Vendredi 19 juin 5 19 /06 /Juin 17:30

Le routier (Corentin)

 

Après deux jours de marche sur cette fichue route, je me retrouve dans le dernier relais avant le grand désert. J’essaye en vain de trouver un camion qui pourrait m’emmener. Je ressors du resto et vois un type au fond du parking en train de monter dans sa remorque. J’y vais et l’accoste, je lui explique mon problème, il me regarde et continu à remplir son frigo de bouffes et de boissons. Il saute de la remorque et va à la porte du camion, je le suis, il me fixe, il me mate des pieds à la tête, il a des yeux d’un vert émeraude magnifique. « Pas bavard » je lui dis en souriant, il ouvre la porte, « tu sais conduire », « oui une voiture », « bon j’ai perdu mon coéquipier alors ok, tu devras juste me remplacer pendant deux ou trois heures, le temps que je me repose, en échange, je te nourris et tu dors dans la cabine, alors ? », « Ok pour moi ». Il monte et m’ouvre la porte du passager. Je grimpe et pose mon sac à mes pieds. « Tu peux l’installer derrière », je pousse le rideau et trouve un lit pas très grand mais propre, je jette mon sac dans un coin. Et essaye de ne pas trop montrer mon excitation de voyager dans un si gros camion. « Tu sais que nous serons que tous les deux pendant 8 jours avant la première étape », « oui, oui, pas de problème pour moi, je me ferais tout petit », il sourit, il a une dentition parfaite, il se marre du jeu de mot car lui fait au moins 1 m 90 et moi 1m 80. « Nous verrons ça dans la cabine », et il me jette un regard bizarre. L’après-midi passe vite, il y a tout, télé, bar, jeux vidéo dans ce camion, un vrai petit appartement, je lui demande si je peux mettre mes pieds sur le tableau de bord, «si tu es pied nu, ok, de toute façon, tu peux même te foutre à poils, car tu ne vas pas voir autre chose que ma tronche et le désert ». J’ôte mes chaussures de marche et enlève mes chaussettes.

20 h, nous nous arrêtons en plein désert, il sort et s’étire, « ok, tu sais cuisiner ? », « Pas trop », il part ouvrir la remorque, je le suis, punaise que ça fait du bien de marcher, il monte et me tend la main, je m’élance, il me tire, je me trouve propulsé, il me rattrape en me bloquant dans ses bras, je sens sa respiration dans mon cou, il me dit «tu sens vachement bon », et il me lâche, me tend une table et deux chaises. Il sort de quoi manger, tout est déjà près, il avait commandé des plats tous préparés. Je redescends et installe la table un peu plus loin du camion, il s’assoie et me regarde, ôte son tee-shirt, la vache il est super bien foutu, ses épaules sont carrées, grandes et puissantes, ses seins pointes devant moi, il passe sa main dessus,  la glisse vers le bas, et se tripote les couilles. Il commence à m’exciter ce type, je discute, mais j’ai très peu de réponse, il m’observe et me sourit souvent, il est 22 h quand il me dit qu’il faut se coucher car demain la route reprend, je débarrasse pendant qu’il vérifie son camion, j’essaye de faire mon possible pour être gentil, mais il ne se force pas trop. Je remonte dans le camion et m’allonge en slip uniquement. 15 minutes s’écoule, je ne l’entends pas, la porte s’ouvre, il tire sur les rideaux, pour que le soleil ne perce pas, il met la climatisation et entre dans la cabine, j’essais de me recroqueviller le plus possible mais deux mecs comme nous dans un lit de 140 c’est quand même juste, mais la longueur est bonne. Il glisse son jean, ôte ses chaussettes et tire sur son slip, merde, il se met à poil, je me retourne pour ne pas le mater et surtout ne pas bander, il me touche de temps en temps, et s’excuse à chaque fois, « tu sais, ce n’est pas la peine de t’excuser à chaque fois, j’ai déjà dormi avec des mecs, et vu la taille du lit, ce n’est pas grave si tu me frôles », il ne répond rien, je sens son corps tout proche, il s’endort rapidement. Au matin, le camion s’arrête, Corentin ouvre le rideau et me dit « debout fainéant, il est 10 h c’est la pause »,  je me réveille, m’étire, j’ai très bien dormi, merde mon slip a glissé, je suis à poil, il a dut mater l’enfoiré. Je prends un short dans mon sac et pars dehors, il se rase, « bonjour, tu te rases en plein désert ! », Il me sourit « bonjour, ça va ? , Tu préfères dormir avec un mec sale et pas rasé ! », Et il m’observe comme hier, il aime bien voir l’attitude des autres, « non c’est sur que tu es plus mignon rasé », merde pourquoi j’ai sorti ça, je ne pouvais pas me taire, il va croire que je le drague. Il continu « le petit-déjeuner est près, tu veux quoi ? », « Seulement un café », « ok, donne-m’en un aussi, c’est chaud, nous partons dans 30 minutes ». Je dois faire vite, et  je lui demande comment on se lave ici. Il lève la tête et me montre du doigt, un tube au toit de la remorque, « ouais ! Je sais, c’est moi qui l’ai bricolé mais au moins j’ai une douche, par rapport aux autres ». « Géniale, je peux en profiter » Si tu as fini dans 15 minutes, oui », je me lève, il me dit tout en restant assis, de tirer sur la corde pour faire coulisser le tuyau, d’appuyer sur le bouton vert près de la cabine, je me tourne pour pas qu’il me voit trop, je fais glisser mon short et commence ma douche, il mate en dégustant son café, il me sourit, je me dépêche, il se lève s’approche, va vers la cabine en me dévisageant, et revient avec une serviette. Je m’essuie et il m’annonce que nous partons, j’ai à peine le temps de m’essuyer qu’il à déjà ranger tout et entre dans le camion, il met le contact, je me précipite nu dans le camion, il me regarde et sourit, « si tu restes à poil, tu vas me faire bander », je le fixe, entre dans la cabine, remettre mon short et un tee-shirt. Je lui dis que je n’ai même pas eu le tend de me raser, il avance sa main sous mon menton, me tourne le visage à droite et à gauche, toi, tu es très mignon comme ça tu te raseras demain ».  La matinée passe sans problème il est très sympa une fois le contact établi. Vers 16 h, il s’arrête et me donne le volant, je n’avais jamais conduit de camion, mais en ligne droite, c’est parfait, il me dit qu’il va dormir juste une heure, il monte sur le lit, ôte son tee-shirt, punaise, il a des abdos de rêve, il défait son short et reste en slip, il me regarde conduire, « je laisse le rideau ouvert comme ça je pourrai voir si tout va bien », je le mate, il a une bosse dans le slibard, carrément énorme. Il s’allonge et se tripote un peu avant de somnoler, je le mate de temps en temps et règle mon retro pour le voir mieux, il est très beau, un corps super muscle, et un paquet qui en dit très long. Au bout de deux heures, il s’étire, me regarde met sa main sur mon épaule, « ca va », je souris, « alors ce gros dodo », « tu aurais du me réveiller, je ne vais plus pouvoir dormir cette nuit, je vais t’embêter en remuant », il vient s’asseoir sur le siège d’à côté, son slip est tendu tellement sa bite est grosse, mais je ne pense pas qu’il bande, en tout cas c’est un sacré morceau vu les formes du slip. Il prend un café et me dit d’arrêter. Il descend, va pisser, s’étire, je descends aussi et marche un peu tout en le regardant. Il s’approche de moi, punaise, un mec pareil en plein désert, en slip difforme, « tu t’es bien débrouillé, on dirait ». Il se met par terre et commence à faire des pompes. Il a un petit cul d’enfer, juste ce qu’il faut pour vous donner la trique. Je m’éclipse car ma queue commence à pointer et le pan de mon short se soulève tout seul. Je passe derrière le camion pour me calmer. Je déballe ma bite et pisse, d’un coup Corentin surgit, je sursaute, ma bite pisse toujours en bandant dur, il me dit  « ce soir, nous allons nous faire une soirée arrosée », je remballe ma marchandise et le fixe pour comprendre sa remarque, il ne se détourne pas de mon regard, il a un début d’érection, sa bite déborde de l’élastique, la vache il a sa bite sur le côté et elle longe jusqu'à sa hanche, merde c’est un bazooka qu’il a, nous repartons, il est resté en slip, je n’ose pas trop le regarder, il m’excite ce con,  Le soir, vers 19 h 30, il stoppe le camion, et me demande de préparer le dîner, il m’ouvre les portes de la remorque, et va s’installer sous la douche, fait glisser son slip, son petit cul m’apparaît, une merveille, je passe devant exprès, comme lui ce matin, et prend la télé portative dans la cabine, je redescends et stop net. Je vois sa bite, elle est énorme, un vrai gode disproportionné, elle fait au moins 23 cm et il ne bande pas. Il me sourit « ça va », « elle est….. », « Oui, elle est un peu grosse », je redémarre et me dit qu’elle n’est pas un peu mais beaucoup oui, il s’essuie et vient prendre un verre, la serviette autour de sa taille ne cache pas la grosse bosse de sa bite. Il m’avoue « oui, elle est grosse mais elle plait beaucoup », je n’ai rien à dire à ça. Nous buvons beaucoup, la soirée est sympa, il parle un peu plus, sa serviette est de plus en plus ouverte, et laisse voir ses belles cuisses. Il s’exhibe volontairement, je retire mon tee-shirt pour lui montrer que moi aussi je suis bien gaulé, je me lève chancelant, « je vais pisser et me coucher, bonne nuit », Il me laisse partir, j’entre dans la cabine et m’affale sur le lit, retire mon short et commence à divaguer. Il me rejoint, enlève sa serviette, se met près de moi, je sens son corps le long du mien. Il pose sa main sur ma hanche, je me tourne vers lui, et me retrouve nez à nez avec ses yeux vert profond. Il me sourit, mes mains sont entre nos torses, son bras passe sous ma tête, son autre main vient prendre une des miennes, la pose sur son torse, et la fait descendre vers son sexe. La vache, il bande dur, elle est monstrueuse, il me demande si je suis homo, « non », « dommage, j’aurai aimé que tu me suces », je sens sa bouche venir frôler la mienne, il m’embrasse, je me laisse envahir par ce mec, il me roule un patin d’enfer, je continu à le branler, mais ma main ne fait pas le tour de son sexe, il commence à gémir, sa main se pose sur ma tête et la pousse vers le bas, je lui lèche les seins, descend ma langue vers son nombril et me retrouve devant ce mat de chair, il a une bite super volumineuse, je la regarde et me tourne vers Corentin, « vas-y essaie, il n’y a que nous », j’hésite et approche ma langue de son gland, qui luit de plus en plus, mes lèvres se posent dessus, je lèche cette matraque comme un malade, jamais je n’avais fait une pipe à un mec, au lycée un type m’avait sucé dans les vestiaires mais là c’est moi. J’ouvre la bouche et entre ce gros gland, il passe et me rempli complètement l’entrée, il crie que c’est bon, je ne bouge plus, il commence à remuer, me tient la tête et fait pénétrer doucement sa tige dans ma gueule « continu tu m’excites trop », je le vois se trémousser, il accélère ses vas et vient, j’ai mal à la mâchoire, et ça me fait pleurer, il sort et m’éjacule sur la poire trois gros jets de sperme, le quatrième va sur mon torse, il me tient toujours l’épaule, et je ne peux pas ôter mes yeux de cette queue de taureau, il s’agenouille, me fait coucher et pose la bouche sur ma teub. Je bande trop, il s’active mais il est expert, je ne résiste pas longtemps, j’éjacule dans sa bouche sans avoir le temps de sortir, il m’avale tout me lèche jusqu'à la dernière goutte, je reprends mes esprits, ma respiration est encore rapide, je souffle, il vient m’essuyer le visage et pose ses lèvres pour un baiser tendre. Il se rallonge, s’étire, je me tourne pour être de dos à lui, il s’approche passe son bras sous le mien, met sa main sur mon ventre, blottit sa tête dans mon cou, je n’ose plus bouger, sa jambe vient se glisser entre les miennes, sa queue toujours aussi grosse même débandée, fait encore bien 23 cm au repos, elle se cale entre ma raie, « je peux rester comme ça un peu », « ok, bonne nuit ». 6 H du matin, une pression dans ma raie me réveille, il dort encore mais il bande tellement dur, que son gland commence à s’introduire dans mon anus, j’essaie de bouger un peu mais il risque de m’enculer, j’attends un peu, je le réveille, il bouge, me montre sa queue très en forme, il me regarde, « tu voudrais essayer », « heu ! , Je ne pense pas que se soit une bonne idée pour moi », il me sourit, me donne une claque sur la fesse,  tu le diras quand tu l’auras eu, pas avant, mais je suis sur du contraire », il enfile un short et sort, je reste un certain temps à réfléchir, sort aussi, mon short à la main, l’enfile, il a déjà installé le pdj, il est rapide ce mec, il m’attend. Je lui demande si je peux me laver et me raser, « oui, nous avons tout le temps, et à 300 kms il y a un réservoir pour refaire le plein d’eau », je pars prendre ma douche, me lave quand Corentin vient aussi, tire sur son short, il me prend la taille, glisse sa grosse queue en érection entre mes jambes, et commence à s’activer, il glisse un doigt savonneux dans mon cul, je cris, il pousse et entre complètement, je me cambre, il prend une de mes jambes la pose sur sa hanche et me retient, prend l’autre, je lui entoure la taille, sa queue frappe et commence sa pénétration, je ne veux pas mais il la fait glisser, « merde, tu es excellent », Sa queue me déchire, je gueule d’arrêter mais sa force musculaire, lui permet de faire de moi ce qu’il veut. Je sens le passage du gland, ma respiration s’accélère, il m’observe, et pousse de 2 cm, je cris toujours, il entre encore 2 cm, ma bouche rejoint la sienne, et il continu de plusieurs cm, mes yeux sont trempés, il me perce encore, l’anus se dilate tout seul, je n’ai jamais eu de pénétration avant, et je me fais empaler par un énorme braquemart, du premier coup, c’est la meilleure. Il s’arrête et remue un peu, je sens que mon anus active sa bite, je jouis sans m’en rendre compte, il me sourit et s’acharne, je subis sa queue, c’est bon mais douloureux,  mon cul devient insensible tellement je suis ouvert mais la longueur de sa tige vient me rappeler qu’il est en moi, il cogne ma prostate tellement elle est longue, sûrement 28-29 cm, je ne peux plus le supporter, il me tient bien et m’élance en l’air, je m’empale à chaque fois plus, il jubile et moi je gueule, il jouit, me tapisse les parois, je sens son sperme chaud, couler en moi, il me serre fort et laisse sa queue dans mon cul. Il me fixe, je suffoque encore de l’expérience que je viens de vivre, s’accroupi tout en gardant sa queue en moi, il baisse mes jambes. Il me sèche les larmes avec ses doigts, « alors tu n’as pas aimé », « si mais elle est très grosse », « du moment qu’elle arrive à entrer tout va bien », « pour toi oui, pour moi on verra », il sort de moi, sa queue bande encore, il me met à califourchon, se met derrière moi, et pousse sa queue, je cris tellement il s’enfonce en moi trop vite. J’essaye d’écarter les jambes pour qu’il me pénètre plus facilement, sa tige refait de moi un mec soumis, il me laboure sans merci, je pleure de désespoir, et lui s’acharne vraiment, il me baise à fond, mon cul l’englouti complètement, « tu es le meilleur mec que j’ai eu, ton cul m’accepté presque en entier », « quoi pas entier », « non mais attend encore deux jours et la tu verras », je baisse ma tête et le laisse faire, 10 minutes passe et il sort pour m’éjaculer sur le dos, je m’écroule par terre, il s’allonge à côté et me regarde « alors », « ben à part m’être fait casser le cul, et quand je dit casser, c’est plutôt défoncer », il me caresse le dos, « ne t’inquiète pas tu pourras te venger sur le mien ce soir », je le fixe avec une lueur d’espoir, je commence à reprendre du courage, après tout ok de me faire défoncer s’il se laisse faire, je m’approche et lui roule un patin. Il me serre contre lui. Me donne une claque sur les fesses, ‘oust !  Moussaillon, nous sommes en retard ». Nous nous lavons et c’est reparti. Il commence à discuter un peu plus, il m’avoue qu’il flash sur moi depuis le début, que lui est homo, « ah bon ! un mec comme toi », « pourquoi, tu ne m’imagine pas avec toi », je souris « ca pour être avec moi, tu l’as été, même en moi, je dirais », nous rigolons, ‘tu te rends compte de la bite que tu as », « oui elle fait peur à beaucoup de mec, j’ai pris un sacré plaisir avec toi »,  L’après midi passe trop vite, vers 21h nous nous arrêtons, il me prépare un super repas, il cuisine très bien, de temps en temps il s’approche de moi et me donne un baiser sur la bouche en me caressant, je le trouve super comme mec, vachement romantique pour un balaise pareil. Une fois dans la cabine, nous nous déshabillons, et il recommence à bander dur. Elle est incroyablement grosse, il me regarde comme un petit malheureux, je prends sa bite dans la main, la caresse, et glisse l’autre à l’intérieur de sa raie, il écarte ses jambes et pose sa main sur mon épaule, je vais vers sa queue, mes lèvres s’ouvrent en grand pour laisser passer ce monstre, il se couche, glousse, me demande de continuer, qu’il m’aime, je pousse un doigt dans son cul, il glisse tout seul, sa queue se fige tellement elle est plein de sang, il gueule de plaisir et m’éclabousse de sperme, sa semence se projette partout, il n’arrête pas, mon doigt s’active toujours, il cris de jouissance en me regardant, il est super mignon quand il Jouit, sa matraque reste toujours aussi grosse après 5 minutes, il me couche, lève mes jambes et me lèche l’anus, il me donne un plaisir que je ne connaissais pas, je commence à apprécier ce style de baise, il approche son gros gourdin et l’enfile dans ma rondelle, j’ouvre grand les yeux en le fixant de stupeur, il s’enfonce encore, ma bouche reste béante, il continu et va au fond, ma main va voir s’il est entré en entier, merde non, il pousse encore et commence ses vas et vient, je me cramponne et il repousse en me tenant bien, je me sens presque partir dans les vaps, il me baise vraiment, tout à l'heure c’était pour rire, je suffoque, Il s’enfonce toujours, ma main trouve son pubis sur ma raie, il est en moi maintenant, il me regarde et vient m’embrasser, « tu baises comme un dieu, mec, je suis à fond en toi », je me sens plus les douleurs, il s’active en moi, et je jouis comme un malade pour la deuxième fois, il ressort et m’empale d’un coup, mon cri sort de loin, il me caresse et ressort plusieurs fois, me dit qu’il veux jouir en moi, je m’abandonne et il m’encule comme jamais un autre mec le fera, 5 minutes encore de plaisir et il jouit, reste béat et figé en moi, je suis bloqué, il m’empli tellement que j’ai l’impression d’Etre soudé à lui, un bloc, il ne bouge pas, laisse sa queue entière dans son écrin, je respire mieux, je suis trempé, mes seins me font mal, en sortant, je pousse un râle, je crois me vider, ma main va voir mon cul, je touche l’anus mais il n’est pas trop ouvert. Il s’étale à côté « tu auras le droit à un extra demain très rare », « à quoi ? », « Tu pourras avoir ma rondelle et crois-moi, très peu l’on eut », je pose ma tête sur son torse et m’endorme, il me cajole, je suis très bien, il me plait beaucoup.  6 h sonne, il passe au-dessus de moi, me donne un bisou sur le sexe, et s’habille, s’installe sur le fauteuil et démarre, je reste au lit, il me mate de temps en temps, je le laisse reluquer mon cul. Vers 10 h il stoppe, sort me prépare le pdj, je m’étire et met un short, il est déjà douché, il sent bon, il a un bermuda avec une grosse bosse devant, un petit débardeur qui m’excite déjà. je le regarde, il s’approche me prends la taille, me fait un bisou dans le cou, je glisse ma main dans son bermuda et tripote ses fesses, il me laisse faire, m’emmène à la table et me roule une pelle, ma main s’introduit dans sa raie, il se cambre, me laisse entrer, mon doigt par a la rencontre de son anus, il geint « tu m’excites, nous allons encore être en retard », il pose ses mains sur la table, je glisse son bermuda et m’accroupi, je lui écarte les fesses, introduit ma langue dans son cul, il m’attrape la tête et la pousse dedans. Mes léchouilles lui plaisent, il glousse de plus en plus, je me relève, le tourne sa queue est bien raide, il me bloque, nous n’aurons plus rien ce soir si tu m’excites toujours. Il remonte son bermuda et s’assoie, me tire sur ses jambes, je me mets à califourchon sa grosse teub se colle à moi comme un aimant, il me serre le pdj. Je me douche rapidement, et nous redémarrons la journée. Arrivé au point d’eau, un autre camion est là, deux types nous regardent méchamment, Corentin va vers eux, leur serre la main et rigole, je n’ose pas aller les rejoindre, je n’ai pas confiance, un des types me fait signe de venir, pendant que Corentin part avec l’autre pour voir leur camion. Je m’approche et le type vient se mettre derrière moi, je bouge pour me dégager mais trop tard, il me bloque les bras, « reste là, je ne vais pas te manger », il est plus fort que moi, il passe sa main sous mon tee-shirt, je le fixe, et il me met par terre, vient glisser une main dans mon short, je cris pour que Corentin viennent m’aider, mais l’autre type arrive seul, en souriant, l’autre tire sur mon short, et pousse son doigt à fond, « ok pour l’autre, il est dans les vaps, le temps que l’on s’occupe de lui », je pleure, il pointe déjà sa queue sur ma rondelle, et m’empale, je braille e tellement il me fait souffrir. L’autre sort sa bite et la tape sur mon visage, « putain, tu es puceau ou quoi», il ne t’a pas encore défoncé le cul, pourtant il paraît qu’il en a une grosse » ; je cris et essaye de me débattre, la queue de l’autre entre dans ma bouche, il me bloque la tête et s’acharne dans ma gorge, l’autre me pulvérise le cul. Je souffre a chaque coup de butoir, il me baise fort, et gueule que j’ai un cul d’enfer, il sort et jouit sur moi, l’autre le bouscule et prend sa place, je me sens sale, il m’encule sans prendre le temps de m’écarter les fesses, il me brutalise pour son plus grand plaisir, il m’annonce que je n’ai plus le cul d’un puceau maintenant, je pleure, il jouit vite temps mieux. Un grand coup vient sur ma tête, je me réveille dans les bras de Corentin, il pleure, je suis désole de ce qu’ils t’ont fait », je ne savais pas », il a du sang sur son débardeur, je lui essuie ses lèvres, et viens l’embrasser sur la bouche, « je suis désole, j’aurai du te protéger », il est vraiment gentil, je pose ma tête sur son torse, il me caresse les cheveux, toujours en s’excusant qu’ils n’aient fait mal. Je ressens la douleur dans mon anus, ils ont du me déchirer, je pose ma main mais je n’ai rien, je le regarde, je crois que je ne vais pas continuer avec toi, il me fixe et pleure », « je ne veux pas te perdre », « je t’aime, tu me plais trop », et il me soulève pour m ‘emmener sous la douche, je le laisse faire, il me frotte avec du savon, ca fait du bien, j’aime quand il me touche, il fait très attention a ne pas me faire mal, il me sèche, m’offre un café avec des biscuits, il me regarde tendrement, « ok je reste avec toi, mais je ne veux plus que toi qui me touche », il m’embrasse, je te jure qu’aucun autre mec ne t’approchera crois-moi. Je lui rends son baiser, mon cul me relance, je ne comprends pas, Corentin a une bite deux fois plus grosse et j’ai mal quand c’est les autres qui m ‘encule, il me laisse tranquille, va ravitailler le camion, ‘ok nous partons de ce lieu maudit », nous montons dans le camion « je ne sens mieux ici », il me sourit. « Je vais te choyer, je te donnerai tout ce que tu veux », « je ne veux rien que toi », « ok tu m’auras quand tu veux’, je souris et ouvre la radio pour détendre l’atmosphère de tous ces mauvais évènements.  Vers 19h30, nous stoppons, nous nous reposons devant un bon repas et une bonne bouteille de vin, il me parle de plus en plus, je trouve même agréable de discuter des différents avis qui nous opposent, nous allons nous coucher. J’ai envie de lui, il l’ait, il s déshabille et e tourne pour m’offrir son cul, je le masse, il se détend, j’ôte mes fringues et m’aperçois que je bande déjà dur, sa chute de reins est magnifiques, ses petits globes bougent, quand je les caresse, ma langue va s’insérer dans sa raie, il gémit, je lui lèche l’anus et le lubrifie pendant dix bonnes minutes, il n’en peux plus, me demande de le pénétrer qu’il est à bout, son cul s’approche de ma bite, j’ai une bite de 21 cm, mon gland passe le petit passage de son anus, il se cambre, tourne la tête pour me voir faire, il écarte ses fesses, je pousse encore, il pousse un cri de douleur, je lui caresse le dos et m’enfonce, il s’empale de lui-même, je sens ma bite grossir, il me dit « merde, elle jongle encore », je n’avais jamais ressenti cette sensation avant, son petit cul serre m’excite, je commence mes va et vines, il se branle, me dit de le bourrer, je m’active plus, il gueule qu’il aime ca, je prend un pied, il a un cul de rêve, je sors vite et jouis en râlant de plaisir, il se retourne, se branle devant moi, je regarde, je ne l’ai jamais vu faire, il prend ses deux mains et s’astique la tige, incroyable, il approche ses lèvres des miennes et jouit en même temps, ses secousses m’excitent encore, je me mets sur lui a califourchon, et posée mon cul sur sa bite toute dégoulinante de sperme, je descends dessus, il me regarde faire, j’écarte mon anus qui avale son gland d’un coup, je souffle, et continue ma descente, il reste sans bouger, je m’excite de plus en plus, mon cul adore sa bite, je m’éclate le cul, il sourit, me prends les hanches et pousse en moi, je râle tellement il s’enfonce, je suis plein de lui, il s’arrête, m’observe, ‘tu aimes ma queue », « oui, je l’adore », « tant mieux, car elle a besoin de ton petit cul tous les jours pour vivre », je l’embrasse quand il me donne les premiers coups de butoir qui me feront jouir deux autres fois, pendant le quart d’heure qui suit, je m’empale sur sa queue, il jubile de plaisir et gicle sans prévenir en moi, de longs jets puissants, je m’allonge en restant enculé, il me serre contre lui, nous somnolons n bon moment, quand je sens sa bite reprendre une forme plus grosse en moi, il bouge doucement et recommence à me baiser sans limite, je n’en peux plus, il m’explose le cul, ma rondelle ne pourra plus faire croire que je suis puceau, « je te jure qu 'aucun mec avec qui j’ai baisé, avait un cul aussi serré, c’est incroyable vu ma bite, on dirait que tu es encore puceau, je me remets à jouir,  Sa bite me besogne, une éternité quand son pote vient aussi me prendre. Je sens sa queue plus grosse que l’autre et surtout plus violente. Je sens les mecs jouir l’un après l’autre, je reste figé comme inconscient, je reprends connaissance seulement quand Corentin me prote vers notre camion. Je pleure et me blottis contre son torse, il me caresse la tête et me promet de me venger, je relève la tête et vois son visage en sang, je le sèche avec mon tee-shirt, nous nous levons pour nus laver et remplir la cuve d’eau avant de partir de ce lieu maudit. Il s’arrête au bout de deux heures, et me fait venir avec lui dans le lit pour une soirée câline. Je me sens bien, mon agression s’estompe dans ses bras, il me caresse et j’en profite pour le tripoter, mes mains le touchent partout, nous nous endormons comme ca.

 

Fini

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