tous se lavent, je mate, en me demandant pourquoi je n’ai pas le droit de me doucher avec eux. Polo me fixe, en se tripotant, j’évite son regard, tout le monde, part au fur et à mesure, Polo passe devant moi, me touche un sein et me dit « à demain ». Là, le maton et son collègue, me disent, « ok maintenant, tu peux y aller », j’enlève ma serviette, et vais sous une douche, je me savonne et ne vois pas le premier gardien se déshabiller, il s’approche et me prend par la taille, me dit, que nous allons nous détendre un peu, je panique, me débat, je sens déjà sa belle queue, se frotter contre ma cuisse, il est trop fort pour moi, il me plaque parterre, et m’écarte les jambes, il me bloque les mains. Je vois arrivé le 2e gardien, la bite à la main, il s’agenouille devant moi, me prend les mains à son tour, et me dirige sa queue dans la bouche, je ne peux plus crier, tant elle est grosse, et au fond de ma gorge, le 1er me sépare les fesses, me bloque les cuisses pour que je ne bouge plus et commence sa pénétration, il me fait une défonce anale, je me fais violer, il s’excite, me besogne, il me dit que je suis bon, un vrai pro, qu’il comprend maintenant que le gros sexe de Mac arrive à rentrer en moi, je pleure, le 2e n’hésite pas à se servir de ma bouche comme d’un cul. Ils échangent leur place, le 1er me tire sur le visage, et s’enfonce comme dans mon cul, violemment, je me cambre, le deuxième profite de la position pour entrer en moi, il prend plus son temps, me baise avec douceur, je commence à aimer, je couine, je jouis, je me dis qu’après tout autant avoir du plaisir, je commence à m’appliquer avec ma bouche sur la queue du 1er, et remue mon petit cul qui excite vraiment le 2eme. Ils partent dans une explosion de sperme, je me retrouve dégoulinant de leur jouissance, ils me tapent sur les fesses, et me disent, que maintenant, je pouvais aller retrouver mon amoureux, ils feront tout pour nous protéger, en échange de petits services de ma part. Je reste bouche bée, pars sous la douche et me r’habille vite. Arrivé dans la cellule, je me blottis dans mon lit et pleure, je sens que Bruno s’approche, il a compris ce qu’ils m’ont fait, il me prend dans ces bras, il me caresse les cheveux, depuis, ce jour, aucun autre, prisonnier, ne m’a touché, Polo, m’attire de temps en temps vers lui pour le branler, mais, n’arrive jamais à être seul avec moi, les 2 matons me baisent, mais j’aime bien faire ça à trois, et de toute façon le meilleur morceau se trouve tous les jours dans mon lit, alors tout va bien. Surtout que Bruno, m’a fait une grande surprise, un soir, qu’il me faisait super bien l’amour, juste avant de jouir, il sort, me retourne, et me suce, c’était, la première fois. Il me dit que c’est parce que c’est moi, j’apprécie encore plus, son coup de langue, il me dit « ne bouge pas », il s’assoie sur moi, je le vois me présenter son petit trou du cul, je le lèche, le lubrifie, introduit ma langue dans l’anus, il gémit, se tord de plaisir, se branle comme un fou, il reprend ses esprits, redescend sur mon ventre, se tourne face à moi, prend ma bite la positionne sur son anus, et se l’enfonce, je sens mon gland entrer, il m’embrasse, grimace, mais continu, et s’arrête une fois que la base de mon sexe, arrive au fond. Il me regarde et me dit « tu vois que tu peux avoir tout de moi », je commence à bouger. Il se raidit, je vais et vient en lui, il se branle pendant que je le pilonne de mes 21 cm, il ne bronche pas, je lui rends ce qu’il m’a fait pendant 2 mois. Il adore, me dis de continuer, qu’il n’a plus qu’à m’aimer, maintenant, que c’est ce qu’il voit de mieux pour nous. Je jubile à cette phrase, j’éjacule en lui, sans même faire croire que je vais ressortir, il éjacule aussi et me tapisse de sperme sur le buste, il se penche sur moi, en gardant ma bite en lui et me confit qu’il aimerait vraiment être pris par moi comme ça de temps en temps, je le rassure que c’était la première fois mais pas la dernière. Une fois sortie de prison, nous nous sommes retrouvé et vivons ensemble depuis 10 ans, je l’aime et lui aussi.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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