Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 16:55

Le Beau-père (Tim)

Voilà bientôt un an que ma mère se trouve dans un hôpital spécialisé depuis son accident, je vis donc avec mon beau-père « Tim », un homme de trente ans, ils ont un écart de dix ans. Il me soutient dans cette épreuve, garde espoir de revoir ma mère, nous avons appris à vivre sans elle pendant cette année, il a changé et discute beaucoup avec moi, il s’occupe de savoir si je vais bien, si mes études vont, me sort les week-ends dans des concerts ou restaurants, j’avoue ue j’apprécie à dix-huit ans d’être dorloté comme ça. Il ne rate jamais un soir de la semaine pour me récupérer du bahut, depuis que ma mère est absente. Il la remplace même dans ces gestes de tendresse, comme celui de se dire bonjour sur la bouche comme quand je le faisais avec ma mère, je sais que pour beaucoup, ça peut choquer mais pour moi, c’est un bisou d’amour fraternel. Cet équilibre entre nous, a fait naître en moi, un amour pour lui, surtout qu’il n’est pas mal du tout depuis l’hospitalisation de ma mère, il a décidé de faire une heure de sport tous les jours, il a installé sa salle de sport et dès que nous rentrons, il s’affaire à son hobby favori pendant que j’étudie, notre rythme de vie est bien réglé, une fois douché, il prépare le dîner, puis j’arrive pour mettre la table. Depuis deux mois, j’ai la chance de le voir avec le beau temps de plus en plus à l’aise et dénudé. Ce qui me ravie un maximum, car son corps se développe à une vitesse et laisse apparaître un corps athlétique et d’une grande beauté, il lui arrive de ne mettre qu’un caleçon ou un slip, ce soir il n’a qu’un slip mais c’est mon préféré, car il est un peu distendu et laisse voir un peu de son pubis, son sexe est gros, je l’ai déjà vu une fois en sortant de la douche, alors que j’étais en retard pour aller au bahut, il prépare le repas, s’active alors que je ne me gêne pas pour le détailler, son petit cul aussi est beau, bien bombé, proportionné par rapport à sa taille, une fois prêt, il repart dans sa chambre et enfile un short, j’ai décidé que moi aussi j’allais me mettre torse nu, nous dînons quand j’enlève mon tee-shirt, il ne dit rien. Je remarque quand même ses petits regards sur moi, j’aime bien, nous débarrassons quand involontairement en rangeant, je tombe sur lui, nos corps s’unissent, se collent, son visage est très près du mien, je sens ses mains me retenir par la taille, un vrai délice, cette vision d’être dans ses bras, sentir sa force masculine, il me relâche trop vite à mon goût, mais le courant est passé entre nous, son sourit n’a pas caché son désir, il faut absolument que je trouve un moyen de réitéré cette situation, la soirée se termine par un petit baiser tremblant. Deux jours plus tard, nous décidons d’aller à la mer, la voiture file sur l’autoroute pendant que j’étudie les sites à visiter, mais surtout il nous faut un hôtel, tout est pris d’assaut, nous en trouvons un, le réceptionniste nous signale qu’il n’a qu’une chambre à grand lit, Tim a répondu « ne vous inquietez pas, mon fils dormira avec moi, « c’était la première fois qu’il parlait de moi comme son fils, une fois dans la chambre nous déposons rapidement nos sacs et repartons nous promener, de retour après un bon dîner et avoir jouer aux machines à sous, nous montons dans la piaule, je me déchausse et pars me laver les dents pendant que Tim va aux toilettes, il ressort et se déshabille, je peux le voir dans le grand miroir de la salle de bain, ce mec à vraiment un très beau corps, il entre et se met à côté de moi, il se brosse les dents, je le sens si proche ue je commence à transpirer de désir, je suis aller aux toilettes, il était encore dans la salle de bain, quand je me suis décidé à me déshabiller, je me sentais tout drôle de me dévêtir devant lui, il entra quand je suis en slip, mon sexe commença à gonfler, je lui demande de quel côté il veut dormir, il décide de prendre à droite, par habitude, je m’installe donc dans ce grand lit uand d’un coup, il ôte son slip et glisse dans le lit, j’ai pu voir son joli petit fessier, je suis comme un enfant, tétanisé de dormir avec un apollon, il se tourne vers moi, ses lèvres viennent rejoindre les miennes, je savoure ce délicieux moment, surtout qu’il pose sa main sur mon ventre, il le comprend, fait une pose et m’en redonne un plus tendre, mais franchement chaud, sa langue vient toucher la mienne, je bande comme un fou, il me dit de dormir maintenant, je ne peux plus, je suis trop excité, j’attends qu’il soit endormi et me lève pour m’enfermer dans les toilettes, ma trique me fait mal, je me branle avec tellement de frénésie que je jouis rapidement, mon retour en silence passe inaperçu. Le matin, je sens Tim se lever, j’ouvre les yeux et l’admire nu se dirigeant sans complexe vers la salle de bain, non d’un chien mon sexe reprend aussitôt sa raideur, comment faire, je dois me concentrer sur autre chose, la douche coule, j’en profite pour me lever tout en tenant mon sexe en cas ou il sortirait, je referme la porte des toilettes, de retour dans la chambre, il est déjà là, en caleçon, je suis nu, je cherche à me cacher en avançant, il me fixe, ne se retourne pas, ni ne change de direction son regard est sur moi, je décide de me montrer complètement, le pdj est sur la table, je ne me rhabille pas, il ne dit rien de mon comportement, m’observe simplement, je découvre qu’il a sa main sous la petite table, il me fixe tout en avalant son café, une fois fait, je me relève pour aller me doucher, m’arrêtant devant la table pour qu’il me regarde bien en détail, il finit sa tasse et me rejoint pour se raser, je sais u’à travers le verre de la douche, il m’observe, j’en profite pour me caresser un peu, quand je sors, il me tend une serviette, je sors dehors et commence à m’essuyer le dos, je ne peux qu’approuver quand derrière moi il peut admirer mon petit cul, sa peau glisse sur la mienne, je me sens divaguer, dois-je me retourner ou attendre que sa main qui hésite aille plus bas, mais elle glisse sur le côté de mes fesses pour me retenir, la serviette vient m’entourer la taille, et il repart dans ses soins personnel, je finis de m ‘essuyer sans rien paraître, tout en le laissant, me voir dans la glace, ce qu’il ne manque pas de faire, il me sourit mais ne prononce rien, toute la journée se passe dans cette complicité intime. En rentrant à l’appartement, je suis en ébullition totale, je crois que je vais lui sauter dessus, tellement il m’excite, je m’enferme dans ma chambre pour me calmer, il s’agite en cuisine et me demande de venir mettre la table, j’arrive et m’exécute, je n’arrive pas à me défaire de cette obsession, il est comme d’habitude, calme et agréable, c’est moi qui fabule, notre dîner terminer, nous passons au salon, rien ne me plait à la télé, j’abandonne Tim et me retranche dans ma chambre, je me couche et attend qu’il vienne me dire bonsoir, la porte s’ouvre laissant apparaître une luminosité autour de lui, sa carrure prend encore plus de volume dans l’encadrement, il s’approche dans le noir, sa silhouette est de plus en plus proche de moi, il s’assoit sur le lit posa sa main sur mon torse, dénudé et vient poser ses lèvres douces et chaudes sur mon téton droit, et remonte dans le cou pour effleurer mes lèvres, ma main qui était sur le matelas vient se mettre sur sa cuisse, je ne peux m’empêcher de lui caresser, alors qu’il me redonne un autre baiser, je sens cette langue, cette fois entrouvrir ma bouche alors que je remonte sa cuisse pour tomber sur ce caleçon qui laisse libre accès à son intimité, il relève la tête mais ne bouge pas, ma main continu son ascension, et bute sur cette chair qui ne devrait pas se trouver là, elle est douce, il pose sa main sur la mienne et la serre entre ma main et son sexe, j’étais aux anges, je touchais le sexe de Tim, ce que je désirais le plus au monde, mais le rêve se cassa car il se releva et sortit de ma chambre, avec un « bonne nuit, fait de beaux rêves, l’enfoiré m’avait complètement allumé et maintenant il me disait d’aller me faire voir, la porte n’était pas encore fermée que je pris ma bite et me branla pour me jouir dessus en à peine deux minutes. Au petit matin, il vint me réveiller mais ne rentras pas dans la chambre, j’enfila un caleçon et me dirigea vers la cuisine, rien ne sortit de sa bouche sur ce qui s’était passé la veille, arrivé au bahut, il me dépose et au moment de me dire « bonne journée », il approcha doucement ses lèvres des miennes, me fixe en m’embrassant tendrement, je vécu une journée de trouble, jusqu‘à son arrivée vers 17h, en entrant dans la voiture, je me retiens sinon je lui saute dessus, nous nous disons bonsoir en même temps que nos lèvres se rejoignent, il fit rouler la voiture en discutant de sa journée et des choses à faire dans la semaine, la maison à nettoyer, le ciné du jeudi, le repas de bienvenue de sa mère, samedi etc.… Une fois dans la maison, il me regarde en autant son tee-shirt, et me dit qu’il va faire du sport, pour se détendre, je pars dans ma chambre faire mes devoirs, quand j’entends « merde, la vache », je me précipite pour savoir ce qu’il a, il était à allonger sur le banc de soulèvement de poids, les jambes écartées montrant son splendide entre jambe dans ce short ample, et me sort « je viens de me péter le dos », il se relève difficilement, je lui demande si ça va « oui, t’inuiètes pas, je vais prendre une douche et ça ira mieux », je le vois faire quand même une grimace et je finis de ranger mes cours, pour aller l’aider à préparer la bouffe, il a ressortit son peignoir, chose assez rare depuis quelques mois, je l’ai aidé du mieux possible jusqu’au moment après le dîner, il me demande « tu pourrais me masser le dos stp, j’ai un peu mal », il avait l’air sincère, je lui dis « aucun problème, où est la crème, va t’allonger », je prends une serviette, une fois devant le lit, j’étends la serviette, et le vois ôter son peignoir, il s’allonge nu, je ne m’attendais pas à ça, même si dans mes rêves, les plus fous, son corps est parfait ses muscles du dos montrent les efforts fournis depuis un an, il lève les bras vers sa tête et attend, je ne savais plus quoi faire, je pris le tube et en mis dans mes mains et sur ses épaules, le massage commença, j’étais sur le côté, toujours en caleçon, torse nu, je me mis à poser mes deux mains sur lui, plutôt agréable pour les deux, enfin moi je fantasmais complètement, je jubilais de le toucher, ma queue se raidissait toute seule, je fus vite arrivé à ses hanches, son petit cul était une merveille, il le soulevait ce qui lui donnait un côté galbé, mais musclé, il me demanda par la même occasion de lui faire aussi les jambes qu’il écarta du coup, je me positionna et pu voir son sexe logé au milieu, plus je montais plus j’approchais de sa bite, en massant ses cuisses, je le touche plusieurs fois, je vois qu’il grossit, je passe à son petit cul, rien de plus beau chez un mec que son cul, quand j’ai l’impression d’avoir fini, il se retourne et m’exhibe sa totale nudité de face, avec une bite en érection, belle et grosse, il me fixe en me disant « continu de ce côté, tu me feras du bien, j’en suis sûr ». instinctivement mes mains se posèrent sur le magnifique torse, et le massage repris, pour cinq minutes avant d’atterrir dans le bas de ses hanches sa tige avait encore grossit, c’était raide, il ne la cachait pas, mais j’étais très surpris de constater, ‘un si gros morceau existait, il me sourie « c’est normal,  comme réaction », et là, je mis ma main droite entre ses cuisses pour accéder à ses bourses, il écarta les jambes pour me laisser libre accès, je mouillais grave, son sexe était droit devant moi, il voulait que je lui prodigue des caresses, sûrement, je ne tarda pas à me lancer, ma bouche du accomplir ce rite tout seul, je n’avais pas d’expérience mais j’eu aucun mal à savoir ce qu’il fallait faire pour lui donner du plaisir, ma bouche s’approche de son pubis, je me mets à le lécher et hume sa toison pubienne, il me sortit « je réagis aussitôt » et passe ma langue sur sa hampe, remonte jusqu’au gland que je lape d’extase, il me regarde avec un sourire radieux, alors que j’engloutis sa tige en m’écœurant, il bouge un bras et le pose sur mon dos, me caresse alors que je le pompe du mieux possible, je sens sa main glisser sur mon corps pour se diriger sur mes fesses, ma bite est à son maximum, il me touche, je jouis mais sa main est pour l’instant en train de tripoter mon fessier, ma bouche avale et recrache dans un va et viens régulier, il commence à se tordre de plaisir, me dit qu’il n’a pas jouit depuis une semaine, et il m’écarte pour que je vois une grosse giclée de sperme jaillir de son gland, quel splendide spectacle, ce jet fut suivi par d’autres moins puissants mais tout aussi important en quantités ses petits râles communiquent parfaitement avec ses soubresauts de plaisir, il m’attrape la fesse et glisse un doigt sur mon anus, mais l’accès n’ai pas facile, il glisse son autre main sur le côté et saisit mon sexe, ce ui arriva, je me mis à jouir dans sa main, il me fixa, sa bite ne débandait pratiquement pas, j’étais jaloux de ce corps tout entier, tellement il était beau, une fois terminé son massage, il se redressa et posa ses lèvres aux miennes, un baiser formidable, il me dit que je devrais aller me laver les dents maintenant et aller me coucher, je m’exécute sans dire un mot tellement, j’ai dans la mémoire encore tout ce que je viens de vivre, il reste allongé, une bonne nuit se fit de la porte de nos chambres ouvertes. Ce n’est que le matin très tôt que je décide d’aller le rejoindre, alors que j’avais pratiquement pas dormi de la nuit, il était dans son lit comme un bébé, je soulève les draps et m’engouffre dedans, il réagit en me serrant près de lui, en se blottissant très près de moi, je jubile de le voir encore endormi, passant sa main sur mon ventre, sa respiration est légère, mais le réveil sonna, nous nous sommes levé, tous les deux nus, nos regards détaillant mutuellement nos corps réciproques, il enfile un caleçon, mais j’aperçois qu’une bosse déforme le tissu, dans la cuisine nous nous organisons pour le retour de ce soir, la douche et nous voilà partit pour le bahut, arrivée sur le parking, je veux lui dire bonne journée quand il me sort « ce soir, tu voudras bien me faire un autre massage », je souris avec un « oui, avec plaisir », et je le vois partir, ma journée ne fut que bonheur, faite de rêve et d’attente du soir. Une fois 18h, je sors de mes cours et le vois dans la voiture, je me précipite et glisse à l’intérieur, je m’approche de son visage, et lui donne un petit baiser furtif sur les lèvres en posant bien ma main sur sa cuisse pour qu’il comprenne ce que j’attendais de lui, juste le temps de refermer la porte  de l’appartement qu’il me pousse dans sa chambre, ôte ma chemise, pendant qu’il vire ses pompes, je suis excité un maximum, je ne vais pas réussir à résister, je pose mes mains sur son tee-shirt et le soulève pour le déshabiller aussi , nous savons maintenant tous les deux qu’il n’y aura pas de massage comme hier soir, mais de la baise, ça c’est sur, mon fut tombe, lui montrant ma bite tendue dans le slip, il s’agenouille et le glisse à mes pieds, je suis complètement nu à sa merci, il approche ses lèvres et engouffre la totalité de mon sexe, je pousse un râle de plaisirs sa bouche s’active comme s’il avait toujours sucé des bites, je le repousse pour ne pas jouir tout de suite, il se relève et se déshabille, je mate ce corps si musclé quand j’aperçois son braquemart sortir du slip, je fais un « oh », d’étonnement, il bandait si dur, je n’en revenais pas, son gland était tout humide d’excitation, je pris la même position que lui tout à l’heure, à genou et saisis son sexe de ma main droite, il avait une trique d’enfer, ma langue fit une remontée remarquable sur sa tige, je ne suis pas séparer d’elle pendant 10 minutes, il gémissait des « encore bébé », j’étais aux anges avec ça dans la bouche, il le savait en me regardant , je sentis qu’il me relevait et m’allongea sur le lit, les jambes écartées, j’enfouis ma tête dans l’oreiller alors qu’il plaqua sa langue entre mes cuisses, il écarta mes fesses et y engloutit sa langue qui cherchait un passage dans mon anus, après cinq minutes de lécher approfondit, je compris ce qu’il voulait, ses doigts entraient comme dans du beurre, sa langue me fouillait aussi, je bouillais de partout à chaque endroit qu’il touchait, ce qui me cambrait encore plus, il put donc sans aucun mal, mettre sa grosse tête de gland du premier coup, je releva la tête, surpris du manque de douleur, alors qu’il commençait à me défoncer, je le voyais jouir des yeux, ils brillaient, une fois entré, il stoppa et me demanda si j’allais bien, en réponse, je me suis  mis à bouger du cul, pour lui faire comprendre mon désir d’être encore baiser, il posa ses deux mains sur mes hanches et fit subir en entrant à grands coups de butoir son sexe, je n’en pouvais plus, au bout de 10 minutes de bourrage, ce type était infatigable, il me changea de position , releva mes jambes et s’encastra encore en moi, j’étais stupéfait de pouvoir prendre un pied aussi bon avec mon beau-père, il n’avait aucune gêne de me prendre en tout cas, ses coups devenaient de plus en plus pressés, quand je vis son visage s’éclaircir, la bouche ouverte, il se mit à jouir en moi, ma purée partit aussi, nous finissions de faire couler nos spermes dans une communion totale, il rentre en moi, en me faisant toujours, « tu n’as pas eu trop mal », il sourit de moi regarde mon petit trou meurtri « tu voudrais … plus vieux que toi », « tu rigoles, 10 ans et tu n’as pas remarqué que nous avions pris un super pied tous les deux » , «  si j’ai rarement eu un orgasme aussi fort », et il se couche à côté » de moi, son sexe endolori se pose entre nous quand il se frotte à moi, je sais que nous aurions d’autres moments aussi fort quand il me serra contre lui, ma main se promena sur tout son corps , s’arrêta très souvent sur son sexe, il ne broncha pas, me laissant découvrir son corps dans les moindres détails, à force de le tripoter, je vis revivre son sexe, qui grossit de plus en plus, ne me laissant plus le choix que de le branler au lieu  de le caresser, sa bite était superbe ma bouche, lui prodigua ce qu’elle voulait, il me laissa faire, je disposais de tout son corps à ma guise, j’ose passer ma main entre ses cuisses, mes doigts partent entre sa raie et trouve difficilement son anus dans cette forêt de poils, ma bouche remplie de cette chair ne s’arrête plus de travailler. Il se cambre tellement, je lui donne du plaisir, il prend ma taille, me saisit les hanches et m’oblige à m’asseoir sur lui, il la dirige sur ma raie, et me pénétrer en douceur sa bite s’encastre en moi j’étais au 7eme ciel,  il me fit comprendre que je devais monter et descendre, ce que je fis, le résultat fut extraordinaire, j’avais l’impression de le manipuler, que c’était moi le maître mais très vite sa domination masculine a repris le dessus, en me bourrant à vive allure, je subissais ce sexe de 25 cm sans bronche, mais surtout avec désir, il ne me laissa plus le choix, je vis mon sperme sortit et s’éclater sur son torse pour finir sur son front, la vision de ma jouissance le fit jouir encore en moi, je sentais bien son sexe au fond de mes entrailles grossir pour laisser sortir ce surplus de sperme, je ne voulais plus qu’il sorte, je me suis allongé sur lui laissant son sexe emprisonné dans mon anus, nous nous sommes endormi ainsi une bonne heure, notre réveil fut des plus tendre après une douche bien mérité. A partir de ce jour nous avons fait chambre commune.

Fin

 

Par gayshistoirescooletclean
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