Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 16:42

La maison de rêve (Geoffroy)

Geoffroy et moi, nous connaissons depuis la troisième, j’ai tout de suite sympathisé avec lui, nous sommes devenu les meilleurs copains, jusqu‘à la fin de nos études, même si je n’avais pas fait le même choix, c’était toujours la même fac et donc la même vie ensemble dans notre piaule d’étudiants, jusqu’au jour final, où chacun a trouvé du travail dans la même ville mais plus, les même horaires dans la journée. Donc, nous nous sommes vus les premiers mois très souvent à peu près tous les jours. Mais depuis que Geoffroy, a décidé d’acheter sa maison, je ne peux pas toujours l’accompagner dans ses achats de rénovations, les travaux font vite, l’entrepreneur lui prend un max. de pognon, mais ça en vaut la peine, vu comment ils ont réussi à transformer, cette petite maisonnette en magnifique baraque avec des extensions dans le jardins privé, j’avoue être jaloux, même si notre connivence est toujours intact, j’aurai voulu pouvoir m’acheter aussi ce style de baraque. Un soir que nous étions dans son salon dans la véranda, laissant voir le très joli jardin, je lui en ai parlé, il m’a sourit, et m’a sortit « tu n’as qu’à venir prendre la deuxième chambre et tu m’aides à payer la baraque comme ça, elle sera à nous deux ». L’idée me traversa très vite les neurones et ma réponse fut « oui », il souriait toujours, je le trouvais mignon, comme mec, je ne l’ai jamais vu avec une minette. Je pense dans mon fond intérieur qu’il devait avoir quelqu’un mais juste pour la baise. Car quelques soirs chaque mois, il disparaissait une nuit, sans pouvoir savoir ce qu’il faisait. Je ne m’étais pas fait d’idée sur sa sexualité, moi, je le trouvais beau gosse. Rien ne s’était fait entre nous et je ne voulais pas gâcher notre amitié sincère par une erreur de jugement sexuel. Alors même si je l’admirais lorsqu’il se préparait devant moi en slip, je ne lui disais rien. Il était très exhibe aussi, très souvent, il se trouvait torse nu ou en short court, laissant voir sans détour ses bourses ou la forme de son sexe dans ses slips, je bavais de temps en temps sur lui, mais jamais à en rêver la nuit. Les trois jours qui ont suivi notre fameuse conversation ont été cruciaux pour toute notre vie. J’ai signé avec lui une partie de l’achat, mes parents m’ayant donné de l’argent pour l’apport. Et le reste en crédit, mais nous avions décidé de laisser nos appartements communs dans les quinze jours pour moi. Et le lendemain pour Geoffroy qui s’y était préparé depuis longtemps. J’étais excité de pouvoir d’abord acheter quelque chose et en plus de pouvoir le partager avec lui. Tout se précipita car mon proprio voulait l’appartement rapidement aussi. Elle l’avait déjà reloué. Alors trois jours après, j’eus mon chèque de caution et mes valises dans le couloir de notre nouvelle maison. Tout était pratiquement fini sauf ma chambre. Le dilemme survint rapidement, où mettre mes fringues en attendant que les placards soit fini, Geoffroy me fit, les monter dans sa chambre et m’expliqua qu’il ne nous restera que peut-être qu’une petite semaine de travaux. Alors que j’aurai qu’à dormir avec lui cette semaine là. Tout était donc réglé, nous avons fêté, cette superbe auisition et vers 23h, nous avons décidé de nous coucher car boulot demain. Ce n’est que dans la chambre que je ressentis un petit pincement d’excitation quand je le vis se déshabiller. Il resta en slip et alla à la douche. Je rangeais mes fringues sur les étagères libres en attendant son retour. Il se lavait maintenant les dents, je pris sa place, passant tout proche de lui, il avait juste une serviette autour de la taille, il sentait bon, je me suis mis devant le lavabo, lui partit vers la chambre, je le vis ôter sa serviette pour glisser dans le lit. Je me suis précipité sous la douche pour reprendre mes esprits. Et me voilà tout frais pour entrer moi aussi dans le lit, comme lui je ne portais rien, mais je pense ne pas l’offusquer si je reste nu aussi. Alors je laisse partir à terre la serviette et entre dans ce fabuleux lit, où ce type, mon meilleur pote s’était mis aussi. Je dois avouer ue l’idée de bander près de lui m’a traversé, Nous avons discuté du temps que nous mettrions demain matin pour nous préparer et il éteignit la lumière. Tout resta correcte, jusqu’au moment où il me taquina en me chatouillant, nos mains sont venues toucher le corps de l’autre, pour nous rendrent les gestes. Mais je sentais que ses mains étaient précises, et douces sur ma peau, je n’en revenais pas, je me laissais caresser sans rien faire. Il le comprit car sans chercher, il approcha tout son corps et le mit le long du mien, je pouvais sentir son sexe entre mes fesses. Ma bite a grossi aussitôt. Ses mains étaient passées sur ma poitrine et me titillaient les tétons. Alors qu’un léger va et vient trahissait qu’il se branlait entre mes cuisses. Quelle bonne sensation, sa force musculaire me bloquait un peu, mais je ne voulais pas arrêter ce bellâtre dans son élan de sexe. Il bougea et vint s’allonger sur moi, sa bite s’est unie à la mienne, je sentis son visage près du mien, mes mains étaient partis dans son dos et descendaient vers le bas de ses reins. Il ne bronchait pas, quand je sentis ses lèvres sur les siennes et sa langues s’insérer dans ma bouche, je ne pouvais plus refuser, je prenais réellement du plaisir de faire ça avec lui. Notre complicité serait peut-être fichue, mais je savourais ce délicieux moment de rêve. Il se mit à bouger, se tourna et je fis surpris qu’il me présente son petit derrière, il le positionna tout près de ma bouche. Je ne refusai pas la demande et glissa mes lèvres puis ma langue dans ce petit trou, il était imberbe, je pouvais lécher de temps en temps ses bourses, mais n’avais pas encore léché son sexe. Lui pouvait tout faire, il me léchait avec délice, mon gland était enflé par ce désir, il ne s’arrêtait pas uniquement à mon sexe. Il me releva les jambes et commença un long léchage de mon anus, je commençais vraiment à ne plus pouvoir résister. Il couinait aussi, que je lui bouffais bien le cul, mais ses paroles m’ont fait l’effet d’une bombe. J’ai giclé sur son torse, alors qu’il commençait à me mettre le deuxième doigt dans le cul. Plus possible de refaire marche arrière, j’avais joui. Il se retourna et me fit faire connaissance avec son sexe, je le pris en main, et compris qu’il n’avait rien à voir avec la dimension du mien. Nom d’un chien, elle était énorme, je n’arrivais pas à faire le tour avec mes doigts. Il força un peu voyant mon hésitation et me voilà avec une bite dans la bouche. Elle avait le goût du gel douche. Je commençai à m’appliquer, il se mit sur le côté et m’obligea à la remettre dans la bouche. Je pouvais maintenant lui faire une pipe dans sa longueur, il n’hésita pas à mettre sa main derrière ma tête et commença par me faire des va et vient de plus en plus rapide. Quand d’un coup, il me sortit qu’il jouissait alors que j’avais sa queue eu fond de ma gorge. Je n’eus pas le temps de la sortir et fut aspergé de sperme au plus profond de moi, je cherchais à respirer mais la seule chose que je faisais c’était d’avaler. Merde, il continuait à s’astiquer avec ma bouche, qu’il remplissait avec des couinements de plaisirs. Il me relâcha et s’approcha de ma bouche, posa ses lèvres pour me remercier de cette délicieuse baise, nous sommes resté ainsi à nous blottir l’un à l’autre une bonne dizaine de minutes sans rien dire. Quand il commença à ouvrir la bouche. J’ai cru qu’il voulait que je parte, mais il me dit « c’était super, j’ai toujours voulu le faire avec toi ». Je l’ai embrassé mais c’est là que j’ai vite compris que ce n’était pas terminé, car son sexe n’avait pas d’un pouce perdu de sa vigueur. Il me caressait les fesses et insistait lourdement sur l’entrée, quand il bougea, je compris qu’il allait m’enculer, il prit du gel et commença à s’en enduire avant de m’en mettre. Je ne résistais pas. Je voulais qu’il le fasse même si j’allais souffrir. Jamais, je n’avais été pris, ma passivité était plutôt personnel quand j’ai essayé d’introduire dans le cul une brosse à dent, c’était tout. Mais là, je sentis tout mon corps partir dans une fièvre de chaleur, mes sens n’étaient plus qu’à cet endroit de mon corps. Il me titillait les tétons, mais je n’éprouvai qu’une chose, la pénétration de son sexe, il s’enfonçait toujours, je commençai à râler de plaisirs. Quand il fit ses premiers va et vient, je n’en fus libéré après plusieurs positions. Mais trente minutes après, je n’en pouvais plus, j’avais réjoui entre temps. Alors que lui était encore à me buriner. Je sentis qu’il allait jouir, il se braqua et me saisit les jambes droites, il était devant moi, il sortit son sexe et m’éjacula sur tout le torse et le visage, Je n’avais jamais senti quelqu’un me jouir dessus, c’était inexplicable, j’aimai et c’était tout. Il râla encore, plus j’étais en sueur, des pieds à la tête, je n’arrivais plus à bouger, tellement les pénétrations avaient été fortes, « ça va, tu as aimé, moi j’ai adoré ton petit cul en tout cas », Je n’osais pas répondre, et puis, je me suis dit qu‘après tout autant qu’il sache « moi aussi, j’ai aimé ta queue en moi », il se mit à sourire « génial ». Nous nous sommes endormis dans les bras de l’autre. Au matin, le réveil nous a remis dans la réalité et m’a fait faire un bon dans le temps, enfin d’hier soir, Geoffroy, me souriait et se leva, il était nu et pour la première fois je le vis nu devant moi, son sexe était long. Il pendait entre ses cuisses, même au repos, il mesurait une taille impressionnante. « Allez, nous allons être en retard ». Chacun se doucha pendant que l’autre se rasa, et nous nous sommes retrouvé à faire le petit déjeuner ensemble, près à partir, aucun de nous n’a osé parler d’hier, ce n’est que lorsque nous sommes allé vers la porte, pour récupérer dans le garage les deux voitures, qu’il m’a chopé le bras, m’a fixé, il est venu poser ses lèvres sur les miennes. J’ai lâché ma sacoche et l’ai enlacé pour répondre à ce baiser tant attendu depuis mon réveil. Il nous stoppa et me donna une tape « tu es gourment toi, tu auras le reste ce soir et prépare toi à une bonne baise, j’ai la queue qui me démange déjà ». Nous sommes entrés dans nos voitures en riant. Ma journée fut des plus joyeuse, je venais de découvrir ma sexualité et en plus avec le type ue j’appréciais le plus au monde, rien ne m’arrêta en chemin, pour pouvoir le revoir le soir, à peine arrivé que je déchantai de ce que j’aurais voulu car il était avec ses parents à prendre un café, il n’avait pas besoin de me présenter car nous nous sonnassions depuis longtemps. Mais après cinq minutes, ils commencèrent à nous dire qu’il serait difficilement de la revendre si nous l’achetons ensemble. Geoffroy me souriait, ce qui me détendit, plus rien ne m’atteignais à part ce type. Il m’excitait même devant ses parents, après une heure, ils partirent, Geoffroy se jeta sur moi et m’obligea à monter dans la chambre, il m’a pratiquement déchiré mes vêtements avant de se déshabiller dans un temps record. Nos bites se frottaient alors que nous nous empressions comme des collégiens. J’aimais sentir sa peau de bébé, son odeur de printemps m’enivra, mais il en voulait tout de suite plus. Il prit du gel et m’enduisit sans même me demander. Il bandait tellement que je pris peur en la voyant, mais rien ne pourrait l’arrêter. Il me sodomisa avec douceur, mais fermeté. Il savait à quel moment s’arrêter pour me rendre encore plus excité et je compris que ce ne serait pas la dernière fois qu’il me prendrait. Je me suis détendu, j’ai pris un pied d’enfer avec cette matraque en moi. Il me branlait si bien que je n’eus que le temps de lui dire quand mes jets de sperme partir dans la nature. Il continua encore cinq bonnes minutes avant de sortir et de m’asperger de son foutre sur tout le corps, nous nous sommes regardé et avons ri de la situation « tu te rends compte de l’excitation que tu me produis. J’ai eu mal aux couilles toute la journée rien que de penser que j’aurais ton si joli cul ce soir ». Il s’approcha de moi, s’allongea près de moi, nos lèvres se sont unies. Nous sommes restés à discuter et avons conclu que ce n’était plus la peine de faire une deuxième chambre mais plutôt un bureau bibliothèque. « tu te rends compte de ce que nous faisons », « oui, j’ai prévenu mes parents que je vivrais avec toi un long moment, je crois qu’ils ont compris ce que j’insinuais, c’est pour ça qu’ils ont pas été très courtois », « alors c’est vrai, tu le veux vraiment », « évidemment, tu m’as toujours plus, simplement je me cachais la réalité, mais maintenant que nous faisons l’amour, je comprends que c’est toi que j’attendais ». Je n’eus aucune réponse à part un baiser d’amour. Dans les mois qui ont suivi, aucun jour ne s’est passé sans une baise effrénée. Je ne comprends pas comment il peut avoir une libido aussi forte, je ne me plains pas au contraire, je crois que j’en suis de plus en plus accro moi aussi. Depuis peu, je le sodomise aussi, mais sans trop d’apothéose, je pense être fait pour être passif et lui actif, notre couple fonctionne super bien ainsi, ce n’est qu’au bout d’un an que nous avons vraiment dit la vérité à tout notre entourage, qui pour certains n’ont pas compris et d’autres l’ont très bien accepté ».

Fin

 

Par gayshistoirescooletclean
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