Mardi 23 juin 2 23 /06 /Juin 16:37

Le secrétaire particulier (Abel)

 

De retour en France depuis peu, il me faut un job rapidement, ma copine chez qui je squatte, me met en contact avec un homme d’affaire, qui cherche un secrétaire particulier, je me présente au siége de l’entreprise du soit disant veuf, bourré de frics. Arrivée dans cette magnifique battisse du 18 ème siècle, une hôtesse m’installe dans un petit salon splendide, me laisse poiroter une bonne ½ heure. Elle réapparaît, je la suis, me plante devant une très grande porte à deux battants. Je frappe, on m’ouvre, je tombe nez à nez avec un jeune mec d’environ 30 ans, super mignon, grand, brun, très classe, un regard perçant vert émeraude, je connais ce visage, mais d’où. Il me fait asseoir sur un canapé, son bureau est immense, il me demande si je connais le profil du poste, tout en me servant un café, ses traits fins ne me sont pas inconnus, mais qui est-il ? Je dis ne pas trop savoir, il m’explique que la personne choisie, doit avoir surtout beaucoup de temps disponible, car il faut le suivre dans ses déplacements régionaux et internationaux, savoir conduire, pouvoir organiser la gestion du soir quand le personnel est parti, mais par contre le salaire est très bon, un espace privé est disponible dans la maison familiale, que lorsqu’il est au bureau, la personne peut faire ce qu’elle veut du moment qu’elle est présente dans la demi-heure pour le conduire car il n’a pas son permis. Il m’avoue que je suis un peu jeune, mais que connaître trois langues jouaient en ma faveur. Il me propose de venir à 17 heures visiter la propriété, et voir si j’étais intéressé. Nous nous retrouvons donc devant ses bureaux à l’heure dite, une magnifique Mercedes Papillon des années 50/60 arrive devant nous, les portent se lèvent vers le haut, splendide voiture de collection, un jeune sort et vient vers nous, il me tend les clés et part. Le mec sourit, en voyant ma tête, il a des dents d’un blanc incroyable, son visage s’illumine, il est très beau, mais comment je le connais ? Il me dit «nous y allons », je prends place, hésite et nous démarrons, punaise le pied, nous faisons une dizaine de kilomètres et nous voilà devant un très gros portail, qui s’ouvre automatiquement, le parc est magnifique, un château se trouve au font, il est très majestueux. Je me gare devant, nous entrons dans la demeure, grandiose, un palace, j’adore déjà ce lieu, il m’accompagne dans les pièces, me présente, la cuisinière, la servante, la personne de l’entretien, et nous retrouvons dans l’appartement privé qui est super mignon, nous redescendons dans un bureau, et me demande ce que j’en pense. Je réfléchis, la jeune femme apporte un plateau de petits fours, qu’elle pose en annexe dans la rotonde, ressort, je lui affirme que je suis preneur, il me confirme les différentes tâches pour ne pas avoir de litiges avec moi après. Je lui réitère mon affirmation, et la fille revient avec un autre plateau, une bouteille de champagne et des flûtes, et repart. Nous mettons tout sur papier, et allons dans la rotonde trinquer, il me dit, qu’il me laisse une voiture, pour repartir ce soir, mais que demain serait bien pour commencer, puisque c’est le début du week-end, il aura plus de temps pour m’expliquer. Le jeune homme d’entretien entre, je prends congés, il m’emmène vers les dépendances, intrigué depuis le début sur le Boss, il me dit qu’il est très célèbre comme mannequin international, et que maintenant il travaille avec des boîtes de hautes coutures et de parfums. Je lui demande où il crèche lui, et me répond que personne ne vie ici, à par  le Boss et moi, tout le personnel à un logement de fonction dans la ville voisine. « Merde, il est bourré de fric », je lui sors, il rit et me le confirme en m’ouvrant la porte du hangar, une bonne dizaine de voitures étaient parquées, toutes aussi belles les une que les autres. Il me dit choisissez, mais si j’étais vous, je prendrai celle du fond. Punaise une jaguar type E, une très belle voiture de 1966, j’hésite et me dis qu’après tout pourquoi pas. Je monte et pars. Le lendemain, après une nuit très agitée, le portail s’ouvre à mon arrivée, je rentre dans le garage, je vais vers le vestibule. Il est là, un grand sourire aux lèvres, il est en short, des jambes longues, musclées, un vrai Playboy. Il me dit m’attendre pour le petit-déjeuner. Nous nous retrouvons derrière le château, devant une piscine, la terrasse est gigantesque, une table est dressée, nous nous asseyons et me sort, « bon, nous devons prévoir, votre garde-robe, nous avons donc la journée pour ça, et dimanche pour s’organiser pour la semaine. Avec lui on ne perd pas de temps, il me tend une amex et une visa, me dit que j’ai un compte ouvert, car il déteste payer. Je le regarde et m’étonne de sa confiance absolue. Je commence à aimer ce mec, s’il m’achète comme ça, c’est sur, il pourra me demander ce qu’il veut. Après installation dans mon appartement, nous nous retrouvons pour partir, une splendide Porsche est prête devant le porche, il prend place et nous voilà partis, il me fait arrêter devant une très grande marque de fringues, nous entrons, et se fait saluer comme une star, je pouffe de rire, il se retourne. Je reprends mon sérieux, quand  nous entrons dans un petit salon pour essayage, tout est prévu café, mignardises, punaise, je lui dis qu’il doit en larguer ici, pour qu’il soit accueilli comme ça, il me répond que la boutique est à lui. Je suis scotcher, il me fait choisir la panoplie complète, des pantalons, chemises, slips, chaussettes, caleçons, cravates, manteaux, chaussures de différentes teintes, je me retrouve obligé de jouer les pantins, ils sont tous sur moi, à me peloter, même lui, d’ailleurs, il n’hésite pas pour me tripoter les fesses l’enfoiré, il ne serait pas PD celui là, non il était marié, je rentre dans le jeu. La journée passe vite, nous faisons plusieurs magasins, tous aussi beaux que le premier, je me retrouve dans l’appart avec pleins de paquets de vêtements, génial jamais je n’avais fais marcher une amex aussi souvent. Le soir arrive, il m’appelle, je cours dans les escaliers, je n’ai même pas eu le temps de mettre une autre tenue, tant pis je resterais en jean chemise, il m’explique que le soir, nous dînerons soit ensemble ici ou dehors, ou il dînera seul dans son bureau. Merde, un mec aussi beau qui vit seul, ce n’est pas normal, vu tous les appels d’invitation pour le week-end qu’il a eu. La servante avait tout prévu, nous dînerons dehors sous une petite tonnelle, à côté de la piscine. Je le félicite de sa demeure, je le sens qu’il m’observe de côté, que cherche-t-il ? Après un excellent dîner, nous discutons sur des transats, et me dis qu’il va se coucher car demain sera encore une journée importante pour nous. Je le regarde partir, je débarrasse, et monte-moi aussi me coucher. Dans la nuit, une petite envie, me fait descendre prendre une glace, je perçois la lumière dans le parc, vers la piscine, je vois qu’il est nu, et plonge dans l’eau, il a un corps très bien dessiné, il s’entretient, je le vois remonter au plongeon, sa queue semble belle, je commence à me toucher le sexe à travers mon slip, je m’enhardis, passe le porche et viens vers lui, il me regarde, sourit, « alors, insomniaque, venez vous baigner », je ne me pose pas de question, je glisse mon slip, ma bite est à demi en érection, je m’avance, et plonge. Nous faisons quelques longueurs, et sortons, punaise, sa bite est grosse et longue, elle doit faire 20 cm au repos, il s’essuie en me matant, je ne me cache pas, nous buvons un verre, nu l’un à côté de l’autre, il s’approche de moi, mets sa main sur mon dos, me caresse, et descends, il s’arrête au creux de mes reins, je regarde sa bite, il bande, j’approche ma main, le touche, il ne bronche pas, il se laisse branler, il glisse sa main sur mon fessier, je pousse un soupir, je me cambre, il me fait un bisou dans le cou, je n’arrête pas de le branler, son chibre est énorme, elle fait 25 cm, Je ne pourrais pas l’avaler, je lui lèche les tétons, pause mes mains sur son fessier bien ferme, il glousse, je continu, ma descente, percute sur sa bite veineuse, il pose sa main sur ma tête et me dirige vers sa matraque, j’ouvre la bouche, tire la langue pour lui lèche le méat, il tremble, je le caresse entre les fesses, il pousse son gourdin dans ma bouche, je ne peux plus bouger, il l’enfonce au fond de ma gorge, des spasmes lui parcoure le corps, il me dit qu’il aime ça, je m’en doute vu comment il bande, il commence ses allers venus, me martèle le palet, je mets un doigt le long de sa raie, il se laisse faire tellement il prend son pied dans ma bouche, ma phalange entre dans son cul, il pousse un cri, j’enfonce jusqu’au fond, il sort sa bite et m’éjacule sur le visage. Il retire mon doigt, me relève, m’essuie sans rien dire, il me sourit. J’ai une gaule, à ne plus pouvoir tenir, il regarde ma trique, et part à sa rencontre, je le sens, me lécher, me tripoter les bourses, il s’active sur mes fesses autant que sur ma bite, il l’engloutit complètement, je le pénètre à grand coup, il aime, m’écarte les fesses et entre un doigt dans mon fion, je ne vais pas résister longtemps, il comprend, me lâche et prend dans la gueule des jets de spermes crémeux. Il se relève et s’essuie, me regarde et dit, « si tu ne veux pas continuer à travailler pour moi, je comprendrais » ; je lui réponds que je ne mélange jamais plaisirs et travail, mais qu’ici, tout était déjà ensemble alors, pas de problème. Il me tape sur la fesse et me souhaite une bonne nuit. Je m’allonge sur mon lit, et me met à rêver. Au petit matin, il m’appelle, « le petit-déjeuner, est près, tu descends », il m’a tutoyé, je saute du lit, me douche vite fait, dévale les escaliers, et me présence en tenue de sport, très classe, il siffle, me sort  « je pense que je vais avoir de la concurrence, dans le mannequinât », il me prend par le bras, et m’emmène dans un petit salon bibliothèque, nous discutons de la semaine future, il ne fait pas allusion à cette nuit, il me regarde avec naturel, il semble super bien dans sa peau, ce ne doit pas être sa première expérience homosexuelle. Je l’écoute attentivement, prend des notes, il me donne un rdv « style chic » dans 20 minutes, je remonte vite me redoucher, raser, parfumer, mais hésite sur la tenue, je l’appelle ne sachant pas quoi mettre, il arrive au bout de 5 minutes, une serviette à la taille, je suis nu, il ne dit rien, ouvre le dressing-room, et me choisi la parfaite tenue de sortie class du dimanche, je le regarde faire, il est très beau, je bande rien qu’à le mater, il s’approche me caresse le sexe, m’embrasse sur l’épaule, et me dis de me dépêcher et ressort en me laissant dans un état d’excitation total. 15 minutes passe, je l’attends, une très belle Aston Martin cabriolet rouge, se trouve sur le perron, il arrive, monte dans la voiture, nous partons. Nous arrivons à l’hippodrome, jamais je n’avais participe à ce style d’activité, je suis un peu gêné et le suis comme un petit chien, il me sourit, il est très beau, son côté glamour, fait retourner les gens sur son passage, il me dit  « tu as vu que les gens n’arrête pas de te regarder, un nouveau look et voilà un nouveau mannequin », je lui souris. Il me garde près de lui, nous passons du bon temps, pleins de gens viennent nous parler, il est hyper connu, il me présente comme son secrétaire particulier, et tous me dévisagent d’envie. Nous brunchons et les courses commencent, nous repartons vers les 18 h, car nous devons nous rendre ce soir à un spectacle. Une fois remis la voiture dans le garage, je monte l’escalier, et le voit qui m’attend en haut, il me prend la main, m’emmène dans ses appartements, alors là c’est superbe, d’une beauté, tout est d’époque, mais avec un mélange de modernisme, il me pousse dans sa chambre et me fait tomber sur son lit, il s’approche, me tire sur le polo, me le défait, ôte ma ceinture, me dégrafe le pantalon, le vire et vient me faire un baiser sur la bouche et me dit « je crois qu’il faut que je fasse mes marques, car j’ai eu beaucoup de monde, me demandant de te libérer, pour qu’ils t’engagent ». Je lui souris, il me prend la bite, la caresse, me tripotent les bourses, et commence à glisser un doigt dans mon cul, j’écarte les cuisses, lève mes fesses, le laisse faire, il s’approche de ma bite, la prendre dans sa bouche, il me lape, va mettre sa langue sur ma raie, j’ai les jambes relevées, mon cul est offert, je n’avais jamais été léché par un mec avant, il sait y faire, mais s’il veut mon cul il peux courir avec sa grosse bite, il tire sur sa chemise baisse son froc. Il vient se mettre devant moi, s’allonge sur moi, nos deux corps nus s’épouse à merveille, nous nous frottons les deux sexes ensemble, je respire de plus en plus fort, il prend du gel, me demande si je suis d’accords, je ne réponds pas, il me lève les cuisses, me badigeonne de gel la raie du cul, entre un doigt, deux, je gémis, il me pénètre, enfonce-le tout au fond de mes entrailles, il ressort son doigt, me lèche les tétons et je sens sa bite butée sur mon anus, il force, entre le gland, je suffoque, lui dis d’arrêter, que je suis puceau, que je ne peux pas la prendre, elle est trop grosse, il ne m’écoute pas, Il s’enfonce encore, je gueule, il est au fond, je respire fort, transpire à grosses gouttes, il m’embrasse alors que je sens sa matraque défoncer mon rectum, il me baise, comme un taureau, il s’excite sur mon cul, je me branle, et je m’aperçois que j’aime sa queue en moi, je jouis, il n’hésite plus, et me burine, comme un malade, je prends des coups de butoir, insupportable, il me transperce, complètement, je vais avoir le cul ouvert, ça c’est sur, il n’arrête pas, me laboure encore un bon 1/4  d’heure, je n’en peux plus, même si les positions changent, je me prend son gourdin à chaque fois au fond du cul, il sort et m’éjacule une saucée de sperme ça n’arrête pas de gicler, il est au cinquième jet, encore un, merde, il en avait à revendre, il s’abat sur moi. Je suis épuisé, il me dit qu’il a prévu, un théâtre ce soir, si je veux l’accompagner, je le fixe, l’embrasse goulûment, me lève, mon cul est en feu, je lui rendrais au centuple ce qu’il vient de me faire. Il me dit ce que je dois mettre, il a vraiment beaucoup de goût, nous voilà reparti dans une Bentley. La soirée continue dans les présentations, des relances me viennent de temps en temps du cul me rappeler ce que j’ai subi tout à l’heure.  Plusieurs mecs et filles, me tournent autour, ils me disent que je suis un beau mannequin, que je devrais venir dans leur agence, mais mon boss arrive, me prend la main, et leur signale que j’ai déjà un contrat avec lui. La soirée est génial, nous rentrons, et me demande de venir dormir avec lui, je le suis dans sa chambre, je le caresse à travers son pantalon, ses fesses me plaisent beaucoup, je lui dis que j’aimerai bien y faire un tour. Nous nous déshabillons. Il se frotte à moi, me caresse, m’embrasse, me lèche, je lui tripote le derrière, le tourne, je m’abaisse, lui écarte, les miches, sa queue pend entre ses cuisses, il glousse quand je mets ma langue sur sa rosette. Je ne peux qu’admirer ce spectacle, il a un cul d’enfer, il me presse la tête entre ses fesses, je le léchouille, lui lape la rondelle, l’excite, il me dit « ok, tu peux me prendre », je remonte le long de son corps, ma queue vient buter dans son entre jambe, il se met à quatre pattes, j’admire la vue de sa grotte, prête pour moi, j’avance, positionne ma bite devant son petit trou, je frotte mon gland, je suis tellement mouillé que je n’ai pas besoin de gel, je force, le gland s’enfonce, il pousse un cri, me tient la main sur sa cuisse, je continu, mon ascension, il est super bon, je prend un pied fantastique, je rentre complètement mon chibre, il me dit sentir mes bourses, il bouge son petit postérieur, je remue aussi, mes vas et vient, commence à le faire réagir, il gousse, se branle, écarte encore plus ses jambes, remonte son cul, je le transperce, jusqu’au fond pour me venger, il aime ça, je le tringle encore plus fort, j’adore son cul, il gémit de plus en plus,  je sors, le retourne, lève ses jambes, je veux le voir, pendant qu il jouit, et qu’il voit que je le baise, je reprend ma place en lui, il me fixe, je m’arrête pas pour autant mon ramonage, il sourit de bonheur, son gland est tout rouge, sa bite à une dimension surnaturelle, je m’excite encore plus à la voir, il se cambre pour m’avoir dans ses parois les plus intimes, je viens l’embrasser, le perce de plusieurs coups de butoir, il me serre fort, il jouit, entre nous deux, pendant que je lâche ma purée dans son postérieur. Nous ne bougons pas il me caresse le dos, me câline, il me dit « j’aime bien quand tu me prends ». Mais fait attention à ton petit cul car il me plait aussi. Je le force à rouler sur le lit. Le sommeil nous envahi. Au matin, je sens sa présence, je le réveille, car nous devons partir bientôt, il me caresse, et me dit « oui Boss », je souris, lui donne une tape sur la fesse et bouge. Nous nous retrouvons, costume cravate, tous les deux, près pour partir après un petit déjeuner. Je dois faire plein de chose pour lui, aujourd’hui, nous nous retrouvons, vers midi car il doit se rendre à un déjeuner, avec un grand couturier, il m’abandonne, en me tripotant les fesses, pas très gentleman, mais j’aime bien. Il m’appelle vers 14 h, il faut que je monte le voir chez le mec, je sonne, un jeune m’ouvre, je rejoins mon Boss, je ne connais personne, ils me regardent tous, me fixent, je mate Abel pour savoir pourquoi je suis là, il me prend le bras, et me dis que je vais passer un casting pour le futur défile du créateur. Je proteste, je ne sais pas le faire, ils m’observent tous très sérieux, je comprends que je vais devoir jouer les pantins pour que mon Boss ait le contrat. Il me fait un clin d’œil, je pars avec une femme, elle me donne des vêtements à essayer, je me déshabille, devant d’autres mecs qui attendent aussi, personne ne me regarde, je me rhabille, et attends, nous rentrons tous dans la pièce, et commençons par aller deux par deux, je fais ce que je peux, après trois heures d’essayage nous repartons, Abel me dis qu’il a eu le contact grâce à moi, que je mérite une super prime, je suis heureux, je ne dépense pas un rond du mois et j’en gagne à gogo. Il s’approche et me demande si j’ai un créneau de libre pour la soirée, je souris, « à votre service Boss », il me tape sur la tête, « bon, nous allons nous changer, car ce soir, tu fais ta première dans le grand monde.

Fini

Par histoires gays cooletclean
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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 17:30

Le routier (Corentin)

 

Après deux jours de marche sur cette fichue route, je me retrouve dans le dernier relais avant le grand désert. J’essaye en vain de trouver un camion qui pourrait m’emmener. Je ressors du resto et vois un type au fond du parking en train de monter dans sa remorque. J’y vais et l’accoste, je lui explique mon problème, il me regarde et continu à remplir son frigo de bouffes et de boissons. Il saute de la remorque et va à la porte du camion, je le suis, il me fixe, il me mate des pieds à la tête, il a des yeux d’un vert émeraude magnifique. « Pas bavard » je lui dis en souriant, il ouvre la porte, « tu sais conduire », « oui une voiture », « bon j’ai perdu mon coéquipier alors ok, tu devras juste me remplacer pendant deux ou trois heures, le temps que je me repose, en échange, je te nourris et tu dors dans la cabine, alors ? », « Ok pour moi ». Il monte et m’ouvre la porte du passager. Je grimpe et pose mon sac à mes pieds. « Tu peux l’installer derrière », je pousse le rideau et trouve un lit pas très grand mais propre, je jette mon sac dans un coin. Et essaye de ne pas trop montrer mon excitation de voyager dans un si gros camion. « Tu sais que nous serons que tous les deux pendant 8 jours avant la première étape », « oui, oui, pas de problème pour moi, je me ferais tout petit », il sourit, il a une dentition parfaite, il se marre du jeu de mot car lui fait au moins 1 m 90 et moi 1m 80. « Nous verrons ça dans la cabine », et il me jette un regard bizarre. L’après-midi passe vite, il y a tout, télé, bar, jeux vidéo dans ce camion, un vrai petit appartement, je lui demande si je peux mettre mes pieds sur le tableau de bord, «si tu es pied nu, ok, de toute façon, tu peux même te foutre à poils, car tu ne vas pas voir autre chose que ma tronche et le désert ». J’ôte mes chaussures de marche et enlève mes chaussettes.

20 h, nous nous arrêtons en plein désert, il sort et s’étire, « ok, tu sais cuisiner ? », « Pas trop », il part ouvrir la remorque, je le suis, punaise que ça fait du bien de marcher, il monte et me tend la main, je m’élance, il me tire, je me trouve propulsé, il me rattrape en me bloquant dans ses bras, je sens sa respiration dans mon cou, il me dit «tu sens vachement bon », et il me lâche, me tend une table et deux chaises. Il sort de quoi manger, tout est déjà près, il avait commandé des plats tous préparés. Je redescends et installe la table un peu plus loin du camion, il s’assoie et me regarde, ôte son tee-shirt, la vache il est super bien foutu, ses épaules sont carrées, grandes et puissantes, ses seins pointes devant moi, il passe sa main dessus,  la glisse vers le bas, et se tripote les couilles. Il commence à m’exciter ce type, je discute, mais j’ai très peu de réponse, il m’observe et me sourit souvent, il est 22 h quand il me dit qu’il faut se coucher car demain la route reprend, je débarrasse pendant qu’il vérifie son camion, j’essaye de faire mon possible pour être gentil, mais il ne se force pas trop. Je remonte dans le camion et m’allonge en slip uniquement. 15 minutes s’écoule, je ne l’entends pas, la porte s’ouvre, il tire sur les rideaux, pour que le soleil ne perce pas, il met la climatisation et entre dans la cabine, j’essais de me recroqueviller le plus possible mais deux mecs comme nous dans un lit de 140 c’est quand même juste, mais la longueur est bonne. Il glisse son jean, ôte ses chaussettes et tire sur son slip, merde, il se met à poil, je me retourne pour ne pas le mater et surtout ne pas bander, il me touche de temps en temps, et s’excuse à chaque fois, « tu sais, ce n’est pas la peine de t’excuser à chaque fois, j’ai déjà dormi avec des mecs, et vu la taille du lit, ce n’est pas grave si tu me frôles », il ne répond rien, je sens son corps tout proche, il s’endort rapidement. Au matin, le camion s’arrête, Corentin ouvre le rideau et me dit « debout fainéant, il est 10 h c’est la pause »,  je me réveille, m’étire, j’ai très bien dormi, merde mon slip a glissé, je suis à poil, il a dut mater l’enfoiré. Je prends un short dans mon sac et pars dehors, il se rase, « bonjour, tu te rases en plein désert ! », Il me sourit « bonjour, ça va ? , Tu préfères dormir avec un mec sale et pas rasé ! », Et il m’observe comme hier, il aime bien voir l’attitude des autres, « non c’est sur que tu es plus mignon rasé », merde pourquoi j’ai sorti ça, je ne pouvais pas me taire, il va croire que je le drague. Il continu « le petit-déjeuner est près, tu veux quoi ? », « Seulement un café », « ok, donne-m’en un aussi, c’est chaud, nous partons dans 30 minutes ». Je dois faire vite, et  je lui demande comment on se lave ici. Il lève la tête et me montre du doigt, un tube au toit de la remorque, « ouais ! Je sais, c’est moi qui l’ai bricolé mais au moins j’ai une douche, par rapport aux autres ». « Géniale, je peux en profiter » Si tu as fini dans 15 minutes, oui », je me lève, il me dit tout en restant assis, de tirer sur la corde pour faire coulisser le tuyau, d’appuyer sur le bouton vert près de la cabine, je me tourne pour pas qu’il me voit trop, je fais glisser mon short et commence ma douche, il mate en dégustant son café, il me sourit, je me dépêche, il se lève s’approche, va vers la cabine en me dévisageant, et revient avec une serviette. Je m’essuie et il m’annonce que nous partons, j’ai à peine le temps de m’essuyer qu’il à déjà ranger tout et entre dans le camion, il met le contact, je me précipite nu dans le camion, il me regarde et sourit, « si tu restes à poil, tu vas me faire bander », je le fixe, entre dans la cabine, remettre mon short et un tee-shirt. Je lui dis que je n’ai même pas eu le tend de me raser, il avance sa main sous mon menton, me tourne le visage à droite et à gauche, toi, tu es très mignon comme ça tu te raseras demain ».  La matinée passe sans problème il est très sympa une fois le contact établi. Vers 16 h, il s’arrête et me donne le volant, je n’avais jamais conduit de camion, mais en ligne droite, c’est parfait, il me dit qu’il va dormir juste une heure, il monte sur le lit, ôte son tee-shirt, punaise, il a des abdos de rêve, il défait son short et reste en slip, il me regarde conduire, « je laisse le rideau ouvert comme ça je pourrai voir si tout va bien », je le mate, il a une bosse dans le slibard, carrément énorme. Il s’allonge et se tripote un peu avant de somnoler, je le mate de temps en temps et règle mon retro pour le voir mieux, il est très beau, un corps super muscle, et un paquet qui en dit très long. Au bout de deux heures, il s’étire, me regarde met sa main sur mon épaule, « ca va », je souris, « alors ce gros dodo », « tu aurais du me réveiller, je ne vais plus pouvoir dormir cette nuit, je vais t’embêter en remuant », il vient s’asseoir sur le siège d’à côté, son slip est tendu tellement sa bite est grosse, mais je ne pense pas qu’il bande, en tout cas c’est un sacré morceau vu les formes du slip. Il prend un café et me dit d’arrêter. Il descend, va pisser, s’étire, je descends aussi et marche un peu tout en le regardant. Il s’approche de moi, punaise, un mec pareil en plein désert, en slip difforme, « tu t’es bien débrouillé, on dirait ». Il se met par terre et commence à faire des pompes. Il a un petit cul d’enfer, juste ce qu’il faut pour vous donner la trique. Je m’éclipse car ma queue commence à pointer et le pan de mon short se soulève tout seul. Je passe derrière le camion pour me calmer. Je déballe ma bite et pisse, d’un coup Corentin surgit, je sursaute, ma bite pisse toujours en bandant dur, il me dit  « ce soir, nous allons nous faire une soirée arrosée », je remballe ma marchandise et le fixe pour comprendre sa remarque, il ne se détourne pas de mon regard, il a un début d’érection, sa bite déborde de l’élastique, la vache il a sa bite sur le côté et elle longe jusqu'à sa hanche, merde c’est un bazooka qu’il a, nous repartons, il est resté en slip, je n’ose pas trop le regarder, il m’excite ce con,  Le soir, vers 19 h 30, il stoppe le camion, et me demande de préparer le dîner, il m’ouvre les portes de la remorque, et va s’installer sous la douche, fait glisser son slip, son petit cul m’apparaît, une merveille, je passe devant exprès, comme lui ce matin, et prend la télé portative dans la cabine, je redescends et stop net. Je vois sa bite, elle est énorme, un vrai gode disproportionné, elle fait au moins 23 cm et il ne bande pas. Il me sourit « ça va », « elle est….. », « Oui, elle est un peu grosse », je redémarre et me dit qu’elle n’est pas un peu mais beaucoup oui, il s’essuie et vient prendre un verre, la serviette autour de sa taille ne cache pas la grosse bosse de sa bite. Il m’avoue « oui, elle est grosse mais elle plait beaucoup », je n’ai rien à dire à ça. Nous buvons beaucoup, la soirée est sympa, il parle un peu plus, sa serviette est de plus en plus ouverte, et laisse voir ses belles cuisses. Il s’exhibe volontairement, je retire mon tee-shirt pour lui montrer que moi aussi je suis bien gaulé, je me lève chancelant, « je vais pisser et me coucher, bonne nuit », Il me laisse partir, j’entre dans la cabine et m’affale sur le lit, retire mon short et commence à divaguer. Il me rejoint, enlève sa serviette, se met près de moi, je sens son corps le long du mien. Il pose sa main sur ma hanche, je me tourne vers lui, et me retrouve nez à nez avec ses yeux vert profond. Il me sourit, mes mains sont entre nos torses, son bras passe sous ma tête, son autre main vient prendre une des miennes, la pose sur son torse, et la fait descendre vers son sexe. La vache, il bande dur, elle est monstrueuse, il me demande si je suis homo, « non », « dommage, j’aurai aimé que tu me suces », je sens sa bouche venir frôler la mienne, il m’embrasse, je me laisse envahir par ce mec, il me roule un patin d’enfer, je continu à le branler, mais ma main ne fait pas le tour de son sexe, il commence à gémir, sa main se pose sur ma tête et la pousse vers le bas, je lui lèche les seins, descend ma langue vers son nombril et me retrouve devant ce mat de chair, il a une bite super volumineuse, je la regarde et me tourne vers Corentin, « vas-y essaie, il n’y a que nous », j’hésite et approche ma langue de son gland, qui luit de plus en plus, mes lèvres se posent dessus, je lèche cette matraque comme un malade, jamais je n’avais fait une pipe à un mec, au lycée un type m’avait sucé dans les vestiaires mais là c’est moi. J’ouvre la bouche et entre ce gros gland, il passe et me rempli complètement l’entrée, il crie que c’est bon, je ne bouge plus, il commence à remuer, me tient la tête et fait pénétrer doucement sa tige dans ma gueule « continu tu m’excites trop », je le vois se trémousser, il accélère ses vas et vient, j’ai mal à la mâchoire, et ça me fait pleurer, il sort et m’éjacule sur la poire trois gros jets de sperme, le quatrième va sur mon torse, il me tient toujours l’épaule, et je ne peux pas ôter mes yeux de cette queue de taureau, il s’agenouille, me fait coucher et pose la bouche sur ma teub. Je bande trop, il s’active mais il est expert, je ne résiste pas longtemps, j’éjacule dans sa bouche sans avoir le temps de sortir, il m’avale tout me lèche jusqu'à la dernière goutte, je reprends mes esprits, ma respiration est encore rapide, je souffle, il vient m’essuyer le visage et pose ses lèvres pour un baiser tendre. Il se rallonge, s’étire, je me tourne pour être de dos à lui, il s’approche passe son bras sous le mien, met sa main sur mon ventre, blottit sa tête dans mon cou, je n’ose plus bouger, sa jambe vient se glisser entre les miennes, sa queue toujours aussi grosse même débandée, fait encore bien 23 cm au repos, elle se cale entre ma raie, « je peux rester comme ça un peu », « ok, bonne nuit ». 6 H du matin, une pression dans ma raie me réveille, il dort encore mais il bande tellement dur, que son gland commence à s’introduire dans mon anus, j’essaie de bouger un peu mais il risque de m’enculer, j’attends un peu, je le réveille, il bouge, me montre sa queue très en forme, il me regarde, « tu voudrais essayer », « heu ! , Je ne pense pas que se soit une bonne idée pour moi », il me sourit, me donne une claque sur la fesse,  tu le diras quand tu l’auras eu, pas avant, mais je suis sur du contraire », il enfile un short et sort, je reste un certain temps à réfléchir, sort aussi, mon short à la main, l’enfile, il a déjà installé le pdj, il est rapide ce mec, il m’attend. Je lui demande si je peux me laver et me raser, « oui, nous avons tout le temps, et à 300 kms il y a un réservoir pour refaire le plein d’eau », je pars prendre ma douche, me lave quand Corentin vient aussi, tire sur son short, il me prend la taille, glisse sa grosse queue en érection entre mes jambes, et commence à s’activer, il glisse un doigt savonneux dans mon cul, je cris, il pousse et entre complètement, je me cambre, il prend une de mes jambes la pose sur sa hanche et me retient, prend l’autre, je lui entoure la taille, sa queue frappe et commence sa pénétration, je ne veux pas mais il la fait glisser, « merde, tu es excellent », Sa queue me déchire, je gueule d’arrêter mais sa force musculaire, lui permet de faire de moi ce qu’il veut. Je sens le passage du gland, ma respiration s’accélère, il m’observe, et pousse de 2 cm, je cris toujours, il entre encore 2 cm, ma bouche rejoint la sienne, et il continu de plusieurs cm, mes yeux sont trempés, il me perce encore, l’anus se dilate tout seul, je n’ai jamais eu de pénétration avant, et je me fais empaler par un énorme braquemart, du premier coup, c’est la meilleure. Il s’arrête et remue un peu, je sens que mon anus active sa bite, je jouis sans m’en rendre compte, il me sourit et s’acharne, je subis sa queue, c’est bon mais douloureux,  mon cul devient insensible tellement je suis ouvert mais la longueur de sa tige vient me rappeler qu’il est en moi, il cogne ma prostate tellement elle est longue, sûrement 28-29 cm, je ne peux plus le supporter, il me tient bien et m’élance en l’air, je m’empale à chaque fois plus, il jubile et moi je gueule, il jouit, me tapisse les parois, je sens son sperme chaud, couler en moi, il me serre fort et laisse sa queue dans mon cul. Il me fixe, je suffoque encore de l’expérience que je viens de vivre, s’accroupi tout en gardant sa queue en moi, il baisse mes jambes. Il me sèche les larmes avec ses doigts, « alors tu n’as pas aimé », « si mais elle est très grosse », « du moment qu’elle arrive à entrer tout va bien », « pour toi oui, pour moi on verra », il sort de moi, sa queue bande encore, il me met à califourchon, se met derrière moi, et pousse sa queue, je cris tellement il s’enfonce en moi trop vite. J’essaye d’écarter les jambes pour qu’il me pénètre plus facilement, sa tige refait de moi un mec soumis, il me laboure sans merci, je pleure de désespoir, et lui s’acharne vraiment, il me baise à fond, mon cul l’englouti complètement, « tu es le meilleur mec que j’ai eu, ton cul m’accepté presque en entier », « quoi pas entier », « non mais attend encore deux jours et la tu verras », je baisse ma tête et le laisse faire, 10 minutes passe et il sort pour m’éjaculer sur le dos, je m’écroule par terre, il s’allonge à côté et me regarde « alors », « ben à part m’être fait casser le cul, et quand je dit casser, c’est plutôt défoncer », il me caresse le dos, « ne t’inquiète pas tu pourras te venger sur le mien ce soir », je le fixe avec une lueur d’espoir, je commence à reprendre du courage, après tout ok de me faire défoncer s’il se laisse faire, je m’approche et lui roule un patin. Il me serre contre lui. Me donne une claque sur les fesses, ‘oust !  Moussaillon, nous sommes en retard ». Nous nous lavons et c’est reparti. Il commence à discuter un peu plus, il m’avoue qu’il flash sur moi depuis le début, que lui est homo, « ah bon ! un mec comme toi », « pourquoi, tu ne m’imagine pas avec toi », je souris « ca pour être avec moi, tu l’as été, même en moi, je dirais », nous rigolons, ‘tu te rends compte de la bite que tu as », « oui elle fait peur à beaucoup de mec, j’ai pris un sacré plaisir avec toi »,  L’après midi passe trop vite, vers 21h nous nous arrêtons, il me prépare un super repas, il cuisine très bien, de temps en temps il s’approche de moi et me donne un baiser sur la bouche en me caressant, je le trouve super comme mec, vachement romantique pour un balaise pareil. Une fois dans la cabine, nous nous déshabillons, et il recommence à bander dur. Elle est incroyablement grosse, il me regarde comme un petit malheureux, je prends sa bite dans la main, la caresse, et glisse l’autre à l’intérieur de sa raie, il écarte ses jambes et pose sa main sur mon épaule, je vais vers sa queue, mes lèvres s’ouvrent en grand pour laisser passer ce monstre, il se couche, glousse, me demande de continuer, qu’il m’aime, je pousse un doigt dans son cul, il glisse tout seul, sa queue se fige tellement elle est plein de sang, il gueule de plaisir et m’éclabousse de sperme, sa semence se projette partout, il n’arrête pas, mon doigt s’active toujours, il cris de jouissance en me regardant, il est super mignon quand il Jouit, sa matraque reste toujours aussi grosse après 5 minutes, il me couche, lève mes jambes et me lèche l’anus, il me donne un plaisir que je ne connaissais pas, je commence à apprécier ce style de baise, il approche son gros gourdin et l’enfile dans ma rondelle, j’ouvre grand les yeux en le fixant de stupeur, il s’enfonce encore, ma bouche reste béante, il continu et va au fond, ma main va voir s’il est entré en entier, merde non, il pousse encore et commence ses vas et vient, je me cramponne et il repousse en me tenant bien, je me sens presque partir dans les vaps, il me baise vraiment, tout à l'heure c’était pour rire, je suffoque, Il s’enfonce toujours, ma main trouve son pubis sur ma raie, il est en moi maintenant, il me regarde et vient m’embrasser, « tu baises comme un dieu, mec, je suis à fond en toi », je me sens plus les douleurs, il s’active en moi, et je jouis comme un malade pour la deuxième fois, il ressort et m’empale d’un coup, mon cri sort de loin, il me caresse et ressort plusieurs fois, me dit qu’il veux jouir en moi, je m’abandonne et il m’encule comme jamais un autre mec le fera, 5 minutes encore de plaisir et il jouit, reste béat et figé en moi, je suis bloqué, il m’empli tellement que j’ai l’impression d’Etre soudé à lui, un bloc, il ne bouge pas, laisse sa queue entière dans son écrin, je respire mieux, je suis trempé, mes seins me font mal, en sortant, je pousse un râle, je crois me vider, ma main va voir mon cul, je touche l’anus mais il n’est pas trop ouvert. Il s’étale à côté « tu auras le droit à un extra demain très rare », « à quoi ? », « Tu pourras avoir ma rondelle et crois-moi, très peu l’on eut », je pose ma tête sur son torse et m’endorme, il me cajole, je suis très bien, il me plait beaucoup.  6 h sonne, il passe au-dessus de moi, me donne un bisou sur le sexe, et s’habille, s’installe sur le fauteuil et démarre, je reste au lit, il me mate de temps en temps, je le laisse reluquer mon cul. Vers 10 h il stoppe, sort me prépare le pdj, je m’étire et met un short, il est déjà douché, il sent bon, il a un bermuda avec une grosse bosse devant, un petit débardeur qui m’excite déjà. je le regarde, il s’approche me prends la taille, me fait un bisou dans le cou, je glisse ma main dans son bermuda et tripote ses fesses, il me laisse faire, m’emmène à la table et me roule une pelle, ma main s’introduit dans sa raie, il se cambre, me laisse entrer, mon doigt par a la rencontre de son anus, il geint « tu m’excites, nous allons encore être en retard », il pose ses mains sur la table, je glisse son bermuda et m’accroupi, je lui écarte les fesses, introduit ma langue dans son cul, il m’attrape la tête et la pousse dedans. Mes léchouilles lui plaisent, il glousse de plus en plus, je me relève, le tourne sa queue est bien raide, il me bloque, nous n’aurons plus rien ce soir si tu m’excites toujours. Il remonte son bermuda et s’assoie, me tire sur ses jambes, je me mets à califourchon sa grosse teub se colle à moi comme un aimant, il me serre le pdj. Je me douche rapidement, et nous redémarrons la journée. Arrivé au point d’eau, un autre camion est là, deux types nous regardent méchamment, Corentin va vers eux, leur serre la main et rigole, je n’ose pas aller les rejoindre, je n’ai pas confiance, un des types me fait signe de venir, pendant que Corentin part avec l’autre pour voir leur camion. Je m’approche et le type vient se mettre derrière moi, je bouge pour me dégager mais trop tard, il me bloque les bras, « reste là, je ne vais pas te manger », il est plus fort que moi, il passe sa main sous mon tee-shirt, je le fixe, et il me met par terre, vient glisser une main dans mon short, je cris pour que Corentin viennent m’aider, mais l’autre type arrive seul, en souriant, l’autre tire sur mon short, et pousse son doigt à fond, « ok pour l’autre, il est dans les vaps, le temps que l’on s’occupe de lui », je pleure, il pointe déjà sa queue sur ma rondelle, et m’empale, je braille e tellement il me fait souffrir. L’autre sort sa bite et la tape sur mon visage, « putain, tu es puceau ou quoi», il ne t’a pas encore défoncé le cul, pourtant il paraît qu’il en a une grosse » ; je cris et essaye de me débattre, la queue de l’autre entre dans ma bouche, il me bloque la tête et s’acharne dans ma gorge, l’autre me pulvérise le cul. Je souffre a chaque coup de butoir, il me baise fort, et gueule que j’ai un cul d’enfer, il sort et jouit sur moi, l’autre le bouscule et prend sa place, je me sens sale, il m’encule sans prendre le temps de m’écarter les fesses, il me brutalise pour son plus grand plaisir, il m’annonce que je n’ai plus le cul d’un puceau maintenant, je pleure, il jouit vite temps mieux. Un grand coup vient sur ma tête, je me réveille dans les bras de Corentin, il pleure, je suis désole de ce qu’ils t’ont fait », je ne savais pas », il a du sang sur son débardeur, je lui essuie ses lèvres, et viens l’embrasser sur la bouche, « je suis désole, j’aurai du te protéger », il est vraiment gentil, je pose ma tête sur son torse, il me caresse les cheveux, toujours en s’excusant qu’ils n’aient fait mal. Je ressens la douleur dans mon anus, ils ont du me déchirer, je pose ma main mais je n’ai rien, je le regarde, je crois que je ne vais pas continuer avec toi, il me fixe et pleure », « je ne veux pas te perdre », « je t’aime, tu me plais trop », et il me soulève pour m ‘emmener sous la douche, je le laisse faire, il me frotte avec du savon, ca fait du bien, j’aime quand il me touche, il fait très attention a ne pas me faire mal, il me sèche, m’offre un café avec des biscuits, il me regarde tendrement, « ok je reste avec toi, mais je ne veux plus que toi qui me touche », il m’embrasse, je te jure qu’aucun autre mec ne t’approchera crois-moi. Je lui rends son baiser, mon cul me relance, je ne comprends pas, Corentin a une bite deux fois plus grosse et j’ai mal quand c’est les autres qui m ‘encule, il me laisse tranquille, va ravitailler le camion, ‘ok nous partons de ce lieu maudit », nous montons dans le camion « je ne sens mieux ici », il me sourit. « Je vais te choyer, je te donnerai tout ce que tu veux », « je ne veux rien que toi », « ok tu m’auras quand tu veux’, je souris et ouvre la radio pour détendre l’atmosphère de tous ces mauvais évènements.  Vers 19h30, nous stoppons, nous nous reposons devant un bon repas et une bonne bouteille de vin, il me parle de plus en plus, je trouve même agréable de discuter des différents avis qui nous opposent, nous allons nous coucher. J’ai envie de lui, il l’ait, il s déshabille et e tourne pour m’offrir son cul, je le masse, il se détend, j’ôte mes fringues et m’aperçois que je bande déjà dur, sa chute de reins est magnifiques, ses petits globes bougent, quand je les caresse, ma langue va s’insérer dans sa raie, il gémit, je lui lèche l’anus et le lubrifie pendant dix bonnes minutes, il n’en peux plus, me demande de le pénétrer qu’il est à bout, son cul s’approche de ma bite, j’ai une bite de 21 cm, mon gland passe le petit passage de son anus, il se cambre, tourne la tête pour me voir faire, il écarte ses fesses, je pousse encore, il pousse un cri de douleur, je lui caresse le dos et m’enfonce, il s’empale de lui-même, je sens ma bite grossir, il me dit « merde, elle jongle encore », je n’avais jamais ressenti cette sensation avant, son petit cul serre m’excite, je commence mes va et vines, il se branle, me dit de le bourrer, je m’active plus, il gueule qu’il aime ca, je prend un pied, il a un cul de rêve, je sors vite et jouis en râlant de plaisir, il se retourne, se branle devant moi, je regarde, je ne l’ai jamais vu faire, il prend ses deux mains et s’astique la tige, incroyable, il approche ses lèvres des miennes et jouit en même temps, ses secousses m’excitent encore, je me mets sur lui a califourchon, et posée mon cul sur sa bite toute dégoulinante de sperme, je descends dessus, il me regarde faire, j’écarte mon anus qui avale son gland d’un coup, je souffle, et continue ma descente, il reste sans bouger, je m’excite de plus en plus, mon cul adore sa bite, je m’éclate le cul, il sourit, me prends les hanches et pousse en moi, je râle tellement il s’enfonce, je suis plein de lui, il s’arrête, m’observe, ‘tu aimes ma queue », « oui, je l’adore », « tant mieux, car elle a besoin de ton petit cul tous les jours pour vivre », je l’embrasse quand il me donne les premiers coups de butoir qui me feront jouir deux autres fois, pendant le quart d’heure qui suit, je m’empale sur sa queue, il jubile de plaisir et gicle sans prévenir en moi, de longs jets puissants, je m’allonge en restant enculé, il me serre contre lui, nous somnolons n bon moment, quand je sens sa bite reprendre une forme plus grosse en moi, il bouge doucement et recommence à me baiser sans limite, je n’en peux plus, il m’explose le cul, ma rondelle ne pourra plus faire croire que je suis puceau, « je te jure qu 'aucun mec avec qui j’ai baisé, avait un cul aussi serré, c’est incroyable vu ma bite, on dirait que tu es encore puceau, je me remets à jouir,  Sa bite me besogne, une éternité quand son pote vient aussi me prendre. Je sens sa queue plus grosse que l’autre et surtout plus violente. Je sens les mecs jouir l’un après l’autre, je reste figé comme inconscient, je reprends connaissance seulement quand Corentin me prote vers notre camion. Je pleure et me blottis contre son torse, il me caresse la tête et me promet de me venger, je relève la tête et vois son visage en sang, je le sèche avec mon tee-shirt, nous nous levons pour nus laver et remplir la cuve d’eau avant de partir de ce lieu maudit. Il s’arrête au bout de deux heures, et me fait venir avec lui dans le lit pour une soirée câline. Je me sens bien, mon agression s’estompe dans ses bras, il me caresse et j’en profite pour le tripoter, mes mains le touchent partout, nous nous endormons comme ca.

 

Fini

Par histoires gays cooletclean
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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 17:24

Le futur fiancé, parce qu’elle est courbée (Sam)

Quinze jours avant de me fiancer, avec Valérie, je suis parti avec Sam pour la Bretagne, nous avons roulé bien 4 heures avant de nous retrouver dans une maison d’un pote. Pas fatigué, mais un programme important, nous attendait demain, alors nous avons décidé d’aller nous coucher. Notre chambre avait des lits jumeaux, je ne savais plus quoi penser de Valérie, car un point me hantait, elle trouvait que j’avais une bite trop courbée, et qu’elle avait du mal à accepter et souffrait beaucoup pendant les pénétrations. Je savais que Sam était homo et qu’il ne serait pas choqué de notre conversation. Il m’a rassuré en me disant qu’il en avait déjà vu plus d’une courbée et qu’il avait eu autant de plaisir qu’avec une droite. Nous étions chacun dans notre lit. Ma bite commençait à grossir en parlant de cul. Je ne pouvais pas en rester là, il fallait que j’en ai le cœur net. Je me lève et me pointe devant son lit en slip. Il ne dit rien, ma bite déformait le tissu, j’ai alors pris mon courage en glissant mon slip et lui demandant de me dire si ça le gêne, lui de faire l’amour avec un mec qui à une bite comme la mienne, je sais c’était très bizarre, mais c’était mon pote et je ne savais plus ou j’en étais avec cette fille. Je lui exhibais ma bite bandante en le fixant pour connaître sa réaction. Le fait qu’il me voit nu ne me dérangeais pas, mais que ses yeux en disent trop sur mon sexe, m’aurait vexé. Au contraire, il me sortît qu’elle était belle, même très belle. Que ma copine devrait en profiter plus car je devais être un sacré bon coup avec un corps pareil. Je ne savais plus quoi penser, surtout quand je vis sa main se poser sur ma cuisse et se diriger sur mon sexe qu’il empoigna, et commença à branler, je ne pouvais pas faire autrement que bander encore plus, il m’excitait en me branlant ainsi. Très vite, je me suis rapproché de lui pour n’être qu’à juste 20 cm de son visage, ma bite courbée se promenait juste au-dessus de son nez. Il n’a pas dit un mot, mais a avalé mon gland sans réfléchir, je ne voulais pas en arriver là, mais la situation me dépassait maintenant. Il a gobé ma bite rapidement sans, comme Valérie faire des commentaires désagréables, je bandais vachement dur, il ressortait pour l’enfourner complètement, je ne pouvais que gémir. Plus il me pompait plus je couinais de joie. Très vite, j’ai pris sa tête entre mes mains et l’ai guidé pour me finaliser. J’ai sans complexe joui dans sa bouche pour son plaisir, enfin je crois. Nous n’avons pas dit un autre mot, je me suis recouché dans mon petit lit, avant de m’endormir, mais très vite j’ai eu la bite en érection, ce que je venais de vivre, me hantait, j’ai poussé les draps, me suis relevé et approché de Sam, il dormait sur le ventre, j’ai alors tiré sur le drap afin de le voir nu étendu sur le lit, ses jambes étaient écartées, je n’ai pas hésité, je bandais tellement, je me suis glissé entre ses jambes avant de pointer mon gland qui commençait à laisser couler sa semence de pré-jouissance, il ne disait rien et ne bougeait pas plus,  m’enhardissant, j’ai alors pris de mon liquide pré-séminal et lui en ai badigeonné le trou de balle. Il commençait à geindre. Quand j’ai posé mon gland sans penser à quoi que ce soit, j’ai poussé, mon gland est alors parti directement dans ce petit trou qui apparemment n’attendait que ça. J’ai alors entendu Sam, me dire de continuer, d’aller plus loin, je n’en pouvais plus, j’ai pris ses hanches et me suis décidé à le bourrer à fond. Il gueulait des « oui encore », j’étais complètement fou. Je le pénétrais avec une fureur que je ne me connaissais pas, il me sortit qu’il aimait lui les bites comme la mienne. Ce qui me fit encore plus d’effets et il se prit une série de coups qu’il devrait se souvenir, mais très vite c’est moi qui ai largué ma précieuse cargaison, je gueulais comme un âne, lui m’a fait sortir pour m’exhiber sa bite en se branlant et me cracher son sperme sur le torse, je suis resté scotché en voyant cette jouissance sur moi, il m’a alors sourit puis m’a embrassé sur la bouche, me donnant  mon premier baiser d’homo. Le lendemain matin, il ne m’a rien dit sur la nuit passée, mais je sentais ma gêne monter, même à la plage en maillot, je n’arrivais pas à me retenir de bander, il me souriait, car j’étais obligé d’aller dans l’eau pour me calmer, de retour je le voyais, me mater, ce qui me donnait de nouveau une érection, vers la fin d’après-midi, nous sommes remontés à la maison et d’un coup, je ne sais pas pourquoi j’ai dis ça « tu ne voudrais pas recommencer, il m’a regardé s’approchant de moi, et commença à de faire le bermuda et le maillot, nu, la bite en érection, il est venu se mettre devant et l ‘avala, je prenais mon pied, il savait sucer en tout cas, j’ai fini par lui dire d’arrêter car je voulais le prendre, il m’a regardé avec un sourire étrange, se couchant, tout en me montrant le gel et la capote, je savais que je devais le faire mais je n’ai pris que le gel, lui s’en mettait sur l’anus alors que je me badigeonnait la bite, il me fixa, il savait très bien en me voyant que je ne mettrais pas de capote, et il m’a laissé faire, j’ai pris ses jambes, et me suis installé, son gland était déjà collé à son petit trou, j’ai fais un petit coup de bassin et le gland est entré, je l’ai vu grimacé, c’est vrai que je ne voyais que mon coté, mais elle devait être trop grosse pour lui aussi, jusqu’à ce que je l’entende, me dire qu’il la voulait à fond dans son petit cul, je n’ai pas cherché d’autres raisons, nous avons fait l’amour pour la deuxième fois, j’ai pris un plaisir à le sodomiser, je ne sais pas pourquoi, mais de savoir qu’il était mon ami ne me dérangeais pas, je préférais le faire avec lui, de toute façon il était mignon et avait un joli corps, et son petit cul n’était pas farouche avec ma bite courbée, le soir après le dîner, il m’a cherché et j’ai fini par le pénétrer de nouveau, à terre sur la mouette, nous baisons comme des fous, les deux semaines n’ont pas durée longtemps, nous faisions plus l’amour que de balades, mais il fallait que nous rentrions, je ne savais plus quoi faire, me fiancer et tout était claire, ne pas me fiancer et chercher à découvrir mon moi ou  me fiancer et cacher mon homosexualité avec Sam, non il fallait être honnête, il fallait que je repousse nos fiançailles, j’ai fais une soirée avec elle et lui est dit pourquoi, que sexuellement nous n’étions pas tout à fait sur la même longueur d’onde et qu’il serait judicieux de ne pas aller trop vite, elle m’a rit au nez, me signalant qu’avec ce que je me trimballait dans le pantalon, elle ne regrettait pas de me larguer là, je n’en revenais pas, elle préférait me quitter, alors que ces 15 jours avec Sam, m’avait prouvé que j’étais capable de comblé un homme en amour et que rien du fait d’avoir une bite courbée avait changé quelque chose, je n’ai rien fait pour la retenir, elle venait de me plaquer tant mieux après tout il valait mieux, je n’ai pas cherché à me consoler dans les bras de Sam, mais deux jours plus tard, je lui ai dit qu’elle m’avait plaqué, pas parce que j’avais couché avec un homme, mais parce que je ne trouverais jamais une fille qui veuille se faire prendre par un mec comme moi avec une si grosse bite courbée, il m’a sourit, me prenant par l’épaule, nous avons marché, nous sommes aller dans un bar discuter, mais je ne pensais plus qu’a ça, il fallait que je fasse l’amour avec lui, nous avons fini dans son appartement, c’était un peu étrange car je ne pensais pas le refaire enfin pas tout de suite, mais de me retrouver seul avec lui dans un univers protége, m’a carrément excité, je lui ai ôté ses fringues rapidement, lui aussi m’a dit me vouloir, j’ai montré à mon nouvel amant de quoi il allait se régaler, il ne pensait pas comme elle, je l’ai vu, me lécher le bouffer la bite pendant qu’il se massait l’anus, je savais maintenant qu’il aimait se faire prendre par moi, il s’est assis sur le lit à quatre pattes et m’a offert son petit cul, je l’ai sodomisé doucement mais complètement ses gémissements me signalaient que je ne me trompais pas sur son compte, il aimait vraiment se la prendre dans le cul, je l’ai défoncé un peu, pour me venger des conneries de mon ex, il m’a dit vouloir que je sois en colère comme ça, tellement c’était bon, je n’ai pas non plus résisté longtemps, allongé sur le lit, nus tous les deux, m’a réconforté, je n’allais plus passer mes nuits seules, car une semaine après, je suis venu dormir très souvent chez lui avant de faire mon coming-out et de venir vivre avec lui, c’est une nouvelle vie qui commence maintenant, et j’ai bien l’impression que coté sexe, il ne va pas être déçu, car j’ai de plus en plus envie de le prendre et de lui faire l’amour.

Fini

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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 17:12

La tournée du facteur (Alexandre)

J’ai réussi à me faire muter dans ma région, j’ai même eu la chance d’avoir la place d’une collègue dans mon village. Je retrouve beaucoup de gens que j’avais un peu oublié depuis les 10 – 15 ans passés dans les grandes villes. La vie prend un rythme agréable avec de bons moments. Un jour, pendant ma tournée, vers 11h30, j’arrive dans la cour de la ferme des « Dubois », Alexandre est un ancien copain d’école, toujours plus fort que les autres et un peu branleur. J’ouvre la porte de la voiture, quand je l’aperçois près du puits, j’approche de lui, il fait déjà un beau soleil depuis le matin, il tourne la tête et me sort « punaise Emeric, tu tombes bien, je me suis bloqué le dos », j’approche, « qu’est ce que je peux faire », « masse-moi le dos, stp », je pose ma sacoche tout en le regardant car c’était plutôt rare de le voir se plaindre, je me positionne derrière lui, il a les mains sur le rebord du puits, je glisse ma mains sous sa salopette et commence à le masser. Il bouge un peu les bras devant lui pour retirer les bretelles, me donnant plus facilement accès, il tire sur son fût et me voilà libre de lui masser tout le dos, qu’il faut reconnaître est carré et musclé, il a du se froisser quelque chose, un gaillard comme lui ne peut pas se péter un truc si facilement, je le masse sans arrière pensée, mais je m’aperçois que sa salopette est descendue plus bas que prévu, je peux voir la moitié de ses fesses car il n’a pas de slip, « houa », j’avoue que j’ai toujours maté Alexandre à la piscine de l’école car il s’exhibait toujours pour nous montrer qu’il était déjà plus musclé que nous et surtout qu’il avait des poils lui. Son sexe ne laissait pas non plus indifférent car long, surtout par rapport à nous qui étions puceau et sans avoir encore eu l’occasion de notre première branlette. Je continu mon massage, quant à un moment, il se redresse, et se met à me faire face, me remercie en me prenant le recommandé pour le signer. Je n’ai pas d’autre regard que son bas ventre car il n’a toujours pas remonter sa salopette, je peux constater qu’il n’a pas perdu de sa plastique dans ses abdos, son torse est parfait mais ce que je mate est surtout le bas de son pubis qui laisse apparaître son gros sexe, il me rend le tout en me souriant « toujours à me mater, tu n’as pas changé depuis l’école, merci pour le massage, tu as des doigtes de fée, au lieu de facteur, tu aurais du être kiné, j’aurais été un fidèle client ». Et il remet ses bretelles, car sa mère sort devant sa maison, il me dit en me tendant un billet « peut-tu m’acheter une crème contre la douleur et me l’apporter ce soir au manoir  « au manoir ? », « oui, mes parents me l’ont donné et j’y habite tout seul », vient vers 20h. Il se tait, sa mère m’embrasse, nous discutons un peu de la vie du village, mais je prétexte que j’ai du retard dans ma tournée, pour y aller. Une fois finie, je vais comme demander, chercher à la pharmacie de la crème pour le soulager, chez moi, je ne vois pas les heures passées, il est presque 21h, j’enfile mon blouson , prends mon casque et descends, démarre ma moto et me voilà partit direction chez Alexandre, j’entre par le grand portail qui est ouvert maintenant, ça me fait tout drôle de passer par le parc, quand nous étions enfants, il était strictement interdit de franchir la zone du parc, j’arrive devant le perron, je mets la béquille et monte les marches, je frappe mais personne ne répond, j’entre ouvre la porte et découvre un très joli hall d’entrée, très ancien mais décoré avec goût, je reste silencieux devant ce splendide lieu, jamais j’aurais pensé que cet endroit était si joli, je lève la tête pour découvrir Alexandre en ahuri de l’escalier, il me fait signe de monter le rejoindre, j’ôte mon blouson en grimpant et lui serre la main. Il est habillé comme il l’était quand nous étions jeunes, un short bleu lui libérant ses cuisses musclées, et un tee-shirt blanc montrant sa musculation parfaite, il me dit de le suivre, nous passons dans un grand couloir, je lui dis que je ne savais pas que son habitation était aussi belle, il sourit en se retournant « ça te plait », « oui, c’est super », « tant mieux », et il œuvre une porte, me fait entrer, nous sommes dans sa chambre. Une belle pièce, un lit à baldaquin et tout en pourpre du style de l’époque, les fauteuils et chaises en toile de jouy. Rien que ça, « houa, tu fais musée en plus », « non, j’ai retrouvé les meubles d’époque que j’ai rénové », il s’approche du lit, ôte son tee-shirt en me souriant, hésite trente secondes en me disant, « va chercher une serviette dans la salle de bain », en me désignant une porte à gauche, j’y vais en passant près de lui au moment où il ôte aussi son short, je n’ai pas eu le temps de le mater, mais je suis maintenant sur qu’il est à poil, je me regarde dans le miroir, et me passe de l’eau sur le visage pour reprendre mes esprits, sa salle de bain, est comme celle d’un catalogue de mode de décoration, super moderne, tout en gardant le style ancien du manoir, je reviens le voir, il est allongé sur le ventre, me montrant sa nudité, son joli petit fessier , je m’approche, il me donne le tube, je m’assoie sur le bord du lit sans broncher de la situation, c’est un peu bizarre quand même de vouloir que ce soit moi qui le masse, il me laisse faire et me sort « punaise, j’ai bien fait d’attendre ce soir, ma mère voulait le faire, je préfère largement tes mains qui me touche, tu es doux », je le laisse parler car j’ai mieux à faire, mes yeux partent dans tous les sens du haut en bas de son corps, je mate à m’en faire mal, je vois mes doigts qui le tripotent sans détour, quant à un moment, il me demande de descendre plus bas, je le connais assez pour savoir qu’il me charrie, je le fais en passant de la crème sur ses fesses et entre sa raie, ses jambes et ses bras, il pousse de petits gémissements à chaque passage sur ses parties intimes, au bout d’une heure je frotte mes mains dans la serviette, et lui annonce que j’ai terminé, c’est alors qu’il s’est retourné me faisant admirer sa nudité, son sexe ne bandait pas mais avait une taille largement au-dessus de la moyenne, il ne se cachait pas, me montrant même volontairement ses parties intimes, en mettant ses bras derrière sa tête et écartant ses jambes, je ne bougeais pas, il parlait des travaux qu’il faisait dans la salle de réception, alors que je voyais ce type m’exhiber tout son corps, j’étais excité ma bosse dans mon pantalon pouvait sans problème me trahir, il me regarde en souriant, je voyais bien qu’il en faisait exprès, et je ne voulais pas qu’il gagne, je ne céderai pas, je ne bougeais toujours pas et admirait toutes les parties qu’il voulait bien me montrer, en lui répondant calmement quant à un moment, il craque, car il se redresse, s'approche près de moi, et pose ses lèvres sur les miennes, j’avais réussi, c’était divin, ses mains partirent directement l’une sur ma bosse et l’autre sous mon tee-shirt, il arrêta de m’embrasser « tu bandes, mon salaud », et il commence à m’ôter les boutons de jeans, il eut rapidement fait de me mettre à poil, tous deux nous étions sur le lit, je n’y croyais pas, mais ma bite oui, car sa main ne la lâchait plus, il me branlait tout en me roulant une pelle d’enfer, je décida donc de faire comme lui, ma main droite se préoccupant de son superbe torse et se figea sur un de ses tétons bien durs, il pointait tout droit, ça l’excitait aussi, j’eu l’idée de poser ma bouche dessus  pour lui titiller, il gémit  mais ma deuxième main n’avait pas charmé, car elle parcourait ses bourses et sa grosse queue, je savais qu’il était bien monté, mais il allait au-delà de mes espérances, je me mis à la regarder tellement elle grossissait centimètre après centimètre, il était en train de me pétrir les fesses pendant que je commençais à lui lécher le gland, tout se passa si vite, il me prit dans ses bras au bout d’un moment, me cajola mais il savait ce qu’il voulait car je me suis retrouvé sous lui , les jambes écartées, Sa masse musculaire me plaisait, j’aimais bien le caresser, lui me fit comprendre rapidement qu’il voulait passer à la vitesse supérieure, car son gland commençait à bien mouiller et ses doigts étaient déjà bien encrés dans mon trou, il me massait la poste, me faisait délirer, tellement j’adorais sa précision, il saisit un tube de gel et commença à m’en enduire la rondelle puis il passa sa main sur son gland, et le long de sa tige, il me souleva les jambes, tout en positionnant son gland sur ma rondelle, « je préfère te prendre sans, j’aurais plus de sensation, ne crains rien, je suis clean », à peine dit les mots qu’il s’enfonce en moi, je n’ai pas longtemps à attendre pour l’avoir complètement en moi, je ne râle pas et pourtant elle est la plus grosse que j’ai pu avoir, mes râles lui confirme que j’aime ça, il en profite pour accélérer le rythme, et me transpercer littéralement, il me fixe en souriant, des larmes coulent sur ses joues, il remue et commence une grande et profonde chevauchée qui ne se terminera pas avant 10 bonnes minutes, il me dit attendre ça depuis le lycée, je supporte sa grosse queue uniquement parce que je plane de bonheur , son corps se fige à un moment, il accélère tellement que je comprends qu’il va jouir, je me branle et jouis en même temps, qu’il sort sa bite pour me jouir sur le ventre avec des soubresauts impressionnants, il s’écroule su moi, ne bouge palus, il n’est pas léger, mais j’en profite, je voudrais garder ce moment dans ma mémoire, il a un dernier petit saut avant de se mettre sur le côté « merde, j’ai adoré, tu es bandant, je n’ai jamais joui comme ça, ton cul , c’est une merveille », il me sourit « dors ici ce soir », « je ne peux pas, je bosse demain de bonne heure », il me fixe «  tu rigoles, prétexte autre chose, j’aurais trop envie de toi cette nuit », « justement, je ne vais plus pouvoir marcher demain à cette allure là », « tu n’as pas aimé », « si au contraire, moi aussi, je la voulais depuis longtemps », « alors reste, elle est pour toi », je l’embrasse et me lève, il est très doux, ses petits poils qui descendent du torse au pubis me font craquer, « j’ai envie de te revoir », « tu me vois tous les jours », « non, pas le facteur », « oui, j’ai compris », « alors tu viendras demain soir manger, et prends un rechange », il avait gagné car de toute façon demain nous étions samedi, je me sèche et m’habille, il m’accompagne en peignoir jusqu’à l’entrée , me bloque pour m’embrasser avant d’ouvrir, « bonne nuit, et viens demain », je le quitte assez perturbé de ce qui vient de se passer, je ne m’attendais pas à me faire défoncer aussi bien dans ce petit bourg, je remonte sur ma moto, le cul en bouilli, une fois arrivée, il  ne m’a fallu juste le temps de me déshabiller pour m’endormir, les cinq heures du matin vinrent trop vite, quand ma voiture entre dans la cour des parents de Alexandre, sa mère s’approche en premier, elle m’embrasse et demande de venir ce soir, pour dîner chez eux, qu’ils auraient bien voulu passer la soirée avec moi, Alexandre accoure en me prenant dans sas bras pour me faire une accolade, « ne cède pas », me dit-il à l’oreille, et il me raccompagne à ma voiture, « ne t’en fait pas, elle va s’acharner sur moi, soit à l’heure , avec ta brosse à dent », et il me fait un clin d’œil, je ne sais pas si sa mère nous voyait, mais il n’a pas hésité à me mettre sa main aux fesses, je suis repartis encore perturbé, la matinée se passe tend bien que mal, mais une bonne sieste arrange tout ça dans l’après-midi, 20h arrive,              quand je parcoure le parc en moto. Je me gare et montre le perron, il est là, à m’attendre, il me saisit les épaules et m’embrasse sur la bouche, heureusement que personne ne peut nous voir dans ce grand parc, il me prend la main et m ‘emmène dans la cuisine, une vielle cuisine qui ne manque pas de charme, dans un aménagement réactualisé, il semble savoir cuisiné car ça sent super bon, il s’approche de moi avec un bouteille de champagne, me bécote,  « je te garde pour le dessert, en attendant voilà »,  et il ouvrit la bouteille, les coupes débordent sur la table, il m’en donne une et me dit de le suivre, nous visitons les lieux, impressionnant de voir dans quel état de bonne conversation est resté ce manoir inhabité, Alexandre me dit que sa mère l’a toujours entretenu , même s’il n’y vivait pas, je comprends mieux, d’un boudoir de lecture, nous nous retrouvons dans la salle à manger, où il n’a pas oublié de mettre la table « tu vas être déçu, mes parents m’ont tellement embêté qu’ils voulaient te voir, que j’ai été obligé de les inviter », je souris de le voir faire la mou, un peu déçu, « ne t’inquiète pas nous aurons tout le temps après », « crois-moi que je ne vais pas te lâcher de la nuit », à ce moment là , la porte d’entrée claque et nous entendons, sa mère faire des « hou, hou… il y a quelque un », avant de sortir les rejoindre, nous nous embrassons tendrement, sa mère s’est fait belle, je serre la main de son père, et nous voilà dans un petit salon, les canapés et petits fours nous attendaient, la conversation n’a pas arrêté de toute la soirée, Alexandre essayait le plus possible de me toucher en me servant, une main sur l’épaule, un bras coller au mien quand je me servais, tous ces détails auraient du être visible pour sa mère, mais je pense qu’elle était très contente que ce lieu de son enfant, revive de nouveau, !Alexandre  était à nos petits soins, aucune raison de se lever tellement , il avait tout calculé, les vins et les mets étaient excellents, la soirée se termina dans la gaieté des parents, Alexandre prétexta que je l’aiderais à débarrasser pour me garder, sa mère me dit « tu es comme chez toi ici, nous t’aimons beaucoup », je n’ai pas tout de suite compris, à peine la porte fermée, que Alexandre m’a littéralement sauté dessus, nous n’avons même pas attendu de monter dans sa chambre, c’est dans le hall qu’il m’a mis tout nu et commencé à me sucer, j’étais déjà en érection, il se débrouillait bien le cochon, je n’étais son premier, ses doigts me tripotait l’anus, je me mis à le déshabiller aussi, nous nous sommes allongé sur le fabuleux tapis, pour faire un 69 parfait, je commençais à gémir beaucoup quand il m’a tourné et s’est frotté à moi, sa bite était énorme, je ne crois pas que cette fois-ci, j’allais  m’en prendre une de 23 cm sans difficulté, et ses reins firent le travail, je me suis retrouvé coller au tapis, pendant que sa  matraque m’envahissait, c’était  évidemment très bon, je râlais de plaisir, et lui en profitait largement , car je fis libéralement possède et n’eu le droit à un répit qu’après de longues minutes, ses coups étaient d’une précision à me donner un orgasme à chaque fois, je ne me sentais plus moi-même, il pouvait faire de moi sa chose, il changeait de position à volonté mais réussissait à tous les coups pour me donner ce que j’aimais, c’est ensemble que nous avons joui mais cette fois, j’eus tout son sperme en moi, il râlait , tellement il aimait, il se retrouve près de moi, toujours encastrer en moi, je ne bougeais pas, mais je sens encore son engin vibrer, je l’embrasse « c’était super bon », il me dit « tu restes ici avec moi ? », « oui, deux fois, plutôt qu’une », il me redonne encore un petit coup de rein et s’enlève, se redresse et m’aide à me relever, nous partons vers l’escalier nu laissant à terre nos vêtements, nous grimpons pour nous doucher, une fois fait, nous nous installons dans ce lit assez grand pour nous, il me serre contre lui et me dit bonne nuit, je n’ai pas trouvé le sommeil aussi rapidement que lui, ce n’est que le lendemain que je m’aperçois que nous avons dormi 12h, dans les bras l’un de l’autre, il se réveille et me sourit en me donnant un bisou sur le front, il me dit qu’il faut se lever sinon, nous allons rester toute la journée ici, il me lâche et se lève, je redécouvre son corps parfait, je ne me lasse pas de le regarder, lui prend plaisir de se balader nu, il me prend le bras et me fait lever aussi, il me donne un caleçon et nous voilà partit pour la cuisine, il s’agite pour nous faire un petit-déjeuner copieux, j’essaye de l’aider en cherchant les bols ou le lait, il me fixe en voulant me dire quelque chose, je ne sais pas quoi, il trempe sa tartine dans son café tout en me disant « tu ne voudrais pas emménager ici, si tu veux, tu auras ta chambre, même si je préférerais que tu sois dans mon lit « , je le regarde étonné car je ne m’attendais pas à ça si rapidement, spontanément je lui répond « pourquoi pas, même si je n’ai pas de chambre », il semble troublé de ma réponse « tu es d’accord ! », « oui, si tu ne me crois pas vient avec moi chercher mes affaires », « ne me cherches pas, j’en suis capable tout de suite en caleçon », « on pourra peut être attendre d’être habillé », il sourit et vient me donner un baiser très tendre, nous passons notre petit-déjeuner à faire des projets, il m’annonce qu’il avait un voyage de prévu au Mali et qu’hier, il a réservé pour moi aussi », « tout doux, bel étalon, je dois d’abord me faire remplacer, et ce n’est pas facile », il s’approche de moi , pose sa main droite sur ma cuisse, me fixe « tu ne pourras pas résister à une semaine sans moi, maintenant », nous concluons le conversation, et finissons de ranger la salle et la cuisine, de l’agitation d’hier, une fois doucher et prêt, il m’emmène dans son espace et nous voilà devant la maison, que j’ai hérité de mes parents, je le fais entrer, il me sourit, « j’ai plein de souvenir d’ici », je le trouvais ému de revoir cette maison, nous montons dans ma chambre, que j’ai toujours gardé même après la disparition de mes parents, il ne me laisse pas agir tout seul et m’aide à prendre le maximum d’effets pour être su que je ne revienne pas ici, il me dit « tu pourrais la louer, ça te ferait du fric »,  « non pas pour l’instant », il descend tout ce qu’il peut le temps que je range, la maison et nous voilà de retour vers le manoir, je souris , « pourquoi tu ris ? », « tu crois qu’il va falloir que je prévienne le facteur de mon déménagement », et nous voilà dans un rire commun. Nous re transvasons tout de l’espace à sa chambre et je découvre qu’il y a de l’autre côté de la salle de bain, une autre porte pour accéder à un dressing-room super bien aménager, il a du en dépenser du fric pour avoir tout si parfait, nous posons mes chemises et fringues diverses, quand je le sens près de moi, ses mains me soulèvent et me plaque contre le mur, commence à m’ôter mes vêtements, je suis coincer entre lui et ce mur, je suis nu en érection devant lui, il m’embrasse à grande bouche, j’ai une trique d’enfer, lui ne tarde pas à faire descendre soin fut, il mouille beaucoup, je sens deux doigts me pénétrer l’anus, un râle me sort de la gorge, il me lubrifie en crachant sur ses doigts, et me voilà les jambes sur ses épaules, le dos appuyé au mur, à sentir la pénétration, il me regarde fixement, « tu es à moi », et il m’encule, je le fixe d’excitation, ma libido s’accroît, la pose est confortable, ses coups sont dément, je ma supporte plus que la situation, au fur et à mesure, nous descendons contre le mur pour nous retrouver à terre. C’est l’extase car il bande bien, ma rondelle se laisse masser par l’intérieur, je cris de plaisir de plus en plus fort, quand nous jouissons la pièce résonne, nous nous calmons quand nous entendons , une voix, « vous êtes là », Alexandre me fixe, se retire de moi, cherche son caleçon du regard, le saisit et l’enfile, sa bite coule et reste grosse encore, il sort du dressing pour voir qui est là, je l’entends parler, je prend mon caleçon aussi et met mon tee-shirt, je fais le même trajet que lui et me retrouve à côté de lui, en bas de l’escalier se tient sa mère « bon, nous vous attendons vers 20h, et elle ferme la porte d’entrée en nous faisant un petit coucou de la main, Alexandre me fixe, moi je fixe son caleçon trempé par le sperme, son sexe est encore volumineux et déforme le tissu, « nous devons dîner chez eux ce soir et c’est un ordre, ils veulent nous parler », il me prend dans ses bras « désolé, ils n’ont que toi et moi, mais promis , nous allons fermer la porte d’entée pour avoir notre intimité », je lui souris pour approuver, nous repartons finir le rangement, il me taquine en me bloquant de temps à autre dans les placards, je ne peux pas trop rivaliser, va sa force, j’aime son contact, je lui pose la question « depuis quand es-tu homo ? « , « depuis que je t’ai vu mater ma bite et que je me suis mis à bander en pensant à toi », « au lycée », « eh oui », « et toi ? » , « pareil, j’ai toujours su que j’étais gay », une fois habillés, nous allons à la cuisine, et il m’emmène dans la cave, c’est là que je découvre une bonne centaine de bouteilles entreposées. Il me demande ce que j’aime et en saisi une « une très bonne, tu vas voir », et nous remontons. L’heure arrive vite , alors qu’il me faisait voir les travaux en cours, dans l’autre aile, et la grande salle de réception, je lui demande si les coûts sont important, il me rassure qu’oui mais qu’il avait économisé en achetant plusieurs appartement qu’il avait en location ce qui lui donnait un capital au ¾ pour ici, « bon gestionnaire en plus d’un bel étalon », « et attends de voir ce que je peux être en bon mari », et il m’embrasse amoureusement, nous partons à pied, en direction de la maison de ses parents, un petit km, nous sommes accueillis à bras ouvert, tout était déjà prêt, l’apéro sur la table et le reste, tout se passe bien, jusqu’au moment où son père parle « bon, nous voudrions savoir une chose , si c’est le cas nous , pensons que nous pourrions faire un geste car il n’y aura pas de mariage, êtes vous ensemble », Alexandre me regarde, il se remet bien dans son fauteuil et fixe ses parents qui sont crochés à ses lèvres. « disons que Emeric va habiter chez moi, maintenant », et sa mère qui reprends « ça , nous le savons, nous voulons savoir , si vous êtes ensemble, tu comprends », il baisse les yeux, alors je décide de prendre la parole, « nous en avons parlé, je pense malgré le peu de temps ensemble que l’on dirait ou », ses parents se regardent, sa mère se lève et vient m’embrasser, son père se lève aussi, « bon nous allons pouvoir fêter ça », et reprend la bouteille de champagne, et nous serre, Alexandre ne dit rien, mais il sourit, je crois qu’il a une larme à l’œil, son père reprend la conversation,  « bon, nous avons décidé te mère et moi, étant donner que maintenant tu vas vraiment vivre dans cette baraque, nous avons prévu depuis très longtemps la faire rénover, alors tu auras l’argent », Alexandre me regarde étonné « mais vous ne me l’aviez jamais dit », « nous voulions être sur ue tu y vivrais », « mais vous l ‘avez d’où cet argent », « mais qu’est ce que tu crois, que nous avons travaillé pour rien », « mais c’est à vous », « ho, nous, ne te donnerons pas tout, ça c’est sur », et nous trinquons sur cette excellente surprise. Nous repartons un peu paf, mais assez lucide pour se faire un petit 69 avant de dormir. La vie st tellement belle quand elle est simple, même après 6 années de vie commune.

Fini

Par histoires gays cooletclean
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Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 16:44

La prison (Bruno)

Je suis seul dans ma cellule, ça ne durera pas, dix jours passent, 17 h, le maton ouvre la porte, laisse entrer un jeune homme black, environ mon âge. Il me regarde, ne me dit rien, met ses affaires sur son lit et s'assoit. La porte se referme sur nous. Je me lève du lit, je suis en slip uniquement, car il fait chaud cet été. Je me présent à lui, « salut moi c’est Emeric » il me regarde des pieds à la tête, ne dit rien, se lève, s’approche tout près de moi, j’ai l’impression qu’il va m’arriver des bricoles avec lui, il sent bon, me fixe tout en me baissant le slip et me prend les bourses, je ne cris pas, le fait qu’il me touche m’excite, personne ne m’a tripoté depuis deux mois au moins. Il voit que je commence à bander, il lâche mes couilles, et me caresse le sexe, tout en se présentant, « moi c’est Bruno ».  Il laisse toujours sa main traîner sur ma bite, je bande vraiment, maintenant, il me sourit et me libère en disant  «on s’occupera de ça ce soir ». Je remonte vite mon slip et me rassoit sur mon lit, je ne bouge plus. La sonnerie du dîner retentie, les portes s’ouvrent, de retour 1 h après, je rentre le 1er, m’installe sur mon lit, Bruno entre, il se dirige vers son lit, enlève son tee-shirt, il est baraqué, des épaules gigantesques, il se retourne, son torse est vraiment bien dessiné, il le sait, il se pavane, pour m’exciter, il baisse son pantalon, me montre à travers son slip qu’il a un sacré paquet très prometteur, il me dit « je fais des pompes tous les soirs et toi tu feras pareil », je le regarde droit dans les yeux, j’ai bien entendu, il me lance un message qu’il veux que je face comme lui ou que je le suce. Il se positionne, et commence, il a un petit cul, très bandant, je rebande aussi sec. Je le mate sans détour, il finit et s’essuie, s’approche de moi, et se touche le sexe à travers le slip, je vois gonfler son énorme bite, elle va jusqu’au bout sur le côté, il met sa main sur ma nuque, et me souffle « vas-y maintenant ». je savais que j’aurais à subir ce style d’agression physique, j’étais mignon, bien foutu, mais pensais, ne pas passer à la casserole tout de suite, il me pousse vers son membre, je ne résiste pas, il comprend que je suis d’accord, me lâche et attend, je m’approche de son slip, il en a une super grosse, je presse ma bouche sur la base, et par jusqu'à l’extrémité, il gémit, il me griffe le dos, je commence le bouffage de bite à travers le tissu, je tire dessus, elle émerge glorieusement ses 25 cm. Je lèche le bout du gland, il mouille, j’essaye de prendre le tout dans ma bouche, son braquemart est aussi épais du gland aux couilles, il s’enfonce dans ma gorge, je suffoque un peu mais ne lâche pas le morceau, il prend son pied et lance des petits cris jouissifs, il continu un bon moment et sort, se branle devant mon visage, éjacule de longs jets de sperme, abondant, je me retrouve le visage dégoulinent. Il me donne une serviette, se tourne et s’allonge nu sur son lit. Je me rassoie sur le mien et l’admire, toujours en bandant comme un turc, je m’allonge sur le ventre pour ne pas penser à tout ça, et essayer de dormir, un peu.

4 h, je sens que mon voisin bouge, il s’approche, je prends peur, que veut-il ? Je sens sa main sur mes fesses, il se branle avec l’autre main, je ne vois rien, il me lèche les fesses, la raie, descend sur mon intimité, écarte mes fesses, enduit mon anus de salive, et introduit un doigt, je me cambre un peu, je sens tous mes sens en ébullitions, c’est exquis, il met deux puis trois doigts, je commence à haleter, il me fait du bien, je prends mon pied, il se penche sur moi, frotte sa bite entre mes cuisses, met sa verge contre mon anus, pousse, je sens s’introduire le gland, il continu, il sait que je ne gueulerais pas, il me lubrifie avec sa salive, il suit son trajet en moi, il respire fort, je l’aspire goulûment par le cul, il aime, ressent mes plaisirs, il me laboure, de plus en plus vite. Au bout d’un quart d’heure, il éjacule sur mon fessier, ne me dit rien, m’essuie, et se lève, repart se coucher. Je ne bouge pas. Le matin arrive, la journée démarre, nous ne prenons pas la douche en même temps, je me trouve avec des mecs bizarres, ils m’embêtent depuis deux jours, mains aux fesses, insinuations perverses, clins d’œil, je reste sur mes gardes, j’attends qu’ils aient terminé. Je me déshabille, il ne reste que Polo, un mec bien foutu, beau gosse, de belles cuisses, je ne vois personne d’autre et je ne cherche pas d’ennuis, il est de l’autre côté des douches, je me savonne, tout est calme, je l’attends siffler, je me retourne et le vois beaucoup plus près, il est à deux douches de moi, je sers les fesses, je n’aime pas ça. Il me mate le cul, et me dit, « tu es baisable, tu sais », je fais comme si de rien n'était, je me lave un peu plus vite pour repartir, il continu, « Bruno ne doit pas s’emmerder avec un mec comme toi ». Il est tout près, les gardes ne nous regardent même pas ils discutent entre eux, je sens sa main sur ma fesse droite, il me la malaxe, il se serre contre moi, il frotte son sexe bandant sur ma raie, je mets mes mains sur les carreaux de la douche face à moi et le laisse faire, il n’hésite pas, prend sa bite dans la main et la glisse sur mon trou, il me pénètre directement, s’arrête une fois au fond, me lance, « merde, c’est bon, je ne résisterai pas longtemps,  je n’ai pas baisé depuis 15 jours », il me laboure de va et vient et sort vite jouir sur mon dos, bouge et se remet sous sa douche, une fois fini, me regarde et me dit, à demain sans faute, tu as pigé pourquoi. Je reste seul, et me demande ce qu’il se passe en ce moment, ils sont en rut. Les gardes me ramènent à la cellule, Bruno est partit travailler dans un autre bloc, moi je vais la journée dans la section bibliothèque. Je m’entends bien avec les mecs qui viennent me voir. Certains me draguent un peu mais très soft, pas de vacherie, ils ne veulent pas être interdits de bibliothèque. Je dois rentrer à 17 h 45 dans la cellule, les portes se rouvrent à 18 h 15 pour le dîner, Bruno est déjà là, il me regarde sévèrement, je reste tranquille dans mon coin, il s’allonge respire profondément. Je sens que quelque chose ne va pas, mais quoi ? Le temps passe, la sonnerie, nous nous séparons, Je suis fatigué, je rentre plutôt, et m’étire sur le lit, je somnole, un peu, la porte, Bruno, et comme hier, il défait son tee-shirt, enlève son pantalon, et fait ses pompes. Je ne le regarde pas de peur de me prendre un gnon dans la figure, il se relève, s’essuie, enlève son slip, et vient directement s’allonger sur mon lit. Je lui fais de la place, il me caresse le ventre, il bande comme un taureau, me regarde dans les yeux, approche son visage et m’embrasse, je ne pensais pas qu’il le ferait, un mec hétéro comme lui, je savoure ce baiser. Il me câline, me souffle qu’il à envie de moi, que se serait bien si je me laisse faire. Je me tais toujours, il vient sur moi, lève mes jambes, taquine mes fesses, frotte son avant bras sur ma raie, s’avance, frotte maintenant avec son gros, énorme sexe, plus gros que celui de Polo, et pourtant il est lui aussi bien membré j’en ai un bon souvenir, il me fixe et me frappe de son pubis sur les fesses, je le sens me défoncer sans vergogne, il s’excite, une vrai bête de sexe, il n’arrête jamais, il me fait un peu mal, je lui dis, il me réponds que j’ai qu’à rester fidèle et il sera plus doux, merde, comment à t’il sut pour ce matin, il m’embrasse, mais ne lâche pas prise sur mon cul, je me fais défoncer en grande pompe, il ne stoppera jamais, et un cri vient me faire comprendre qu’il me jouit dans le rectum, je ne voulais pas, je lui dis, il me dit « tu es à moi, et t’inquiète, tu pourras faire pareil ». Il se remet sur le côté et ne bouge plus, Je promène ma main sur ce magnifique corps, il se laisse faire, il bouge son bras pour que je mette ma tête dessus, je me sens bien et lui aussi, nous discutons un peu et nous endormons comme çà. Au réveil, nous sommes toujours enlacés, la sonnerie retentie, il me regarde, m’embrasse et se lève, le maton ouvre la porte, nous voit tous les deux nus, et dis « dépêchez les mecs, vous recommencerez ce soir, allez ! » La douche est remplie de monde, on me dit de reste de côté, je vois Polo se doucher, je ne bronche pas, tous se lavent, je mate, en me demandant pourquoi je n’ai pas le droit de me doucher avec eux. Polo me fixe, en se tripotant, j’évite son regard, tout le monde, part au fur et à mesure, Polo passe devant moi, me touche un sein et me dit « à demain ». Là, le maton et son collègue, me disent, « ok maintenant, tu peux y aller », j’enlève ma serviette, et vais sous une douche, je me savonne et ne vois pas le premier gardien se déshabiller, il s’approche et me prend par la taille, me dit, que nous allons nous détendre un peu, je panique, me débat, je sens déjà sa belle queue, se frotter contre ma cuisse, il est trop fort pour moi, il me plaque parterre, et m’écarte les jambes, il me bloque les mains. Je vois arrivé le 2e gardien, la bite à la main, il s’agenouille devant moi, me prend les mains à son tour, et me dirige sa queue dans la bouche, je ne peux plus crier, tant elle est grosse, et au fond de ma gorge, le 1er me sépare les fesses, me bloque les cuisses pour que je ne bouge plus et commence sa pénétration, il me fait une défonce anale, je me fais violer, il s’excite, me besogne, il me dit que je suis bon, un vrai pro, qu’il comprend maintenant que le gros sexe de Mac arrive à rentrer en moi, je pleure, le 2e n’hésite pas à se servir de ma bouche comme d’un cul. Ils échangent leur place, le 1er me tire sur le visage, et s’enfonce comme dans mon cul, violemment, je me cambre, le deuxième profite de la position pour entrer en moi, il prend plus son temps, me baise avec douceur, je commence à aimer, je couine, je jouis, je me dis qu’après tout autant avoir du plaisir, je commence à m’appliquer avec ma bouche sur la queue du 1er, et remue mon petit cul qui excite vraiment le 2eme. Ils partent dans une explosion de sperme, je me retrouve dégoulinant de leur jouissance, ils me tapent sur les fesses, et me disent, que maintenant, je pouvais aller retrouver mon amoureux, ils feront tout pour nous protéger, en échange de petits services de ma part. Je reste bouche bée, pars sous la douche et me r’habille vite. Arrivé dans la cellule, je me blottis dans mon lit et pleure, je sens que Bruno s’approche, il a compris ce qu’ils m’ont fait, il me prend dans ces bras, il me caresse les cheveux, depuis, ce jour, aucun autre, prisonnier, ne m’a touché, Polo, m’attire de temps en temps vers lui pour le branler, mais, n’arrive jamais à être seul avec moi, les 2 matons me baisent, mais j’aime bien faire ça à trois, et de toute façon le meilleur morceau se trouve tous les jours dans mon lit, alors tout va bien. Surtout que Bruno, m’a fait une grande surprise, un soir, qu’il me faisait super bien l’amour, juste avant de jouir, il sort, me retourne, et me suce, c’était, la première fois. Il me dit que c’est parce que c’est moi, j’apprécie encore plus, son coup de langue, il me dit « ne bouge pas », il s’assoie sur moi, je le vois me présenter son petit trou du cul, je le lèche, le lubrifie, introduit ma langue dans l’anus, il gémit, se tord de plaisir, se branle comme un fou, il reprend ses esprits, redescend sur mon ventre, se tourne face à moi, prend ma bite la positionne sur son anus, et se l’enfonce, je sens mon gland entrer, il m’embrasse, grimace, mais continu, et s’arrête une fois que la base de mon sexe, arrive au fond. Il me regarde et me dit « tu vois que tu peux avoir tout de moi », je commence à bouger. Il se raidit, je vais et vient en lui, il se branle pendant que je le pilonne de mes 21 cm, il ne bronche pas, je lui rends ce qu’il m’a fait pendant 2 mois. Il adore, me dis de continuer, qu’il n’a plus qu’à m’aimer, maintenant, que c’est ce qu’il voit de mieux pour nous. Je jubile à cette phrase, j’éjacule en lui, sans même faire croire que je vais ressortir, il éjacule aussi et me tapisse de sperme sur le buste, il se penche sur moi, en gardant ma bite en lui et me confit qu’il aimerait vraiment être pris par moi comme ça de temps en temps, je le rassure que c’était la première fois mais pas la dernière. Une fois sortie de prison, nous nous sommes retrouvé et vivons ensemble depuis 10 ans, je l’aime et lui aussi.

Fini

 

Par histoires gays cooletclean
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