Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 17:12

La tournée du facteur (Alexandre)

J’ai réussi à me faire muter dans ma région, j’ai même eu la chance d’avoir la place d’une collègue dans mon village. Je retrouve beaucoup de gens que j’avais un peu oublié depuis les 10 – 15 ans passés dans les grandes villes. La vie prend un rythme agréable avec de bons moments. Un jour, pendant ma tournée, vers 11h30, j’arrive dans la cour de la ferme des « Dubois », Alexandre est un ancien copain d’école, toujours plus fort que les autres et un peu branleur. J’ouvre la porte de la voiture, quand je l’aperçois près du puits, j’approche de lui, il fait déjà un beau soleil depuis le matin, il tourne la tête et me sort « punaise Emeric, tu tombes bien, je me suis bloqué le dos », j’approche, « qu’est ce que je peux faire », « masse-moi le dos, stp », je pose ma sacoche tout en le regardant car c’était plutôt rare de le voir se plaindre, je me positionne derrière lui, il a les mains sur le rebord du puits, je glisse ma mains sous sa salopette et commence à le masser. Il bouge un peu les bras devant lui pour retirer les bretelles, me donnant plus facilement accès, il tire sur son fût et me voilà libre de lui masser tout le dos, qu’il faut reconnaître est carré et musclé, il a du se froisser quelque chose, un gaillard comme lui ne peut pas se péter un truc si facilement, je le masse sans arrière pensée, mais je m’aperçois que sa salopette est descendue plus bas que prévu, je peux voir la moitié de ses fesses car il n’a pas de slip, « houa », j’avoue que j’ai toujours maté Alexandre à la piscine de l’école car il s’exhibait toujours pour nous montrer qu’il était déjà plus musclé que nous et surtout qu’il avait des poils lui. Son sexe ne laissait pas non plus indifférent car long, surtout par rapport à nous qui étions puceau et sans avoir encore eu l’occasion de notre première branlette. Je continu mon massage, quant à un moment, il se redresse, et se met à me faire face, me remercie en me prenant le recommandé pour le signer. Je n’ai pas d’autre regard que son bas ventre car il n’a toujours pas remonter sa salopette, je peux constater qu’il n’a pas perdu de sa plastique dans ses abdos, son torse est parfait mais ce que je mate est surtout le bas de son pubis qui laisse apparaître son gros sexe, il me rend le tout en me souriant « toujours à me mater, tu n’as pas changé depuis l’école, merci pour le massage, tu as des doigtes de fée, au lieu de facteur, tu aurais du être kiné, j’aurais été un fidèle client ». Et il remet ses bretelles, car sa mère sort devant sa maison, il me dit en me tendant un billet « peut-tu m’acheter une crème contre la douleur et me l’apporter ce soir au manoir  « au manoir ? », « oui, mes parents me l’ont donné et j’y habite tout seul », vient vers 20h. Il se tait, sa mère m’embrasse, nous discutons un peu de la vie du village, mais je prétexte que j’ai du retard dans ma tournée, pour y aller. Une fois finie, je vais comme demander, chercher à la pharmacie de la crème pour le soulager, chez moi, je ne vois pas les heures passées, il est presque 21h, j’enfile mon blouson , prends mon casque et descends, démarre ma moto et me voilà partit direction chez Alexandre, j’entre par le grand portail qui est ouvert maintenant, ça me fait tout drôle de passer par le parc, quand nous étions enfants, il était strictement interdit de franchir la zone du parc, j’arrive devant le perron, je mets la béquille et monte les marches, je frappe mais personne ne répond, j’entre ouvre la porte et découvre un très joli hall d’entrée, très ancien mais décoré avec goût, je reste silencieux devant ce splendide lieu, jamais j’aurais pensé que cet endroit était si joli, je lève la tête pour découvrir Alexandre en ahuri de l’escalier, il me fait signe de monter le rejoindre, j’ôte mon blouson en grimpant et lui serre la main. Il est habillé comme il l’était quand nous étions jeunes, un short bleu lui libérant ses cuisses musclées, et un tee-shirt blanc montrant sa musculation parfaite, il me dit de le suivre, nous passons dans un grand couloir, je lui dis que je ne savais pas que son habitation était aussi belle, il sourit en se retournant « ça te plait », « oui, c’est super », « tant mieux », et il œuvre une porte, me fait entrer, nous sommes dans sa chambre. Une belle pièce, un lit à baldaquin et tout en pourpre du style de l’époque, les fauteuils et chaises en toile de jouy. Rien que ça, « houa, tu fais musée en plus », « non, j’ai retrouvé les meubles d’époque que j’ai rénové », il s’approche du lit, ôte son tee-shirt en me souriant, hésite trente secondes en me disant, « va chercher une serviette dans la salle de bain », en me désignant une porte à gauche, j’y vais en passant près de lui au moment où il ôte aussi son short, je n’ai pas eu le temps de le mater, mais je suis maintenant sur qu’il est à poil, je me regarde dans le miroir, et me passe de l’eau sur le visage pour reprendre mes esprits, sa salle de bain, est comme celle d’un catalogue de mode de décoration, super moderne, tout en gardant le style ancien du manoir, je reviens le voir, il est allongé sur le ventre, me montrant sa nudité, son joli petit fessier , je m’approche, il me donne le tube, je m’assoie sur le bord du lit sans broncher de la situation, c’est un peu bizarre quand même de vouloir que ce soit moi qui le masse, il me laisse faire et me sort « punaise, j’ai bien fait d’attendre ce soir, ma mère voulait le faire, je préfère largement tes mains qui me touche, tu es doux », je le laisse parler car j’ai mieux à faire, mes yeux partent dans tous les sens du haut en bas de son corps, je mate à m’en faire mal, je vois mes doigts qui le tripotent sans détour, quant à un moment, il me demande de descendre plus bas, je le connais assez pour savoir qu’il me charrie, je le fais en passant de la crème sur ses fesses et entre sa raie, ses jambes et ses bras, il pousse de petits gémissements à chaque passage sur ses parties intimes, au bout d’une heure je frotte mes mains dans la serviette, et lui annonce que j’ai terminé, c’est alors qu’il s’est retourné me faisant admirer sa nudité, son sexe ne bandait pas mais avait une taille largement au-dessus de la moyenne, il ne se cachait pas, me montrant même volontairement ses parties intimes, en mettant ses bras derrière sa tête et écartant ses jambes, je ne bougeais pas, il parlait des travaux qu’il faisait dans la salle de réception, alors que je voyais ce type m’exhiber tout son corps, j’étais excité ma bosse dans mon pantalon pouvait sans problème me trahir, il me regarde en souriant, je voyais bien qu’il en faisait exprès, et je ne voulais pas qu’il gagne, je ne céderai pas, je ne bougeais toujours pas et admirait toutes les parties qu’il voulait bien me montrer, en lui répondant calmement quant à un moment, il craque, car il se redresse, s'approche près de moi, et pose ses lèvres sur les miennes, j’avais réussi, c’était divin, ses mains partirent directement l’une sur ma bosse et l’autre sous mon tee-shirt, il arrêta de m’embrasser « tu bandes, mon salaud », et il commence à m’ôter les boutons de jeans, il eut rapidement fait de me mettre à poil, tous deux nous étions sur le lit, je n’y croyais pas, mais ma bite oui, car sa main ne la lâchait plus, il me branlait tout en me roulant une pelle d’enfer, je décida donc de faire comme lui, ma main droite se préoccupant de son superbe torse et se figea sur un de ses tétons bien durs, il pointait tout droit, ça l’excitait aussi, j’eu l’idée de poser ma bouche dessus  pour lui titiller, il gémit  mais ma deuxième main n’avait pas charmé, car elle parcourait ses bourses et sa grosse queue, je savais qu’il était bien monté, mais il allait au-delà de mes espérances, je me mis à la regarder tellement elle grossissait centimètre après centimètre, il était en train de me pétrir les fesses pendant que je commençais à lui lécher le gland, tout se passa si vite, il me prit dans ses bras au bout d’un moment, me cajola mais il savait ce qu’il voulait car je me suis retrouvé sous lui , les jambes écartées, Sa masse musculaire me plaisait, j’aimais bien le caresser, lui me fit comprendre rapidement qu’il voulait passer à la vitesse supérieure, car son gland commençait à bien mouiller et ses doigts étaient déjà bien encrés dans mon trou, il me massait la poste, me faisait délirer, tellement j’adorais sa précision, il saisit un tube de gel et commença à m’en enduire la rondelle puis il passa sa main sur son gland, et le long de sa tige, il me souleva les jambes, tout en positionnant son gland sur ma rondelle, « je préfère te prendre sans, j’aurais plus de sensation, ne crains rien, je suis clean », à peine dit les mots qu’il s’enfonce en moi, je n’ai pas longtemps à attendre pour l’avoir complètement en moi, je ne râle pas et pourtant elle est la plus grosse que j’ai pu avoir, mes râles lui confirme que j’aime ça, il en profite pour accélérer le rythme, et me transpercer littéralement, il me fixe en souriant, des larmes coulent sur ses joues, il remue et commence une grande et profonde chevauchée qui ne se terminera pas avant 10 bonnes minutes, il me dit attendre ça depuis le lycée, je supporte sa grosse queue uniquement parce que je plane de bonheur , son corps se fige à un moment, il accélère tellement que je comprends qu’il va jouir, je me branle et jouis en même temps, qu’il sort sa bite pour me jouir sur le ventre avec des soubresauts impressionnants, il s’écroule su moi, ne bouge palus, il n’est pas léger, mais j’en profite, je voudrais garder ce moment dans ma mémoire, il a un dernier petit saut avant de se mettre sur le côté « merde, j’ai adoré, tu es bandant, je n’ai jamais joui comme ça, ton cul , c’est une merveille », il me sourit « dors ici ce soir », « je ne peux pas, je bosse demain de bonne heure », il me fixe «  tu rigoles, prétexte autre chose, j’aurais trop envie de toi cette nuit », « justement, je ne vais plus pouvoir marcher demain à cette allure là », « tu n’as pas aimé », « si au contraire, moi aussi, je la voulais depuis longtemps », « alors reste, elle est pour toi », je l’embrasse et me lève, il est très doux, ses petits poils qui descendent du torse au pubis me font craquer, « j’ai envie de te revoir », « tu me vois tous les jours », « non, pas le facteur », « oui, j’ai compris », « alors tu viendras demain soir manger, et prends un rechange », il avait gagné car de toute façon demain nous étions samedi, je me sèche et m’habille, il m’accompagne en peignoir jusqu’à l’entrée , me bloque pour m’embrasser avant d’ouvrir, « bonne nuit, et viens demain », je le quitte assez perturbé de ce qui vient de se passer, je ne m’attendais pas à me faire défoncer aussi bien dans ce petit bourg, je remonte sur ma moto, le cul en bouilli, une fois arrivée, il  ne m’a fallu juste le temps de me déshabiller pour m’endormir, les cinq heures du matin vinrent trop vite, quand ma voiture entre dans la cour des parents de Alexandre, sa mère s’approche en premier, elle m’embrasse et demande de venir ce soir, pour dîner chez eux, qu’ils auraient bien voulu passer la soirée avec moi, Alexandre accoure en me prenant dans sas bras pour me faire une accolade, « ne cède pas », me dit-il à l’oreille, et il me raccompagne à ma voiture, « ne t’en fait pas, elle va s’acharner sur moi, soit à l’heure , avec ta brosse à dent », et il me fait un clin d’œil, je ne sais pas si sa mère nous voyait, mais il n’a pas hésité à me mettre sa main aux fesses, je suis repartis encore perturbé, la matinée se passe tend bien que mal, mais une bonne sieste arrange tout ça dans l’après-midi, 20h arrive,              quand je parcoure le parc en moto. Je me gare et montre le perron, il est là, à m’attendre, il me saisit les épaules et m’embrasse sur la bouche, heureusement que personne ne peut nous voir dans ce grand parc, il me prend la main et m ‘emmène dans la cuisine, une vielle cuisine qui ne manque pas de charme, dans un aménagement réactualisé, il semble savoir cuisiné car ça sent super bon, il s’approche de moi avec un bouteille de champagne, me bécote,  « je te garde pour le dessert, en attendant voilà »,  et il ouvrit la bouteille, les coupes débordent sur la table, il m’en donne une et me dit de le suivre, nous visitons les lieux, impressionnant de voir dans quel état de bonne conversation est resté ce manoir inhabité, Alexandre me dit que sa mère l’a toujours entretenu , même s’il n’y vivait pas, je comprends mieux, d’un boudoir de lecture, nous nous retrouvons dans la salle à manger, où il n’a pas oublié de mettre la table « tu vas être déçu, mes parents m’ont tellement embêté qu’ils voulaient te voir, que j’ai été obligé de les inviter », je souris de le voir faire la mou, un peu déçu, « ne t’inquiète pas nous aurons tout le temps après », « crois-moi que je ne vais pas te lâcher de la nuit », à ce moment là , la porte d’entrée claque et nous entendons, sa mère faire des « hou, hou… il y a quelque un », avant de sortir les rejoindre, nous nous embrassons tendrement, sa mère s’est fait belle, je serre la main de son père, et nous voilà dans un petit salon, les canapés et petits fours nous attendaient, la conversation n’a pas arrêté de toute la soirée, Alexandre essayait le plus possible de me toucher en me servant, une main sur l’épaule, un bras coller au mien quand je me servais, tous ces détails auraient du être visible pour sa mère, mais je pense qu’elle était très contente que ce lieu de son enfant, revive de nouveau, !Alexandre  était à nos petits soins, aucune raison de se lever tellement , il avait tout calculé, les vins et les mets étaient excellents, la soirée se termina dans la gaieté des parents, Alexandre prétexta que je l’aiderais à débarrasser pour me garder, sa mère me dit « tu es comme chez toi ici, nous t’aimons beaucoup », je n’ai pas tout de suite compris, à peine la porte fermée, que Alexandre m’a littéralement sauté dessus, nous n’avons même pas attendu de monter dans sa chambre, c’est dans le hall qu’il m’a mis tout nu et commencé à me sucer, j’étais déjà en érection, il se débrouillait bien le cochon, je n’étais son premier, ses doigts me tripotait l’anus, je me mis à le déshabiller aussi, nous nous sommes allongé sur le fabuleux tapis, pour faire un 69 parfait, je commençais à gémir beaucoup quand il m’a tourné et s’est frotté à moi, sa bite était énorme, je ne crois pas que cette fois-ci, j’allais  m’en prendre une de 23 cm sans difficulté, et ses reins firent le travail, je me suis retrouvé coller au tapis, pendant que sa  matraque m’envahissait, c’était  évidemment très bon, je râlais de plaisir, et lui en profitait largement , car je fis libéralement possède et n’eu le droit à un répit qu’après de longues minutes, ses coups étaient d’une précision à me donner un orgasme à chaque fois, je ne me sentais plus moi-même, il pouvait faire de moi sa chose, il changeait de position à volonté mais réussissait à tous les coups pour me donner ce que j’aimais, c’est ensemble que nous avons joui mais cette fois, j’eus tout son sperme en moi, il râlait , tellement il aimait, il se retrouve près de moi, toujours encastrer en moi, je ne bougeais pas, mais je sens encore son engin vibrer, je l’embrasse « c’était super bon », il me dit « tu restes ici avec moi ? », « oui, deux fois, plutôt qu’une », il me redonne encore un petit coup de rein et s’enlève, se redresse et m’aide à me relever, nous partons vers l’escalier nu laissant à terre nos vêtements, nous grimpons pour nous doucher, une fois fait, nous nous installons dans ce lit assez grand pour nous, il me serre contre lui et me dit bonne nuit, je n’ai pas trouvé le sommeil aussi rapidement que lui, ce n’est que le lendemain que je m’aperçois que nous avons dormi 12h, dans les bras l’un de l’autre, il se réveille et me sourit en me donnant un bisou sur le front, il me dit qu’il faut se lever sinon, nous allons rester toute la journée ici, il me lâche et se lève, je redécouvre son corps parfait, je ne me lasse pas de le regarder, lui prend plaisir de se balader nu, il me prend le bras et me fait lever aussi, il me donne un caleçon et nous voilà partit pour la cuisine, il s’agite pour nous faire un petit-déjeuner copieux, j’essaye de l’aider en cherchant les bols ou le lait, il me fixe en voulant me dire quelque chose, je ne sais pas quoi, il trempe sa tartine dans son café tout en me disant « tu ne voudrais pas emménager ici, si tu veux, tu auras ta chambre, même si je préférerais que tu sois dans mon lit « , je le regarde étonné car je ne m’attendais pas à ça si rapidement, spontanément je lui répond « pourquoi pas, même si je n’ai pas de chambre », il semble troublé de ma réponse « tu es d’accord ! », « oui, si tu ne me crois pas vient avec moi chercher mes affaires », « ne me cherches pas, j’en suis capable tout de suite en caleçon », « on pourra peut être attendre d’être habillé », il sourit et vient me donner un baiser très tendre, nous passons notre petit-déjeuner à faire des projets, il m’annonce qu’il avait un voyage de prévu au Mali et qu’hier, il a réservé pour moi aussi », « tout doux, bel étalon, je dois d’abord me faire remplacer, et ce n’est pas facile », il s’approche de moi , pose sa main droite sur ma cuisse, me fixe « tu ne pourras pas résister à une semaine sans moi, maintenant », nous concluons le conversation, et finissons de ranger la salle et la cuisine, de l’agitation d’hier, une fois doucher et prêt, il m’emmène dans son espace et nous voilà devant la maison, que j’ai hérité de mes parents, je le fais entrer, il me sourit, « j’ai plein de souvenir d’ici », je le trouvais ému de revoir cette maison, nous montons dans ma chambre, que j’ai toujours gardé même après la disparition de mes parents, il ne me laisse pas agir tout seul et m’aide à prendre le maximum d’effets pour être su que je ne revienne pas ici, il me dit « tu pourrais la louer, ça te ferait du fric »,  « non pas pour l’instant », il descend tout ce qu’il peut le temps que je range, la maison et nous voilà de retour vers le manoir, je souris , « pourquoi tu ris ? », « tu crois qu’il va falloir que je prévienne le facteur de mon déménagement », et nous voilà dans un rire commun. Nous re transvasons tout de l’espace à sa chambre et je découvre qu’il y a de l’autre côté de la salle de bain, une autre porte pour accéder à un dressing-room super bien aménager, il a du en dépenser du fric pour avoir tout si parfait, nous posons mes chemises et fringues diverses, quand je le sens près de moi, ses mains me soulèvent et me plaque contre le mur, commence à m’ôter mes vêtements, je suis coincer entre lui et ce mur, je suis nu en érection devant lui, il m’embrasse à grande bouche, j’ai une trique d’enfer, lui ne tarde pas à faire descendre soin fut, il mouille beaucoup, je sens deux doigts me pénétrer l’anus, un râle me sort de la gorge, il me lubrifie en crachant sur ses doigts, et me voilà les jambes sur ses épaules, le dos appuyé au mur, à sentir la pénétration, il me regarde fixement, « tu es à moi », et il m’encule, je le fixe d’excitation, ma libido s’accroît, la pose est confortable, ses coups sont dément, je ma supporte plus que la situation, au fur et à mesure, nous descendons contre le mur pour nous retrouver à terre. C’est l’extase car il bande bien, ma rondelle se laisse masser par l’intérieur, je cris de plaisir de plus en plus fort, quand nous jouissons la pièce résonne, nous nous calmons quand nous entendons , une voix, « vous êtes là », Alexandre me fixe, se retire de moi, cherche son caleçon du regard, le saisit et l’enfile, sa bite coule et reste grosse encore, il sort du dressing pour voir qui est là, je l’entends parler, je prend mon caleçon aussi et met mon tee-shirt, je fais le même trajet que lui et me retrouve à côté de lui, en bas de l’escalier se tient sa mère « bon, nous vous attendons vers 20h, et elle ferme la porte d’entrée en nous faisant un petit coucou de la main, Alexandre me fixe, moi je fixe son caleçon trempé par le sperme, son sexe est encore volumineux et déforme le tissu, « nous devons dîner chez eux ce soir et c’est un ordre, ils veulent nous parler », il me prend dans ses bras « désolé, ils n’ont que toi et moi, mais promis , nous allons fermer la porte d’entée pour avoir notre intimité », je lui souris pour approuver, nous repartons finir le rangement, il me taquine en me bloquant de temps à autre dans les placards, je ne peux pas trop rivaliser, va sa force, j’aime son contact, je lui pose la question « depuis quand es-tu homo ? « , « depuis que je t’ai vu mater ma bite et que je me suis mis à bander en pensant à toi », « au lycée », « eh oui », « et toi ? » , « pareil, j’ai toujours su que j’étais gay », une fois habillés, nous allons à la cuisine, et il m’emmène dans la cave, c’est là que je découvre une bonne centaine de bouteilles entreposées. Il me demande ce que j’aime et en saisi une « une très bonne, tu vas voir », et nous remontons. L’heure arrive vite , alors qu’il me faisait voir les travaux en cours, dans l’autre aile, et la grande salle de réception, je lui demande si les coûts sont important, il me rassure qu’oui mais qu’il avait économisé en achetant plusieurs appartement qu’il avait en location ce qui lui donnait un capital au ¾ pour ici, « bon gestionnaire en plus d’un bel étalon », « et attends de voir ce que je peux être en bon mari », et il m’embrasse amoureusement, nous partons à pied, en direction de la maison de ses parents, un petit km, nous sommes accueillis à bras ouvert, tout était déjà prêt, l’apéro sur la table et le reste, tout se passe bien, jusqu’au moment où son père parle « bon, nous voudrions savoir une chose , si c’est le cas nous , pensons que nous pourrions faire un geste car il n’y aura pas de mariage, êtes vous ensemble », Alexandre me regarde, il se remet bien dans son fauteuil et fixe ses parents qui sont crochés à ses lèvres. « disons que Emeric va habiter chez moi, maintenant », et sa mère qui reprends « ça , nous le savons, nous voulons savoir , si vous êtes ensemble, tu comprends », il baisse les yeux, alors je décide de prendre la parole, « nous en avons parlé, je pense malgré le peu de temps ensemble que l’on dirait ou », ses parents se regardent, sa mère se lève et vient m’embrasser, son père se lève aussi, « bon nous allons pouvoir fêter ça », et reprend la bouteille de champagne, et nous serre, Alexandre ne dit rien, mais il sourit, je crois qu’il a une larme à l’œil, son père reprend la conversation,  « bon, nous avons décidé te mère et moi, étant donner que maintenant tu vas vraiment vivre dans cette baraque, nous avons prévu depuis très longtemps la faire rénover, alors tu auras l’argent », Alexandre me regarde étonné « mais vous ne me l’aviez jamais dit », « nous voulions être sur ue tu y vivrais », « mais vous l ‘avez d’où cet argent », « mais qu’est ce que tu crois, que nous avons travaillé pour rien », « mais c’est à vous », « ho, nous, ne te donnerons pas tout, ça c’est sur », et nous trinquons sur cette excellente surprise. Nous repartons un peu paf, mais assez lucide pour se faire un petit 69 avant de dormir. La vie st tellement belle quand elle est simple, même après 6 années de vie commune.

Fini

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